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Dermatose bovine: Annie Genevard assure qu’il n’y a « plus aucun foyer actif »

Le 13/12 à 23h20

Table des matières

« Il n’y a plus aucun foyer actif de dermatose »: Annie Genevard affirme que la dermatose bovine est sous contrôle

Dans un entretien à Sud Ouest, la ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Annie Genevard assure qu’il n’y a « plus aucun foyer actif de dermatose bovine » et qu’il y a suffisamment de vaccins pour éradiquer la maladie dans les élevages. « Il est important qu’ils sachent que je ne sous-estime pas la violence de ce qu’ils vivent », a-t-elle également affirmé à l’égard des agriculteurs.

Ce direct est désormais terminé, merci de l’avoir suivi.

Le 13/12 à 22h50

« C’est plusieurs millions de doses qu’il faudrait »: un spécialiste pointe l’ampleur de la vaccination

Thierry Pouch, chef économiste aux Chambres d’Agriculture France, affirme qu’il faudrait « plusieurs millions de doses » pour vacciner l’entièreté du cheptel français contre la dermatose bovine. « Le tissu rural vétérinaire n’est pas assez étendu », souligne également le spécialiste.

Le 13/12 à 21h32

Sébastien Chenu accable Annie Genevard qui « sous-estime l’effet traumatique du monde paysan »

Sur le plateau de BFMTV, le député RN du Nord et vice-président de l’Assemblée nationale Sébastien Chenu a pointé du doigt la ministre de l’Agriculture Annie Genevard et « son incapacité, son manque de volonté ou sa stratégie à ne pas aller sur le terrain » lors de cette crise de la dermatose bovine. Selon lui, la membre du gouvernement « sous-estime l’effet traumatique du monde paysan ».

Le 13/12 à 20h48

« On va résister »: Jérôme Bayle, éleveur de bovins en Haute-Garonne, met la pression à la ministre de l’Agriculture

Au micro de BFMTV, Jérôme Bayle, éleveur de bovins en Haute-Garonne, a « adressé son soutien à tous les éleveurs qui souffrent » du virus de la dermatose bovine dans leurs élevages. « Mardi dernier, on a fait des propositions à la ministre de l’Agriculture et sa seule réponse a été de nous envoyer des CRS », a-t-il poursuivi.

Et d’insister: « Avant de nous envoyer les forces de l’ordre, elle aurait pu au moins répondre à nos propositions pour faire avancer le dossier ». « Il faut que (la ministre de l’Agriculture) comprenne qu’on va résister », a encore assuré Jérôme Bayle.

Le 13/12 à 19h49

Le ministère de l’Agriculture défend l’abattage en cas de dermatose bovine dans un élevage

« Si vous mettez la vache de côté, vous ne mettez pas le virus de côté ». Sur BFMTV, Olivier Debaere, directeur de crise au ministère de l’Agriculture, défend la stratégie de l’abattage en cas de dermatose bovine dans un élevage.

« Sur le plan émotionnel, c’est un drame », concède-t-il. « Sur le plan sanitaire, cette mesure est nécessaire », assure-t-il, citant l’exemple fructueux de la situation en Savoie et Haute-Savoie.

Le 13/12 à 19h19

« Ce n’est pas notre métier »: les vétérinaires déplorent le « climat de tension » lié à la dermatose bovine

La semaine dernière dans le Doubs et cette semaine, en Ariège, où a été détecté le premier cas de la maladie dans le Sud-Ouest, les gendarmes ont dû intervenir pour permettre aux vétérinaires d’accéder aux fermes touchées.

« Intervenir dans un climat de tension de ce type-là, ce n’est pas notre métier », déplore sur BFMTV Matthieu Mourou, vice-président du Conseil national de l’ordre des vétérinaires.

« Ce n’est pas dans ces conditions-là qu’on imagine intervenir pour le collectif », ajoute-t-il, parlant également de menaces et de messages de haine reçus sur les réseaux sociaux par certains vétérinaires et, par conséquent, leur crainte d’intervenir sur des exploitations.

Le 13/12 à 18h52

Comment se déroule la mobilisation des agriculteurs sur l’A69?

Les agriculteurs se mobilisent à l’appel de la Confédération paysanne pour dénoncer la politique d’abattage des troupeaux affectés par la dermatose nodulaire bovine. Partout en France et tout particulièrement dans le Sud-Ouest.

Des éleveurs ont notamment ciblé l’autoroute A69. Notre journaliste présente sur place raconte.

Dermatose bovine: comment se déroule la mobilisation des agriculteurs sur l’A69?

