« On en a assez de ce qui se passe aujourd’hui »: Thierry Breton, ancien commissaire européen, assure que la France « aura un budget » mais qu’il « finira au-dessus de 5% du déficit »


« On en a assez de ce qui se passe aujourd’hui »: Thierry Breton, ancien commissaire européen, assure que la France « aura un budget » mais qu’il « finira au-dessus de 5% du déficit »{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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Donald Trump s’en prend à la BBC, au moment où elle renégocie son contrat avec le gouvernement Starmer

Des passants marchent devant le siège de la BBC, à Londres, mardi 16 décembre 2025. ISABEL INFANTES / REUTERS

La pression est montée de plusieurs crans sur la BBC, mardi 16 décembre, après que Donald Trump a confirmé qu’il poursuivait le groupe d’audiovisuel public britannique pour diffamation auprès des tribunaux de l’Etat de Floride. Le président américain réclame 10 milliards de dollars (8,5 milliards d’euros) de dommages et intérêts, au motif que ses propos ont été déformés dans un épisode de l’émission d’investigation « Panorama », diffusé pour la première fois en octobre 2024, une semaine avant l’élection présidentielle américaine. Le discours que Donald Trump avait prononcé le 6 janvier 2021, juste avant la prise d’assaut du Capitole par ses soutiens, a été réédité et donne l’impression que le président les encourage activement à l’action violente.

L’équipe juridique de Donald Trump accuse la BBC d’avoir, à travers un montage vidéo, transformé son discours « intentionnellement, de manière malveillante et trompeuse ». L’institution aux 21 000 employés a cependant confirmé, mardi, qu’elle n’entendait pas négocier de compromis financier avec le chef d’Etat et qu’elle défendrait sa cause devant les tribunaux. Les avocats de la BBC ont déjà fait savoir à Washington que l’édition du discours de Donald Trump n’était pas malveillante et qu’elle ne lui avait pas porté préjudice – il a été réélu à la Maison Blanche en novembre 2024. Et l’émission « Panorama » n’était pas diffusée aux Etats-Unis, n’étant disponible que pour les téléspectateurs au Royaume-Uni.

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Séquestration sur fond de cryptomonnaie: un couple extorqué et violenté dans son domicile de Charente-Maritime, plusieurs millions d’euros dérobés

Un couple, dont le mari travaille dans la cryptomonnaie, a été séquestré et violenté, ce jeudi 18 décembre, par au moins trois malfaiteurs dans leur domicile de Charente-Maritime. Lorsque les gendarmes sont arrivés sur place, les malfaiteurs avaient déjà pris la fuite. Ils sont activement recherchés.

Ce jeudi 18 décembre, vers 5 heures du matin, la gendarmerie a été alertée qu’un couple venait d’être séquestré à son domicile, à Dompierre-sur-Mer, en Charente-Maritime, par au moins trois malfaiteurs, a appris BFMTV ce vendredi 19 décembre de source proche de l’enquête, confirmant une information du média spécialisé The Big Whale.

Lorsque les gendarmes sont arrivés sur place, les malfaiteurs avaient déjà pris la fuite. Ils sont activement recherchés.

Violentés pendant plusieurs heures

D’après cette source, les malfaiteurs sont restés plusieurs heures à violenter le couple, dont le mari travaille dans la cryptomonnaie, pour tenter d’accéder à leurs portefeuilles virtuels.

Ils ont finalement réussi à repartir avec une somme d’argent dérobée grâce à une clé Ledger, du nom de l’entreprise dont le cofondateur avait lui-même été enlevé, séquestré et mutilé il y a près d’un an.

« La clé Ledger est ce qu’on appelle un « cold wallet », c’est-à-dire un support physique qui contient de l’argent, c’est comme l’équivalent d’une carte bancaire avec laquelle on peut payer sans contact », précise à BFMTV cette source.

“Paie!”: Dette ou cryptomonnaie, comment expliquer l’enlèvement ultra-violent d’un père de famille dans le Val-d’Oise?

Plusieurs millions d’euros dérobés

Selon The Big Whale, les assaillants ont réussi à se transférer autour de 10 millions de dollars en cryptomonnaie. « Ils ont dérobé plusieurs millions d’euros », indique une autre source proche de l’enquête à BFMTV.

Contacté, le parquet de Rennes, dont la juridiction interrégionale spécialisée a pris la main sur l’enquête, n’a pas encore répondu à nos sollicitations.

Les investigations ont été confiées à la section de recherches de Poitiers et à l’unité nationale cyber de la gendarmerie.

