Un technicien à la réussite fulgurante: tout savoir sur Sébastien Pocognoli, nouveau coach de l’AS Monaco

Nouvel entraîneur de l’AS Monaco, Sébastien Pocognoli (38 ans) doit être présenté ce mardi. Fort d’un début de carrière prometteur qui pousse certains observateurs à lui coller une étiquette de prodige, l’ancien international a pour mission de réveiller le club de la Principauté.

Il quitte la Butte de l’Union Saint-Gilloise, où sont adossées les tribunes champêtres du club bruxellois, pour le faste du Rocher monégasque. À 38 ans, Sébastien Pocognoli a été choisi par les dirigeants de l’ASM pour succéder à Adi Hütter et réveiller le club azuréen, dont le début de saison était loin des attentes au regard du visage affiché sur les pelouses de Ligue 1 et de Ligue des champions.

Ironie du sort, c’est en Belgique, où les coéquipiers de Paul Pogba ont sombré lors de la 1re journée de C1 (défaite 4-1 à Bruges), que Monaco est allé chercher son nouvel homme fort. Avec 13 sélections pour les Diables Rouges, cet ancien arrière gauche dispose d’une solide carrière de joueur. Passé par Genk, Alkmaar, le Standard de Liège, Hanovre, West Brom, Brighton, ou encore l’Union Saint-Gilloise, il a notamment joué avec Eliaquim Mangala, William Vainqueur, Michy Batshuayi, Hiroki Sakai ou encore Kévin Mirallas, son entraîneur des attaquants à l’USG qui vient avec lui à Monaco pour occuper le même poste.

François Garitte, journaliste belge, présente le profil de Sebastien Pocognoli, nouvel entraîneur de Monaco – 09/10

Une étiquette de prodige

Au crépuscule de sa carrière de joueur, Pocognoli a très vite su qu’il voulait devenir entraîneur. La confirmation est arrivée lors de son passage au Standard de Liège entre 2017 et 2020, quand Ricardo Sa Pinto lui confie le brassard. Le technicien portugais donne beaucoup de responsabilités à ses capitaines et aime avoir différents leaders dans son groupe, ce qui donne des idées à Pocognoli.

Disciple de Louis van Gaal, qui l’a entraîné à Alkmaar, il prend d’abord ses marques sur le banc des U21 de l’Union Saint-Gilloise avant de diriger les U18 de l’USG puis les U18 de la Belgique. À l’été 2024, il est lancé dans le grand bain en succédant à Karel Geraerts (l’actuel coach de Reims) à la tête de l’Union Saint-Gilloise. Pour son baptême du feu et sa première saison en tant que coach d’une équipe pro, il réalise un coup de maître et offre au club son premier titre de champion de Belgique depuis 90 ans. Il devient par la même occasion le troisième plus jeune entraîneur champion de Belgique depuis la seconde guerre mondiale. Ce succès pousse certains observateurs à lui coller l’étiquette de prodige.

« Je veux être dominant avec et sans ballon »

À l’Union Saint-Gilloise, où son départ est très mal vécu, il était un adepte du système en 3-5-2, une construction soignée depuis l’arrière avec un pressing haut vers l’avant. Tout cela avec l’agressivité nécessaire. « J’aime le football dominant avec et sans ballon, basé sur une pression haute, une maîtrise du ballon, couplée aux transitions rapides en fonction de l’adversaire. Et je suis assez excité de pouvoir mettre ça en place, et de prendre ce nouveau départ », a confié le principal intéressé au micro des médias du club.

« Ça va être sa première grosse expérience. Il a les capacités de faire quelque chose mais il va falloir s’adapter à la Ligue 1 et à l’équipe qu’il va avoir. Ce qui est sûr, c’est que dès sa première année ici à l’Union, il s’est adapté », a détaillé François Garitte, journaliste belge qui suit le club bruxellois, dans l’After Foot sur RMC. « Ici, en 10 matchs de championnat depuis le début de la saison, l’Union a la meilleure attaque et la meilleure défense, avec 5 buts encaissés et 19 buts marqués. L’idée de Pocognoli est d’avoir un trio de défenseurs solide, des relances rapides et des latéraux qui travaillent énormément, qui sont indispensables dans son dispositif. »

Il peut être « un poco loco »

En coulisses, il aime parler à ses joueurs et être proche d’eux. On le présente comme un spécialiste de la communication interne. Il entraîne en français, en anglais et en néerlandais. Celui qui est décrit comme très posé dans la vie (il est en couple depuis ses 16 ans avec sa femme) peut également faire preuve de passion et être « un poco loco », comme l’a confié Kevin Mac Allister, son joueur à l’Union Saint-Gilloise, dans les médias belge. « Il met le feu quand il le faut. Mais il nous calme quand il le faut », a décrit le défenseur argentin.

