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Face à la chute des cours du pétrole, les majors compriment leurs coûts, pas leurs dividendes

Le logo de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, devant son siège, à Vienne, le 28 mai 2024. LEONHARD FOEGER/REUTERS

Si l’industrie pétrolière parie sur un monde gourmand en hydrocarbures pour encore plusieurs décennies, l’heure est plutôt à un surplus d’offres sur les marchés. Un excès souligné par les dernières statistiques de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publiées mardi 14 octobre : le nombre de barils produits par jour devrait avoir augmenté de 3 millions en 2025, contre 2,7 millions initialement prévus, pour atteindre 106,1 millions de barils par jour sur l’ensemble de l’année.

Cette abondance résulte notamment de la stratégie adoptée par l’Opep+, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, qui, depuis plusieurs mois, augmente ses quotas de production pour tenter de regagner des parts de marché. Or, la demande peine à suivre, dans un climat d’incertitudes économiques sans cesse ravivées par la croisade protectionniste du président américain, Donald Trump. Les prévisions de hausse de la consommation en 2025 et en 2026 se situent « bien en deçà de la tendance historique », selon l’AIE. L’an prochain, l’offre pourrait dépasser la demande de près de 4 millions de barils par jour, prédit l’agence.

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Dégradation de la note de la France: un « appel à la lucidité » selon le ministre de l’Économie Roland Lescure


Dégradation de la note de la France: un « appel à la lucidité » selon le ministre de l’Économie Roland Lescure{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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Près de 200 personnes qui tentaient de traverser clandestinement la Manche secourues en vingt-quatre heures

Une embarcation de fortune, à Gravelines (Nord), le 19 septembre 2025. JEAN-FRANCOIS BADIAS / AP

Cent quatre-vingt-cinq personnes qui tentaient de rejoindre clandestinement l’Angleterre à bord d’embarcations de fortune ont été secourues entre vendredi 17 et samedi 18 octobre dans les eaux françaises, a annoncé la préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord.

Vendredi matin, deux opérations de sauvetage ont respectivement permis la prise en charge de 81 passagers d’un bateau parti de la baie de Somme et de 80 personnes demandant à être secourues à la suite d’une avarie de leur embarcation, au large d’Equihen-Plage (Pas-de-Calais), précise-t-elle dans un communiqué.

Enfin, dans la nuit de vendredi à samedi, 24 passagers d’une autre embarcation ont été pris en charge lors d’une tentative de traversée partie des dunes de la Slack (Pas-de-Calais), tandis que les autres passagers ont souhaité poursuivre leur route.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Morts de la Manche : les petites solidarités locales, malgré la litanie des noyades de migrants

D’après les chiffres du ministère de l’intérieur britannique, aucun small boat, nom donné aux embarcations de fortune utilisées pour ces tentatives clandestines de traversée de la Manche, n’est arrivé en Angleterre, vendredi.

Au moins 27 morts depuis le début de l’année

Malgré le renforcement régulier des moyens mis en œuvre en France pour empêcher les traversées, avec le soutien financier du Royaume-Uni, plus de 36 300 personnes sont arrivées clandestinement en Angleterre par ce moyen depuis le 1er janvier, selon les autorités britanniques. C’est 1 300 de moins qu’en 2022 – année record – à la même période.

Au moins 27 personnes sont mortes cette année lors de tentatives de traversées clandestines de la frontière franco-britannique, selon un décompte de l’Agence France-Presse effectué sur la base de données officielles.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Immigration : l’accord franco-britannique sur le renvoi de migrants contesté en justice

Un nouvel accord migratoire entre Londres et Paris, entré en vigueur en août, prévoit des échanges sur le principe du « un pour un ». Pour une personne renvoyée du Royaume-Uni, Londres accepte l’entrée d’une autre venant de France, par voie légale. Ce dispositif, très critiqué par les ONG et exposé à des recours en justice, ne semble toutefois pas dissuader l’immense majorité des candidats à l’exil de tenter des traversées clandestines.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés La mort de Mamadou Garanké Diallo ou le destin tragique d’une intégration ordinaire

Le Monde avec AFP

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Le diocèse du Havre lance un appel à témoignages après deux plaintes pour abus sexuels contre un prêtre

Les plaintes visent le père Pierre Bernard, décédé en 2018, qui a officié entre 1958 et 2014. Un appel à témoignages a été émis pour retrouver d’éventuelles autres victimes ou témoins.