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L’ancien président du Louvre Jean-Luc Martinez nie avoir négligé « la prévention contre le vol »

Jean-Luc Martinez, à Paris, le 10 mars 2016. ETIENNE LAURENT / AFP

L’ancien président du Louvre Jean-Luc Martinez, destinataire de deux audits de sûreté alarmants pendant son mandat (2013-2021), a récusé, mardi 16 décembre, avoir négligé « la prévention contre le vol » au sein du musée. « Contrairement à ce que j’ai lu, la culture de la prévention contre le vol n’avait pas disparu », a-t-il déclaré, lors de sa première audition devant la commission des affaires culturelles du Sénat.

Jusqu’à présent, ce haut fonctionnaire a été globalement épargné par la polémique qui éclabousse sa successeure, Laurence des Cars, depuis le cambriolage du 19 octobre, qui a mis à nu le sous-équipement sécuritaire du musée. C’est toutefois pendant sa présidence qu’ont été menés deux audits sécuritaires en 2017 et 2019, dont l’un pointait précisément la « vulnérabilité » du balcon emprunté par les cambrioleurs en octobre.

« Il est extrêmement étonnant, voire sidérant de constater que les failles de sécurité qui ont permis aux malfaiteurs de réussir dans leur entreprise le 19 octobre dernier avaient toutes été identifiées », a affirmé le sénateur Laurent Lafon en lançant l’audition. « Aucune des directions qui se sont succédé n’est exempte de reproche », a-t-il assuré.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Le spectaculaire cambriolage du Louvre met en lumière les failles de sécurité du plus grand musée du monde

Il se défend de toute négligence

Se disant « meurtri » par le cambriolage, M. Martinez s’est défendu de toute négligence. Il a assuré qu’une « cartographie des risques » avait été établie dès 2014-2015 et rappelé qu’un « schéma directeur de sûreté » avait été lancé au Louvre en 2017-2018, pendant son mandat et dans un contexte sécuritaire tendu marqué par les attentats du 13-Novembre ou le mouvement des « gilets jaunes ». Ce plan prévoyait, selon lui, l’installation d’un PC sécurité centralisé et de caméras périmétriques, dont l’absence a été montrée du doigt après le cambriolage.

Selon l’ancien dirigeant, ces travaux ont toutefois été retardés par la fermeture du Louvre « pendant dix mois » à cause de la pandémie de Covid-19. Il y a eu « une difficulté à mettre en œuvre un certain nombre de dispositions », a déclaré M. Martinez, nommé à la fin de 2021 ambassadeur pour la coopération internationale sur le patrimoine.

Interrogé sur les lacunes de ce plan pointées récemment par sa successeure, M. Martinez s’est là aussi défendu. « Nous pensions que ce schéma directeur de sûreté était suffisant », a-t-il estimé, assurant que sa priorité était que ce plan soit « prêt pour les Jeux olympiques » de 2024 à Paris. Encore aujourd’hui, ce schéma directeur n’a pas encore commencé à être mis en œuvre, selon la Cour des comptes.

M. Martinez a également contesté toute déperdition d’information lors du passage de relais à la fin de 2021 à Laurence des Cars, qui a dit avoir pris connaissance de l’existence d’audits sécuritaires après le cambriolage. « Il y a eu continuité de service entre mon dernier mandat et l’action de Laurence » des Cars, a-t-il assuré. « Mais il faut savoir ce que ça signifie que de transmettre l’historique (…) d’un établissement public riche de 2 300 équivalents temps plein, avec 3 hectares de jardin, 250 000 mètres carrés » de superficie totale.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Depuis le cambriolage au Louvre, les musées français sous tension

Le Monde avec AFP

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DIRECT. Affaire Mbappé/PSG: Paris condamné à payer plusieurs dizaines de millions, suivez les réactions en live

16/12

C’est fini pour l’intervention des avocats de Mbappé dans l’After

Vous l’aurez compris, la défense du joueur se satisfait de la décision rendue ce mardi par le conseil de prud’hommes de Paris.

Le PSG aura un mois pour faire appel – s’il le souhaite – après la notification du jugement. L’écriture du jugement peut prendre du temps et pourrait tomber dans plusieurs semaines.

