Une balade à L’Isle-Adam, d’une plage fluviale à une forêt domaniale

Une plage, un port, des îles et une forêt, accessibles en train par la gare de L’Isle-Adam – Parmain, sur la ligne H du Transilien. A 35 kilomètres au nord de Paris, la ville du Val-d’Oise, lovée entre une rivière et un massif forestier, fut connue pour son faste princier, puis en tant que villégiature bourgeoise et, aujourd’hui, comme destination de promenade ou de baignade, avec la plus grande plage fluviale de France.

Platanes centenaires et palmipèdes

Construit à la fin du XVIIIᵉ siècle, le pavillon chinois, dans le parc de Cassan, est inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques. GIL GIUGLIO

Est-ce l’omniprésence des espaces verts – 95 hectares, soit 80 mètres carrés par habitant – qui apaise immédiatement ? Dès la sortie de la gare, après avoir traversé l’Oise et ses deux îles, le rythme semble ralentir, les badauds marcher plus tranquillement. Et, partout à L’Isle-Adam, les nombreux bancs invitent à la pause. En ligne de mire, l’élégant clocher d’inspiration gothique et Renaissance de l’église Saint-Martin, du XVe siècle, attire vers le centre, par la très commerçante Grande-Rue.

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La colère noire de De Zerbi, la « corruption » de Longoria… comment les défaites contre Auxerre ont profondément marqué l’OM

Troisième de Ligue 1 avant la 11e journée, l’OM retrouve ce samedi l’AJ Auxerre (21h05), à l’Abbé Deschamps, une équipe qui lui avait infligé deux claques la saison dernière. Des épisodes marquants dans la construction de ce Marseille cuvée 2025-2026.

Faut-il croire à une malédiction auxerroise ? Au moment d’aller dans l’Yonne défier l’AJA ce samedi (21h05), à l’occasion de la 11e journée de Ligue 1, Marseille et Roberto De Zerbi auront forcément en tête les deux affrontements de la saison dernière, conclus par deux défaites cuisantes mais qui ont aussi contribué à construire l’OM actuel.

Acte 1 : le naufrage au Vélodrome et le choc De Zerbi

Le 8 novembre 2024, il y a presque un an jour pour jour, l’OM reçoit Auxerre dans la chaleur du Vélodrome. Les Marseillais sont deuxièmes au classement mais ils sont en souffrance à domicile, où ils ont été corrigés deux semaines plus tôt par le PSG (3-0). Problème, la réaction attendue tourne au fiasco. A la pause, l’AJA mène sans forcer 3-0 et s’impose finalement 3-1 devant un public dépité. De Zerbi l’est tout autant et sa conférence de presse sera le premier moment très chaud d’une saison qui n’en manquera pas. « Je viens de la rue, je suis direct, je ne parle pas pour parler. Je l’ai dit à Medhi Benatia (directeur du football, ndlr) et à Pablo Longoria (président de l’OM) : si je suis le problème, je suis prêt à partir. Je laisse l’argent et je rends mon contrat », lâche l’Italien, tout en frustration et en colère rentrée.

Les journalistes se regardent, médusés, alors qu’au fond de la salle, les membres du service de presse de l’OM fixent leurs téléphones pour les uns et le bout de leurs chaussures pour les autres. Rapidement, l’état-major de l’OM éteint l’incendie par SMS: la direction a « zéro doute » et De Zerbi, exaspéré de ne pas réussir au Vélodrome, reste « le bon coach pour l’OM » et l’homme de la situation. Spectaculaire, la colère de l’ancien coach de Brighton a peut-être finalement été salutaire. Deux semaines plus tard, après la trêve internationale et un succès à Lens, les Marseillais sont en effet partis pour cinq jours de stage à Mallemort, dans le nord des Bouches-du-Rhône, une initiative considérée comme le tournant de la saison à tous les étages du club. Et les retrouvailles avec le Vélodrome ont été positives, avec trois points pris face à Monaco.

