Mort d’un étudiant après un tir de taser : un ex-gendarme relaxé en appel

Un ancien gendarme, condamné en première instance à deux ans de prison avec sursis pour la mort d’un étudiant après un tir de taser fin 2013 à La Ferté-Saint-Aubin (Loiret), a été relaxé en appel, a appris l’Agence France-Presse (AFP), mardi 4 novembre, auprès de la cour d’appel d’Orléans. Cet homme était poursuivi pour « homicide involontaire » pour avoir fait usage de son pistolet électrique dans la nuit du 2 au 3 novembre 2013 pour séparer deux cousins qui se battaient dans la rue après avoir passé la soirée chez des amis.

Appelés sur place, les pompiers avaient été pris à partie par des invités, essuyant insultes et crachats, et avaient demandé l’intervention des gendarmes. A leur arrivée, dans un climat très tendu autour du véhicule des pompiers, Loïc Louise, un étudiant réunionnais âgé de 21 ans à l’époque, avait reçu un premier tir de taser, puis une seconde décharge alors qu’il se trouvait au sol, continuant de résister à son interpellation.

Ce n’est qu’après plusieurs minutes, une fois le calme rétabli, qu’ils avaient constaté que le jeune homme était en arrêt cardio-respiratoire. Il n’avait pu être ranimé. L’autopsie de l’étudiant a révélé un « phénomène d’alcoolisation massive ».

Utilisation « absolument nécessaire et proportionnée »

En novembre 2024, le tribunal correctionnel d’Orléans avait retenu un lien de causalité entre l’utilisation prolongée du taser (dix-sept secondes puis cinq secondes) et la mort du jeune homme. Le tribunal était allé au-delà des réquisitions du parquet, qui avait requis un an de prison avec sursis contre l’ancien gendarme, aujourd’hui âgé de 37 ans. Ce dernier avait fait appel de sa condamnation.

Lors du procès en appel tenu le 22 septembre dernier, le parquet avait maintenu ses réquisitions tandis que l’avocat de la défense, Laurent-Franck Liénard, avait une nouvelle fois plaidé la relaxe. La cour d’appel d’Orléans a estimé dans sa décision, rendue mardi, que le gendarme avait utilisé son pistolet électrique de manière « absolument nécessaire et proportionnée, dans des conditions prévues par la loi », et l’a donc relaxé.

« La conclusion de la cour d’appel est parfaitement conforme au droit et met un terme au cauchemar que vit mon client depuis les faits, sauf pourvoi en cassation des parties civiles », a réagi auprès de l’AFP son avocat, Me Liénard.

Lire aussi (2013) | Article réservé à nos abonnés Mort d’un homme à la suite d’un tir de Taser : le doute persiste après l’autopsie

Le Monde avec AFP

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Un contrat à 3,3 milliards d’euros: Bouygues choisi pour réaliser les travaux de génie civil d’une centrale nucléaire au Royaume-Uni

La centrale Sizewell C, qui doit être constituée de deux réacteurs EPR, est un projet majeur du programme de relance du nucléaire au Royaume-Uni. EDF est également investi.

Bouygues a remporté en consortium le contrat pour la réalisation des travaux de génie civil de la centrale nucléaire de Sizewell C au Royaume-Uni, qui représentera pour le géant français un montant cumulé de l’ordre 3,3 milliards d’euros, a-t-il annoncé mercredi. Il s’agit d’un projet important du programme de relance nucléaire outre-Manche.

Le groupe a par ailleurs publié un chiffre d’affaires en hausse de 0,9% à 41,9 milliards d’euros sur les neuf premiers mois de l’année mais son résultat net part du groupe ressort en légère baisse en incluant l’impôt exceptionnel sur les bénéfices des grandes entreprises en France.

Production pas avant 2035

EDF est également investi dans le projet de Sizewell C. L’énergéticien français a annoncé mardi la finalisation de ce projet de centrale nucléaire, et prévoit d’y investir 1,2 milliard d’euros pendant la phase de construction. L’énergéticien français aura une participation de 12,5% dans ce projet, le gouvernement britannique en aura 44,9%, le fonds de pension québecois 20%, Centrica 15% et Amber Infrastructure 7,6%.

