Depuis plusieurs semaines, une station de ski en Isère est touchée par des vagues de vomissements et des cas de gastro-entérite, qui touchent majoritairement des personnes mineures.
Que se passe-t-il dans la station de ski du Collet d’Allevard, en Isère? Ce vendredi 21 mars, de nombreuses jeunes personnes ont été prises de vomissements et sont victimes d’une gastro-entérite.
Contactée par BFMTV, l’Agence régionale de la Santé détaille que « 43 personnes sont malades et quatre d’entre elles font l’objet d’une observation et d’examens à l’hôpital ».
111 personnes malades fin février
C’est la troisième fois en quelques jours que des mineurs sont touchés par des vomissements et par une gastro-entérite dans cette même station de ski. Selon nos confrères d’Ici, dans la nuit du 27 au 28 février, 111 personnes étaient malades dans un centre de vacances situé dans cette station de ski. Cinq jours plus tard, ce sont 40 personnes, dont 36 adolescents, qui avaient été prises de vomissements.
« Le virus suspecté persistant sur les surfaces en l’absence de désinfection adéquate, un lien est donc plausible », détaille l’Agence régionale de santé.
« Pour confirmer l’origine virale de cet épisode, des coprocultures ont été demandées par l’ARS », expliquent les autorités sanitaires.
« Il faut noter que Santé Publique France alerte sur une recrudescence nationale des gastro-entérites à norovirus ». Cela cause des « gastro-entérites certes très désagréables mais sans gravité hors publics fragiles ».
« Cette recrudescence peut s’expliquer du fait de nombreux regroupements scolaires actuellement », avancent les autorités sanitaires. Ces derniers ont « émis des recommandations de nettoyage du centre touché ».
Le pape François, dans la chapelle de la polyclinique Gemelli, à Rome, le 16 mars 2025. AP
Il s’agit de sa première apparition publique depuis son hospitalisation, le 14 février, avant sa sortie de l’hôpital. Le pape François fera, dimanche 23 mars à la mi-journée, un salut et une bénédiction à la fin de la traditionnelle prière de l’Angélus, d’une fenêtre de l’hôpital Gemelli, à Rome, a annoncé, samedi, le Vatican. Hospitalisé depuis plus de cinq semaines pour une double pneumonie, il doit ensuite rentrer dans l’après-midi au Vatican, où il entamera une convalescence qui durera « au moins deux mois », selon ses médecins.
« Demain, le pape rentrera à la résidence Saint-Marthe », où réside habituellement le pontife de 88 ans, a déclaré, samedi lors d’une conférence de presse, le Pr Sergio Alfieri à l’hôpital Gemelli, à Rome. A l’annonce de sa sortie, le pape était « très content », « cela faisait trois ou quatre jours qu’il nous demandait quand il pourrait rentrer », a-t-il ajouté. L’état de santé du pape « s’améliore » et « nous espérons qu’il pourra rapidement reprendre ses activités normales », a renchéri un autre membre de l’équipe médicale, le Dr Luca Carbone.
Le pape n’a plus présidé la prière hebdomadaire de l’Angélus depuis le 9 février, manquant ce rendez-vous les cinq semaines suivantes, une première depuis son élection en mars 2013. Cette prière est normalement récitée par le pape tous les dimanches à midi en public depuis une fenêtre du palais apostolique donnant sur la place Saint-Pierre, où sont généralement massés des fidèles venus pour le voir et l’écouter.
La question de Pâques
Cette semaine, le Vatican a fait état de progrès récents de la santé du pape, après avoir craint que sa vie ne soit menacée par une pneumonie aux deux poumons. « L’amélioration de l’état clinique du Saint-Père est confirmée », avait ainsi écrit le Vatican, dans son dernier bulletin médical publié mercredi. La pneumonie de François n’a pas été « éliminée », mais est désormais « sous contrôle », avait-il alors été précisé.
Le pape, qui a reçu des messages de soutien et des prières du monde entier, n’est plus réapparu en public depuis le 14 février, le Vatican ayant seulement publié le 16 mars une photo de lui, de trois quarts dos priant dans la chapelle de son appartement médicalisé, alimentant les spéculations. Le Vatican avait aussi diffusé le 6 mars un court message audio dans lequel le pape remerciait d’une voix affaiblie les fidèles pour leurs prières.
Ce n’est pas la première fois que le pape fera une apparition à l’hôpital Gemelli : le 11 juillet 2021, François avait récité la prière de l’Angélus depuis le balcon de son appartement situé au dixième étage après une opération du côlon, devant des fidèles et des journalistes. En juin 2023, après son opération d’une hernie abdominale, il avait récité l’Angélus au Gemelli de manière privée, sans apparaître au balcon. Au cours de ses vingt-six ans de pontificat (1978-2005), le pape Jean Paul II avait lui aussi récité à plusieurs reprises l’Angélus depuis le Gemelli, à la fois par des enregistrements audios et des apparitions au balcon.