16/12

« On ne les a pas pris en traîtres », rappelle Me Delphine Verheyden

Me Delphine Verheyden: « Mbappé voulait ses salaires et sa prime, c’est tout. On s’est rendu compte que ce n’était pas possible. A la demande de Kylian et de sa famille, j’ai constitué cette équipe de travail avec mes trois confrères. On a fait une conférence de presse, on ne les a pas pris en traîtres. Ils n’ont pas voulu payer. On a continué à dérouler, jusqu’à aujourd’hui. »

16/12

Mbappé « est soulagé, content, égal à lui-même »

Me Delphine Verheyden: « il est soulagé, content, égal à lui-même. Cela fait 10 ans que je le représente, il est déterminé, passionné par son métier. Il est satisfait, content que ça se termine. Il a une grande confiance dans le travail fait par ses équipes. »

16/12

« Une volonté de vouloir nuire à l’image de Kylian », assure la défense du joueur

Me Delphine Verheyden: « L’objectif de cette procédure était d’obtenir les salaires et les primes qui manquaient. C’était la feuille de route donnée par Kylian Mbappé (…) Kylian n’était pas dans un combat personnel. Est-ce humiliant de devoir écrire ce qu’on devait ? Kylian était dans un combat de principe. Quand on travaille, on mérite d’être payé. En demandant ces publications en homepage du PSG, l’idée est que ça mérite d’être su. Il y a eu un débat d’images en coulisse, une volonté de vouloir nuire à l’image de Kylian. Ce n’est pas juste. Quels sont nos moyens, à part faire savoir ce qu’il s’est réellement produit ? On aura tout fait pour que les choses soient sur la table. »

16/12

Le PSG a un mois pour faire appel

Le PSG a un mois pour faire appel après la notification du jugement. L’écriture du jugement peut prendre du temps et pourrait tomber dans plusieurs semaines.

N.Pelletier

16/12

Le PSG n’a « pas payé par orgueil », estime la défense de Mbappé

Me Thomas Clay: « Ils n’ont pas payé par orgueil. Ils n’ont pas supporté que leur joyau parte au Real Madrid. Pourquoi après les deux décisions obtenues devant la Ligue, le PSG ne les a pas exécutées ? Je n’ai jamais vu un club qui n’exécute pas les décisions (…) Il faut arrêter cette fiction de dire que le PSG a perdu de l’argent avec Kylian Mbappé. Ils ont gagné tellement pendant des années. On ne peut pas dire que le PSG s’est fait flouer par Mbappé. Revenons à la réalité. »

16/12

Maître Verheyden détaille la procédure judiciaire

Me Delphine Verheyden: « ma stratégie était de laisser une chance aux institutions sportives pour qu’elles jouent leur rôle à plein. Le système est bien fait. Dans le sport, il est encore mieux fait. Il est dit que lorsque vous vous engagez pour un club, vous signez un contrat qui doit être homologué auprès de la Ligue. Si vous voulez modifier ce contrat, vous devez le faire par voie d’avenant. Si vous aviez des discussions pour changer ce contrat mais que vous oubliez de signer le papier, dans les 15 jours, tout ce que vous avez raconté est nul et non avenu. »

16/12

« C’est un salarié qui n’a pas été payé par son employeur »

Me Thomas Clay, avocat de Kylian Mbappé, dans l’After sur RMC: « c’est un salarié qui n’a pas été payé par son employeur. Si c’était si simple, on en serait pas là. Il a fallu déployer une armada de préocédures pour contraindre le PSG, qui avait une réalité parallèle, la pensée magique. C’est vrai qu’on a gagné, mais ce n’était pas évident. On a fait comme le PSG, on a fait un contre-pressing, on a attaqué au pénal, au social, au judiciaire. On a fait comme ils ont fait pour gagner la Coupe d’Europe. »

16/12

« Les avocats du PSG sont partis sur un récit parallèle à ce que dit le droit du travail », juge Me Delphine Verheyden

Me Delphine Verheyden, avocate de Kylian Mbappé dans l’After Foot sur RMC: « Vous nous auriez posé la question avant, on vous aurait dit ‘on ne voit pas comment on peut perdre’. Il n’y a rien de pire que d’entendre la partie adverse plaider. Quand on est sorti de l’audience, on s’est dit qu’on ne voyait pas comment on peut perdre sur la partie contractuelle, le coeur du dossier. Depuis plus de 18 mois, Kylian Mbappé réclamait le paiement de ses trois derniers mois de salaire et du dernier tiers de sa prime de signature qui avait été négociée au moment où il a renouvelé son contrat pour deux saisons plus une (en 2022). Il a joué jusqu’au bout et à la fin, le PSG a arrêté de le payer. Ce n’était pas normal. Il y a eu tellement de feuilletons. Les avocats du PSG sont partis sur un récit parallèle à ce que dit le droit du travail. »

16/12

« Le récit fait par le PSG pendant ces années était totalement fantasque », dénonce l’une des avocates de Mbappé