La centrale Sizewell C, qui doit être constituée de deux réacteurs EPR, chacun d’une puissance de 1,6 gigawatt, pourrait coûter au total 20 à 30 milliards de livres (24 à 36 milliards d’euros), voire davantage selon des estimations contestées par le gouvernement. Elle ne devrait pas commencer sa production d’électricité avant 2035.

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A défaut de candidat naturel, Les Républicains ouvrent de nouveau la porte à une primaire pour 2027

Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez, à Matignon, à Paris, le 2 juin 2025. THIBAUD MORITZ/AFP

Député et médecin, Philippe Juvin porte un diagnostic clinique sur le rapport de son parti, Les Républicains (LR), à la primaire : « C’est pavlovien chez nous. Personne ne veut en entendre parler, comme les deux premières [2017 et 2022] se sont terminées par des défaites »,résume l’élu des Hauts-de-Seine favorable à cette solution depuis de longs mois.

Preuve que le sujet est de nouveau d’actualité chez LR, il était au menu du conseil stratégique du parti, organisé mardi 4 novembre. A dix-huit mois de l’élection présidentielle, Bruno Retailleau, veut accélérer le processus pour désigner le champion de son parti avant l’été. Mais, dans les faits, le président de LR n’a rien tranché pour l’instant.

Primaire ou pas ? Ouverte ou pas ? L’ancien ministre de l’intérieur a renvoyé au « choix des adhérents » à la sortie de la réunion. Selon les nouveaux statuts de LR, validés en septembre, un vote sur les modalités doit être organisé début 2026 sur la base d’une proposition du président du parti. Mardi, le conseil stratégique a seulement acté l’idée d’un groupe de travail sur le sujet, à l’initiative du président du Sénat, Gérard Larcher. Cette proposition doit être validée en bureau politique par la suite. « Le conseil de ce matin n’avait pas pour vocation de trancher le sujet, c’était un premier échange », explique Daniel Fasquelle, vice-président de LR et coauteur des nouveaux statuts avec Guillaume Larrivé.

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Ce que l’on sait de la découverte d’un corps sectionné en deux sur les bords de Saône

Un corps sectionné en deux et présentant de nombreuses blessures a été découvert sur les berges de la Saône dans un village de Haute-Saône ce samedi 1er novembre. Il pourrait s’agir d’un homme de 75 ans suisse et porté disparu. Une enquête pour assassinat et des analyses ADN sont toujours en cours.

Une découverte macabre que les enquêteurs tentent encore d’élucider. Ce samedi 1er novembre, peu avant 15 heures, le corps d’un homme a été découvert mutilé sur les berges de la Saône, dans le petit village de Fédry en Haute-Saône.

• Un corps présentant de nombreuses blessures

Le corps a été découvert sectionné en deux au niveau de la taille, recouvert d’une substance blanche et dépourvue de caleçon, a précisé le procureur de la République de Vesoul dans ses communiqués. La mort semblait alors « récente », datant de moins de 24 heures avant la découverte du corps.

Il présentait également plusieurs lésions et blessures, en plus de la section au niveau du tronc: une brûlure au niveau du dos, plusieurs plaies au crâne, sur une main, au niveau des cervicales ainsi que vers le tronc.

• Une mort par arme blanche, la section du tronc post-mortem

Une autopsie réalisée lundi 3 novembre a permis de confirmer de nombreuses lésions traumatiques sur le corps et au niveau du crâne. Elle met en évidence une mort due à « un processus hémorragique consécutif à une plaie cardiaque dans les suites de l’usage d’une arme blanche en région thoracique gauche ». Certaines blessures « sont en faveur de l’usage d’un instrument tranchant ».

D’autres lésions, notamment au niveau du crâne, ont pu « elles aussi entraîner une hémorragie importante ». Les plaies sur les mains de la victime sont évocatrices de lésions de défense », indique le parquet.

Enfin, certaines lésions ont été causées après la mort de la victime, « notamment celle résultant de la section du tronc ».

• Des analyses ADN pour identifier la victime

À ce stade, l’identité de la victime n’a pas été confirmée. Toutefois, les investigations visent à faire le rapprochement entre un Suisse disparu dans les environs et la victime.

Le 1er novembre, jour de découverte du corps, a été signalée aux autorités suisses la disparition d’un homme de 75 ans vivant à Sainte-Croix en Suisse, soit à une centaine de kilomètres de Fédry. Le septuagénaire a été vu pour la dernière fois le 31 octobre. « Des investigations, notamment aux fins de comparaison d’ADN, sont en cours », assure le procureur.

