Rob Jetten, futur premier ministre néerlandais et champion d’un « libéralisme joyeux »

Le chef du Parti des réformateurs, Rob Jetten, à la Chambre basse, au lendemain de sa victoire aux élections législatives néerlandaises, à La Haye (Pays-Bas), le 30 octobre 2025. KOEN VAN WEEL/AFP

C’est peut-être le magazine De Groene Amsterdammer qui a le mieux caractérisé sa vision politique, en écrivant que Rob Jetten, 38 ans, vainqueur des récentes élections législatives néerlandaises, est adepte d’un « libéralisme joyeux ». Et cela a effectivement été la clé du succès inattendu du dirigeant du Parti des réformateurs (D66), le parti « social-libéral », passé d’une lourde défaite en 2023 (9 sièges de députés sur 150) au rang de première formation des Pays-Bas, le mercredi 29 octobre, avec 26 sièges. M. Jetten a engrangé aussi une victoire, courte mais symbolique, sur le Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, privant ce dernier de tout espoir de gouverner le royaume.

Quand ses rivaux avaient les yeux braqués sur les sondages et jugeaient inévitable une nouvelle victoire du parti d’extrême droite, M. Jetten attirait l’attention avec un autre discours, annonçant la fin des « vingt années de négativisme » imposées par le leader du PVV. Le très probable futur premier ministre, né dans la province du Brabant-Septentrional, où il s’intéressa à la politique dès le collège, prônait, au contraire, une approche optimiste, conforme à sa personnalité.

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Affiche Shein au BHV: « Si nous avions eu connaissance de la problématique des poupées, nous ne l’aurions pas faite », déclare Frédéric Merlin, propriétaire du BHV Marais


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EN DIRECT, guerre en Ukraine : les services de renseignement ukrainiens parlent de « combats acharnés » contre les Russes dans la ville de Pokrovsk

Volodymyr Zelensky appelle Viktor Orban à « ne pas bloquer » l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne

Volodymyr Zelensky a appelé Viktor Orban à ne « pas bloquer » l’adhésion de son pays à l’Union européenne (UE). « Nous aimerions vraiment que le premier ministre hongrois nous soutienne, ou du moins qu’il ne nous bloque pas », a-t-il déclaré lors d’un forum sur l’élargissement de l’UE organisé par Euronews à Bruxelles.

Entamée tambour battant au lendemain de l’invasion russe, la procédure en vue de l’entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne est à l’arrêt depuis plusieurs mois. Ce processus d’adhésion, long et complexe, exige l’unanimité des 27 Etats membres à chaque nouvelle étape. Or le chef du gouvernement hongrois a décidé de geler de facto le processus d’adhésion en usant de son droit de veto.

M. Orban, qui cultive sa proximité avec le président russe, Vladimir Poutine, affirme qu’une entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne « ruinerait » cette dernière. Sans accord du dirigeant hongrois, aucun progrès n’est possible.

« Je ne pense pas que j’aie quoi que ce soit à offrir à Viktor Orban », a affirmé M. Zelensky, évoquant ce blocage : « Je pense que Viktor Orban a quelque chose à offrir à l’Ukraine, qui protège actuellement toute l’Europe de la Russie. »

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Archives vintage et effets spéciaux: comment « L’Inconnu de la Grande Arche » recrée le Paris des années 80

Le cinéaste Stéphane Demoustier livre un film sur le chantier titanesque de la Grande Arche, en salles ce mercredi. Récit d’un tournage ambitieux qui mêle vintage et effets spéciaux.

Des automobiles du temps d’avant balaient continûment l’avenue pavée des Champs-Élysées, encadrée par une rangée d’arbres altiers. Au milieu, deux hommes, l’architecte danois Johan Otto von Spreckelsen (joué par Claes Bang, déjà vu dans The Square de Ruben Östlund) et le président de la République de l’époque, François Mitterrand (Michel Fau), sont posés là, de part et d’autre de la ligne blanche. Le premier pointe l’horizon, le second l’observe. Au loin, l’autoritaire Arc de Triomphe et, peut-être, encore plus en arrière-plan, l’ombre de la Grande Arche.