Pocognoli, lui, se présente comme « proche de (ses) joueurs ». « Je suis direct, parfois dur. Je suis attentif à l’aspect relationnel. Je suis honnête dans mes choix. C’est très important pour les joueurs de ne pas se sentir de côté, de savoir le pourquoi d’une décision », disait-il en mai dernier à l’AFP.

Pisté à l’intersaison par le RC Lens, il a finalement attendu quelques mois avant de rejoindre la Ligue 1. Avec, clin d’œil du destin, la réception des Sang et Or au programme dans trois semaines, le 8 novembre prochain (12e journée de Ligue 1).

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Coupe du monde de foot 2026 : de nombreux supporteurs déjà privés de tournoi en raison de la politique migratoire de Donald Trump

Le président des Etats-Unis, Donald Trump, porte une casquette où il est écrit « Trump avait raison sur tout ! », en tenant le trophée de la Coupe du monde de la FIFA dans le bureau Ovale de la Maison Blanche, à Washington, DC, le 22 août 2025. JONATHAN ERNST / REUTERS

Il y a la communication politique, ses belles phrases, et la réalité, plus sombre. Le 6 mai, lors d’une conférence de presse, le président des Etats-Unis, Donald Trump, se disait impatient d’accueillir « les fans du monde entier » à l’occasion de la prochaine Coupe du monde de football, que son pays organisera avec le Canada et le Mexique du 11 juin au 19 juillet 2026. Aux côtés du président de la Fédération internationale de football (FIFA), Gianni Infantino, le locataire de la Maison Blanche promettait une « expérience sans accroc », réaffirmant sa joie d’héberger le « plus grand événement sportif de l’histoire ». Même son de cloche, le 23 août, quand le dirigeant MAGA (Make America Great Again, « rendre sa grandeur à l’Amérique ») assurait qu’il serait « très facile » pour les supporteurs d’assister au tournoi.

Les faits semblent pourtant le contredire. Alors que l’immense majorité des rencontres – 78 sur 104 – se dérouleront aux Etats-Unis, la politique migratoire impulsée par Donald Trump depuis son retour dans le bureau Ovale va empêcher une partie du public étranger de se rendre dans le pays. En cause notamment, la mise en place d’un travel ban, instauré le 9 juin, qui interdit l’entrée sur le territoire américain aux ressortissants de 12 pays. C’est le cas des Iraniens, dont la sélection est qualifiée pour son quatrième Mondial de rang. Si des exemptions sont prévues pour les footballeurs et leurs entraîneurs, elles ne devraient pas concerner les autres voyageurs, journalistes et fans.

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12.257 avions livrés depuis 1988: l’A320 d’Airbus devient l’appareil le plus vendu de tous les temps (3 de plus que le Boeing 737)

Le monocouloir 737 du constructeur américain Boeing a été détrôné en septembre par l’avion européen.

L’A320 d’Airbus est devenu l’avion le plus vendu au monde, détrônant le Boeing 737. Le monocouloir 737 du constructeur américain Boeing, dont le premier exemplaire a été livré en 1968, a été détrôné en septembre par l’A320, du grand rival européen Airbus, entré en exploitation en 1988, selon les données respectives des deux groupes.

L’avionneur américain a annoncé mardi 14 octobre sur son site internet avoir livré 55 avions en septembre, dont quarante 737 MAX – dernière version de la famille du 737. Cela porte le total à 12.254 exemplaires du 737 livrés depuis sa sortie, en incluant les versions d’affaires. Mais, à fin septembre, Airbus avait livré 12.257 exemplaires de son A320 (versions d’affaires incluses), d’après les chiffres annoncés le 8 octobre. Il compte construire 75 avions de la gamme A320 par mois à l’horizon 2027, quand il disposera de dix lignes d’assemblage dans le monde pour ses appareils vedettes.