Me Frédérique Cassereau: « on n’a pas parlé de méthode de ‘voyous’, c’était plus subtil que ça. Le récit qui a été fait par le PSG pendant ces années était totalement fantasque. Il ne correspondait pas à la réalité de ce qu’avait vécu le joueur sur le terrain. Mbappé n’est pas le premier à se plaindre des méthodes du PSG, qui a déjà été condamné pour cette méthode. Le foot n’est pas une zone de non droit. Ce n’est pas une guerre personnelle, c’est une question de principe. J’espère que le PSG aura l’élégance d’accepter la décision et de payer spontanément. »

Me Pierre-Olivier Sur: « Il n’y avait pas de suspense. On a gagné trois fois. »

16/12

Mbappé « satisfait » du jugement rendu, selon ses avocats

Me Frédérique Cassereau, l’une des avocates de Kylian Mbappé, sur BFMTV: « Il est très satisfait. C’est une décision qu’il attendait depuis 18 mois. Il considère, tout comme nous, que c’est une victoire. Ça correspond à un calcul mathématique basé sur la rémunération qu’un club de football accepte de verser à ce niveau. »

Me Pierre-Olivier Sur: « ce qu’on réclamait au départ, c’était 55 millions d’euros. Dans le cadre de la négociation, la sauce monte mais ce que nous attendions, c’était cette somme-là. Nous l’avons obtenu. Ce n’est que le respect du droit, de la loi. Nous l’avions obtenu une première fois devant les instances sportives, une deuxième fois. C’est une troisième fois. Et un, et deux et trois zéros. Il n’y a pas de grande surprise. On a mis une équipe très compliquée. C’était deux équipes l’une face à l’autre. On a joué comme un rouleau-compresseur. On a fait saisir les comptes, on a mis du pénal. On a essayé tous les coups possibles. Au bout de l’entonnoir, c’est Frédérque (Cassereau) qui a marqué le but. »

Plus d’informations ici.

16/12

Plus de 60 millions d’euros, le détail des sommes dues par le PSG à Mbappé

Après sa condamnation devant le conseil des Prud’hommes, le PSG doit verser après notification du jugement les sommes suivantes à Kylian Mbappé, avec exécution provisoire.

36.666.680 euros brut à titre de rappel de troisième échéance de prime de signature. 3.666.666 euros à titre de congés payés sur rappel de troisième échéance. 17.250.000 euros à titre de rappel de salaire des mois d’avril, mai et juin 2024. 1.725.000 euros à titre de congés payés sur rappel de salaire avril, mai et juin 2024.

1,5 million d’euros à titre de rappel de primes d’éthique des mois d’avril, mai et juin 2024. Et 150.000 euros brut à titre de congés payés sur rappel de prime d’éthique d’avril, mai et juin 2024. La publication de l’intégralité du jugement devra être en première page du site internet du PSG pendant un mois à compter de la notification et signification du jugement.

NPe

Plus d’informations ici.

16/12

« Le Paris Saint-Germain a toujours agi de bonne foi », la réaction du PSG après le verdict dans l’affaire Mbappé

Le communiqué du PSG sur l’affaire Mbappé:

« Le Paris Saint-Germain prend acte du jugement prononcé par le Conseil des Prud’hommes de Paris, qu’il exécutera, tout en se réservant le droit de faire appel.

Le Paris Saint-Germain a toujours agi de bonne foi et avec intégrité, et continuera à le faire.

Le Club se tourne désormais vers l’avenir, fondé sur l’unité et la réussite collective, et souhaite au joueur le meilleur pour la suite de sa carrière. »

16/12

Le PSG affiche sa satisfaction dans l’affaire Hamraoui

Condamné par les Prud’hommes dans l’affaire Mbappé, le PSG a en revanche obtenu gain de cause dans l’affaire Hamraoui. Le club parisien a publié un communiqué après cette décision:

« Le Paris Saint-Germain prend acte de la décision du Conseil des prud’hommes, qui confirme que le Club a agi dans le respect du droit et de ses obligations contractuelles tout au long de la relation de travail avec Mme Hamraoui.

Nous espérons que cette décision permettra de refermer définitivement ce chapitre. Le Paris Saint-Germain continue d’avancer, résolument tourné vers ses projets sportifs et concentré sur l’avenir de son collectif.

Le Paris Saint-Germain rappelle par ailleurs qu’il s’est constitué partie civile dans la procédure pénale aux côtés de Mme Hamraoui avec le souhait que toute la lumière soit faite sur son agression et que les responsabilités soient clairement établies. »

16/12

Le PSG devrait réagir par communiqué

Le PSG ne fera aucune déclaration pour le moment. Un communiqué de presse devrait être diffusé dans quelques minutes. Aucun avocat du PSG ne prendra la parole devant les nombreux micros présents.

