Le covoiturage progresse (légèrement) en Île-de-France, autour de Lyon, Biarritz ou Orléans mais recule à Bordeaux, selon le baromètre de Vinci Autoroutes

Le covoiturage est en très légère hausse aux abords de 12 grandes métropoles françaises, selon le 8e baromètre de Vinci Autoroutes. Mais ces résultats restent insuffisants au regard des objectifs climatiques de la France.

Les Français se mettent petit à petit au covoiturage. Cette pratique de partage de la voiture progresse très légèrement en France, mais reste encore trop peu pratiqué, notamment aux heures de pointe, selon la 8e édition du baromètre de « l’autosolisme » de Vinci Autoroutes.

Selon les données recueillies par cette étude, grâce à cette progression, 84% des conducteurs ont circulé seuls dans leur véhicule l’an dernier contre 85,7% un an auparavant.

L’autosolisme, qui désigne le fait d’être seul à bord d’un véhicule, est donc en recul, notamment en Ile-de-France (-9,5%), aux abords d’Orléans (-7,1%), de Biarritz (-6,2%) ou de Lyon (-5,3%).

« A l’inverse, Bordeaux voit son taux d’autosolisme augmenter de 5,4% sur un an, après une embellie à l’automne 2024 », relève Vinci Autoroutes dans un communiqué.

Un pic de covoiturage à 9h45

Pour mener cette enquête, le groupe a noté le nombre de passagers dans 1,3 million de véhicules sur le réseau autoroutier géré par la société autour de 12 métropoles entre le 10 et 30 juin.

Les résultats ont été obtenus grâce à la technologie Cyclope.ai.: des caméras installées sur les portiques capturent entre 7H00 et 10H00 du matin des images du trafic sur des sections urbaines et périurbaines du réseau Vinci Autoroutes, « dans le respect de l’anonymat des conducteurs et de leurs passagers », précise le groupe autoroutier. Les données sont ensuite analysées par un logiciel d’intelligence artificielle.

La pratique du covoiturage aux heures de pointe est ainsi « en hausse dans neuf métropoles », détaille le groupe. Mais « c’est à 8H00 du matin que la proportion de covoiturage est la plus faible (13,9%) », avant d’augmenter « progressivement au cours de la matinée », à 23% à 9Hh45.

Loin de l’objectif

En moyenne, le taux d’occupation « reste très bas », à 1,25 occupant par véhicule, bien inférieur à l’objectif des 1,75 fixé par la stratégie nationale bas carbone (SNBC, feuille de route pour la France vers la décarbonation) d’ici 2030.

Le gestionnaire autoroutier a également interrogé 248 utilisateurs sur 15 parkings de covoiturage du réseau Vinci Autoroutes: 39% des usagers questionnés ne covoituraient pas avant la création d’un parking dédié à cet usage – pour que les passagers se retrouvent et laissent la voiture de ceux qui ne conduisent pas sur le trajet réalisé en commun.

Leurs motivations? Economiques (pour 34% des personnes), pratiques et conviviales (28%), écologiques (26%) ou tout simplement parce que les personnes n’ont pas d’autres solutions pour se rendre au travail (12%).

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EN DIRECT, guerre en Ukraine : Donald Trump affirme qu’il « faudra bien » que Volodymyr Zelensky accepte le plan américano-russe

Le plan américain pour l’Ukraine peut « servir de base à un règlement définitif » du conflit, affirme Poutine, menaçant d’atteindre ses objectifs « par les armes », en cas de refus

Le président russe a estimé vendredi que le plan proposé par les Etats-Unis pour l’Ukraine peut « servir de base à un règlement pacifique définitif » de la guerre, menaçant de conquérir plus de territoire si Kiev venait à le rejeter. « Cependant, ce plan n’est pas discuté avec nous de manière concrète », a ajouté M. Poutine, lors d’une réunion gouvernementale retransmise à la télévision.

« Nous sommes prêts à mener des négociations pacifiques et à résoudre les problèmes par des moyens pacifiques. Cependant, cela nécessite bien sûr une discussion approfondie de tous les détails du plan proposé. Nous y sommes prêts », a-t-il ajouté.

Selon lui, ce plan en 28 points, vu avec inquiétude à Kiev, n’a été évoqué entre Moscou et Washington que « dans les grandes lignes », les Américains ayant demandé aux Russes de « faire certains compromis, de faire preuve de souplesse ».

« L’Ukraine et ses alliés européens se bercent encore d’illusions et rêvent d’infliger une défaite stratégique à la Russie sur le champ de bataille », a poursuivi M. Poutine, assurant que Moscou était prêt, en cas de refus, à atteindre ses objectifs « par les armes, dans le cadre d’une lutte armée ».