Le 13/12 à 18h24

Le ministère de l’Agriculture assure que les éleveurs concernés par l’abattage de leur troupeau sont « accompagnés financièrement » par l’État

Auprès de BFMTV, le ministère de l’Agriculture assure que les éleveurs concernés par l’abattage de leur troupeau sont « accompagnés financièrement par l’État ». L’objectif est « de leur permettre de repeupler leur élevage sans les mettre en difficulté en l’attente », explique-t-on.

Ainsi, trois volets sont pris en charge: le nettoyage et la désinfection des bâtiments, la valeur des animaux euthanasiés et le manque de production.

L’éleveur reçoit « immédiatement » 2.100 euros par vache, puis « une expertise est menée pour déterminer la valeur réelle de l’animal qui sera indemnisée intégralement », indique le ministère qui précise que « les frais de repeuplement sont également pris en compte ».

En outre, « pendant toute la période pour laquelle l’éleveur ne peut produire, le montant habituel de ses revenus est indemnisé ».

Le 13/12 à 17h58

Un éleveur ariégeois craint que les agriculteurs ne déclarent pas un cas de dermatose par peur de l’abattage du troupeau

Benjamin Theunissen, éleveur dans l’Ariège, déplore la stratégie du gouvernement. « On ne peut pas se permettre d’abattre tous les troupeaux pour un cas clinique », déclare-t-il auprès de BFMTV sur un blocage de l’A64 en Haute-Garonne.

Selon lui, les éleveurs peuvent avoir peur d’annoncer un cas de dermatose dans leur troupeau en raison de ce risque d’abattage complet. « Les gens ont peur d’une euthanasie totale de leur troupeau », martèle-t-il.

Le 13/12 à 17h42

43 actions actuellement en cours, environ 2.000 personnes mobilisées

Le ministère de l’Intérieur indique à BFMTV qu’en cette fin d’après-midi, 43 actions sont actuellement en cours sur le territoire. Celles-ci mobilisent « environ 2.000 personnes ».

Le 13/12 à 17h21

La généralisation de la vaccination, un risque pour la commercialisation des produits?

Sur BFMTV, Raphaël Guatteo, enseignant-chercheur en gestion de la santé des bovins à Oniris, affirme que « la solution de ‘dépeuplement’ (l’abattage complet du troupeau), même si on comprend parfaitement la colère et la tristesse légitimes des éleveurs, elle est là pour essayer de briser le plus rapidement le cycle de transmission ».

Il rappelle que « la mise en place de la vaccination a des conséquences en termes de réglementation et de commercialisation des produits ».

En effet, selon les standards internationaux, les zones où est dispensée la vaccination des bovins perdent leur statut « indemne de la maladie ».

La vaccination provoque la production d’anticorps spécifiquement dirigés contre le virus de la DNC, dont la présence est également considérée comme une preuve d’exposition récente. Après la vaccination, quatorze mois sont ensuite nécessaires pour regagner le statut indemne.

Au-delà de questions de prix et de disponibilité, la vaccination « aurait un impact commercial », explique Raphaël Guatteo.

Le 13/12 à 16h36

Des portions d’autoroute bloquées à la circulation dans le Sud-Ouest

Près de 150km de l’autoroute A64 entre Bayonne et Tarbes sont toujours interdits à la circulation en raison de blocages débutés vendredi soir, côté basque et plus à l’est à Carbonne (Haute-Garonne), point de départ d’un précédent mouvement de grogne agricole de janvier 2024.

En dehors de l’A64, d’autres axes du Sud-Ouest sont bloqués: une partie de la rocade nord de Pau, celle autour d’Auch, dans le Gers, une portion de la N20 en Ariège, ou encore des bouts de la D911 et de l’autoroute A75 en Aveyron.

L’échangeur de Lescar sur l’autoroute A64 fermé en raison d’une mobilisation d’agriculteurs, le 13 décembre 2025. © QUENTIN TOP / HANS LUCAS / HANS LUCAS VIA AFP

Le 13/12 à 16h26

Les syndicats agricoles divisés sur la stratégie à adopter pour lutter contre la dermatose nodulaire contagieuse

La stratégie mise en place par l’État implique l’abattage de toutes les bêtes des foyers affectés, des restrictions de mouvements des troupeaux et jusqu’ici une « vaccination d’urgence » de tous les bovins dans un rayon de 50 km autour de la zone concernée.

Cette stratégie est défendue par l’alliance syndicale majoritaire FNSEA-Jeunes Agriculteurs. Au contraire, elle est dénoncée par la Coordination rurale et la Confédération paysanne, souvent opposées, mais unies contre l’euthanasie généralisée des bêtes des foyers affectés et pour réclamer une large vaccination du cheptel.