Cette scène-carte postale des années 80 de L’Inconnu de la Grande Arche, cinquième long-métrage de Stéphane Demoustier, projeté à Cannes cette année, qui retrace l’histoire tragique et oubliée de l’architecte danois, catapulté chef de l’énorme chantier mitterrandien de la Grande Arche, est peut-être le cœur du film. Ou résume au moins à elle seule le degré de précision de son cinéaste, qui a reconstruit, patiemment, comme rarement dans le cinéma français, le Paris d’antan.

Trois heures sur les Champs

« Je voulais absolument qu’on tourne sur les Champs pour que le spectateur puisse comprendre et visualiser cet axe royal allant du Louvre à l’Arc de Triomphe, cette perspective dont les personnages parlent sans cesse. Il fallait que le film rende les choses tangibles, perceptibles, confie Stéphane Demoustier à BFMTV.com. D’autant que cette scène s’est réellement produite. »

Pour cela, le cinéaste a longuement féraillé avec les autorités pour obtenir un accès total, trois heures durant, à l’avenue, un dimanche matin ensoleillé (« un miracle », dit-il). Il a ensuite fallu faire venir une flopée de collectionneurs de voitures des années 70 et 80, leur demander de s’habiller comme à l’époque, « car ce sont eux qui les conduisent à l’écran », précise-t-il, et organiser méticuleusement leur ronde sur les Champs et ce, avec des « talkies-walkies ».

Coût total de l’opération: 300.000 euros – sur un budget total de 6,5 millions d’euros, bien loin donc des 2,7 milliards de francs consacrés à la construction de la Grande Arche.

Drame politique

Stéphane Demoustier, qui s’est librement inspiré de l’ouvrage de la romancière Laurence Cossé, La Grande Arche, publié en 2016, a aussi « eu la chance », dit-il, de pouvoir tourner dans l’antre de l’Élysée, à La Défense, à la préfecture des Hauts-de-Seine et des Yvelines, au Louvre (où se situait à l’époque le ministère du Budget) ainsi qu’au Danemark et dans les mines de marbre de Carrare. « On a eu accès à des lieux patrimoniaux qui donnent toute son assise à l’histoire et qui, petite aubaine, n’ont pas beaucoup changé depuis les années 80 », insiste l’intéressé.

Car, L’Inconnu de la Grande Arche est certes un mélodrame architectural et intime, mais aussi un grand film politique, sur les coulisses du pouvoir, le basculement dans le néolibéralisme, la fin de l’ère romantique, les contraintes économiques et administratives, les décisions contradictoires au sommet de l’État, les blocages entêtants de la Ve République, qui « font grandement écho » à la situation parlementaire actuelle, soutient Demoustier.

Johan Otto von Spreckelsen, cet inconnu qui a remporté en 1983 à la surprise générale, à 53 ans passés, le concours d’architecture pour bâtir la Grande Arche de La Défense, a vu ses grandes ambitions freinées par la première cohabitation, de 1986 à 1988, et le retour au pouvoir de la droite. Esseulé, peu aidé par ses pseudo-alliés (joués notamment par Swann Arlaud, architecte pragmatique et jaloux, et Xavier Dolan, qui marque son grand retour au cinéma en tant qu’acteur depuis 2021), incapable de mener à bien son projet, le Danois y laissera sa santé et son idéalisme, démissionnera et mourra d’un cancer peu avant l’inauguration du cube vitré.

Effets spéciaux

Autre prouesse du tournage, si ce n’est la plus grande, la plus épique, reconstituer le chantier titanesque de la Grande Arche. « Je voulais absolument qu’on sente qu’il était immense parce que c’est l’histoire d’un type écrasé par sa propre œuvre, accablé par ce gigantisme », explicite le cinéaste.