Deux plaintes pour abus sexuels ont été déposées contre le prêtre Pierre Bernard, décédé en 2018 au Havre. Le diocèse a lancé un appel à témoins pour retrouver d’éventuelles autres victimes, fait savoir Ouest-France.

Les plaintes ont été adressées à l’Instance nationale indépendante de reconnaissance et réparation (Inirr), qui a reconnu les deux individus comme des victimes de violences sexuelles.

La procureure alertée

Le diocèse recherche alors « toute personne qui aurait été victime ou témoin d’actes répréhensibles de la part du père Pierre Bernard, aujourd’hui décédé », a déclaré Monseigneur Brunin, évêque du Havre.

Story 2 : Viol sur mineur de 15 ans, un prêtre incarcéré – 10/11

Le père Pierre Bernard est devenu prêtre en 1958 au Havre. Il a officié jusqu’en 2014 avant de passer sa retraite auprès des Petites Soeurs des pauvres. Ouest-France précise que la procureure de la République du Havre a été alertée.

Une parole accueillie avec « discrétion »

Le diocèse du Havre a manifesté son soutien aux victimes, notamment dans le cadre de la remise du rapport de la Ciase.

« Il est essentiel de pouvoir recueillir la parole de celles et ceux qui auraient subi ou observé de tels actes, afin d’évaluer la réalité du préjudice subi et de contribuer à faire la vérité », indique la circonscription ecclésiastique.

L’évêque assure que chaque parole sera accueillie « avec respect, discrétion et bienveillance ». Les personnes qui pourraient apporter un témoignage sont invitées à écrire en toute confidentialité à ecoute.victimes@catholique-lehavre.cef.fr.

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« No Kings » : près de 3 000 rassemblements aux Etats-Unis pour s’opposer à « la prise de pouvoir autoritaire » de Donald Trump

Une manifestation « No Kings » contre les politiques du président américain, Donald Trump, à Atlanta (Géorgie), le 18 octobre 2025 ALYSSA POINTER/REUTERS

D’importantes manifestations contre le président des Etats-Unis, Donald Trump, ont eu lieu, samedi 18 octobre, à travers le pays, dans le cadre d’une journée de mobilisation diabolisée par la droite qui fustige un mouvement « de haine contre l’Amérique ».

Rassemblées autour du mot d’ordre « No Kings » (« pas de rois »), environ 7 millions de personnes, selon les organisateurs, ont défilé pour dénoncer « la prise de pouvoir autoritaire » du président républicain. Plus de 2 700 rassemblements se sont tenus dans la journée dans les grandes villes américaines ainsi que dans des petites villes du centre des Etats-Unis, et des bourgades d’Etats républicains.

Dans le quartier de Forest Hills, à New York, des centaines de personnes se sont rassemblées en milieu de matinée et ont scandé « Nous aimons notre pays ! Nous ne supportons pas Trump ! ». Dans la capitale Washington, un important rassemblement s’est également tenu à proximité du Congrès, la foule exhortant en chœur Donald Trump à « partir », tandis qu’en Floride, des manifestants brandissaient des pancartes montrant le président grimé en Staline et en reine d’Angleterre à proximité de sa résidence Mar-a-Lago, où il passe le week-end. Des manifestations se sont également tenues au Texas, autre fief des conservateurs, notamment à Houston.

En juin, une première journée de mobilisation organisée par le même collectif qui regroupe quelque 300 associations avait rassemblé, selon lui, 5 millions de personnes, la plus grande contestation depuis le retour du républicain à la Maison Blanche. Le même jour, Donald Trump avait fêté son 79e anniversaire avec une parade militaire en grande pompe dans les rues de la capitale américaine. Lui qui avait menacé en juin de répondre aux manifestants avec une « très grande force » a sobrement commenté cette semaine sur Fox News : « Ils me qualifient de roi. Je ne suis pas un roi. »

Samedi, le président américain a publié une série de vidéos générées par intelligence artificielle sur sa plateforme Truth Social, le représentant sous les traits d’un roi.