Ce jeudi, dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, Arnaud Rousseau, président de la FNSEA, appelait à ne pas confondre « l’émotion qui l’emporte sur la raison ». La FNSEA suit les recommandations de l’Autorité européenne de sécurité des aliments, qui défend l’abattage systématique des troupeaux lorsque ceux-ci sont touchés.

Le 13/12 à 16h02

Jordan Bardella plaide pour un « protocole allégé » pour lutter contre la dermatose

Au micro de BFMTV, Jordan Bardella dénonce la méthode « extrêmement brutale » des abattages de troupeaux.

Le président du Rassemblement national estime que « tout doit être fait pour soulager et alléger le protocole qui a été mis en place ».

« Il faut tout faire pour limiter la transmission de la maladie en vaccinant et en mettant en quarantaine si possible pour éviter de recourir à des méthodes qui sont brutales », poursuit Jordan Bardella.

Il ajoute qu' »évidemment la maladie doit être contenue mais je pense que l’urgence de la situation appelle peut-être de la souplesse et un protocole allégé, s’il est possible de l’alléger ».

Le 13/12 à 15h37

Jean-Luc Mélenchon juge « absurde » l’abattage « systématique des troupeaux »

« L’abattage systématique des troupeaux est absurde », juge Jean-Luc Mélenchon sur X.

« Des institutions scientifiques et professionnelles disent qu’on peut faire autrement. Le gouvernement répond en envoyant la police à coup de grenades lacrymogènes. Nous protestons contre cet usage disproportionné de la force qui a fait des blessés », poursuit le chef de file de La France insoumise.

Une partie des agriculteurs est mobilisée contre ces abattages généralisés, à l’appel de la Coordination rurale et de la Confédération paysanne, qui réclament une vaccination large. La puissante alliance FNSEA et Jeunes Agriculteurs estime au contraire que l' »abattage total est la meilleure solution ».

Le 13/12 à 14h51

La dermatose nodulaire contagieuse, fléau de l’élevage bovin

Vaccination, abattage, progression de la maladie, contraintes économiques… La vidéo ci-dessous résume la situation autour de la dermatose bovine.

Le 13/12 à 14h32

Le ministre de l’Intérieur demande aux préfets « souplesse » et « tact » face aux actions des éleveurs

Laurent Nuñez demande aux préfets et responsables de la police et de la gendarmerie de faire preuve de « souplesse » et de « tact » face aux actions des éleveurs en colère et d’intervenir en cas de « violences », a appris BFMTV de son entourage, confirmant des informations de l’AFP.

Le ministre de l’Intérieur a réuni en visio en fin de matinée les préfets de zone et les directeurs généraux de la police et de la gendarmerie pour faire un point de la situation.
      
À 12 heures, les autorités ont recensé « un peu plus d’une quinzaine d’actions sur 13 départements réunissant entre 900 et 1.000 personnes ». Néanmoins, çà et là, des préfets ont fait remonter des tensions.

Le 13/12 à 14h21

Des « pressions inacceptables » sur les vétérinaires chargés par l’État d’abattre des troupeaux affectés par la dermatose

Dans un climat extrêmement tendu, l’Ordre des vétérinaires dénonce des « pressions inacceptables » sur les professionnels chargés par l’État d’abattre des troupeaux affectés par la dermatose.

Auprès de l’AFP, le président Jacques Guérin, dénonce des menaces et des injures. « Cela finit par impacter fortement le moral des vétérinaires », déplore-t-il.

« Imaginez ce que ressent une vétérinaire qui attend plusieurs heures dans un car de police que les conditions soient réunies pour procéder au dépeuplement d’un troupeau dans un climat insurrectionnel », ajoute-t-il.

« Si on ne garantit pas leur sécurité, je ne connais pas un métier qui puisse s’exercer dans un climat aussi délétère. Mais ils ne pourront pas le faire sous la protection de la gendarmerie: aucune relation de confiance ne pourrait s’instaurer », conclut Jacques Guérin.

Le 13/12 à 14h15

L’Ordre des vétérinaires met en garde contre « l’intérêt individuel » de certains élevages face à la protection de « tous les cheptels bovins de France »

« Les vétérinaires sont de bons petits soldats mandatés par l’État pour faire des actes, avec la conviction que leur intervention est indispensable et majeure pour la qualité du cheptel français ».

Dans un entretien accordé à l’AFP, Jacques Guérin, président du Conseil national de l’Ordre des vétérinaires, estime que le « sacrifice » de certains éleveurs est un « acte traumatisant » mais que celui-ci est « indispensable » pour « protéger tous les cheptels bovins de France ».

