Le tableau de bord : Les baisses du CAC40


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La candidature de Jean Castex à la SNCF largement validée par le Parlement

Le président de la RATP, Jean Castex, lors d’une visite au centre de maintenance de la RATP, à Bobigny, le 14 février 2025. JULIEN DE ROSA / AFP

Jean Castex a franchi, mercredi 22 octobre, une étape cruciale dans la course de haies qui le mènera à la tête de la SNCF. L’ancien premier ministre a obtenu l’aval des parlementaires qui ont validé la proposition du président de la République, Emmanuel Macron, comme le requiert l’article 13 de la Constitution. Au Sénat, le 15 octobre, comme à l’Assemblée, mercredi 22 octobre, M. Castex n’a pas eu à lever très haut la jambe pour franchir l’obstacle et n’a été que peu bousculé par les parlementaires.

Le résultat du vote ne faisait aucun doute, plusieurs d’entre eux assurant même avant toute question que l’ancien premier ministre pourrait compter sur leur vote favorable. Sur les 67 parlementaires ayant pris part au vote, 60 ont approuvé la candidature de M. Castex. Deux sénateurs et cinq députés s’y sont opposés ; six sénateurs et dix députés ont voté blanc.

Comme le précisait le communiqué de l’Elysée, la nomination de M. Castex était soumise à l’avis de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Celle-ci avait émis des réserves lors de son arrivée à la RATP en 2022, lui interdisant tout contact, de son initiative, avec les ministres de son ancien gouvernement. Sauf que la HATVP s’est déclarée incompétente, a lui-même annoncé M. Castex lors de son audition au Sénat.

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« Nous n’étions pas au courant »: la colère des surveillants de prison face à la présence de policiers auprès de Nicolas Sarkozy

Pour assurer la sécurité de Nicolas Sarkozy à la prison de la Santé, le ministère de l’Intérieur a décidé de placer deux policiers auprès de l’ancien président, incarcéré à l’isolement depuis 24 heures. Une décision qui déclenche la colère des surveillants de prison.

Une annonce qui fait grincer des dents. Reconnu coupable d’association de malfaiteurs en première instance, Nicolas Sarkozy est désormais incarcéré depuis 24 heures à la prison parisienne de la Santé. Pour assurer sa sécurité, le ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, a décidé de placer auprès de l’ancien président de la République, déjà à l’isolement, deux policiers, et ce, 24 heures sur 24.

Une mesure inédite pour le détenu le plus célèbre de France, qui déclenche la colère et l’incompréhension des surveillants de prison. « Nous n’étions pas au courant de la présence de ces ‘gardes du corps’, nous apprenons au fur et à mesure les conditions de détention », déclare auprès de BFMTV, Hugo Vitry, agent pénitentiaire à la Santé et secrétaire local du syndicat Force ouvrière (FO) Justice.

« Nous avons saisi la direction de l’administration pénitentiaire et le cabinet du ministre de la Justice pour réclamer des explications », précise-t-il.

Un agacement partagé par le syndicat CGT pénitentiaire. « Il n’y a pas de plus-value. On sait déjà très bien le faire (assurer la sécurité d’un détenu, NDLR) », déclare Nicolas Peyrin, secrétaire général adjoint du syndicat des surveillants de prison.

Nicolas Sarkozy : sa première nuit en prison – 21/10

« Pourquoi le ministère de l’Intérieur intervient-il »

L’assignation de deux policiers au sein de la prison auprès de Nicolas Sarkozy agace d’autant plus qu’elle émane du ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez. « On appartient au ministère de la Justice, on doit assurer la garde et la sécurité. Il n’y a pas de difficulté pour nous à le faire », déclare Nicolas Peyrin.

« Je ne vois pas en quoi le ministère de l’Intérieur viendrait intervenir au sein des détentions », ajoute-t-il.

Dans les coursives de la prison, cette décision sonne comme un « scandale » ou comme un « désaveu pour l’administration pénitentiaire qui sait très bien travailler », souffle une source pénitentiaire à BFMTV.