La maladie et la longue hospitalisation du pape ont soulevé des questions sur qui pourrait diriger le programme chargé des événements religieux menant à Pâques, la période la plus sacrée du calendrier chrétien. Le Vatican a fait savoir, mercredi, qu’aucune décision définitive n’avait encore été prise à cet égard. François est sujet à des maladies respiratoires et a subi l’ablation d’une partie d’un poumon dans sa jeunesse.
Un homme, âgé de 32 ans, a été mis en examen, ce vendredi 21 mars, pour avoir préparé un acte terroriste. Le suspect a été placé en détention provisioire.
Un homme, âgé de 32 ans, a été mis en examen et écroué, ce vendredi 21 mars, pour avoir préparé un acte terroriste, a appris le BFMTV.com auprès du parquet national antiterroriste (PNAT), confirmant une information du Parisien.
Le PNAT indique à BFMTV.com, que l’homme a fait « l’apologie publique d’un acte de terrorisme commise au moyen d’un service de communication au public en ligne ».
Il avait consulté des sites dédiés à la fabrication d’engins explosifs
Le suspect est aussi mis en examen pour le chef de « refus de remettre aux autorités judiciaires ou de mettre en œuvre la convention secrète de chiffrement d’un moyen de cryptologie », souligne le parquet.
La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) a pu constater que le mis en cause consultait des sites dédiés à la fabrication d’engins explosifs sur internet, d’après les informations du quotidien francilien . Il avait acquis un drone peu de temps avant son interpellation et détenait également du matériel permettant de transporter une charge explosive.
Place de la Bastille, à Paris, le 22 mars 2025. BERTRAND GUAY/AFP
Les militants veulent y croire. Et qu’importent les polémiques qui entourent l’événement. Ce samedi 22 mars, la mobilisation autour de la huitième édition de la Marche des solidarités, baptisée « Journée mondiale contre le racisme et le fascisme – l’heure de la riposte », est « inédite », disent-ils. Pour preuve, le doublement du nombre de signataires de l’appel – 300 environ pour les années précédentes, plus de 550 cette année – et le nombre de rassemblements prévus sur tout le territoire, plus de 160, contre une soixantaine en moyenne lors des précédentes éditions.
Ce samedi, plus de 90 000 personnes ont défilé en France,selon les chiffres définitifs du ministère de l’intérieur publiés dans la soirée. « Y compris dans des petits villages ! C’est du jamais vu », se félicite Anzoumane Sissoko, porte-parole de la section parisienne du Collectif des sans-papiers, militant depuis plus de vingt-trois ans. Et de citer l’exemple de Riols, petite commune de quelque 700 âmes située au sein de la 5e circonscription de l’Hérault, gagnée par le Rassemblement national lors des élections législatives de 2024. « Le vrai problème de la France, poursuit-il, c’est que presque personne ne se bat contre le racisme et les discriminations, les discours racistes se libèrent, les politiques n’ont plus aucun filtre et tout le monde laisse faire, les médias, les représentants politiques, pas grand monde ne réagit. Ces marches vont donner à voir qu’il existe une autre réalité sur le terrain. »
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LE CHOIX D’ANNE-CHARLENE – Voile dans le sport: la polémique de trop?{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Olivier Mantei, directeur général de la Philharmonie de Paris, en 2022. IRÈNE DE ROSEN
Presque un million et demi de spectateurs la saison dernière, une fréquentation en hausse – 95 % de taux de remplissage depuis septembre 2024 –, un public dont 10 % ont moins de 28 ans, une augmentation de 21 % des ressources propres : les voyants de la Philharmonie de Paris, inaugurée il y a dix ans, le 14 janvier 2015, sont dans le vert. Aboutissement d’une longue « guerre de trente ans », le dernier grand projet de François Mitterrand, dont la genèse, à coups de tergiversations, luttes de clans, sanctions économiques et débords budgétaires, témoigne des aléas de la puissance publique française en matière de politique musicale, est aujourd’hui considéré par tous comme un succès. Son directeur général, Olivier Mantei, fait le point au moment de présenter, début avril, sa nouvelle saison 2025-2026.
Quel bilan tirez-vous de cette première décennie de la Philharmonie ?
La Philharmonie, ce sont deux bâtiments qui jouent leur rôle : du belvédère qui domine Paris à la grotte qui jouxte le parc de La Villette, l’architecture porte en elle l’essence du projet, qui était d’en faire un « lieu de vie » – les premiers mots de Pierre Boulez, l’initiateur. Nous sommes aujourd’hui parvenus à une sorte d’accomplissement du projet initial, avec plus d’ancrage territorial, plus d’essaimage à l’extérieur, plus de transversalité entre les disciplines et les générations, plus de jeunes et d’accessibilité.
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Procès de Mehdi Nemmouche: le jihadiste condamné à la prison à perpétuité{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Un maire du nord d’Israël dénonce la « normalisation » des tirs à la frontière libanaise et appelle à « reprendre la guerre » avec le Hezbollah
Le maire de Metoula (), localité du nord d’Israël, a dénoncé samedi les tentatives du gouvernement israélien de « normaliser » la situation à la frontière entre Israël et le sud du Liban, d’où des roquettes ont été tirées sur la localité dans la matinée.