« Il y a parfois des choix dramatiques à faire pour certains élevages: mais c’est à ce prix-là qu’on protège les 16 millions de bovins du pays. Si l’intérêt individuel se met à prévaloir, avec de l’irrationalité et des pseudo-sciences, le modèle va s’écrouler », affirme Jacques Guérin, ajoutant:

« Et là, les impacts pour la totalité des éleveurs, seront terribles. C’est ce qui se joue aujourd’hui ».

Le 13/12 à 14h04

Les avis divergent sur la stratégie d’abattage de troupeaux affectés par la dermatose bovine

Les visions s’affrontent. Sur BFMTV, Véronique Le Floch, ancienne présidente de la Coordination Rurale, appelle à « arrêter le carnage » des abattages de troupeaux.

« Il faut qu’on laisse nos animaux s’immuniser, qu’on regarde l’évolution, qu’on confine et surtout qu’on désinsectise », affirme-t-elle alors que la dermatose se diffuse notamment via les insectes hématophages.

Sur notre plateau, Jeanne Brugère-Picoux, professeure honoraire de l’École nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA), rappelle que la politique gouvernementale d’abattage est efficace, comme cela a été le cas dans les Savoies, où il n’y a plus de cas de la maladie.

« Si on continue cette réglementation on arrêtera peut-être cette progression du virus », assure-t-elle.

Le 13/12 à 13h08

INFO BFMTV. La ministre de l’Agriculture échangera prochainement avec des élus des zones concernées par les foyers de dermatose

La ministre de l’Agriculture Annie Genevard échangera prochainement par visioconférence avec des élus des zones concernées par les foyers de dermatose ainsi qu’avec les autorités compétentes.

Le 13/12 à 13h06

Veau mort, fumigènes, barbecue… Des agriculteurs manifestent devant l’ancienne permanence parlementaire d’Annie Genevard

Environ 70 agriculteurs ont manifesté devant l’ancienne permanence parlementaire de la ministre de l’Agriculture Annie Genevard à Pontarlier, dans le Doubs, pour dénoncer l’abattage total de troupeaux touchés par la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), rapporte l’AFP

Les agriculteurs sont venus à bord d’une vingtaine de tracteurs, dont ils ont fait retentir les klaxons.

Sur fond de pétards et de fumigènes, ils ont installé un barbecue devant la permanence du député de la circonscription Éric Liégeon qui a remplacé Annie Genevard.

Ils ont accroché un veau mort à un arbre et posé en dessous un panneau proclamant « nos animaux, notre vie ».

Le 13/12 à 12h53

La circulation fortement perturbée dans les Pyrénées-Atlantiques

Dans le cadre de la manifestation des agriculteurs, la circulation est fortement perturbée dans les Pyrénées-Atlantiques.

Une partie de l’A64 est fermée dans les deux sens de Briscous jusque dans les Hautes-Pyrénées, selon le préfet.

L’A65 est elle fermée à hauteur de Garlin dans le sens Nord-Sud. À Pau, la rocade est aussi fermée « jusqu’à remise en état de la voirie ».

Le 13/12 à 11h52

A75, A66… Plusieurs points de blocage sur différentes autoroutes du pays

Sur l’A75, l’axe reliant Clermont-Ferrand à Béziers, est coupé dans plusieurs secteurs et dans les deux sens de circulation, selon radio Vinci autoroutes.

Selon les autorités, ces difficultés devraient durer tout au long du week-end et il est conseillé de privilégier un itinéraire via les autoroutes A7 et A20.

Dans la continuité de l’A66, au-delà du réseau VINCI Autoroutes, la Route Nationale 20 est coupée, en direction d’Andorre, à hauteur de Tarascon-sur-Ariège.

Le 13/12 à 11h02

Le porte-parole national de la Confédération Paysanne assure que les autorités n’imaginent pas « la souffrance des éleveurs lorsqu’on abat leurs animaux »

Au micro de BFMTV, Thomas Gilbert, porte-parole national de la Confédération Paysanne, appelle à « la fin de l’abatage total » des troupeaux lorsqu’une bête est contaminée par la dermatose nodulaire.

« Il faut bien comprendre que nos animaux ce ne sont que simples outils de travail pour faire de l’argent (…) on ne s’imagine pas la douleur que peuvent avoir des éleveurs lorsqu’on abat leurs animaux », déclare-t-il.

Le 13/12 à 10h18

Le maire de Carbonne présent sur un point de blocage de l’A64 pour « soutenir les agriculteurs »

Denis Turrel, maire PS de Carbonne, en Haute-Garonne, est présent sur un point de blocage sur l’A64 pour apporter son « soutien aux agriculteurs ».