« Il n’y a jamais eu aucun incident au quartier d’isolement de la Santé, à chaque déplacement d’un détenu incarcéré là-bas, on bloque toute la prison pour qu’il n’y ait aucun autre mouvement, tout est extrêmement cadré », abonde une autre source.

Selon les informations de BFMTV, entre 2022 et 2024, dans le quartier d’isolement de la Santé, il y avait un détenu particulièrement dangereux: Franck Elong Abé, l’homme mis en examen pour avoir assassiné Yvan Colonna à la prison d’Arles. « Il n’y a jamais eu le moindre incident pendant son incarcération à la Santé », souligne cette source.

Un « dispositif de protection eu égard à son statut »

Interrogé sur CNews et Europe 1, ce mercredi 22 octobre, Laurent Nuñez se justifie en indiquant que Nicolas Sarkozy disposait d’un « dispositif de protection eu égard à son statut et aux menaces qui pèsent sur lui ».

« C’est une décision du ministre de l’Intérieur. J’ai en charge la sécurité des hautes personnalités, et évidemment en lien très étroit avec le garde des Sceaux, puisque tout cela se passe en milieu pénitentiaire. C’est une décision visant à assurer sa sécurité, en plus de tout ce qui est mis en œuvre par l’administration pénitentiaire », a-t-il ajouté chez nos confrères.

L’ex-président purge une peine de cinq ans de prison pour association de malfaiteurs dans l’affaire des financements libyens de sa campagne présidentielle de 2017. Dès son arrivée en prison, ses avocats ont déposé une demande de remise en liberté. Une requête qui sera étudiée par la cour d’appel dans les deux prochains mois.

Sylvain Allemand et Alexandra Gonzalez

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Loire-Atlantique : un homme de 82 ans et une femme de 60 ans mis en examen pour « séquestration avec torture » d’une femme pendant cinq ans

Un homme de 82 ans et une femme de 60 ans ont été mis en examen pour la « séquestration avec torture ou actes de barbarie » d’une femme durant près de cinq ans à Saint-Molf (Loire-Atlantique), a annoncé mercredi 22 octobre le parquet de Nantes.

La victime, âgée de 45 ans, « fragile psychologiquement », a été hospitalisée en état d’« hypothermie », a expliqué à l’Agence France-Presse (AFP) le procureur de la République de Nantes, Antoine Leroy, confirmant des informations de Ouest-France. Elle était contrainte de vivre dans le jardin ou un garage attenant à la maison où vivaient les mis en cause.

La quadragénaire s’est présentée le 14 octobre vers 21 h 30 chez des voisins. « Dévêtue en grande partie, elle est venue frapper à la fenêtre » et a expliqué être « séquestrée » depuis environ cinq ans, a détaillé le magistrat.

« De la bouillie mélangée à du liquide vaisselle »

La plaignante « a expliqué qu’elle vivait en colocation dans cette maison avec une autre femme » jusqu’à l’arrivée d’un homme. Elle a alors « été priée de quitter les lieux de la maison pour aller vivre dans le jardin, soit dehors, soit dans une tente, soit dans un garage attenant à la maison », a poursuivi M. Leroy. Une perquisition a permis de confirmer son récit.

« Elle dormait dans des conditions extrêmement précaires, sur un transat. Elle faisait ses besoins dans un pot ou dans des sacs plastique. Elle mangeait de la bouillie mélangée à du liquide vaisselle », a rapporté le procureur. « Elle était empêchée de sortir. »

« C’est une femme particulièrement fragile psychologiquement et donc en état de vulnérabilité, sinon elle se serait probablement défendue autrement. Elle a réussi à sortir quelques fois de la maison mais elle y revenait », a-t-il ajouté. La victime « pouvait passer des journées entières dehors dans le froid sous la pluie et elle a indiqué également être victime de violences ». Trente jours d’incapacité totale de travail (ITT) ont été prescrits à la victime.

« Actes de barbarie »

D’après le procureur, la victime avait « disparu des radars » depuis avril 2022, date correspondant à son divorce. « Ses comptes bancaires n’étaient plus actifs sauf à verser des sommes d’argent importantes » aux mis en cause.