Acte 2 : le coup de sang puis le mea culpa de Longoria

Au match retour, le 23 février à l’Abbé-Deschamps, c’est la colère de Pablo Longoria qui accompagne la fin du match et l’après-rencontre, conclue par une nouvelle gifle (3-0). Au coeur d’une saison tendue, lors de laquelle l’OM s’est souvent senti traité injustement par les arbitres, le dirigeant espagnol ne supporte pas une série de décisions de Jérémy Stinat. Descendu dans les couloirs du stade avant même la fin du match, Longoria, que des images du diffuseur DAZN montrent manifestement fou de rage, critique « un championnat de merde ». « Dites-le bien que Pablo Longoria le dit: c’est de la vraie corruption ! », lâche même le président de l’OM.

Sa sortie sera dénoncée par le président de la FFF Philippe Diallo comme par le directeur de l’arbitrage Antony Gautier, qui parlera de « propos inacceptables ». Il sera également rappelé à son devoir d’exemplarité par la ministre des Sports d’alors, Marie Barsacq. Au surlendemain du match, Longoria, qui sera plus tard suspendu 15 matchs pour ses propos, avait présenté des excuses dans un entretien avec l’AFP. « La forme n’était pas appropriée et ce mot (corruption, ndlr), je le regrette », avait-il dit. « Un président de club ne peut pas se comporter comme ça. Rien ne justifie la forme et je ne suis pas content de moi-même », avait-il ajouté.

Depuis, Longoria a plusieurs fois répété, en public comme en privé, s’être senti honteux à Auxerre et ne pas avoir aimé l’image qu’il a pu renvoyer, celle d’un président hors de contrôle et dans un état second. L’Espagnol a accumulé la saison passée un profond sentiment de frustration et d’injustice face à des décisions arbitrales jugées contraires. À ses côtés, Medhi Benatia était aussi révolté et même très touché par sa suspension suite à son comportement à la fin du match Marseille-Lille en Coupe de France.

La cocotte-minute a explosé à Auxerre. Depuis, Longoria s’est promis de moins réagir à chaud, de savoir prendre plus de recul, d’éviter le sujet de l’arbitrage sauf cas de force majeure. La saison passée l’OM adoptait une une position constante et assumée : dénoncer la moindre « erreur » arbitrale. Cette saison, Longoria veut montrer l’exemple et afficher plus de sérénité. La leçon d’Auxerre a probablement été retenue.

Acte 3 : à quoi s’attendre ce samedi ?

Même si l’OM traverse une période difficile avec trois matchs sans victoire (défaites à Lisbonne et Lens, nul contre Angers), l’atmosphère autour du club semble apaisée depuis la fin du mois d’août et l’affaire Rabiot. Il n’y a donc pas de raison de penser qu’un nouveau psychodrame viendra secouer l’OM ce samedi. Mais De Zerbi, qui attend surtout une réaction de ses joueurs, a bien gardé les deux premiers actes en tête.

« Ça n’a pas été de très beaux moments, mais ils ont fait partie de notre saison. Ils ont même été aussi importants que certaines victoires. Ça a été des défaites dures à digérer, mais qui nous ont servi », a-t-il dit vendredi. « L’esprit de revanche m’alimente et me motive. Réagir, désobéir, me rebeller, tout cela me motive. Donc on garde ces défaites en tête, mais de manière sportive », a-t-il étayé. Il lui faudra composer avec de nombreuses absences (Leonardo Balerdi, Facundo Medina, Bilal Nadir, Timothy Weah, Geoffrey Kondogbia, Amine Gouiri, Hamed Traoré…) et ne pas sous-estimer une formation auxerrois obligée de réagir après cinq matchs sans succès.

« J’attends une revanche sur les attitudes. Il faut avoir du cœur, de la détermination et de la croyance », a martelé vendredi le coach Christophe Pélissier. « Il faut qu’on avance. Je veux qu’on fasse un match qui ressemble à l’AJA, avec de la personnalité. » Avant cette 11e journée, son équipe pointe à la 17e et avant-dernière place de la Ligue 1. Troisième au classement, l’OM aura suivi plus tôt dans la journée les résultats du PSG (contre Nice) et Monaco (face au Paris FC).