NPe et VJ

16/12

Les 61 millions d’euros sont « une victoire » pour le clan Mbappé

« Nous avons tout fait pendant plus de 18 mois pour réduire ce litige aux mois de salaires et à la prime qui était due. C’est donc une victoire », ont assuré les avocates du joueur.

« Ce n’est pas du tout un enjeu personnel. C’est simplement l’idée qu’il y a un principe fondamental: lorsqu’on exécute un travail, on est payé pour ça. »

16/12

Le clan Mbappé veut que le PSG paye le plus rapidement possible

« Le tribunal a ordonné l’exécution provisoire, ce qui indique que le club doit payer dès à présent », ont précisé les avocates du joueur. Avant de lancer: « Le foot n’est pas une zone de non droit. Nous espérons que le PSG pourra s’exécuter spontanément sans qu’on ait à passer par voie d’huissier. Cela serait élégant. »

16/12

Les avocates de Kylian Mbappé « très satisfaites »

À la sortie du conseil, les deux avocates du joueurs ont pris la parole. « Nous sommes très satisfaits. C’est une victoire que l’on attendait depuis longtemps. C’est la troisième fois que cette décision de condamnation est confirmée », a indiqué une conseille de l’attaquant.

Et sa consoeur d’ajouter: « Cela fait 18 mois que Kylian Mbappé réclame la même chose: le paiement de ses salaires et de sa prime pour le travail qu’il avait effectué. Les deux premières fois le club ne voulait pas payer car il atttendait une décision aux prud’hommes et bien voilà, elle est là. »

16/12

Hamraoui déboutée face au PSG

Seule bonne nouvelle du jour pour le PSG, Kheira Hamraoui a elle été déboutée de ses demandes dans le litige qui l’oppose au club de la capitale.

16/12

Le PSG va devoir publier le jugement sur son site internet

Le conseil des Prud’hommes ordonne également publication de l’intégralité du jugement pendant un mois sur la première page du site internet du PSG.

NPe et VJ

16/12

Le PSG débouté de l’ensemble de ses demandes

Le PSG est débouté de l’ensemble de ses demandes. Au total, le PSG doit verser les 55 millions d’euros plus des congés payés. Au total, les avocats de Kylian Mbappé font savoir que le montant total tourne autour des 61 millions d’euros.

Les avocats du joueur ont fait part de leur très grand satisfaction à la sortie de l’audience.

NPe et VJ

16/12

Le somme que doit payer le PSG est connue

Le conseil annonce une exécution immédiate du jugement, le chiffrage tourne autour de 61 millions d’euros.

NPe et VJ

16/12

Le PSG condamné à verser plusieurs millions d’euros à Mbappé

Le conseil des Prud’hommes devait rendre ce mardi une décision capitale dans le cadre du litige qui oppose le PSG à son ancienne star, Kylian Mbappé. Les quatre juges ont décidé de condamner le PSG qui devra verser plusieurs millions d’euros au joueur. Le club a la possibilité de faire appel. Le détail des sommes est à suivre dans quelques secondes sur RMC Sport.

Pour rappel, le PSG avait réclamé 440 millions d’euros à son ancien joueur, lors de l’audience en novembre dernier. Alors que dans le même temps, le clan Mbappé, par la voix de ses avocats, avait réclamé 263 millions d’euros au club de la capitale.

>> Plus d’informations sur la décision dans notre article

NPe et VJ

16/12

Neuf avocats au total

Côté Kylian Mbappé, cinq avocats sont présents ce mardi sans la salle d’audience du conseil des prud’hommes. Côté PSG, quatre avocats représentent le club de la capitale.

16/12

Les avocates de Mbappé arrivent dans la salle

Delphine Verheyden et Frédérique Cassereau, les avocates de Kylian Mbappé, viennent d’entrer dans la salle d’audience. Les avocats du PSG, Me Renaud Semerdjian en tête, sont présents dans la salle depuis plusieurs minutes.

16/12

L’impressionnant dispositif médiatique sur place

À noter une grande présence médiatique à l’extérieur du conseil des Prud’hommes, où les caméras doivent attendre. De nombreux journalistes sont aussi dans la salle d’audience, au rez-de chaussée du conseil.

16/12

Décision attendue vers 13h

La décision dans les deux dossiers est attendue vers 13h au Conseil des prud’hommes dans le 10e arrondissement de la capitale. RMC Sport est présent sur place pour relayer toutes les informations.

16/12

Hamraoui réclame 3,5 millions d’euros au PSG

Dans le même temps, une affaire avec un peu moins d’enjeu financier va connaître sa décision. Face aux insultes de ses coéquipières, le silence et sa « mise à l’écart » du PSG, Kheira Hamraoui, passée à tabac en 2021 avec la complicité présumée d’une collègue, a demandé en novembre dernier près de 3,5 millions d’euros à son ancien club.

