Avec les “Good Game Playbooks », Ubisoft veut rendre le jeu en ligne plus sûr pour les familles

Ubisoft s’associe à nouveau à l’organisation Safe In Our World pour promouvoir des comportements plus sains et respectueux dans le jeu en ligne avec une guide de bonnes pratiques.

Réduire les comportements toxiques en ligne pour rendre le jeu plus sain. C’est l’objectif que s’est fixé Ubisoft depuis plusieurs années en multipliant les démarches de prévention et d’éducation autour du jeu vidéo. Mais aussi par des mobilisations dans ses jeux à coup de fonctions anti-harcèlement.

La sécurité des joueurs, un axe fort de sa stratégie qui passe par de multiples outils pour prévenir les comportements inappropriés, protéger les mineurs et encourager les interactions positives: signalement simplifié des abus, modération automatisée, campagnes de sensibilisation, etc.

Un guide pour inciter à la discussion et prévenir

Pour ajouter de nouveaux outils à sa trousse, l’éditeur renouvelle son partenariat avec Safe In Our World, association britannique dédiée à la santé mentale dans le gaming, en lançant de nouvelles éditions des “Good Game Playbooks ». Ces guides pensés pour les parents, les adolescents et les enfants ont pour objectif d’accompagner les familles dans leurs usages vidéoludiques afin de favoriser un environnement de jeu plus sûr et positif.

Lancée en 2023, la première version du Playbook s’était donné pour but de donner des clés pour réagir face aux comportements toxiques en ligne. Cette nouvelle édition ajoute des conseils pratiques et des ressources adaptées à chaque âge, avec un ton accessible et des exemples concrets. Cela doit permettre d’entamer un dialogue entre parents et enfants, de poser des limites et d’adopter les bons réflexes.

Good Game Playbooks © Good Game Playbooks

Et un but avoué: « aider la prochaine génération de joueurs à développer l’empathie, le respect et des habitudes de jeu équilibrées », explique Jérémy Marchadier, directeur de la sécurité des joueurs chez Ubisoft. Cela passe déjà par la connaissance des bons outils, mais aussi par la nécessité « d’aborder ces questions dès le plus jeune âge. »

Un sujet de plus en plus central pour les studios face à la montée du harcèlement en ligne et aux inquiétudes parentales.

Des outils intégrés à l’écosystème Ubisoft

Ubisoft et Safe In Our World veulent avec ce Good Games Playbook encourager un vrai dialogue autour du jeu vidéo.

Ils seront d’ailleurs intégrés à l’expérience Ubisoft. Les parents pourront recevoir par exemple ces ressources chaque mois par e-mail, en complément du rapport d’activité de leur enfant sur les jeux maison. Le géant français entend ainsi mieux protéger les jeunes joueurs tout en rendant la prévention plus accessible et concrète. Cela vient aussi s’ajouter à d’autres outils comme le Family Corner, qui permet déjà de paramétrer les comptes enfants et de suivre leurs usages.

Disponibles en plusieurs langues (français, anglais, portugais, espagnol et allemand), les guides sont accessibles dès ce 12 novembre sur le site des Good Game Playbooks.

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Gaza : blocages et incertitudes pèsent sur la deuxième phase du plan de paix de Trump

Un membre du Hamas près de la « ligne jaune » , à Gaza, le 2 novembre 2025. DAWOUD ABU ALKAS/REUTERS

Avec la remise à Israël, jeudi 13 novembre, du corps de Meny Godard, 73 ans, habitant d’un des kibboutz attaqués par le Hamas le 7 octobre 2023, il ne reste désormais plus que trois dépouilles mortelles d’otages retenus à Gaza. La première phase du plan de paix porté par Donald Trump, qui prévoyait également la libération des 20 derniers otages vivants, un cessez-le-feu, le retrait partiel des troupes israéliennes, la remise de prisonniers et de corps palestiniens, est, ainsi, pratiquement terminée.

La deuxième phase du plan de paix, censée s’ouvrir au moment où le dernier corps sera rendu, concentre désormais toutes les interrogations et beaucoup de doutes. Malgré des violations du cessez-le-feu, qui ont fait trois morts dans l’armée israélienne et plus de 240 tués côté palestinien, les deux parties ont globalement respecté le cessez-le-feu depuis son entrée en vigueur, le 10 octobre. Mais elles continuent de s’opposer sur des aspects-clés du plan, dont le contenu fait l’objet d’un projet de résolution défendu par les Américains devant le Conseil de sécurité des Nations unies.

