Horoscope du 28-03-2025 : Taureau

## Amour

En couple, vous pourriez ressentir une envie de renouvellement. Ne craignez pas d’exprimer vos besoins et vos désirs à votre partenaire. La communication ouverte et honnête sera la clé pour renforcer votre connexion. Si vous êtes célibataire, une rencontre inattendue pourrait bien arriver, ouvrant la porte à une nouvelle aventure amoureuse.

## Santé

Prenez soin de vous au quotidien, surtout en matière d’alimentation et d’exercice. Vous pourriez vous sentir plus énergique et motivé pour adopter des habitudes saines. Écoutez votre corps et n’oubliez pas de vous accorder des moments de repos et de détente.

## Travail

C’est une journée productive pour les Tauro. Vos projets avancent comme prévu et vous ressentez une grande satisfaction dans vos réalisations. Vous pourriez même recevoir des éloges ou des opportunités nouvelles qui valorisent vos efforts.

Horoscope du 28-03-2025 : Bélier

Amour

Aujourd’hui, la journée s’annonce douce et romantique pour les Bélier. Les étoiles favorisent la communication ouverte et les échanges sincères avec votre partenaire. Si vous êtes dans une relation, profitez de moments de complicité et de tendresse. Pour les célibataires, il est possible de rencontrer une personne qui pourrait vous attirer. Faites-vous remarquer avec votre charme naturel et n’hésitez pas à prendre l’initiative.

Santé

Vous vous sentirez plein d’énergie et en forme aujourd’hui. Profitez-en pour vous adonner à une activité physique qui vous plaît, comme un sport ou une promenade en plein air. Votre vitalité sera à son apogée, alors ne vous privez pas de ces moments de bien-être. Évitez cependant de trop vous épuiser, même si l’envie de productivité est forte.

Travail

Au travail, vous abordez la journée avec beaucoup de détermination et de créativité. Vos idées seront particulièrement brillantes et bien accueillies par vos collègues et supérieurs. Ne craignez pas de prendre des initiatives et de proposer des projets ambitieux. Votre sens de l’industrie et votre détermination seront particulièrement appréciés.

Fibre optique : le régulateur des télécoms révèle les bons et mauvais élèves

Laure de La Raudière, actuelle présidente de l’Arcep, alors députée (Eure-et-Loir, Agir), à l’Assemblée nationale, à Paris, le 28 avril 2020. DAVID NIVIÈRE/AFP

C’est une première. Le régulateur des télécoms (Arcep) a dévoilé, le 26 mars, son palmarès des opérateurs dans les raccordements à la fibre optique, technologie qui permet à plus de 24 millions de foyers d’accéder à Internet à très haut débit. Orange arrive en tête : 94 % des malfaçons signalées sont reprises dans un délai de trente jours. Il est suivi par Bouygues Telecom (91 %) et par SFR (79 %). Dernier de la classe, Free (opérateur détenu par Xavier Niel, actionnaire à titre individuel du Monde) arrive très loin derrière avec un taux de malfaçons reprises de seulement 49 %. Contacté, Free, n’était pas en mesure de commenter ces chiffres avant la publication de cet article.

« Les premiers résultats montrent des disparités entre les opérateurs dans la qualité des raccordements qu’ils réalisent et la reprise des malfaçons constatées », souligne prudemment l’Arcep, reconnaissant le caractère commercialement sensible de son étude. Le régulateur insiste aussi sur le fait que « certaines malfaçons sont plus complexes à corriger que d’autres », ce qui peut jouer sur le taux mesuré. Une malfaçon n’est également pas forcément visible par l’abonné. « Les travaux se poursuivent pour compléter l’observatoire avec des indicateurs supplémentaires permettant de mieux rendre compte de l’expérience des utilisateurs », ajoute l’Arcep. Son étude repose, pour l’instant, sur les données du réseau d’un seul opérateur d’infrastructures, Altitude, sur lequel les abonnés sont raccordés par Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free.

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Meghan Markle dévoile une photo de ses enfants, Archie et Lilibet

La duchesse de Sussex a publié sur Instagram une photo d’elle avec ses enfants Archie et Lilibet, ce qu’elle fait rarement.

On l’a compris en regardant With love, Meghan, la série culinaire de la duchesse de Sussex: Meghan aime cultiver son jardin. C’est aussi ce qui ressort du compte Instagram de sa marque, As ever, où elle pose volontiers une botte de poireaux à la main, un chapeau de paille sur la tête et un panier sous le bras.

