Silvère Jarrosson, dans son atelier à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), en mai 2025. JULIEN BENHAMOU
C’est un pas de côté, une échappée qui s’ouvre sur des horizons à la fois fertiles et désertiques, à la croisée des arts et des sciences. En l’occurrence, quand l’œuvre d’un jeune peintre, Silvère Jarrosson, s’inspire des processus de création des formes de la nature.
Huit de ses toiles sont présentées dans la Grande Galerie de l’évolution, à Paris. Elles viennent clore l’exposition « Déserts » du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), prolongée jusqu’au 19 avril 2026. Ou comment l’art et la science, en dialoguant, en se nourrissant l’un de l’autre, « permettent de toucher des publics pas nécessairement intéressés par la science », a souligné Véronique Roy, chargée de mission arts et science au MNHN, lors d’une table ronde, le 13 octobre.
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