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Face à la hausse du coût de la vie pour les Américains, le ministre de l’Economie de Trump veut baisser les droits de douane sur le café et les bananes

Alors que le coût de la vie a augmenté aux États-Unis, le gouvernement réfléchit à des mesures pour réduire l’impact des droits de douane pour les consommateurs américains.

Le ministre américain des Finances a affirmé mercredi qu’une annonce « significative » était dans les tuyaux aux États-Unis pour rendre moins chères des denrées non produites sur place, actuellement frappées par les droits de douane voulus par Donald Trump.

Depuis un cinglant revers à des scrutins locaux, la majorité républicaine a remis la question du coût de la vie en tête de ses priorités. Or les droits de douane mis en place par l’exécutif touchent presque toutes les importations, même quand la production locale ne peut couvrir les besoins.

Dans une interview à la chaîne de télévision Fox news mercredi, le secrétaire au Trésor Scott Bessent a dit que les consommateurs pouvaient s’attendre à une annonce « significative dans les prochains jours concernant les choses qui ne sont pas cultivées aux États-Unis ».

« Le café en fait partie, les bananes, d’autres fruits, des choses comme ça », a-t-il ajouté, affirmant que « cela fera baisser les prix très rapidement ».

Le ministre n’a pas donné de précisions, mais le président Donald Trump avait déclaré dans une précédente interview qu’il allait « réduire certains droits de douane, on aura du café qui viendra » aux Etats-Unis.

Les prix du café ont bondi de près de 19% sur un an, selon les dernières données officielles disponibles (indice CPI pour septembre).

Des aléas climatiques dans les pays producteurs expliquent en partie cette hausse, mais jouent aussi les taxes douanières de 50% imposées par Donald Trump sur de nombreux produits en provenance du Brésil.

Les bananes consommées aux États-Unis sont aussi massivement importées, principalement de quatre pays: Guatemala, Equateur, Costa Rica et Honduras, selon les données du ministère de l’Agriculture.

Ces derniers mois, cette production a été frappée par 10 ou 15% de surtaxe.

Le 3216 RMC : Journée mondiale du café, comment prenez-vous votre café ? – 01/10

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« Les bijoux sont des objets faciles à voler et à faire circuler » : quand les joyaux s’évanouissent dans la nature

Les gros pépins ont peut-être cette unique vertu de rendre philosophe. « Dans le métier, on dit que ces choses-là arrivent forcément une fois dans une carrière », lâche Lou Woolworth, assise dans un fauteuil rouge signé Garouste et Bonetti. Cette femme de 37 ans, pendentif en forme de cœur élégamment noué autour du cou, reçoit dans sa galerie de la rue de Seine, à deux pas du Pont-Neuf à Paris.

C’est sa grand-mère, Jacqueline Subra, puis sa mère, Isabelle Subra Woolworth, qui ont transformé, à partir du début des années 1980, un ancien bureau de designer en un cocon destiné aux bijoux d’artistes, fréquenté au fil des ans par une clientèle allant de Marcel Duchamp à Yves Saint Laurent en passant par Catherine Deneuve.

En cette fin d’octobre, le lieu semble avoir retrouvé un peu de sa sérénité d’antan, musique jazzy en fond sonore et mobilier raffiné chiné sur trois générations, comme ce miroir en forme de soleil signé Line Vautrin ou ce bureau conçu par André Sornay. Seuls deux larges impacts sur la devanture témoignent de la violence du braquage dont la galerie a été victime, au matin du 20 septembre.

La porte d’entrée de la galerie Woolworth, à Paris, peu après le cambriolage subi le 20 septembre 2025. PHOTOS PERSONELLES

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Grâce de Boualem Sansal « acceptée »: Un « geste d’humanité du Président Tebboune », selon Emmanuel Macron


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« 11 novembre 1918 : ainsi s’achève la grande boucherie de la guerre », raconte l’historien Jean Garrigues

Le 11 novembre 1918, à 15 h 50 très précisément, le président du Conseil, Georges Clemenceau, monte à la tribune du Palais-Bourbon pour lire aux députés le texte de l’armistice qui a été signé à 5 heures le matin même, en forêt de Rethondes [Oise], par le maréchal Foch, l’amiral Wemyss et les plénipotentiaires de l’Allemagne vaincue. Tous les députés se lèvent alors comme un seul homme pour l’applaudir, ainsi que les journalistes et les spectateurs des tribunes, archicombles. Clemenceau, à la tribune, courbe les épaules comme s’il ployait sous le poids de ces acclamations, mais, dès qu’il fait un geste pour indiquer qu’il va parler, le silence se fait, quasi religieux.