Meghan vient de publier une nouvelle photo dans son jardin, cette fois-ci avec ses enfants Archie et Lilibet. Comme toujours, les deux petits de 5 et 3 ans, n’apparaissent pas de face, et on est les devine plus qu’on ne les voit.

Fugace

On a également pu les apercevoir dans des vidéos publiées sur Instagram, et de façon assez fugace, dans la série With love, Meghan. Mais aussi sur la carte de vœux de la famille Sussex en décembre.

Archie fêtera le 6 mai prochain son sixième anniversaire, et Lilibet aura 4 ans le 4 juin 2025. Si tous deux ont la double citoyenneté, ils n’ont que peu foulé le sol britannique. le dernière fois qu’ils ont accompagné leurs parents au Royaume-Uni, c’était en juin 2022, à l’occasion du jubilé de platine de la reine Elizabeth. C’est la dernière fois que le couple a dévoilé une photo officielle de Lilibet.

Harry et Meghan, depuis qu’ils ont quitté la famille royale, ont fait le choix de ne plus montrer leurs enfants.

Comment Meghan Markle tente de se réinventer sur Netflix

Le prince Harry, très marqué par son enfance sous les flash des paparazzis qui harcelaient en permanence sa mère la princesse Diana, veille farouchement à l’anonymat de ses enfants.

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Rabbin agressé à Orléans: le suspect, mineur, a été placé en détention provisoire mais nie l’agression

Le mineur interpellé sera jugé en avril prochain devant le tribunal pour enfants.

Le mineur interpellé samedi après l’agression en pleine rue du rabbin d’Orléans a été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention conformément aux réquisitions du ministère public, annonce le parquet d’Orléans ce lundi 24 mars.

Contestant les faits et soutenant « s’être défendu », il sera jugé en avril devant le tribunal pour enfants d’Orléans des chefs de violences volontaires « commises en raison de l’appartenance ou de la non appartenance, réelle ou supposée, de la victime à une religion », a précisé la procureure de la République Emmanuelle Bochenek-Puren, indiquant que « son placement en détention provisoire est requis jusqu’au jugement ».

Un mineur impliqué dans trois procédures judiciaires

Au moment de son interpellation, l’individu a déclaré être âgé de 16 ans et être de nationalité palestinienne. « Une quantité de 2 grammes de résine de cannabis a été trouvée en sa possession », précise le parquet.

Le mineur est impliqué dans « trois procédures judiciaires » qui se sont déroulées entre octobre et décembre dernier pour des faits de « trafics de stupéfiants et de violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique à Marseille, et de vol aggravé sur la commune d’Orléans ».

À chaque interpellation, l’individu a déclaré une identité différente. Après avoir refusé de se soumettre à des relevés signalétiques et à des prélèvements biologiques afin de permettre son identification, il a finalement accepté en fin de garde à vue.

« Il a alors admis être de nationalité marocaine. Aucun élément ne permet de remettre en cause l’état de minorité qu’il déclare », ajoute le parquet.

Interrogé sur BFMTV, le rabbin Arié Engelberg a assuré qu’il allait « bien » au lendemain de l’agression. « On a reçu énormément de soutien et on continue à en recevoir. On ne va pas s’arrêter, on va continuer et on reste dans le positif », a-t-il ajouté. Cette agression a déclenché une vague de condamnations, parmi lesquelles celle d’Emmanuel Macron qui a dénoncé le « poison » de l’antisémitisme.

Boris Kharlamoff avec Emilie Roussey

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En Champagne, un procès révèle le sort de vendangeurs sans papiers, sans contrat ni salaire

Vendanges en Champagne, en septembre 2021. FRANCOIS NASCIMBENI / AFP

Le tribunal correctionnel de Châlons-en-Champagne doit examiner mercredi 26 mars des faits de traite d’être humains survenus dans le prestigieux vignoble, une affaire emblématique des conditions de travail de certains vendangeurs et de la tension dans le secteur. Un viticulteur, une prestataire de services et deux intermédiaires sont sur le banc des prévenus.