La reconstitution, avec des effets spéciaux et des images d’archives, du chantier de « L’Inconnu de la Grande Arche » © Agat Films, Le Pacte

Faute de budget suffisant, Stéphane Demoustier et ses équipes choisissent non pas de tourner à La Défense puis de retirer en post-production tout ce qui n’existait pas à l’époque, mais de recréer des morceaux de chantier dans un studio gadouilleux en plein air, à Coulommiers pour les plans serrés. Et de compléter ces images par des plans plus larges du site, fabriqués à partir d’images d’archives et d’effets spéciaux numériques. Ces derniers ont notamment permis de replacer la tour Fiat ou le Cnit, premier bâtiment construit à La Défense en 1958, dans le film.

« C’était plus simple et moins onéreux d’ajouter le décor de La Défense d’antan que d’enlever La Grande Arche d’aujourd’hui du décor », résume le réalisateur, qui précise que cette technique de reconstitution est, à sa connaissance, inédite en France. Les effets spéciaux et la reconstitution des décors en studio ont coûté chacun un peu plus de 500.000 euros. Un exploit apparemment technique, visuel mais aussi budgétaire donc.

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Ariane-6 : décollage réussi du satellite Sentinel-1D pour la surveillance de l’environnement, dans le cadre du programme Copernicus

La fusée Ariane-6, transportant le satellite d’observation terrestre Sentinel 1-D de l’Agence spatiale européenne, lors de son décollage, à Kourou, en Guyane, le 4 novembre 2025. RONAN LIETAR/AFP

Le lanceur lourd européen Ariane-6 a décollé, mardi 4 novembre dans la soirée, du centre spatial de Kourou, en Guyane française, avec à son bord un nouveau satellite destiné à la surveillance de l’environnement, a constaté sur place un correspondant de l’Agence France-Presse (AFP).

Le décollage a eu lieu à 18 h 02 locales (22 h 02 heure de Paris), suivi de la séparation du lanceur et du satellite, 33 minutes et 51 secondes après l’envol.

Il s’agit de la première étape de la mise en orbite héliosynchrone de ce satellite qui pèse plus de deux tonnes, laquelle interviendra à 693 km d’altitude. Ce type d’orbite permet à l’engin de passer près des pôles et de survoler chaque point de la Terre à la même heure solaire, ce qui facilite la comparaison des images dans le temps.

Lire aussi (2024) | Article réservé à nos abonnés Agence spatiale européenne : Avec le succès du lancement d’Ariane-6, l’Europe retrouve l’accès à l’espace

Cette mission est le troisième vol commercial d’Ariane-6 depuis sa mise en service l’an passé. Le nouveau lanceur lourd européen avait réalisé un vol inaugural en juillet 2024, marquant le retour d’un accès autonome à l’espace pour l’Europe, malgré l’échec de la rentrée atmosphérique de l’étage supérieur en fin de mission. Ensuite la fusée européenne a effectué deux vols commerciaux cette année : le 6 mars avec un satellite militaire et le 13 août avec un engin météorologique.

Acquisition d’images y compris au travers des nuages

Cette fois, la fusée emporte à son bord le satellite Sentinel-1D, fabriqué par Thales Alenia Space, dans le cadre du programme Copernicus, composante d’observation de la Terre du programme spatial de l’Union européenne.

Lire aussi l’éditorial (2024) | Ariane-6, un petit pas pour l’Europe spatiale

Il comprend un instrument radar avancé qui lui permet d’acquérir des images de la surface terrestre quelles que soient les conditions météorologiques, y compris au travers des nuages. Il pourra ainsi envoyer des données d’observation de la Terre à toute heure du jour et de la nuit.

Il livrera des données essentielles et précieuses aux scientifiques, autorités et institutions à travers le monde pour suivre l’évolution de la glace de mer, des icebergs et des glaciers, et pour détecter les déversements d’hydrocarbures, les déforestations et les effets du changement climatique tels que les inondations, les glissements de terrain, etc.

