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Au Festival de Cannes 2025, le fabuleux destin d’Amélie Bonnin

Amélie Bonnin, à Pantin (Seine-Saint-Denis), en 2021. MARIE LEVI

C’est l’inconnue du bataillon. Wes Anderson, Jafar Panahi, Kelly Reichardt, Joachim Trier, Julia Ducournau, les frères Dardenne… Vingt-deux réalisateurs chevronnés, vingt-deux films en compétition officielle et, pour ouvrir (hors compétition) ce défilé de stars que s’apprête à accueillir le 78e Festival de Cannes, un nom sorti de nulle part : Amélie Bonnin, pour un premier film, Partir un jour.

Le geste est sans précédent au Festival, où le film d’ouverture est, en règle générale, un long-métrage grand public, au succès populaire annoncé. « On espérait trouver une place dans une sélection parallèle, convient la réalisatrice, les yeux écarquillés comme l’agneau de Pâques prêt à être sacrifié sur l’autel de la critique. Le 9 avril, la veille de la conférence de presse officielle du Festival, Sylvie Pialat, qui coproduit le film, nous appelle : “Est-ce que ça vous dit de faire l’ouverture ?” »

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