« Bien qu’à ce stade les mesures d’identification formelles soient toujours en cours, les premiers éléments de l’enquête menée sur place par le groupement de Gendarmerie de la Haute-Saône et la section de recherches de Besançon laissent penser qu’il pourrait s’agir de la personne disparue à Sainte-Croix », ajoute la police cantonale de Vaud dans un communiqué.

• Une femme interpellée par les autorités suisses

Une enquête pour « assassinat » a été ouverte et confiée à la communauté de brigades de Dampierre-sur-Salon, à la brigade de recherches de Vesoul et à la section de recherches de Besançon. Les investigations se font également « en étroite collaboration avec les autorités judiciaires et policières suisses ».

Si aucune personne n’a été arrêtée par les autorités françaises, la Suisse indique avoir de son côté interpellé une habitante du village de Sainte-Croix ce dimanche 2 novembre.

Âgée de 39 ans, la ressortissante française louait un logement au Suisse disparu. « Elle est suspectée d’avoir incendié son logement et d’être impliquée dans la disparition de son logeur », indique la police cantonale de Vaud.

Elle évoque aussi la possibilité d’un lien entre la disparition du septuagénaire et « un corps découvert la veille par les autorités françaises ». Elle a été placée en détention provisoire pour l’incendie de son appartement.

• Un village sous le choc

Le village de Fédry, qui regroupe à peine une centaine d’habitants, se retrouve donc au cœur de l’enquête. « Dans un village qui est calme, on n’a pas l’habitude d’être confrontés à de tels événements », confie le maire de la commune Jean Roblet à BFMTV.

L’édile a été appelé sur les lieux et a vu le corps mutilé en bord de berges de ses propres yeux. « Ça a été un choc pour moi », assure-il. « Même si je suis un militaire en retraite et que j’ai participé à des opérations extérieures, je n’ai jamais été confronté à un tel spectacle. »

Tout le village est aujourd’hui sous le choc. « C’est la stupeur, la consternation », insiste Jean Roblet.

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Ouragan Melissa : le bilan s’élève désormais à 43 morts en Haïti, et 76 morts au total

Une rue inondée après le passage de l’ouragan Melissa, à Petit-Goave, en Haïti, le 31 octobre 2025. CLARENS SIFFROY / AFP

L’ouragan Melissa, l’un des plus puissants jamais recensés, a causé la mort d’au moins 43 personnes en Haïti, selon un nouveau bilan provisoire des autorités communiqué mardi 4 novembre, portant le bilan total à au moins 76 morts dans les Caraïbes. Melissa a dévasté des régions entières de la Jamaïque et inondé Haïti et Cuba pendant sa course de plusieurs jours dans les Caraïbes.

En Jamaïque, premier pays où l’ouragan a touché terre il y a une semaine, le bilan humain est d’au moins 32 morts. « Nous nous attendons à ce qu’il augmente », a toutefois prévenu lundi le gouvernement. Un mort a également été signalé en République dominicaine, pays frontalier d’Haïti. A Cuba, le gouvernement, qui avait procédé à l’évacuation préventive de plus de 700 000 personnes avant que Melissa ne touche terre, n’a fait état d’aucune victime.

En Haïti, Melissa a causé la mort de 43 morts, et fait 21 blessés. Treize personnes sont encore portées disparues, selon un document de la protection civile transmis à l’Agence France-Presse (AFP). Les autorités y ont décrété un deuil national de trois jours, qui a commencé lundi.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés L’ouragan Melissa cause la mort de plus de 30 personnes dans les Caraïbes, un bilan qui pourrait encore s’alourdir

« Des milliers de maisons ont été inondées et des infrastructures critiques (…) bloquées momentanément par des débris », a fait savoir la protection civile, précisant que les crues des cours d’eau avaient également endommagé les terres agricoles. « On dénombre 11 952 maisons inondées, 176 maisons détruites et 4 257 maisons endommagées, faiblement ou fortement », ont ajouté les autorités.

