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PSG-OM: la sanction est tombée pour Paris après les banderoles insultantes contre Rabiot

Après les chants injurieux et les banderoles insultantes au Parc des Princes lors de PSG-OM (3-1), visant Adrien Rabiot, la commission de discipline de la LFP a décidé ce mercredi de sanctionner la tribune Auteuil avec un huis clos partiel pour un match.

Le verdict est tombé. Un peu plus de deux semaines après le Classique entre le PSG et l’OM (3-1), marqué par des chants injurieux et des banderoles insultantes au Parc des Princes, la commission de discipline de la LFP a rendu sa décision ce mercredi 2 avril.

Le PSG écope d’un huis clos partiel pour un match de la tribune Auteuil. Une sanction qui prendra effet à partir de mardi prochain. Le Parc pourra donc faire le plein ce samedi pour la réception d’Angers (17h), à l’occasion de la 28e journée de Ligue 1.

Les hommes de Luis Enrique auront simplement besoin de ne pas perdre pour être sacrés champions. Mais, même en cas de défaite contre le SCO, le titre leur reviendra dès samedi si les Monégasques ne l’emportent pas à Brest (19h). Cette sanction sera purgée le 19 avril à l’occasion de la réception du Havre.

Des chants et banderoles contre Rabiot et ses parents

Le 16 mars, Adrien Rabiot avait été accueilli par des sifflets nourris et des chants insultants répétés au Parc des Princes. L’international français, arrivé en septembre dernier à Marseille après avoir porté le maillot parisien de 2010 à 2019, avait aussi été ciblé par plusieurs banderoles offensantes déployées par des supporters parisiens, dont l’une qui évoquait sa mère, qui gère ses intérêts depuis le début de sa carrière, ainsi que son père. Ce dernier est décédé en 2019.

Dès le lendemain, Véronique Rabiot avait réclamé de « vraies sanctions » dans l’émission Génération After sur RMC. « Personne ne s’est excusé mais ce ne sont pas des excuses qu’il faut, c’est faire bouger les choses, faire en sorte que ça ne se reproduise pas, qu’il y ait des vraies sanctions. Parce qu’on dit avant le match: ‘S’il y a des insultes, on arrête le match’, mais en fait ça n’arrive jamais. Il n’y a pas de sanction », avait-elle réagi. « Il faut laisser les femmes tranquilles. Les joueurs s’insultent, à la limite, s’ils veulent. Mais nous, qu’on nous laisse tranquille. Il ne fallait pas parler du père de mes enfants. »

Elle a depuis lancé une pétition pour en finir avec « les insultes ciblées, personnelles et humiliantes » entendues dans les stades, « des violences verbales, souvent sexistes, racistes et diffamatoires qui n’ont pas leur place dans notre société ». Un message adressé à quatre personnes: Aurore Bergé, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, Marie Barsacq, ministre des sports, Michel Savin, sénateur, et Vincent Labrune, président de la LFP

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