En septembre 2023, l’affaire éclate suite au signalement de simples nuisances sonores, pour lesquelles les gendarmes sont appelés par des habitants du village de Nesles-le-Repons (Marne). Dans une maison insalubre, ils découvrent alors une trentaine de vendangeurs qui partagent une pièce exiguë où des matelas s’entassent. Les sanitaires et l’installation électrique sont hasardeux, la cuisine est à l’extérieur. Leurs repas sont composés uniquement de riz ou de sandwichs avariés. La plupart de ces travailleurs sont originaires de pays d’Afrique de l’Ouest (Mali, Guinée, Mauritanie, Sénégal…), ne possèdent pas de titre de séjour et ont été recrutés en région parisienne.

Ils sont arrivés quelques jours seulement avant l’intervention des gendarmes et amenés depuis la porte de la Chapelle à Paris jusqu’au pied des vignes de Champagne par Temuri M. et Abdoulaye C., deux hommes qui travaillent pour le compte d’une certaine Svetlana G. Tous les trois sont jugés pour traite d’êtres humains envers des personnes vulnérables, un délit puni de sept ans d’emprisonnement et de 150 000 euros d’amende.

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En France, l’effort de réarmement vient percuter les discussions sur les dépenses sociales

Sébastien Lecornu, ministre des armées, et Eric Lombard, ministre de l’économie, lors de l’inauguration de l’unité de production de poudre d’Eurenco, à Bergerac (Dordogne), le 20 mars 2025. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »

Plus d’obus et moins de « Sécu » ? Alors que le budget de la défense est appelé à s’accroître pour faire face à la « menace russe », l’idée de financer cet effort en rognant sur les dépenses de solidarité émerge depuis plusieurs semaines. Pour le moment, aucun projet n’est sur la table, le premier ministre, François Bayrou, ayant assuré que le réarmement du pays s’effectuera « sans rien abandonner du modèle social ». Mais des personnalités politiques, des experts et des essayistes pensent que le surcroît de ressources destiné à nos soldats impose de revisiter les règles de l’Etat-providence, quitte – éventuellement – à le rendre moins généreux.

Le débat a été posé en des termes très directs par Julien Damon, professeur associé à Sciences Po. Dans un texte publié le 25 février sur le site Telos, il écrit que le système de protection sociale « pourrait être conduit à réduire la voilure afin que [la défense] monte en puissance ». Une éventualité formulée cinq jours après des propos tenus par Emmanuel Macron, lors d’une réunion à l’Elysée avec des chefs de parti. Le président de la République avait évoqué l’hypothèse de consacrer 5 % du produit intérieur brut (PIB) aux investissements militaires (contre 2 % aujourd’hui). Il avait ensuite précisé ne pas savoir si c’était le bon chiffrage, puis avait revu l’objectif à la baisse : « Autour de 3 % à 3,5 % » du PIB, avait-il dit, au Figaro, le 2 mars.

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En Israël, l’extrême droite européenne trouble une conférence sur l’antisémitisme

Jordan Bardella, chef du Rassemblement national , à Jérusalem, le 26 mars 2025. JACK GUEZ/VIA REUTERS

Quand l’ambition d’un ministre entre en collision avec un rapprochement stratégique controversé. Alors que le ministre des affaires de la diaspora et de la lutte contre l’antisémitisme israélien, Amichai Chikli, s’apprête à ouvrir la conférence sur la lutte contre l’antisémitisme, mercredi 26 et jeudi 27 mars, à Jérusalem, ce qui devait être une réussite personnelle est devenu un échec relatif.

Nombre de participants ont fait défection ces dernières semaines, en raison de la présence, parmi les invités, de leaders d’extrême droite européens, notamment des représentants du Rassemblement national (RN). « Cette conférence contre l’antisémitisme est son projet. Mais inviter Jordan Bardella [président du RN] et Marion Maréchal [députée européenne élue sous l’étiquette Reconquête !] sans prévenir personne lui a explosé à la figure », estime Emmanuel Navon, professeur de relations internationales à l’université de Tel-Aviv.

Ainsi, l’envoyée spéciale d’Israël pour la lutte contre l’antisémitisme, Michal Cotler-Wunsh, n’a pas été informée et ne sera pas présente à la conférence. Elle devait en revanche participer à la soirée de gala organisée mercredi par le président israélien, Isaac Herzog, pour les leaders juifs du monde. Le président, qui devait lier cet événement à la conférence, s’est aussi distancié de l’initiative de M. Chikli.