Des personnes participent à l’une des manifestations « No Kings » qui ont lieu dans tout le pays, ici à Washington DC, le 18 octobre 2025. JOSE LUIS MAGANA/AP

Plusieurs figures de son parti ont, elles, dénoncé avec virulence les nouvelles manifestations, allant jusqu’à les assimiler à du terrorisme. Parlant d’une « mobilisation haineuse contre l’Amérique », le chef républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a lancé : « Je parie que vous verrez des partisans du Hamas et des antifas », mouvance antifasciste récemment classée comme « organisation terroriste » par le président. L’élu du Minnesota Tom Emmer a, lui, accusé les démocrates d’avoir cédé à « l’aile terroriste de leur parti ».

« Nous ne nous laisserons pas réduire au silence »

« Ne laissez pas Donald Trump et les républicains vous intimider et vous réduire au silence », a rétorqué, samedi, le chef des sénateurs démocrates Chuck Schumer, invitant les Américains à faire « entendre leur voix », dans un message sur X. Il a lui-même participé à l’un des cortèges, tout comme Bernie Sanders, autre figue de la gauche.

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« Nous sommes ici parce que nous aimons l’Amérique », a déclaré M. Sanders, s’adressant à la foule depuis une scène à Washington. Il a affirmé que le modèle américain était « en danger » sous Donald Trump, mais a insisté : « Nous, le peuple, gouvernerons. »

Un appel à manifester avait également été partagé par la candidate malheureuse à la présidentielle de 2024 Kamala Harris et la star d’Hollywood Robert De Niro.

Face aux accusations du camp républicain, des manifestants ont répliqué, samedi, sur le ton de l’humour. Certains d’entre eux ont ainsi défilé vêtus de costumes incongrus de pingouin, de homard ou encore d’hippopotame, d’autres brandissant fièrement le drapeau américain en riposte aux attaques de la droite.

Une banderole signée, représentant la Constitution américaine, lors d’une manifestation « No Kings » à Washington DC, le 18 octobre 2025. JOSE LUIS MAGANA/AP

La précédente journée de mobilisation avait notamment rassemblé des célébrités, comme l’acteur Mark Ruffalo et l’humoriste Jimmy Kimmel, dont le talk-show a ensuite été temporairement suspendu sous la pression du gouvernement Trump.

Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a bouleversé l’équilibre démocratique américain, en empiétant sur les pouvoirs du Congrès et des Etats et en menaçant ses opposants de représailles judiciaires. Usant d’une rhétorique de plus en plus belliqueuse, le républicain a déployé des militaires dans plusieurs fiefs démocrates pour lutter, selon lui, contre l’immigration illégale et la criminalité et a récemment exhorté les généraux américains à se mobiliser contre l’« ennemi de l’intérieur ».

Cette nouvelle journée de mobilisation est survenue par ailleurs en pleine paralysie budgétaire de l’Etat fédéral et alors que Donald Trump a déployé des militaires dans plusieurs fiefs démocrates pour, selon lui, lutter contre l’immigration illégale et la criminalité. En signe de contestation, plusieurs rassemblements se sont tenus dans les villes où il a envoyé la garde nationale, telles que Chicago ou Los Angeles. Dans le centre de la ville californienne, la police a tiré des gaz lacrymogènes, tard samedi soir, pour disperser les manifestants « No Kings », a rapporté le Los Angeles Times.

Des mobilisations étaient également prévues au Canada, comme à Toronto, Vancouver et Ottawa.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Donald Trump instrumentalise la violence d’extrême gauche pour justifier l’intervention de l’armée dans les grandes villes américaines

Le Monde avec AFP

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Louis Sarkozy appelle à un rassemblement en soutien à son père, le jour de son incarcération à la prison de la Santé


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Après les meubles, l’acier et les médicaments, Trump s’attaque désormais aux camions et aux autocars avec ses droits de douane

En vertu d’un nouveau décret signé par Donald Trump, les États-Unis imposeront désormais des droits de douane de 25% sur les camions et de 10% sur les autocars.

Le président américain, Donald Trump, a signé vendredi un décret imposant 25% de droits de douane sur les camions et 10% sur les bus et autocars, créant une nouvelle catégorie de produits concernés par des droits de douane sectoriels. Le président avait annoncé fin septembre son intention de mettre en place cette nouvelle surtaxe douanière sur les camions, initialement prévue pour le 1er octobre. Il a au passage ajouté celle sur les autocars, dont il n’avait jusqu’ici pas été fait mention.