>> Pour se rappeler des détails du dossier

16/12

Ce qu’il faut attendre de la journée dans le dossier Mbappé/PSG

Dans cette affaire complexe et très médiatisée, Kylian Mbappé réclame 263 millions au PSG sur la base notamment d’une requalification de son contrat de CDD en CDI, alors que le PSG demande 440 millions à son ancien buteur.

Plusieurs scénarios s’offrent aux quatre conseillers prud’homaux ce mardi et le dossier pourrait se prolonger dans la durée.

>> Le bras de fer à 700 millions d’euros: nouvelle étape du dossier PSG-Mbappé attendue ce mardi aux prud’hommes

16/12

Bonjour à tous

Et bienvenue dans ce direct où vous retrouverez toutes les informations relatives aux deux décisions qui doivent être données ce mardi au conseil des prud’hommes de Paris. La première concerne le litige entre Kylian Mbappé et le PSG tandis que la seconde implique Kheira Hamraoui et le même club.

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Attentat en Australie : Israël exige des gouvernements occidentaux qu’ils luttent contre l’antisémitisme

Benyamin Nétanyahou, à Jérusalem, le 10 novembre 2025. RONEN ZVULUN / REUTERS

Benyamin Nétanyahou a dit, mardi 16 décembre, exiger que les gouvernements occidentaux luttent fermement contre l’antisémitisme et qu’ils assurent la sécurité des « communautés juives dans le monde », deux jours après l’attentat de Sydney.

« J’exige des gouvernements occidentaux qu’ils fassent ce qui est nécessaire pour lutter contre l’antisémitisme et qu’ils assurent la sécurité et la protection nécessaires aux communautés juives dans le monde », a déclaré le premier ministre israélien dans un bref message vidéo en hébreu transmis par son bureau. « Ils seraient bien avisés de prêter attention à nos avertissements. J’exige qu’ils agissent, maintenant », a-t-il ajouté.

Dimanche soir, un père et son fils ont tiré sur une foule rassemblée sur la plage de Bondi à Sydney, pour la fête juive de Hanoukka, faisant au moins 15 morts et 42 blessés.

Les autorités australiennes ont qualifié l’attentat d’« antisémite » et de « terroriste », déclarant que l’attaque visait à semer la panique parmi les juifs du pays, et que les assaillants étaient probablement « motivés par l’idéologie » du groupe djihadiste Etat islamique.

L’attentat a entraîné un énorme choc en Israël, ravivant le traumatisme de l’attaque sanglante du 7 octobre 2023 menée par le Hamas. Dès dimanche soir, Benyamin Nétanyahou avait accusé l’Australie d’avoir « jeté de l’huile sur le feu de l’antisémitisme » bien avant l’attentat, notamment en reconnaissant l’Etat palestinien en septembre avec d’autres pays occidentaux. Le premier ministre israélien avait affirmé avoir écrit « il y a trois mois » au premier ministre australien, Anthony Albanese, pour dénoncer cette décision.

Le Monde avec AFP

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Le Débrief de la tech


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Dermatose nodulaire : 750 000 bovins vont être vaccinés dans les « semaines qui viennent », affirme la ministre de l’agriculture

La ministre de l’agriculture, Annie Genevard, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 16 décembre 2025. SARAH MEYSSONNIER/REUTERS

Un total de 750 000 bovins seront vaccinés contre la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) de la manière « la plus rapide possible », a annoncé, mardi 16 décembre, la ministre de l’agriculture, Annie Genevard. La vaccination s’effectuera dans les départements où se trouvent les foyers d’épidémie (Ariège, Aude, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Pyrénées-Orientales) ainsi que dans ceux intégrés au cordon sanitaire (Gers, Hérault, Landes, Pyrénées-Atlantiques, Tarn).

« Dans les semaines qui viennent, il faut que l’intégralité de [ce] cheptel soit vacciné et nous nous y employons », a ajouté la ministre de l’agriculture, à la sortie d’une réunion de crise à Matignon, en précisant notamment que les troupeaux des « 1 000 exploitations de l’Ariège » seront « intégralement vaccinés » d’ici à la fin de l’année.

« Mais pour ça, il faut absolument qu’on ait les doses de vaccins disponibles et qu’on arrête de courir après les doses comme on est en train de le vivre en ce moment », a prévenu Yohann Barbe, président de la Fédération nationale des producteurs de lait.