La durée de vie prévue de Sentinel-1D est de sept ans et demi. Il doit rejoindre Sentinel-1 C, lancé en décembre 2024, et remplacer Sentinel-1 A, lancé en 2014 et qui approche de sa fin de vie opérationnelle.

Lire aussi le récit : Article réservé à nos abonnés Programme spatial Ariane : du succès d’Ariane-5 aux incertitudes d’Ariane-6

Au moins un quatrième vol commercial d’Ariane-6 est prévu d’ici la fin de l’année. A la mi-septembre, Arianespace avait révisé en baisse, à quatre contre cinq auparavant, le nombre de lancements commerciaux d’Ariane-6 en 2025, mais promis d’à peu près doubler ce chiffre en 2026. Avec ces lancements, l’Europe a retrouvé son autonomie d’accès à l’espace, crucial dans le contexte géopolitique actuel.

Le Monde avec AFP

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« Des sévices graves »: des adolescents avouent s’être filmés en Corse en train d’égorger une vache et d’abattre un veau

Âgés de 15 à 16 ans, ces adolescents ont avoué avoir égorgé une vache et abattu son veau en Corse cet été lors de leur garde à vue cette semaine.

Quatre adolescents ont été placés en garde à vue cette semaine, puis relâchés ce vendredi 31 octobre, pour avoir égorgé une vache et abattu son veau en Corse cet été, avant de diffuser les vidéos de ces sévices sur les réseaux sociaux, a appris l’AFP auprès de la gendarmerie, confirmant une information de Corse Matin.

Une enquête a été ouverte pour « actes de cruauté et sévices graves ayant entraîné la mort », a indiqué vendredi le parquet d’Ajaccio.

Trois mineurs ont été interpellés et placés en garde à vue mercredi, tandis qu’un quatrième, soupçonné d’avoir transporté ses amis en voiturette, a été appréhendé jeudi. Tous ont été relâchés vendredi.

Les jeunes, âgés de 15 et 16 ans, ont reconnu les faits, a affirmé Sophie Shushi, commandante de la compagnie de gendarmerie de Sartène (Corse-du-Sud).

« On a tué ta mère »

Des vidéos, diffusées sur les réseaux sociaux en juillet, montrent des adolescents « éclaboussés de sang » et une « vache au sol avec une mare de sang, en train d’être décapitée », a rapporté la commandante Shushi.

Alors que le « petit veau tourne autour », les jeunes « crient: ‘on a tué ta mère' », avant de l’abattre avec une arme à feu, a-t-elle ajouté.

Les vidéos ont été rapidement supprimées des réseaux sociaux.

Le propriétaire des animaux n’a pas été identifié, a précisé la gendarmerie, qui indique continuer les investigations « pour identifier les rôles de chacun ».

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Un étudiant lyonnais porté disparu en marge d’une soirée d’Halloween, une enquête ouverte

Flynn Ganneval, étudiant de l’EM Lyon âgé de 19 ans, est porté disparu depuis la soirée du 29 octobre, dans le secteur de Confluence. Une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte.

Une enquête pour disparition inquiétante a été ouverte jeudi 30 octobre pour tenter de retrouver Flynn Ganneval, un étudiant de l’EM Lyon âgé de 19 ans, a appris BFM Lyon auprès de la police, confirmant des informations d’Actu Lyon.

Le jeune homme n’a plus donné signe de vie depuis le 29 octobre au soir, alors qu’il passait la soirée dans le quartier de Confluence lors d’une fête pour Halloween. Selon nos confrères, ce sont des amis de l’étudiant, d’origine autrichienne, qui ont prévenu les forces de l’ordre.

Toujours selon nos confrères, des plongeurs ont été mobilisés vendredi 31 octobre pour sonder la Saône. « Des investigations sont en cours pour tenter de le retrouver », nous confirme la police.

