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L’essentiel du jour, rien que pour vous.

Deux histoires de beau-père, ou la puissance des liens du soin

Ce billet est extrait de la newsletter hebdomadaire « Darons Daronnes » sur la parentalité, qui est envoyée tous les mercredis à 18 heures. Vous pouvez vous inscrire gratuitement à cette newsletter en suivant ce lien.

A Pâques, mon compagnon et moi avons profité d’une semaine de « travances », selon l’expression d’une lectrice de cette newsletter : « Quand tu travailles mais que tes enfants, eux, sont en vacances, loin. » L’occasion de s’apercevoir qu’en fait, les journées durent bel et bien vingt-quatre heures, et non pas une heure vingt-cinq jusqu’à ce que la cloche de l’école retentisse, puis dix heures douze jusqu’à ce que la babysitter parte, puis une heure quarante-huit jusqu’à ce que les dents soient brossées, etc. Ce qui laisse du temps pour travailler, pour lire, pour réfléchir et même pour aller au cinéma.

J’ai vu deux films dont j’avais griffonné le titre dans un bloc-notes quelque part pour ne pas oublier (avant d’oublier). Ils ont en partage une question superbe sur le lien parental et l’attachement, alors je vous en parle.

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