Ces deux personnes ont été placées en garde à vue à la fin de la semaine dernière et « ont admis une partie de la matérialité des faits, mais en les minimisant considérablement », selon M. Leroy. Ils ont été ensuite mis en examen pour « séquestration avec torture ou actes de barbarie », crime passible de la prison à perpétuité, ainsi que pour « abus frauduleux de l’état de sujétion psychologique ou physique d’une personne [et de la] faiblesse d’une personne vulnérable ». L’octogénaire a été placé sous contrôle judiciaire, tandis que la femme avec qui il vivait a été placée en détention provisoire.

Le Monde avec AFP

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Adolescent mortellement fauché en marge du Mondial 2022: l’automobiliste impliqué « s’excuse » à l’ouverture du procès

Le procès de l’automobiliste accusé d’avoir mortellement fauché Aymen, un adolescent de 13 ans à Montpellier, en marge des célébrations de la demi-finale France-Maroc en décembre 2022, s’est ouvert par les « excuses » du suspect, ce mercredi 22 octobre matin devant la cour criminelle de l’Hérault.

Des excuses présentées à la famille du défunt. Le procès de l’automobiliste accusé d’avoir mortellement fauché Aymen, un adolescent de 13 ans, en marge des célébrations de la demi-finale France-Maroc lors du Mondial de football de 2022, a débuté par les excuses de l’accusé, ce mercredi 22 octobre, devant la cour criminelle de l’Hérault.

« Je voudrais m’excuser à la famille », a déclaré William, 23 ans, petite barbe, cheveux noirs noués en catogan et vêtu d’un t-shirt blanc, depuis le banc des accusés juste après avoir décliné son identité.

La mère d’Aymen, habillée d’un t-shirt portant une photo de son fils et les mots « mon ange », son père, son frère et ses deux sœurs, assis sur le banc des parties civiles de la grande salle du palais de justice de Montpellier, n’ont pas réagi. À son arrivée, la famille n’a pas fait de déclaration.

« Des excuses de circonstance »

« Ça vient un peu tard, ils trouvent que ce sont des excuses de circonstance », a déclaré lors d’une suspension maître Marc Gallix, avocat de la famille, soulignant que les proches d’Aymen « attendent beaucoup de la décision qui va être rendue (mais) ne sont pas animés par des sentiments de haine ou de vengeance ».

L’accusé est jugé jusqu’à jeudi pour « violences volontaires avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et « violences volontaires avec arme n’ayant pas entraîné une incapacité totale de travail supérieure à huit jours ». Il encourt jusqu’à 20 ans de prison.

Le décès d’Aymen avait endeuillé la compétition et un millier de personnes avaient défilé à Montpellier, roses blanches à la main, pour rendre hommage à l’adolescent. Sa mort avait aussi provoqué des échauffourées dans un quartier défavorisé où s’était déroulé le drame.

L’automobiliste a pris la fuite

Le 14 décembre 2022, une centaine de supporters arborant le drapeau marocain étaient descendus dans les rues du quartier de La Mosson, en périphérie de Montpellier, à l’issue de cette demi-finale remportée 2-0 par la France. Certains, le visage dissimulé, ont mis le feu à des poubelles et procédé à des tirs de mortiers.

Au même moment, William, alors âgé de 20 ans, a décidé d’aller fêter la victoire de la France en paradant au volant de la Citroën C4 de sa mère, drapeau tricolore accroché à la portière.

Sur le trajet du retour, vers 22h30, il s’est retrouvé bloqué entre deux véhicules à un feu rouge, à proximité des supporters du Maroc. Le conducteur s’est fait chahuter par des jeunes, visiblement hostiles, et l’un d’entre eux a arraché le drapeau français de la portière, ont retracé les enquêteurs.

William a alors démarré brusquement, effectuant un demi-tour sur les voies du tramway et percutant trois piétons, dont Aymen. Grièvement blessé, l’adolescent, qui avait regardé le match dans le snack de son grand frère avant de rejoindre ses amis pour faire la fête, est décédé peu après sa prise en charge. Un autre ado, légèrement blessé, s’est constitué partie civile.

