Skip to content

L’essentiel du jour, rien que pour vous.

« Correspondance avec des cinéastes » : François Truffaut, ses maîtres et ses pairs

Jean-Luc Godard (à gauche) et François Truffaut (à droite), sur le plateau de « Farenheit 451 », en 1966. PROD DB/NORMAN HARGOOD – ANGLO ENTERPRISES – VINEYARD/DR

« Correspondance avec des cinéastes. 1954-1984 », de François Truffaut, édité par Bernard Bastide, Gallimard, 528 p., 25 €, numérique 18 €.

Le 10 novembre 1948, à seulement 16 ans, François Truffaut (1932-1984) écrit au poète et cinéaste Jean Cocteau (1889-1963) pour l’inviter à son ciné-club parisien, où il projette le film Le Sang d’un poète (1932). « Ici, pas de flatteries, pas de bla-bla-bla d’usage, pas non plus de ces formules clichées qui n’ont pour résultat que de dissimuler la véritable personnalité de celui qui les emploie. » Si la voix de Truffaut, au cinéma, emprunte souvent les détours de la fiction, couchée par écrit, elle ne cesse de vouloir se tenir au plus près de la vie.

Après un passionnant volume consacré à la correspondance de François Truffaut avec des écrivains (Gallimard, 2022) – où il apparaissait que son amour de la littérature avait précédé sa passion pour le cinéma –, Bernard Bastide, journaliste et historien du cinéma, rassemble les lettres échangées entre Truffaut et d’autres cinéastes entre 1954 et 1984.

Il vous reste 84.79% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Source

No comment yet, add your voice below!


Add a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Initiales logo Exotik Garden
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.