Les deux familles ont connu des mises à jour importantes depuis leurs tout premiers vols, en particulier au niveau des moteurs et de leurs composants pour réduire notamment leur consommation de carburant, leur volume sonore. Mais les livraisons du 737 ont été brutalement interrompues pendant vingt mois dans le monde entier – davantage en Chine – après deux accidents du 737 MAX 8 en 2018 et en 2019, qui ont fait 346 morts.

Difficultés chez Boeing

Sa production est actuellement plafonnée par le régulateur aérien (FAA) à 38 par mois depuis mars 2024, à la suite d’un incident en vol sur un 737 MAX 9 ayant fait quelques blessés légers. La direction de Boeing, qui a engagé des mesures drastiques pour améliorer la qualité de la production, compte demander d’ici la fin de l’année l’autorisation de passer à 42 par mois, puis au-delà courant 2026.

De son côté, Airbus a pâti ces dernières années de problèmes de moteurs et signalait encore fin juillet des « problèmes persistants d’approvisionnement en moteurs sur le programme A320 ». Pour se rasséréner, Boeing peut néanmoins se réjouir d’avoir livré en septembre le 2.000e exemplaire du 737 MAX depuis sa sortie en 2017. C’est la compagnie irlandaise à bas coûts Ryanair qui l’a reçu, avec neuf autres exemplaires.

Boeing a également livré en septembre sept 787 Dreamliner, trois gros porteurs 777 Fret et quatre 767 (deux Fret et deux ravitailleurs militaires). Le groupe a livré 160 avions au troisième trimestre et 440 depuis le début de l’année. En septembre, il a engrangé 96 commandes brutes dont 32 pour des 737 MAX et 64 pour des 787 Dreamliner. Après annulations et conversions, les commandes nettes ressortent à 48 avions à fin septembre et à 870 depuis début 2025. Le carnet de commandes de la branche commerciale (BCA) contenait 6.579 avions à fin septembre, soit plus de 600 milliards de dollars.

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Le skieur Mathieu Faivre, médaillé olympique à Pékin, annonce la fin de sa carrière

Le Français Mathieu Faivre sur le podium du slalom géant masculin des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, à Yanqing, le 13 février 2022. DIMITAR DILKOFF / AFP

Mathieu Faivre n’ira pas chercher de nouvelle médaille. A quelques jours de la reprise de la saison de Coupe du monde, à Sölden (Autriche), et à quelques mois des Jeux olympiques d’hiver à Milan-Cortina d’Ampezzo (en Italie, du 6 au 22 février 2026), le skieur alpin français a annoncé prendre sa retraite sportive. « La décision n’a pas été simple », explique le Niçois de 33 ans dans une vidéo retraçant les plus beaux moments de sa carrière, postée mercredi 15 octobre sur les réseaux sociaux.

Spécialiste du slalom géant, le licencié à Isola 2000, dans les Alpes-Maritimes, peut se targuer d’être monté sur dix podiums en Coupe du monde, avec notamment des victoires à Val-d’Isère en 2016 et Bansko (Bulgarie) en 2021. Il a aussi à son palmarès trois titres de champion du monde : en slalom géant parallèle par équipes en 2017 à Saint-Moritz (Suisse), puis en slalom géant parallèle et en slalom géant en 2021… à Cortina d’Ampezzo, sur le site qui accueillera les prochains JO.

Lire aussi (2021) | De nouveau vainqueur en Coupe du monde, le skieur Mathieu Faivre est redevenu un géant

Le plus grand accomplissement restera d’ailleurs sa médaille de bronze olympique, en Chine, il y a trois ans et demi, derrière Marco Odermatt et Zan Kranjec. « Après plusieurs saisons à se battre pour maintenir la flamme, celle-ci semble s’être consommée ce jour de géant à Pékin en 2022 », retrace-t-il dans son message.