« On était là en 2024 et on est là en 2025. On leur apporte un soutien total face à la crise et le désarroi qu’ils traversent », déclare l’édile au micro de BFMTV.

« Il faut permettre aux acteurs locaux de prendre les décisions qui les concernent », ajoute-t-il

Le 13/12 à 09h43

La ministre de l’Agriculture ne se rendra « pas sur les points de blocage »

La ministre de l’Agriculture ne se rendra « pas sur les points de blocage » tenus par des agriculteurs contestant l’abattage de troupeaux affectés par la dermatose bovine. Dans un entretien accordé à ICI, elle assure tout de même suivre « les choses avec attention ».

« Ce qui doit être mobilisé aujourd’hui, c’est notre énergie collective à se battre contre le seul ennemi qui menace (les agriculteurs NDLR), c’est le virus », a-t-elle assuré à nos confrères.

Le 13/12 à 09h34

La ministre de l’Agriculture annonce que « près d’un million d’animaux » vont être vaccinés

Dans un entretien accordé à ICI, Annie Genevard, ministre de l’Agriculture, a annoncé que « près d’un million d’animaux » allaient être vaccinés contre la dermatose bovine.

« Nous allons, dans les semaines qui viennent, vacciner près d’un million d’animaux et donc, protéger les éleveurs », a-t-elle déclaré.

Le 13/12 à 07h42

Plusieurs rassemblements encore prévus ce samedi

Dans les Landes, une mobilisation des syndicats agricoles est prévue ce samedi à Mont-de-Marsan à partir de 9 heures rond point des pompiers pour préparer le cortège de tracteurs qui devrait se diriger en direction de la préfecture.

Dans le Tarn, plusieurs rassemblements sont aussi prévus à Castres et à Albi. Dans les Pyrénées-Orientales, les éleveurs seront réunis des 8 heures sur le rond-point de Villefranche-de-Conflent.

Le 13/12 à 07h07

Mobilisation sur l’autoroute A64

Des agriculteurs sont mobilisés sur l’A64 à Carbonne, en Haute-Garonne, ce matin. L’axe routier est actuellement dévié à la sortie 27, selon nos journalistes sur place.

Hier soir, l’autoroute A64 était « coupée dans les deux sens en direction de Toulouse et de Bayonne entre les sorties Tournay n°14 et Briscous n°3 suite à des manifestations », indiquait le gestionnaire de l’A64 sur X.

Le 13/12 à 06h10

Un premier cas de dermatose nodulaire confirmé dans le département de la Haute-Garonne

Dans un communiqué, le président de la Chambre d’agriculture de la Haute-Garonne, Christian Dequé, a annoncé hier qu’un premier cas de dermatose nodulaire a été confirmé dans le département.

La Haute-Garonne est le quatrième département d’Occitanie touché par la dermatose après les Pyrénées-Orientales, l’Ariège et les Hautes-Pyrénées.

« À ce jour, la zone réglementée, incluant les périmètres de protection et de surveillance, concerne 444 communes du département », a ajouté Christian Dequé. « Par ailleurs, la zone de vaccination est désormais étendue à l’ensemble du département. »

Le 13/12 à 06h05

Pour lutter contre la dermatose, Annie Genevard juge que « l’abattage est la seule solution »

Dans un entretien au Parisien publié hier, la ministre de l’Agriculture a défendu la stratégie d’abattage des troupeaux touchés par la dermatose nodulaire.

« Pour sauver toute la filière, l’abattage est la seule solution », a affirmé Annie Genevard, qui s’est cependant dit « ouverte au dialogue.

« Nous sommes aujourd’hui engagés dans une véritable course contre la montre contre le virus », a-t-elle encore souligné dans un message posté sur X.

Le 13/12 à 06h00

Les agriculteurs mobilisés contre la politique d’abattage organisent blocages et rassemblements

Bonjour à tous et bienvenue dans ce direct dédié à la mobilisation de ce samedi. Les agriculteurs continuent aujourd’hui à manifester leur colère contre l’abattage de troupeaux affectés par la dermatose bovine. Ils bloquent plusieurs axes du Sud-Ouest, notamment l’autoroute A64 à hauteur de Carbonne, en Haute-Garonne.

La Confédération paysanne, défendant une vaccination élargie, a appelé à des « blocages partout » pour aboutir à « la fin de l’abattage total ».

La Coordination rurale, autre syndicat agricole, a quant à elle appelé à manifester ce matin devant la permanence de la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, à Pontarlier (Doubs).

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