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Derrière le redressement du déficit public italien vanté par Giorgia Meloni, une économie à la peine

Le Grand Canal de Venise vu depuis le pont de l’Académie, le 5 octobre 2024. ROGER LEMOYNE/REDUX -REA

Vue de l’extérieur, l’Italie de Giorgia Meloni ressemble à une île fortunée baignant dans les certitudes dans une Europe qui chancelle. La France est empêtrée dans un écheveau de crises, l’Allemagne a dépassé, en août, les 3 millions de chômeurs. Dans le même temps, les taux d’emprunt italiens à dix ans sont tombés au niveau des taux français, le 18 septembre, en lien avec une baisse spectaculaire du déficit public, passé de 7,2 % du produit intérieur brut (PIB) à 3,4 % entre 2023 et 2024.

La France, elle, accusant un déficit de 5,8 % du PIB, a vu le 12 septembre la note de sa dette dégradée de AA− à A+ par l’agence de notation Fitch. Le 19 septembre, celle de l’Italie était relevée de BBB à BBB+ par la même agence. La présidente du conseil d’extrême droite y a aussitôt vu la « confirmation que la voie empruntée par [son] gouvernement est la bonne ».

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