Lire aussi (2022) | La réaction d’orgueil du champion suisse Marco Odermatt, médaille d’or olympique du slalom géant

Et de conclure : « Juste après (…) c’était un peu comme si tout était retombé, ce sentiment d’être rassasié, d’avoir accompli ce que je désirais intérieurement, cette sensation d’avoir fait le tour de mon sujet, d’avoir absolument tout donné pour mon sport et pour ma carrière. »

Service Sports

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Gabriel Attal, président du groupe (Ensemble pour la République) à l’Assemblée nationale: « Nous serons au côté du gouvernement pour réussir »


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Marine Le Pen subit un revers dans sa contestation de l’inéligibilité avec exécution provisoire

La présidente du groupe du Rassemblement national, Marine Le Pen, lors des questions au gouvernement, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 15 octobre 2025. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »

Avant l’échec politique, le revers juridique. A la veille de l’insuccès annoncé des motions de censure déposées contre le premier ministre, Sébastien Lecornu, le Conseil d’Etat a rejeté, mercredi 15 octobre, un recours formé par Marine Le Pen et obscurci son avenir électoral. La plus haute juridiction administrative a refusé de transmettre au Conseil constitutionnel une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) visant à contester l’exécution provisoire de la peine d’inéligibilité prononcée le 31 mars par le tribunal correctionnel de Paris contre la cheffe de file de l’extrême droite, dans l’affaire des assistants parlementaires européens du Front national.

Le fond de la requête déposée en juillet est technique : Marine Le Pen attaquait le refus en mai du premier ministre d’alors, François Bayrou, d’abroger des « dispositions réglementaires » conduisant à sa radiation des listes électorales – conséquence directe de sa condamnation, dont elle a fait appel. Dans son communiqué, le Conseil d’Etat constate que « le recours ne tendait pas tant à l’abrogation ou la modification de dispositions réglementaires qu’à la modification de la loi et de la loi organique » qui régissent le régime de l’inéligibilité et de l’exécution provisoire. Le premier ministre n’ayant pas le pouvoir de modifier la loi, qui relève du Parlement, la requête de Marine Le Pen est infondée, de même que la QPC qui lui était associée.

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Stéphane Peu à Sébastien Lecornu : « Votre politique est non seulement néfaste mais aussi dangereuse »


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Du gouvernement Lecornu I à Lecornu II, la semaine où Edouard Philippe a consommé la rupture avec Emmanuel Macron

Edouard Philippe et Paul Christophe arrivent à Matignon, le 10 octobre 2025. CYRIL BITTON/DIVERGENCE POUR «LE MONDE»

Tous les regards se sont tournés vers eux, le temps d’un instant. Quand Edouard Philippe a pris place presque en face d’Emmanuel Macron, à la table du salon des Ambassadeurs, sans qu’aucun des deux laisse rien transparaître, au commencement de la réunion convoquée par le chef de l’Etat, vendredi 10 octobre après-midi, à l’Elysée. Durant ce huis clos, quelques heures avant l’annonce de la reconduction de Sébastien Lecornu à Matignon, le maire du Havre (Seine-Maritime) est apparu nerveux et taiseux, selon plusieurs participants.

Lire aussi | EN DIRECT, Sébastien Lecornu premier ministre : aucun calendrier n’est annoncé pour la nomination d’un nouveau gouvernement, mais le temps presse pour le budget

Il faut dire, que trois jours plus tôt, l’ancien premier ministre d’Emmanuel Macron (2017-2020), qui n’a eu de cesse d’appeler à la stabilité, a lui-même provoqué de puissantes répliques au cœur du séisme politique en cours, et ce, en brisant le tabou de l’appel à la démission du chef de l’Etat pour la première fois au sein du camp présidentiel. Le président d’Horizons a, en effet, déclaré que si le chef de l’Etat souhaite « garantir le bien de l’Etat » il n’a qu’une seule solution : programmer son départ avant 2027.

Malgré les levées de boucliers prévisibles que ses propos ont provoquées au sein de ce qu’il reste de l’ancienne majorité présidentielle (formée par Renaissance, le MoDem et Horizons), Edouard Philippe a décidé d’acter en conscience la rupture définitive avec le président de la République, jugeant sévèrement la responsabilité de ce dernier dans la crise que traverse le pays depuis la dissolution « funeste » de l’Assemblée nationale en juin 2024. « Son audace le pousse parfois à ne pas respecter les institutions. Je lui en veux beaucoup », avait lâché l’édile du Havre, en septembre, dans le podcast « Legend ».

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Stéphane Peu : « Le budget ouvre de nombreuses portes vers la droite et l’extrême droite »


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