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Avant le cambriolage du Louvre, la sécurité des musées européens était déjà une préoccupation

Devant la Grünes Gewölbe, la « voûte verte », le palais-musée de Dresde, en Allemagne, après le cambriolage du 25 novembre 2019. SEBASTIAN KAHNERT/DPA PICTURE-ALLIANCE VIA AFP

Après le spectaculaire cambriolage au Louvre, dimanche 19 octobre, et le vol de bijoux estimés à 88 millions d’euros, la France s’est retrouvée sous le feu des critiques dans la presse étrangère. Mais, dans plusieurs pays européens, des musées ont également subi des vols retentissants et la question de la sécurité des œuvres fait régulièrement débat.

Belgique

Dans un pays où la culture se prépare à payer un nouveau tribut à l’austérité budgétaire, les grands musées affirment en chœur que la sécurité reste prioritaire pour eux. La ministre responsable des musées fédéraux, Vanessa Matz, a publié, dès le lendemain du casse du Louvre, un communiqué pour indiquer qu’elle réclamait un « état des lieux » en matière de sécurisation. La dernière enquête du genre avait été diligentée après un vol d’une tête de momie survenu en 2015 aux Musées royaux d’art et d’histoire. Il s’agit de « tirer les éventuelles leçons des événements récents », expliquait Mme Matz. C’est ensuite qu’elle verra, avec les directions des musées et les services de sécurité, si « les conditions de conservation du patrimoine restent optimales ».

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« On ne se sert pas du Cercle pour rattraper des potentielles erreurs »: Comment Monaco a fait évoluer son modèle de multi-propriété

L’AS Monaco accueille le Paris FC ce samedi à 19 heures. Propriétaire du Cercle Bruges depuis 2017, le club de la Principauté s’est inspiré de la galaxie Red Bull pour faire fonctionner sa multipropriété. Un virage à 180 degrés a été opéré, l’époque où 10 Monégasques étaient prêtés à Bruges est révolue. 

Ils ne sont que deux Monégasques cette saison dans l’effectif du Cercle Bruges : Valy Konaté (19 ans, arrivé à l’ASM en janvier 2025 de Côte d’Ivoire) et Edan Diop (21 ans, freiné par les blessures après une éclosion précoce sur le Rocher). “Je n’étais pas dans les petits papiers à Monaco, se souvient le petit frère de Sofiane. Thiago (Scuro, le directeur général) m’a parlé du Cercle. J’ai discuté avec le coach, il m’a expliqué son plan de jeu et je n’ai pas hésité du tout à venir.” Avec déjà 13 apparitions au compteur cette saison, le milieu lancé par Philippe Clément, face à Leverkusen en février 2023 en Ligue Europa, se refait la cerise chez les “Groen-Zwart” (vert et noir). 

 “Peu de joueurs avec ce talent peuvent rejoindre notre équipe”

“Ça me permet de montrer mon talent et de rester proche de Monaco, admet Edan Diop. Je reste en contact avec le club, les analystes vidéos notamment, et quand j’y retournerai à Monaco, ce sera peut-être pour m’imposer.” Klaas Reynaert, CEO du Cercle voit cette multipropriété comme une opportunité de renforcer son effectif : “Peu de joueurs avec ce talent peuvent rejoindre notre équipe, c’est une valeur ajoutée. De l’autre côté on sait aussi ce qu’on peut lui apporter. Luciano Murchio, notre Directeur Technique, lui a présenté le projet avec l’entraîneur. Son plan pour lui et ça s’est fait pendant notre stage estival de préparation à Monaco.” Un rendez-vous annuel inamovible ponctué par une rencontre amicale entre les professionnels. Les équipes réservent s’affrontent aussi généralement plusieurs fois par saison.  