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Dans la journée, Sébastien Lecornu a tenté de rassurer les éleveurs très mobilisés dans le Sud-Ouest contre la gestion gouvernementale de la DNC, en promettant d’« accélérer » la vaccination. « Et pour cela, on a besoin de doses, on a besoin de lever un certain nombre de freins logistiques », a affirmé le premier ministre devant l’Assemblée nationale, en annonçant la mobilisation des vétérinaires de l’armée. Dans un communiqué, le gouvernement a ajouté que les vétérinaires à la retraite, volontaires, pourront aussi y participer, ainsi que les élèves vétérinaires.

Un stock de cinq cent mille doses de vaccin

Le chef de gouvernement a insisté sur la nécessité de rendre disponibles les doses de vaccin « au plus près » des élevages. Pour cela, le gouvernement assure que le stock de 500 000 doses est déjà en cours d’acheminement auprès des cabinets vétérinaires des départements concernés. Les premières vaccinations ont déjà été réalisées en Ariège, dans les Hautes-Pyrénées et dans les Pyrénées-Orientales, poursuit le communiqué.

« Une nouvelle commande de doses vaccinales supplémentaires a été réalisée la semaine dernière et est en cours de conditionnement aux Pays-Bas. Une première livraison de 400 000 doses sera acheminée sur place par la mobilisation des logisticiens des armées et de la sécurité civile dès le 18 décembre », détaille le texte.

Enfin, le gouvernement a décidé d’activer un fonds de plus de 10 millions d’euros destiné à assurer un soutien direct aux petits élevages des zones touchées. Il sera complété par un mécanisme d’exonération des charges fiscales et sociales.

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Cent treize foyers découverts depuis juin

Au total, 113 foyers de DNC ont été recensés en France, depuis l’apparition de la maladie, en juin en Savoie. A ce jour, « il n’y a plus de foyers infectieux », a assuré la ministre de l’agriculture. Plus de 3 300 bêtes ont été abattues sur un cheptel national bovin de quelque 16 millions de têtes.

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Sébastien Lecornu a par ailleurs dénoncé, lors des questions au gouvernement, l’« amalgame » qui a pu être fait entre les éleveurs « et 40 à 50 militants de l’ultragauche (…) venus s’immiscer » dans leurs manifestations avec « des armes par destination ». « Il n’y a pas de place pour cette violence », a-t-il lancé en direction des députés de La France insoumise.

Au lendemain d’une visite en Occitanie d’Annie Genevard, la mobilisation des agriculteurs ne retombait pas, au septième jour de suite, avec plusieurs axes routiers et ferroviaires bloqués dans le Sud-Ouest. Une partie des agriculteurs, surtout de la Coordination rurale, proche de l’extrême droite, et de la Confédération paysanne, classée à gauche, conteste la stratégie d’abattage systématique d’un troupeau de bovins dès la détection d’un cas.

« Il n’y a pas grand-chose qui a changé », a déclaré Jérôme Bayle, figure du mouvement agricole de 2024, sur BFM-TV. « On s’oppose fermement à l’abattage total du moment qu’on a vacciné », a-t-il souligné depuis un point de blocage de l’A64.

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Le premier ministre recevra vendredi les différents syndicats agricoles, dont certains critiquent la gestion de cette maladie et sont aussi indignés par la perspective d’une signature du traité de libre-échange entre l’Union européenne et des pays latino-américains du Mercosur.

La FNSEA, premier syndicat agricole, a appelé à manifester à Bruxelles jeudi à l’occasion du sommet des chefs d’Etat européens invités à valider l’accord. Emmanuel Macron, qui a demandé un report à 2026 du vote prévu à Bruxelles, a redit lundi soir aux dirigeants de l’UE, lors d’un déplacement à Berlin pour des échanges sur l’Ukraine, son opposition à la signature de l’accord.

Et le Sénat a voté mardi une résolution invitant le gouvernement français à saisir la Cour de justice de l’Union européenne pour « faire barrage » à l’accord de libre-échange, accusant Bruxelles de « contourner les Parlements nationaux ».

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Le Monde avec AFP

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« Zootopie 2 »: Pourquoi le personnage de Gary fait exploser les ventes de serpents en Chine?

Le petit serpent bleu, au cœur de l’intrigue du deuxième volet de la franchise Disney, connaît un véritable engouement en Chine à tel point que certains spectateurs veulent adopter de vrais serpents à l’effigie de Gary, qui sont hautement venimeux.

Depuis la sortie de Zootopie 2 en Chine fin novembre, un phénomène inattendu prend de l’ampleur dans le pays: l’engouement pour Gary De’Snake, serpent bleu mis à l’honneur dans le nouveau film Disney, pousse certains spectateurs à vouloir adopter de vrais serpents hautement venimeux.