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En Ukraine, les chemins de fer visés par une « cyberattaque de grande ampleur »

Les trains continuent de circuler malgré la cyberattaque, a assuré la compagnie ferroviaire ukrainienne, qui l’a implicitement attribuée à la Russie.

« En raison d’une panne informatique, les services en ligne ne fonctionnent temporairement pas ». Ce dimanche 23 mars, l’Ukraine a été victime d’une cyberattaque. Plus précisément, c’est le gestionnaire du réseau ferroviaire ukrainien, Ukrzaliznytsia, qui a été visé.

Pensant d’abord être victime d’une panne de ses serveurs, il a déclaré ce lundi 24 mars que celle-ci était due à une cyberattaque. Cette dernière a empêché les habitants de réserver des billets sur le service en ligne, qui étaient ainsi invités à se rendre aux guichets.

« Les systèmes en ligne d’Ukrzaliznytsia ont subi une cyberattaque ciblée de grande ampleur », a indiqué le groupe dans un communiqué, ajoutant qu’elle collaborait avec le « département cyber » des services de sécurité ukrainiens (SBU) pour trouver une solution.

Trafic stable, malgré la cyberattaque

La compagnie publique Ukrzaliznytsia exploite un des plus vastes réseau ferroviaires d’Europe transportant des millions de passagers et des cargaisons importantes, le trafic aérien ayant été suspendu depuis le début de l’invasion russe en février 2022.

L’entreprise n’a pas précisé qui était à l’origine de cette attaque informatique et a assuré que ses services continuaient sans interruption. La vente de billets en ligne était toutefois indisponible pendant le week-end et lundi.

« Cette attaque était très systématique, non négligeable et à plusieurs niveaux », a-t-elle ajouté. Mais « l’ennemi n’est pas parvenu à atteindre son objectif principal: le trafic est stable, les trains voyagent sans retard », a assuré la compagnie.

« Les chemins de fer continuent à opérer malgré les attaques physiques sur ses infrastructures et même les cyberattaques les plus vicieuses ne peuvent pas les interrompre », assure-t-elle.

Si Ukrzaliznytsia n’a pas explicitement identifié les auteurs de l’attaque, elle en attribue la responsabilité à « l’ennemi ». Autrement dit, le gestionnaire désigne implicitement la Russie, qui attaque régulièrement les chemins de fer ukrainiens avec des drones et des missiles depuis l’invasion en 2022.

Depuis le début de l’invasion, le rail ukrainien joue un rôle vital dans l’évacuation des civils, le transport des troupes et des marchandises. Avec la route, le train est aujourd’hui le seul moyen d’entrer ou de sortir du pays. Quatre de ses employés ont été blessés la semaine dernière lors de frappes russes sur la région centrale de Dnipropetrovsk, tandis que ses services ont également été interrompus par des frappes russes sur la région de Kirovograd (centre).

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Prison ferme requise contre un policier de l’Office anti-stupéfiants soupçonné d’avoir informé un trafiquant de drogue

Installation de l’Office antistupéfiants (Ofast), à Nanterre, le 11 février 2020. VINCENT ISORE/IP3 PRESS/MAXPPP

En matière d’enquêtes judiciaires, l’art de traiter un indicateur de police requiert du tact et du sang-froid, une grande maîtrise de soi et se révèle rarement exempt de tout danger. Pour en avoir méconnu les principes élémentaires dans une matière où il a pourtant excellé vingt-sept années durant, Christophe D., 50 ans, un major affecté à l’Office anti-stupéfiants (Ofast), comparaissait, mardi 25 mars, devant la justice, suspecté d’avoir révélé des informations confidentielles, violé le secret professionnel et consulté indûment des fichiers au profit d’un trafiquant notoire qu’il espérait recruter comme sa « source ». « Dans le seul intérêt du service », a-t-il répété à la barre, retrouvant dans sa posture, les mains jointes devant lui, le dos raide, l’attitude réglementaire du gardien de la paix qu’il fut avant de gravir l’échelle hiérarchique grâce à d’excellents résultats.

Sa disgrâce judiciaire, inattendue dans une carrière jalonnée de succès et de « féloches » – les lettres de félicitations en usage dans son administration –, s’est nouée en cinq minutes et une poignée de secondes, le 26 août 2024, lorsque ce policier a, de son propre aveu, peut-être péché par excès de confiance dans ses capacités à fabriquer un « indic ».

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