Lire aussi | 11-Novembre : Emmanuel Macron célèbre le 107ᵉ anniversaire de l’Armistice de 1918 et met en lumière le sort des « malgré-nous »

D’une voix d’abord imperceptible mais qui s’affermit peu à peu, il commence : « Messieurs, il n’y a qu’une manière de reconnaître de tels hommages, venant d’une assemblée parlementaire, si exagérés qu’ils puissent être. C’est de nous faire les uns aux autres, à cette heure, la promesse de toujours travailler de toutes les forces de notre cœur au bien public. » L’ovation recommence alors et ne va pas cesser pendant plusieurs minutes, avant qu’il ne lise le texte de l’armistice, écrit sur un petit cahier bleu. C’est de nouveau un tonnerre d’applaudissements lorsqu’il envoie : « Le salut de la France une et indivisible à l’Alsace et à la Lorraine retrouvées. » Enfin, il rend hommage « à nos grands morts, qui nous ont fait cette victoire », puis « aux vivants » : « Nous les attendons pour la grande œuvre de reconstruction sociale. Grâce à eux, la France, hier soldat de Dieu, aujourd’hui soldat de l’humanité, sera toujours le soldat de l’idéal ! »

Pour clore cette séance exceptionnelle, la Chambre entière entonne La Marseillaise. Le lendemain, la presse écrit : « L’hymne national vibre, retentit, se développe formidable et grave. C’est un moment inoubliable. » Quelques minutes plus tard, devant le Sénat, Clemenceau reprend les propos tenus devant les députés, et ce sont les mêmes cris de joie, les mêmes applaudissements, la même Marseillaise entonnée à pleins poumons. D’ailleurs, la Chambre haute vote à l’unanimité que soit installé le buste du Tigre parmi ceux des autres sénateurs illustres. Lorsqu’il revient au ministère de la guerre, rue Saint-Dominique, des partisans l’accompagnent dans la cour et l’acclament. De la fenêtre de son bureau, il les harangue : « Mes amis, criez avec moi, vive la France ! »

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Ekrem Imamoglu, le maire d’Istanbul en prison depuis le mois de mars, risque jusqu’à 2 340 ans de prison

Le maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, lors d’une manifestation de ses partisans devant la municipalité métropolitaine d’Istanbul, le 15 décembre 2022. YASIN AKGUL/AFP

Le maire d’opposition d’Istanbul Ekrem Imamoglu, principal rival du président turc Recep Tayyip Erdogan, est poursuivi officiellement pour 142 infractions, selon l’acte d’accusation publié par le parquet de la ville, mardi 11 novembre.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Ekrem Imamoglu, maire d’Istanbul incarcéré : « Je refuse de croire que la démocratie, la justice et la liberté ne sont plus d’actualité »

Selon les médias turcs, Ekrem Imamoglu, arrêté en mars pour corruption et considéré par la justice turque comme étant à la tête d’une organisation criminelle, risque jusqu’à 2 340 ans de prison. Le maire emprisonné de la plus grande ville turque, candidat du principal parti de l’opposition à la prochaine élection présidentielle, est notamment poursuivi pour fraude, blanchiment et trucage d’appels d’offres, selon l’acte d’accusation de plus de 3 700 pages. Ekrem Imamoglu nie depuis son arrestation toutes les charges pesant contre lui.

« Ce qui s’est passé aujourd’hui est un cas flagrant d’ingérence judiciaire dans la politique », a écrit sur X Özgür Özel, le président du Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), affirmant que la justice cherche à « entraver » la candidature de Ekrem Imamoglu à la présidence.

Un préjudice de 3,3 milliards d’euros pour l’Etat turc

Quatre cent deux suspects, accusés d’avoir formé une organisation criminelle, sont visés par l’acte d’accusation. Parmi eux figurent de proches collaborateurs du maire d’Istanbul, qui avaient été arrêtés en même temps que lui, le 19 mars.