« L’armée, le commandement Nord et le gouvernement israélien tentent de normaliser. Nous ne les laisserons pas normaliser », a déclaré à l’Agence France-Presse David Azoulay, le président du conseil de cette localité de 2 400 habitants à la frontière nord d’Israël, qui avait été évacuée à cause de la menace du Hezbollah. « Nous devrions reprendre la guerre, même si une seule balle est tirée vers Israël » a-t-il jugé.
Une trêve a mis fin le 27 novembre 2024 à deux mois de guerre entre l’armée israélienne et le Hezbollah libanais, qui avait ouvert un front contre Israël le 8 octobre 2023, en soutien au Hamas. Depuis, seulement 8 % de la population est revenue à Metoula, a souligné l’élu, et certains habitants sont repartis samedi matin après les tirs de roquettes. Il a appelé les autorités israéliennes à « agir de manière offensive et à faire en sorte qu’aucune balle ne soit plus jamais tirée sur les communautés du nord » du pays.
L’armée israélienne a annoncé samedi avoir frappé « des dizaines de lanceurs de roquettes du Hezbollah » dans le sud du Liban, après avoir intercepté trois roquettes tirées de cette zone sur la région de Metoula. Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et le ministre de la défense, Israel Katz, avaient auparavant ordonné à l’armée de frapper « des dizaines de cibles terroristes » au Liban pour répondre à ces tirs, qui n’ont pas été revendiqués.
Selon un porte-parole militaire israélien, il s’agit des premiers tirs de roquettes en provenance du Liban sur Israël depuis l’entrée en vigueur de la trêve.
La préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord annonce avoir secouru plus de 160 personnes au cours de la nuit du jeudi 20 au vendredi 21 mars.
168 personnes, qui ont tenté une traversée de la Manche vers l’Angleterre, ont été secourues au cours de la nuit du jeudi 20 au vendredi 21 mars, annonce la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.
La première opération a eu lieu en début de soirée jeudi. Dans le secteur des dunes de la Slack (Pas-de-Calais), une embarcation a été victime d’une panne. Les 62 migrants présents à bord ont demandé à « être secourus » et ont été déposés sur le port de Boulogne-sur-Mer.
Une personne inconsciente héliportée
Un autre sauvetage a eu lieu dans la même zone. À leur arrivée, les secours ont découvert 35 personnes qui demandaient une assistance à bord, « dont deux blessés et une personne inconsciente ». Cette dernière a été héliportée vers l’hôpital de Boulogne-sur-Mer, tandis que les autres migrants secourus ont été ramenés sur la terre ferme.
« En parallèle, le reste des personnes à bord de l’embarcation de migrants ne demandant pas d’assistance, continue sa route, demeurant sous la surveillance des moyens français », ajoute la préfecture.
Une « embarcation précaire » a ensuite été signalée au « milieu de la nuit » dans le secteur de Cran-Poulet. 63 personnes ont été secourues et ramenées au port de Boulogne-sur-Mer.
« Enfin, en milieu de nuit également, au large de Dunkerque », huit personnes ont été prises en charge par les secours et ramenés sur la côte de Calais. Le reste des passagers ont fait le choix de poursuivre leur route « sans demander assistance ».
Au total, le bilan humain est de « 168 personnes secourues dont trois personnes blessées prises en charge par les services de secours terrestres et l’hôpital de Boulogne-sur-Mer », conclut la préfecture.
La diplomatie danoise conseille ce vendredi aux voyageurs transgenres à destination des États-Unis de se renseigner avant leur départ.
Le ministère des Affaires étrangères danois a annoncé ce vendredi 21 mars avoir actualisé ses conseils aux voyageurs transgenres à destination des États-Unis, leur conseillant de se renseigner avant le départ.
« Si vous avez la mention de genre X sur votre passeport ou si vous avez changé de sexe, il est recommandé de contacter l’ambassade américaine avant le voyage pour confirmer les règles applicables », a indiqué la diplomatie danoise dans un communiqué.
« Nous craignons que des personnes soient arrêtées »
Dans son discours d’investiture, Donald Trump avait affirmé que les États-Unis ne reconnaîtraient plus que « deux sexes, masculin et féminin » définis à la naissance, ce qui supprimerait le genre « X », pour les personnes se reconnaissant comme non binaires.
Inquiète des conséquences de cette politique sur les voyageurs, l’association LGBT+ Danemark a expliqué à la chaîne Radio IIII avoir contacté le ministère des affaires étrangères pour lui demander de modifier les conseils aux voyageurs.
« Nous craignons que des personnes soient arrêtées à l’aéroport et se voient refuser l’entrée, ou qu’elles soient exposées à quelque chose d’inapproprié et d’inconfortable à l’aéroport », a expliqué l’une des responsables de l’association, Susanne Branner Jespersen.
Depuis le début de son deuxième mandat, le président américain cible les personnes transgenres, notamment en voulant les expulser de l’armée, en empêchant les athlètes transgenres de participer à des épreuves sportives féminines ou en voulant restreindre les procédures de transition de genre pour les moins de 19 ans.
D’après la diplomatie danoise, aucun Danois n’a été refoulé à l’entrée des États-Unis depuis l’entrée en fonction de la nouvelle administration américaine en janvier.