Le chauffard avait pris la fuite. Il a été interpellé 12 jours plus tard dans les Pyrénées-Orientales après avoir passé plusieurs jours en Espagne avec l’aide de sa famille maternelle, qui a dit avoir craint des représailles de la part de la communauté marocaine envers la communauté gitane.

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Nicolas Sarkozy, « un détenu qui nécessite forcément des conditions de détentions particulières », déclare Maud Bregeon, la porte-parole du gouvernement


Nicolas Sarkozy, « un détenu qui nécessite forcément des conditions de détentions particulières », déclare Maud Bregeon, la porte-parole du gouvernement{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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Patrice Faure, directeur du cabinet d’Emmanuel Macron, nommé à la tête de la Préfecture de police de Paris

Patrice Faure (au centre), alors directeur du cabinet d’Emmanuel Macron à l’Elysée, à Paris, le 8 septembre 2025. THIBAUD MORITZ / AFP

Avec sa nomination Place Beauvau, le 12 octobre, les téléphones de la préfectorale surchauffaient : qui reprendra l’indicatif radio T1000, celui du préfet de police de Paris, jusque-là attribué à Laurent Nuñez ? La réponse est connue depuis mercredi 22 octobre lorsque, au sortir du conseil des ministres, le nom de Patrice Faure, 58 ans, directeur du cabinet d’Emmanuel Macron depuis janvier 2024, a été rendu public.

Lire aussi (2023) | Article réservé à nos abonnés A l’Elysée, Patrick Strzoda cède la direction du cabinet à Patrice Faure

Cette nomination, après dix jours de vacance du pouvoir à la tête d’une institution parmi les plus sensibles de la République, marque l’épilogue d’un processus de sélection qui a vu l’Elysée phosphorer pour sélectionner le candidat jugé le plus apte à occuper le 1 bis, rue de Lutèce, siège de la Préfecture de police de Paris. Comme Nicolas Lerner, actuel directeur général de la sécurité extérieure et spécialiste des questions de sécurité et de renseignement, qui connaît bien la maison pour y avoir exercé les fonctions de directeur adjoint du cabinet du préfet de police de Paris Michel Gaudin (2007-2012), en 2008.

Mais à l’Elysée, il a été jugé inconsidéré de se passer d’un haut fonctionnaire réputé bourreau de travail, nommé en janvier 2024 à la tête du principal rouage de la communauté française du renseignement, bénéficiant, de surcroît, de la confiance du président de la République, son condisciple sur les bancs de l’ENA (promotion Léopold Sédar Senghor, 2004).

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Municipales 2026 dans la Vienne: à Châtellerault, la gauche se met en ordre de bataille

Les partis de gauche de la commune viennoise se sont mis d’accord sur un programme ce dimanche 19 octobre, ont-ils annoncé dans un communiqué. Mais pour l’heure aucune tête de liste n’a émergé.

« Notre projet est d’initier une bifurcation écologique, sociale et culturelle, et de mettre fin à la dynastie Abelin à Châtellerault », clame la gauche unie de la commune viennoise dans un communiqué publié dimanche 19 octobre.

Le jeudi précédent, le parti Socialiste, les communistes, les écologistes, les insoumis et le groupe électoral citoyen, la Voix citoyenne se sont réunis pour discuter de la ligne directrice qu’ils comptent tenir pour les prochaines élections municipales. Il promettent de « rester dans une dynamique unitaire ».

« Avant de parler de candidatures personnelles, nous avons fait le choix de construire un projet partagé », expliquent-ils toujours dans le communiqué. Pour l’heure, la tête de liste de ce regroupement des partis de gauche n’a pas émergé et reste apparemment un point de crispation.

Néanmoins, les organisations semblent d’accord sur les principaux thèmes de leur programme commun. « Démocratie et participation citoyenne », « écologie et aménagement du territoire », « justice sociale et solidarités », « société inclusive et lutte contre les discriminations », sont au menu de leur projet.

Faire tomber Jean-Pierre Abelin

Un autre objectif tient cette opposition: faire tomber Jean-Pierre Abelin, maire centriste de la commune depuis 2008. Le nom de l’édile est bien connu à Châtellerault. Et pour cause, la mairie est aux mains de la famille depuis de nombreuses années.