Le Cercle n’est plus la réserve de l’AS Monaco

Trop peu satisfaisante, la stratégie de prêter 10 jeunes monégasques à Bruges, comme ce fut le cas en 2018-2019, a cessé. “On ne se sert pas du Cercle pour rattraper des potentielles erreurs faites à Monaco ou régler nos problèmes, explique Thiago Scuro le DG de l’ASM. On utilise cette connexion pour qu’il y ait un impact positif dans les deux clubs.” Son homologue belge Klaas Reynaert poursuit : “C’est quand les pièces du puzzle sont adaptées au nôtre que nous pouvons apporter au joueur. Ce n’est pas simplement les joueurs que Monaco ne peut pas utiliser qui doivent venir et après on s’adapte. Nous investissons aussi dans nos propres talents. Ces dernières années, nous avons vendu des joueurs à Toulouse (Yann Gboho et Abu Francis pour environ 2,5 millions chacun) mais aussi en MLS notre vente record avec Kevin Denkey (au FC Cincinnati pour 15 millions).” Une stratégie impulsée en 2020 par son directeur sportif, Carlos Avina, devenu depuis directeur technique de l’ASM.

Dmitri Rybolovlev et l’ASM ont acquis le Cercle en 2017 quand il était en deuxième division. “Près de la banqueroute, concède Reynaert. Et nous étions en huitième de finale de Conférence League la saison passée.” Une réussite sportive au-delà des belles ventes, mais rares sont les joueurs passés par la Pro League à s’être imposé à Monaco : “Félix Lemaréchal (vendu 8 millions à Strasbourg après un prêt fructueux) y a trouvé une opportunité pour se développer en jouant régulièrement en professionnel, rappelle Scuro. On peut citer également Paris Brunner ou Radek Majecki qui y sont passés avant de jouer chez nous.” Strahinja Pavlovic, barré à Monaco, s’était lui relancé en Belgique avant d’être cédé pour 9 millions au RB Salzbourg… un club symbole de la multipropriété.  

Comme au PFC, on s’appuie sur le savoir-faire de Red Bull 

Comme Paul Mitchell avant lui, le dirigeant monégasque Thiago Scuro est passé par l’univers Red Bull et s’en inspire : “Avoir l’expérience de travailler dans cette structure de plusieurs clubs qui est, sans aucun doute jusqu’ici, celle qui réussit le mieux est un avantage. C’était aussi l’une des principales motivations pour moi d’avoir l’opportunité d’être dans un club comme Monaco, pour appliquer des idées similaires avec le Cercle en utilisant cette synergie potentielle.” Son homologue Klaas Reynaert définit leur collaboration : “Nous décidons ensemble de la vision et de la stratégie, mais la gestion quotidienne appartient au Cercle. Nous sommes libres de gérer ce club mais il y a des connexions fortes. Chaque semaine par exemple, j’ai un meeting avec Thiago Scuro, pour s’assurer qu’on soit alignés. Parfois, c’est une demi-heure, parfois, ça prend seulement 5 minutes quand tout va bien.”

L’indépendance des clubs est primordiale reconnaît Scuro : “Nous ne voulons pas trop contrôler excessivement le Cercle. Nous respectons beaucoup la tradition du club, l’histoire, les gens en place. Le but est de créer des conditions pour qu’ils soient forts et en réussite.” En ce sens, un centre d’entraînement dernier cri à 10 millions d’euros va sortir de terre à Bruges. Le Cercle veut y installer ses bureaux dès 2026 et les terrains devraient être prêts pour la saison 2027-2028. “Nous avons une bonne connexion entre les départements de la performance, du médical, du recrutement… Les entraîneurs échangent également parfois au sujet d’idées et de méthodologie, conclut Thiago Scuro. On veut appliquer les mêmes principes de jeu pour qu’il y ait une adaptation naturelle. Ainsi, le Cercle peut être le chemin pour que des joueurs se développent et performant ensuite à Monaco.”

Maxime Tilliette à Bruges et Monaco

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Ce qui change à partir du 1ᵉʳ novembre pour votre budget : nouvelle grille des heures creuses, frais bancaires de succession, prix du gaz, chèque énergie…

Comme chaque premier jour du mois, le budget des ménages est marqué par plusieurs changements.