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EN DIRECT, Gaza : l’armée israélienne annonce avoir identifié l’otage dont la dépouille a été rendue mardi

Les Etats-Unis veulent une force internationale de stabilisation à Gaza au moins jusqu’en 2027, selon la presse américaine et israélienne

Washington a envoyé, lundi, à plusieurs membres du Conseil de sécurité de l’ONU un projet de résolution visant à établir une force internationale de sécurisation à Gaza pour une durée d’au moins deux ans, a fait savoir le site américain Axios, qui a obtenu une copie du document. Le journal israélien The Jerusalem Post a également pu le consulter.

En vertu du plan du président américain, Donald Trump, sur lequel est fondé l’accord de cessez-le-feu, cette force de stabilisation, formée principalement de troupes de pays arabes et musulmans, doit se déployer à Gaza à mesure que l’armée israélienne s’en retirera. Le projet de résolution, qui devrait servir de base à la discussion, donnerait aux Etats-Unis et aux autres pays participants un large mandat pour gouverner Gaza et y assurer la sécurité jusqu’à la fin de 2027, avec possibilité de prolongation après cette date.

La force aurait pour mission de sécuriser les frontières de Gaza avec Israël et l’Égypte, de protéger les civils et les couloirs humanitaires, et de former une nouvelle force de police palestinienne. Sa mise en place et ses opérations se feraient « en étroite consultation et coopération avec l’Égypte et Israël ». Le document prévoit, ajoute Axios, qu’elle soit déployée dans l’enclave palestinienne « sous un commandement unifié acceptable pour le Conseil de la paix » – que Donald Trump entend présider.

Le projet de résolution appelle aussi, note le site en ligne, à donner à ce Conseil de la paix les moyens d’agir en tant qu’« administration transitoire » afin de définir les priorités et de lever des fonds pour la reconstruction de Gaza, jusqu’à ce que l’Autorité palestinienne « ait mené à bien son programme de réforme » et après approbation du Conseil de paix.

Selon les deux médias, la force internationale serait également chargée de superviser la démilitarisation du Hamas si ce dernier ou certains de ses membres refusaient de le faire volontairement. Il s’agirait, selon le projet de résolution cité par Axios, de « stabiliser l’environnement sécuritaire à Gaza en garantissant le processus de démilitarisation de la bande de Gaza, y compris la destruction et la prévention de la reconstruction des infrastructures militaires, terroristes et offensives, ainsi que le démantèlement définitif des armes des groupes armés non étatiques ».

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Sur ce marché parisien, les Français lassés par les discussions parlementaires sur le budget


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Une balade à L’Isle-Adam, d’une plage fluviale à une forêt domaniale

Une plage, un port, des îles et une forêt, accessibles en train par la gare de L’Isle-Adam – Parmain, sur la ligne H du Transilien. A 35 kilomètres au nord de Paris, la ville du Val-d’Oise, lovée entre une rivière et un massif forestier, fut connue pour son faste princier, puis en tant que villégiature bourgeoise et, aujourd’hui, comme destination de promenade ou de baignade, avec la plus grande plage fluviale de France.

Platanes centenaires et palmipèdes

Construit à la fin du XVIIIᵉ siècle, le pavillon chinois, dans le parc de Cassan, est inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques. GIL GIUGLIO

Est-ce l’omniprésence des espaces verts – 95 hectares, soit 80 mètres carrés par habitant – qui apaise immédiatement ? Dès la sortie de la gare, après avoir traversé l’Oise et ses deux îles, le rythme semble ralentir, les badauds marcher plus tranquillement. Et, partout à L’Isle-Adam, les nombreux bancs invitent à la pause. En ligne de mire, l’élégant clocher d’inspiration gothique et Renaissance de l’église Saint-Martin, du XVe siècle, attire vers le centre, par la très commerçante Grande-Rue.

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