Le procureur général d’Istanbul, qui qualifie ce réseau de « pieuvre », a affirmé mardi que ce dernier a causé un préjudice de 160 milliards de livres turques (3,3 milliards d’euros) à l’Etat turc sur une décennie. Selon le parquet, le maire d’Istanbul avait créé cette organisation dans le but de « prendre le contrôle du CHP » et de « générer des fonds pour sa candidature à la présidentielle ».

Plusieurs maires CHP d’arrondissements d’Istanbul et le président du conseil d’administration de la municipalité d’Istanbul sont également mis en examen de diverses infractions dont trucage d’appels d’offres, blanchiment d’argent, tentative d’abus de pouvoir et pots-de-vin.

Le principal avocat de M. Imamoglu, Mehmet Pehlivan, est notamment accusé de « tentatives d’abus de pouvoir » au cours de la « collecte des preuves en faveur » de son client. L’acte d’accusation a été transmis, mardi, à un tribunal d’Istanbul qui, s’il l’approuve, fixera une date d’ouverture du procès de M. Imamoglu et de ses coaccusés.

« Egalement tenu responsable des crimes commis par d’autres »

Le procureur d’Istanbul, Akin Gürlek, a souligné mardi devant des journalistes que M. Imamoglu, « en tant que dirigeant d’une organisation (…) est également tenu responsable des crimes commis par d’autres ». Il a précisé qu’il comparaîtrait devant le tribunal installé au sein de la vaste prison de Marmara, à Silivri, dans l’ouest d’Istanbul, où l’édile est incarcéré à l’isolement.

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L’arrestation d’Ekrem Imamoglu, qualifiée de « coup d’Etat » par le CHP, avait déclenché une vague de contestation inédite en Turquie depuis 2013. Dans le cadre de ces mêmes investigations, le parquet d’Istanbul a affirmé mardi vouloir poursuivre le CHP pour « violation de la Constitution », affirmant que des listes électorales ont été illégalement transmises par des membres du réseau supposément dirigé par M. Imamoglu.

Le maire emprisonné fait, par ailleurs, l’objet de plusieurs autres enquêtes et a vu son diplôme universitaire invalidé en mars, rendant de facto impossible sa candidature à une élection présidentielle. La dernière procédure en date, à la fin d’octobre, le vise pour « espionnage » dans le cadre de sa campagne de 2019. « Tous ces procès ne visent qu’à maintenir notre candidat en prison » avait affirmé Özgür Özel, lors d’une énième comparution du maire en septembre.

Lire aussi l’analyse | Article réservé à nos abonnés L’arrestation du maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, marque l’entrée de la Turquie dans une nouvelle ère autoritaire

Le Monde avec AFP

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« Une capitulation »: Bruno Retailleau se dit « effaré par la lâcheté du gouvernement » après la suspension de la réforme des retraites

L’Assemblée nationale a largement approuvé ce mercredi 12 novembre la « suspension » de la réforme des retraites, condition sine qua non de la non-censure du gouvernement de Sébastien Lecornu par les socialistes.

« Cette suspension de la réforme des retraites est une capitulation », a vivement critiqué l’ex-ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, après l’adoption de la suspension par les députés ce mercredi 12 novembre.

« Je suis effaré par la lâcheté du gouvernement, qui vient de sacrifier l’avenir de nos jeunes générations sur l’autel de sa survie politique », a encore fustigé le patron des Républicains sur X.

Ce dernier a dénoncé une « décision irresponsable prise sous le diktat du PS avec la complicité du RN », qui « va coûter des milliards à la France ». « Après les folies fiscales de la semaine dernière, le délire continue », a-t-il conclu.

La génération née en 1964 partirait à 62 ans et 9 mois

La mesure, insérée dans le projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026, a été approuvée par 255 voix contre 146 avec le soutien majoritaire du PS, des écologistes, du RN, et l’abstention des députés Renaissance. LFI et les communistes ont voté contre, dénonçant un simple « décalage » de l’application de la réforme emblématique du second quinquennat d’Emmanuel Macron.

L’article suspend jusqu’à janvier 2028 la marche en avant vers les 64 ans, tout comme le relèvement du nombre de trimestres à cotiser.

La génération née en 1964 partirait à 62 ans et 9 mois (comme la précédente) au lieu des 63 ans prévus par la réforme. Et partirait avec 170 trimestres cotisés au lieu de 171. Sauf nouvelle réforme, l’application de la réforme Borne reprendrait ensuite, avec un trimestre de décalage.

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