La nouvelle grille des heures creuses déployée

La mise en place du nouveau système d’heures creuses et d’heures pleines commence dès le 1er novembre. De nouvelles plages horaires ont été mises en place, afin d’être « en adéquation (…) avec les contraintes du réseau [électrique], et son adaptation [de] production d’électricité », comme l’explique la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Instaurée dans les années 1960, cette grille d’horaires consiste à diviser la journée en 16 heures pleines et 8 heures creuses, au cours desquelles les foyers ayant choisi ce type de consommation énergétique bénéficient d’un prix au kilowattheure réduit.

Avec le précédent modèle, les 8 heures creuses étaient principalement placées au cœur de la nuit, entre 20 heures et 8 heures du matin. Comme assuré par le gouvernement, il sera toujours possible de bénéficier de 8 heures creuses quotidiennes : la nuit, pendant « au moins cinq heures consécutives », entre 23 heures et 7 heures, et jusqu’à trois heures en journée, entre 11 heures et 17 heures.

Ces plages sont également vouées à évoluer dans un second temps entre les saisons : du 1er avril au 31 octobre, les foyers bénéficieront de « davantage d’heures en journée, pour profiter du pic de production [d’électricité] solaire », indique le gouvernement. Du 1er novembre au 31 mars, les heures creuses seront majoritairement placées la nuit.

La CRE précise que la « répartition des heures pleines et creuses n’est (…) pas homogène à l’échelle du territoire, et qu’elle [sera] différente entre chaque client ». Les foyers concernés (11 millions selon le gouvernement) seront prévenus des changements d’horaires par leur fournisseur, au moins un mois avant. Ils pourront être attribués jusqu’à fin 2027.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Pourquoi le système des heures pleines et heures creuses va être bouleversé à partir du 1ᵉʳ novembre ?

Plafonnement des frais bancaires après un décès

A la suite de la mort d’un de leurs clients, et donc lors de l’ouverture de sa succession, les banques doivent effectuer diverses démarches, parmi lesquelles un inventaire des fonds, l’établissement d’échanges avec le notaire et le transfert de l’argent aux héritiers.

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Impôt sur la fortune improductive: « Ce n’est pas une bonne idée », estime Michel Picon, président de l’U2P


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Cyberattaque dans des lycées des Hauts-de-France: la remise en état des systèmes continue, une enquête en cours

Le 10 octobre dernier, 80% des lycées publics de la région avaient été touchés par une attaque au rançongiciel. À quelques jours de la rentrée des vacances de la Toussaint, l’académie veut remettre sur pied les systèmes.

Trois semaines après la cyberattaque qui a touché 80% des lycées publics des Hauts-de-France, la remise en état des systèmes continue et va se poursuivre jusqu’à la rentrée des vacances de la Toussaint, ce lundi 3 novembre.

Dans un communiqué publié ce 31 octobre, l’académie des Hauts-de-France annonce « la finalisation des opérations de remise en état des outils informatiques administratifs dans la quasi-totalité des 269 lycées publics » touchés par l’attaque au rançongiciel. Les équipes techniques « poursuivent actuellement leurs travaux afin que les outils informatiques soient opérationnels dans les meilleurs délais ».

Un premier lot d’ordinateurs « opérationnel »

Une « remise en service progressive des postes pédagogiques » a été initiée et « un premier lot d’ordinateurs est déjà à nouveau opérationnel ».

Le 10 octobre, pour tenter d’endiguer la cyberattaque, l’accès aux réseaux et à internet avait été « temporairement suspendu » dans les établissements concernés. Une cellule de crise avait été ouverte et une plainte déposée.

Dans son communiqué, l’académie précise qu’une enquête est en cours, mais qu’à cette heure, elle « ne permet pas d’établir avec certitude l’ampleur des données potentiellement perdues et/ou captées ». Ces dernières « peuvent inclure des informations individuelles des usagers ou personnels ».

