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Strasbourg: des militants sensibilisent à l’abattage animal pour Pâques

Ce samedi 19 avril, des militants de l’association 269 Life France ont mis en scène une action afin de sensibiliser sur la consommation de denrées animales en période de Pâques. Les membres dénoncent un « assassinat de masse ».

Une vingtaine de militants de l’association 269 Life France ont mis en scène samedi 19 avril à Strasbourg (Bas-Rhin) un « repas de Pâques à la française » pour dénoncer un « assassinat de masse » d’agneaux pour cette fête, a constaté un journaliste de l’AFP.

« Il faut savoir que le nombre d’agneaux abattus en France va doubler rien que pour cette fête archaïque. Notre message est clair et simple. Aucune religion, aucune tradition ne peut servir à justifier un assassinat de masse des êtres qui veulent vivre », a dit à l’AFP Jesper Ek, référent local de l’association 269 Life France, qui oeuvre « pour le respect des intérêts fondamentaux de tous les animaux ».

La mise en scène est là pour choquer: on voit, en plein milieu de la place Kléber, à Strasbourg, deux personnes en train de manger autour d’une table tâchée de faux sang, et ce même faux sang giclant sur les convives.

Table des matières

Montrer les images des abattoirs

Sur un plateau, on trouve une fausse tête de porc, accompagnée d’un panneau où est écrit « éventrés conscients, écaillés à vif, harponnés asphyxiés, certains cris sont silencieux ». En toile de fond, un haut parleur diffuse des sons semblables aux hurlements des animaux à l’abattoir.

« Non tu ne tueras point, non au repas sanglant au nom des religions, non au spécisme », crie une voix au microphone.

L’idée de cette action, durant le weekend de Pâques, était d’utiliser ce contexte particulier, « cette religion majoritaire en France pour parler aussi des autres religions et des subventions liées à l’élevage », selon Jesper Ek.

« Tout ce qui se passe dans les abattoirs, ça me choquera toujours autant, et ça me donne envie de partager » cette action, a réagi auprès de l’AFP Pauline Ferreri, 37 ans, qui ne mange plus de viande depuis 2016. ‘Voir les images’ de ce qu’il se passe dans les abattoirs lui a fait comprendre que « ça ne vaut pas le coup, pour moi. On peut se nourrir autrement et être en bonne santé ».

Un constat partagé par sa soeur Julia Ferreri, qui a, elle aussi, arrêté de consommer de la viande après s’être rendue compte qu’elle « était dans le spécisme ». Elle a aussi dit ne pas supporter les bruits qu’elle entend sur la place Kléber, mimant les hurlements d’animaux à l’abattoir.

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