Donald Trump étend ainsi à ces deux catégories de véhicules les droits de douane déjà existants sur le secteur automobile, à compter du 1er novembre. Cette décision intervient à l’issue d’une enquête menée par le ministère du Commerce afin de déterminer si la délocalisation de cette industrie représente un risque en termes de sécurité nationale pour le pays, une approche employée pour l’ensemble des droits de douane sectoriels déjà mis en place.

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Ces nouveaux droits de douane ne s’appliqueront cependant pas entièrement sur les camions en provenance du Canada et du Mexique, dès lors que leur production répond aux critères prévus dans le cadre du traité de libre-échange entre les trois pays (Aceum), a précisé un responsable américain. Pour les véhicules concernés, seules les pièces non fabriquées aux États-Unis seront à terme taxées à 25%. Mais ils en restent pour l’instant exemptés, le temps pour le ministère du Commerce de déterminer comment mettre en application cette taxe. Selon Capital Economics, les États-Unis importent 78% de leurs camions du Mexique et 15% du Canada.

Pour les autocars et autobus en revanche, les 10% s’appliqueront pleinement pour les véhicules venant des deux pays voisins, qu’ils soient dans le cadre de l’Aceum ou non.

Une demande de l’industrie automobile

La Maison Blanche a profité de ce décret pour répondre au passage à une demande de l’industrie automobile, en prolongeant jusqu’en 2030 la déduction de 3,75% du prix recommandé que les constructeurs peuvent appliquer pour les automobiles fabriquées aux États-Unis contenant des pièces détachées importées. Initialement prévu pour un an, ce dispositif avait été ajouté à la demande du secteur afin de réduire l’impact des droits de douane sur les constructeurs automobiles. Il s’appliquera dans les mêmes conditions aux camions fabriqués aux États-Unis.

Le Canada et le Mexique sont parmi les premiers pays visés par les droits de douane américains, un virage amorcé par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Mexico comme Ottawa tentent depuis de négocier de nouveaux accords commerciaux avec leur voisin, parfois au prix de tensions commerciales, en particulier entre Canada et États-Unis, sans succès jusqu’ici. Néanmoins, Mexico et Ottawa pointent l’impact limité des droits de douane, assurant que plus de 80% de leurs produits exportés vers les États-Unis le sont justement dans le cadre de l’Aceum.

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« J’avais honte. Comme l’impression d’avoir un sexe monstrueux » : complexées par leur vulve, elles recourent à la chirurgie esthétique

« Coin Cunt » (2017), de Suzanna Scott. SUZANNA SCOTT

C’est vers l’âge de 14 ans que Gabrielle (tous les prénoms de cet article ont été changés) commence à s’inquiéter de la forme de son sexe. Elle constate que ses petites lèvres, jusque-là dissimulées par les grandes lèvres, se sont progressivement allongées, au point de « dépasser d’environ 3 centimètres de ces dernières », détaille-t-elle. Aujourd’hui âgée de 53 ans, cette avocate confie avoir été obsédée par ce qu’elle vivait « comme une difformité ». « Cela a vraiment pollué mon adolescence,se souvient-elle, d’autant que je n’avais personne à qui en parler. Je me voyais mal discuter de ma vulve avec ma mère, avec qui mes relations étaient conflictuelles. Je n’osais pas non plus en parler à mes meilleures amies. En fait, j’avais honte. Comme l’impression d’avoir un sexe monstrueux. »

Des femmes complexées par leur anatomie intime, la docteure Sophie Berville en reçoit plusieurs dizaines par an dans son cabinet parisien. « A la puberté, la zone génitale se modifie, décrypte la chirurgienne gynécologue spécialisée dans les pathologies vulvaires. Chez certaines jeunes filles, les petites lèvres deviennent proéminentes, chez d’autres non – de la même manière que les seins se développent plus ou moins. Certaines adolescentes vivent mal cette transformation, car leur vulve leur semble éloignée des représentations stéréotypées que l’on en a, notamment dans l’art : un sexe fermé, avec les petites lèvres en dedans. »

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