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Pourquoi une partie de la jeunesse se tourne vers une pratique plus fervente de la religion

BORIS SEMENIAKO

Ibtissem, 18 ans, a reçu la religion musulmane en héritage. Une affaire de culture plus que de spiritualité pour la jeune fille, qui n’a pas souhaité donner son nom de famille. A cette religion en particulier, et au sujet en général, elle ne s’était jamais beaucoup intéressée, explique l’étudiante. « J’avais reçu une éducation religieuse, mais je n’avais pas un intérêt particulier pour cette question », dit-elle. A 15 ans pourtant, tout change. « Mon lycée était en face de la grande mosquée de Strasbourg, une amie, nouvelle venue dans la ville et qui ne connaissait pas les lieux, m’a pressée d’y aller. Là-bas j’ai découvert un monde », raconte Ibtissem.

Elle est alors attirée par un programme destiné aux jeunes avec des réunions semaine après semaine durant lesquelles chacun peut poser une question, et la soumettre à l’imam. Elle y va une fois, deux fois, puis devient une membre active du groupe, pratique de façon toujours plus intensive, jusqu’à se voiler. « Il y a des différences entre mes parents et moi, admet-elle volontiers, moi je peux considérer ma pratique comme étant plus orthodoxe. »

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