Les dégâts provoqués par Melissa viennent s’ajouter aux graves difficultés d’Haïti, territoire le plus pauvre des Caraïbes qui subit depuis plusieurs années une crise politique, sécuritaire et humanitaire majeure. Cet ouragan a été rendu plus puissant et plus destructeur par le changement climatique, causé par les activités humaines, selon une étude de l’Imperial College de Londres.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Dans la ville de Black River, rasée par l’ouragan Melissa en Jamaïque : « Tout le sable est parti sur une épaisseur de plus de 1 mètre »

Le Monde avec AFP

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Shein au BHV: « Je ne suis pas là pour faire un coup », assure Frédéric Merlin, propriétaire du BHV Marais


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Affaire du financement libyen : Alexandre Djouhri maintenu en détention

Alexandre Djouhri, au tribunal judiciaire de Paris, le 8 avril 2025. ALAIN JOCARD/AFP

Alexandre Djouhri reste en prison. La chambre correctionnelle de la cour d’appel de Paris a rejeté, mardi 4 novembre, sa demande de mise en liberté. L’homme d’affaires, condamné le 25 septembre à six ans d’emprisonnement et à une amende de 3 millions d’euros, avait été incarcéré le jour même du jugement. Le banquier franco-djiboutien, Wahib Nacer, détenu le même jour, a lui été remis en liberté le 28 octobre ; le cas de Nicolas Sarkozy, incarcéré depuis le 21 octobre, sera examiné par la chambre lundi 10 novembre.

Lire aussi l’analyse | Article réservé à nos abonnés L’incarcération de Nicolas Sarkozy et le principe d’égalité devant la loi

Charles Consigny, l’un des trois avocats du détenu, a longuement plaidé, lundi 3 novembre, la mise en liberté d’Alexandre Djouhri, en soulignant que son casier judiciaire était vierge, qu’il avait 66 ans et de sérieuses pathologies cardiaques, qu’il avait versé une caution de 2 millions d’euros, et que, pendant sept ans, il s’était « conformé en tous points » à son contrôle judiciaire. L’avocat avait proposé que son client puisse demeurer chez un ami, éventuellement sous bracelet électronique, rue de Miromesnil, dans le 8e arrondissement de Paris.

« Je suis en état de mort civile, a fait valoir, lundi, le détenu en visioconférence depuis la maison d’arrêt de la Santé. Je ne peux pas avoir de compte bancaire, c’est mon cousin qui s’est chargé de trouver un logement. » Un appartement loué par un certain Julien Placide, le patron de La Savonnerie marseillaise et associé dudit cousin. Le président Olivier Géron a levé un sourcil. « Il est précisé dans le bail que le logement ne peut être ni sous-loué, ni prêté à des tiers ? » Et, par ailleurs, l’appartement est, dans la même rue, à six numéros des bureaux de Nicolas Sarkozy, qu’il a l’interdiction de rencontrer.

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Frédéric Merlin, propriétaire du BHV: « Il y aura des espaces Shein dans cinq autres magasins »


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Rob Jetten, futur premier ministre néerlandais et champion d’un « libéralisme joyeux »

Le chef du Parti des réformateurs, Rob Jetten, à la Chambre basse, au lendemain de sa victoire aux élections législatives néerlandaises, à La Haye (Pays-Bas), le 30 octobre 2025. KOEN VAN WEEL/AFP

C’est peut-être le magazine De Groene Amsterdammer qui a le mieux caractérisé sa vision politique, en écrivant que Rob Jetten, 38 ans, vainqueur des récentes élections législatives néerlandaises, est adepte d’un « libéralisme joyeux ». Et cela a effectivement été la clé du succès inattendu du dirigeant du Parti des réformateurs (D66), le parti « social-libéral », passé d’une lourde défaite en 2023 (9 sièges de députés sur 150) au rang de première formation des Pays-Bas, le mercredi 29 octobre, avec 26 sièges. M. Jetten a engrangé aussi une victoire, courte mais symbolique, sur le Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, privant ce dernier de tout espoir de gouverner le royaume.

Quand ses rivaux avaient les yeux braqués sur les sondages et jugeaient inévitable une nouvelle victoire du parti d’extrême droite, M. Jetten attirait l’attention avec un autre discours, annonçant la fin des « vingt années de négativisme » imposées par le leader du PVV. Le très probable futur premier ministre, né dans la province du Brabant-Septentrional, où il s’intéressa à la politique dès le collège, prônait, au contraire, une approche optimiste, conforme à sa personnalité.

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