D’après le média américain CNN, depuis la sortie de Zootopie 2, les plateformes de e-commerce chinoises ont enregistré un pic de recherches pour l’achat de Trimeresurus insularis, une vipère bleue originaire d’Indonésie dont l’apparence rappelle celle de Gary.

Un phénomène tel que plusieurs médias chinois ont été contraints de mettre en garde les futurs propriétaires face aux dangers de cette espèce venimeuse. Si Gary est présenté dans Zootopie 2 comme un serpent courageux et attendrissant, la véritable vipère bleue est quant à elle « loin d’être un jouet inoffensif à la mode », rappelle le média chinois The Beijing News.

Une fuite ou une morsure pourrait ainsi, selon le journal, devenir « un véritable problème de sécurité publique ». D’autant que, si élevage de la vipère indonésienne n’est pas illégal en Chine, la loi du pays interdit toutefois l’envoi par courrier d’animaux vivants ou de substances dangereuses.

« Une meilleure image des reptiles »

Dans Zootopie 2, Gary, aidé par le duo emblématique de la franchise Judy Hopps et Nick Wilde, cherche à laver la réputation de sa famille et de tous les reptiles, souvent jugés comme étant des créatures effrayantes et dangereuses.

D’après CNN, c’est en raison de la représentation positive et attachante qui est faite des serpents dans le film de Disney, que ces reptiles connaissent un regain de popularité en Chine.

« Zootopie 2 aide à donner une meilleure image des reptiles comme animaux de compagnie. Ce ne sont pas des créatures étranges, et Gary en est le meilleur exemple », explique auprès de CNN, Qi Weihao, un chinois de 21 ans qui fait l’acquisition d’une vipère bleue deux jours seulement après la sortie du long-métrage en salles.

Des produits dérivés déjà en rupture de stock

Face aux risques qu’entraîne cet engouement soudain pour les vipères bleues d’Indonésie, plusieurs réseaux sociaux chinois tels que Douyin (plateforme similaire à TikTok), Xiaohongshu ou Xianyu (site de commerce) ont fait supprimer des annonces de mise en vente de ce serpent.

Certains fans se sont alors rabattus sur des produits dérivés à l’effigie de Gary. Sur Taobao (l’une des principales plateformes de vente en Chine), les peluches et figurines du serpent bleue figurent parmi les meilleures ventes hebdomadaires du site, et certaines sont même déjà en rupture de stock.

Même constat au parc Disneyland de Shanghai où plusieurs employés ont assuré auprès de CNN que la peluche officielle de Gary était déjà introuvable en boutique. Un engouement qui reflète le succès de Zootopie 2 au box-office.

En Chine, ce second volet, sorti à la fin de l’Année du Serpent dans le calendrier zodiacal chinois, est en effet devenu le film d’animation étranger le plus rentable de tous les temps dans le pays avec plus de 3,55 milliards de yuans (503 millions de dollars) de recettes. À l’échelle mondiale, Zootopie 2 a également franchi la barre du milliard de dollars au box-office.

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Le budget de la « Sécu » définitivement adopté à l’Assemblée nationale sans recours au 49.3

La ministre de la santé, Stéphanie Rist, lors d’un débat précédant le vote final sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 16 décembre 2025. SARAH MEYSSONNIER/REUTERS

Même Assemblée, même vote. Mardi 16 décembre, les députés ont définitivement adopté le budget de la Sécurité sociale, par 247 voix contre 232. Alors que l’ancien premier ministre Michel Barnier avait échoué à cette épreuve il y a un an, son successeur à Matignon, Sébastien Lecornu, valide son premier pari : faire passer le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026 sans avoir recours à l’article 49.3 de la Constitution. Les esprits sont désormais tournés vers l’adoption du budget de l’Etat, qui s’annonce bien plus complexe.

En réalité, tous les députés avaient déjà en tête le projet de loi de finances (PLF). Le vote du jour ne devait être qu’une formalité, après l’adoption du PLFSS à l’Assemblée, mardi 9 décembre, à une courte majorité de 13 voix, et un rejet immédiat par le Sénat, quelques jours après, pour gagner du temps et donner le « dernier mot » à la représentation nationale, seule chambre en mesure de trancher les différends irréconciliables entre les deux assemblées.

C’était donc le même texte, à la virgule près, qui était de retour au Palais-Bourbon. Encore fallait-il éviter toute mauvaise surprise liée à des changements de vote de dernière minute ou à une éventuelle démobilisation d’un camp. C’est chose faite, avec le même nombre de voix favorables que la semaine dernière et deux voix contre en moins.

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