Son père, Pierre Abelin, avait été élu maire de la commune en 1959. Une fonction qu’il a occupée jusqu’à sa mort en 1977. Sa femme, Geneviève a repris le flambeau jusqu’en 1982. L’année suivante, lors des élections, le fils Abelin avait tenté sa chance aux municipales pour succéder à ses parents. Mais à l’époque il avait été battu par Édith Cresson, première femme cheffe du gouvernement en France sous la présidence de François Mitterrand.

Vingt-cinq ans plus tard, Jean-Pierre Abelin a pris la mairie de Châtellerault. Pour ce qui est de sa candidature, l’édile laisse planer le doute. En juin dernier, la Nouvelle République s’interrogeait sur le sujet et l’absence de successeur. L’élu avait promis de se prononcer au cours de l’été sur son avenir, mais il n’en est rien.

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Le prix Sakharov décerné à Andrzej Poczobut et Mzia Amaghlobeli, deux journalistes actuellement en prison en Biélorussie et en Géorgie

Andrzej Poczobut lors d’une audience à Grodno, en Biélorussie, le 16 janvier 2023. LEONID SHCHEGLOV/AP

Le prix Sakharov pour la liberté de pensée est attribué aux journalistes Andrzej Poczobut et Mzia Amaghlobeli, emprisonnés en Biélorussie et en Géorgie, a annoncé mercredi 22 octobre la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola. « Les deux sont des journalistes actuellement en prison (…) simplement pour avoir fait leur travail et dénoncé l’injustice », a-t-elle déclaré dans l’hémicycle. Le prix sera remis par le Parlement en décembre.

« En décernant le prix Sakharov pour la liberté de pensée à Andrzej Poczobut, de Biélorussie, et à Mzia Amaglobeli, de Géorgie, nous honorons deux journalistes dont le courage est une source d’inspiration pour tous ceux qui refusent d’être réduits au silence, a dit la présidente du Parlement. Tous deux ont payé un lourd tribut pour avoir osé dire la vérité face au régime, devenant ainsi des symboles de la lutte pour la liberté et la démocratie. Le Parlement leur exprime son soutien, ainsi qu’à tous ceux qui continuent à revendiquer la liberté. »

Andrzej Poczobut, correspondant du journal polonais Gazeta Wyborcza, a été condamné pour avoir « porté atteinte à la sécurité nationale de la Biélorussie » et purge actuellement une peine de huit ans de prison dans la colonie pénitentiaire de Novopolotsk.

Lire aussi | Le sort d’un journaliste tend les relations entre Varsovie et Minsk

Hommage de leurs rédactions

« Nous sommes très heureux que le monde, le Parlement européen, l’Union européenne n’aient pas oublié Andrzej Poczobut », a souligné Roman Imielski, chef adjoint de la rédaction du Gazeta Wyborcza, relevant que le journaliste était « très mal traité » en prison.

Mzia Amaghlobeli, journaliste de premier plan et fondatrice de deux médias indépendants en Géorgie, a été condamnée en août à deux ans de prison pour avoir giflé un chef de la police lors d’une manifestation pro-européenne — une affaire dénoncée par les organisations de défense des droits humains comme une tentative de restreindre la liberté de la presse.

Sur cette image tirée d’une vidéo de Formula TV, Mzia Amaghlobeli, journaliste géorgienne et fondatrice des médias indépendants Batumelebi et Netgazeti, se tient dans la cage des accusés au tribunal de Batoumi, en Géorgie, le 1er février 2025. FORMULA TV/AP

Cette récompense de l’Union européenne, en mémoire du dissident soviétique Andreï Sakharov, est une manière de reconnaître « le sacrifice et le courage » de la journaliste arrêtée en janvier, ont ajouté les rédactions des médias indépendants Netgazeti et Batumelebi dans un message à l’Agence France-Presse (AFP).

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés En Géorgie, le procès de Mzia Amaghlobeli, symbole de l’attaque sans précédent du régime contre la presse

Le Monde avec AFP

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