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« Sur le fil de la violence », de Mark O’Connell : face au tueur, trouver la bonne distance

Malcolm Macarthur à la sortie de la Cour pénale centrale, à Dublin, en 1983. INDEPENDENT NEWS AND MEDIA/GETTY IMAGES

« Sur le fil de la violence. Une histoire de vérité, d’invention et de meurtre » (A Thread of Violence : A Story of Truth, Invention, and Murder), de Mark O’Connell, traduit de l’anglais (Irlande) par Charles Bonnot, Stock, « La cosmopolite », 320 p., 22,50 €, numérique 16 €.

En 2013, Mark O’Connell croise régulièrement un vieil homme arborant une vigoureuse crinière blanche dans les librairies dublinoises et sous les travées du Trinity College. Il croit d’abord reconnaître un ancien professeur de lettres, avant de comprendre avec effroi qu’il s’agit, en vérité, de Malcolm Macarthur, sorti de prison depuis peu. En 1982, ce dandy d’ascendance aristocratique avait défrayé la chronique irlandaise pour un double meurtre qui plongea le pays dans un scandale politique incongru – au moment de son arrestation, le coupable s’était réfugié chez le procureur général, qui était l’un de ses amis. Une affaire restée dans les mémoires sous l’acronyme « GUBU », pour « grotesque, unbelievable, bizarre and unprecedented » (« grotesque, incroyable, bizarre et sans précédent »).

Lettré, étrangement froid, Macarthur a inspiré le personnage principal du Livre des aveux (Flammarion, 1990), un roman de John Banville racontant son histoire, sur lequel Mark O’Connell a planché durant des années pour son doctorat en littérature. « Croiser cet homme dans la rue était comme voir une fiction surgir soudain dans le monde réel : un frisson étrange et fascinant à la fois, explique-t-il au “Monde des livres”, de passage à Paris. Il y avait quelque chose d’intéressant à creuser sur cette dissonance cognitive très particulière. »

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Impôt sur la fortune improductive: « Il n’y a jamais eu d’échange avec le Rassemblement national […] Il faut arrêter les délires complotistes », assure Arthur Delaporte, député socialiste du Calvados


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EN DIRECT, budget 2026 : les députés rejettent la fiscalisation des indemnités journalières en cas d’affection de longue durée

Le point sur la situation, lundi 3 novembre à 21 heures

Le Parti socialiste (PS) attend de voir « la copie complète » du projet de loi de finances pour décider ou non de censurer le gouvernement, a déclaré son premier secrétaire, Olivier Faure, sur le plateau de BFM-TV. « Cela se joue en fait dans le mois » de novembre, a-t-il ajouté.

Le président de la commission des finances, Eric Coquerel, a dénoncé l’attitude des socialistes, qui avaient promis de censurer le gouvernement faute d’avancées sur la taxe sur le patrimoine. « Le bilan, c’est qu’il n’y a rien eu, même pire », a-t-il fait valoir, dénonçant l’adoption d’une version édulcorée de la taxe sur les holdings ainsi qu’un « compromis avec le RN » sur l’impôt sur la fortune improductive.

« C’était assez cordial mais, manifestement, on va tout droit vers les ordonnances ou la loi spéciale », a déclaré le député Rassemblement national (RN) Matthias Renault, à l’issue de la réunion des groupes parlementaires organisée par le gouvernement, à laquelle la gauche a refusé de participer.

Les députés achèvent dans la soirée huit jours de débats sur la partie « recettes » du budget de l’Etat, sans espoir de voter ce premier volet mardi comme c’était prévu initialement. Ils entameront demain l’examen du budget de la Sécurité sociale, rejeté en commission vendredi. Celui-ci doit faire l’objet d’un vote solennel le 12 novembre.

Le nouvel impôt sur la « fortune improductive », approuvé vendredi 31, ne devrait apporter qu’une retouche assez modeste à la taxation actuelle du patrimoine, selon l’évaluation fournie par la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin. Ce prélèvement ne devrait rapporter qu’« environ 500 millions d’euros » de plus que l’actuel impôt, qui a fait entrer 2,2 milliards d’euros dans les caisses de l’Etat en 2024, a-t-elle dit en séance aux députés qui l’interrogeaient.

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