« Si Kiev ne souhaite pas discuter des propositions du président Trump et refuse de le faire, alors Kiev et les fauteurs de guerre européens doivent comprendre que les événements qui se sont produits à Koupiansk se reproduiront inévitablement sur d’autres secteurs-clés du front », a ajouté le président russe.

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SIGNÉ BFM – Deux tiers des Français sont inquiets pour leur sécurité, comment va réagir l’Assemblée?


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Nutri-score : le Sénat s’oppose à la généralisation de l’affichage nutritionnel sur les emballages

Nutri-Score sur une boîte de biscuits, à Paris, le 10 mars 2025. JOEL SAGET / AFP

Les sénateurs ont rejeté, vendredi 21 novembre, une mesure du budget de la Sécurité sociale visant à rendre obligatoire l’affichage du Nutri-score sur les emballages des aliments, suivant l’avis du gouvernement qui la juge contraire aux normes européennes.

Par 212 voix contre 117, le Sénat s’est opposé à un article introduit à l’Assemblée nationale début novembre. La mesure proposait de généraliser le Nutri-score sur les emballages, cette échelle de notation des aliments pouvant aller de A à E. Les entreprises qui refuseraient d’afficher cette information seraient pénalisées d’une taxe de 5 % sur leur chiffre d’affaires, dont le produit serait affecté à l’Assurance maladie.

« L’information, oui ; la taxation, non », s’est justifié le sénateur Les Républicains Laurent Somon. La ministre de la santé, Stéphanie Rist, a aussi soutenu la suppression de cette mesure, avançant une « incompatibilité avec le droit européen ».

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Nutri-Score : le débat sur la généralisation de l’affichage relancé lors des discussions sur le budget de la « Sécu »

La gauche a regretté ce retour en arrière, alors que la suppression de ce dispositif avait été repoussée samedi en commission des affaires sociales. Il est « largement prouvé que le Nutri-score modifie les comportements dans le bon sens et notamment pour l’alimentation des enfants. Le généraliser est un véritable outil de santé publique », a appuyé le sénateur Bernard Jomier (groupe socialiste).

« Déception » de l’UFC-Que choisir

L’association UFC-Que choisir a fait part de sa « déception » car il s’agit d’« un outil de protection des consommateurs ». « Encore une fois, le Sénat a préféré défendre les intérêts industriels plutôt que la santé publique et c’est un problème », a-t-elle ajouté dans un communiqué à l’Agence France-Presse (AFP).

Lire aussi (en 2024) | Article réservé à nos abonnés Nutri-Score : un étiquetage nutritionnel fragilisé, faute de soutien politique

Les sénateurs ont par ailleurs adopté une taxe sur les boissons énergisantes alcoolisées, ciblant notamment de nouveaux produits particulièrement prisés des jeunes comme la boisson Vody. Cette taxe, qui avait déjà été adoptée par les députés, a été élargie par les sénateurs pour prendre en compte certaines boissons mélangeant alcool fort et ingrédients sucrés et aromatisés.

Le Palais du Luxembourg a également adopté un amendement du sénateur Renaissance Xavier Iacovelli pour instaurer une taxe sur les sucres ajoutés dans les produits alimentaires destinés aux nourrissons et aux enfants en bas âge.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Nutri-Score : trois questions pour tout comprendre à la nouvelle version

Ces votes sont loin d’être définitifs car les débats sur ce budget de la Sécu vont se poursuivre entre les deux chambres du Parlement jusqu’au début du mois de décembre au plus tôt.

Le Monde avec AFP

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Favoriser les « compromis »: Yaël Braun-Pivet veut revoir les règles d’examen du budget à l’Assemblée

La présidente de l’Assemblée nationale propose de séquencer l’ordre des discussions budgétaires par « thématique » et un nombre d’heures de débats réparti entre les groupes parlementaires en fonction de leur poids.

Alors que l’examen du budget patine à l’Assemblée nationale, sa présidente Yaël Braun-Pivet a déclaré ce jeudi 20 novembre dans une interview au Monde souhaiter « de nouvelles règles » pour l’examen des textes budgétaires, afin de faciliter l’élaboration de « compromis ».

« On voit émerger une culture du compromis » mais « nos règles de fonctionnement empêchent aujourd’hui cette culture de s’épanouir pleinement », déplore Yaël Braun-Pivet.

Le Premier ministre Sébastien Lecornu s’est engagé cette année à ne pas recourir à l’article 49.3 de la Constitution, jouant la carte du parlementarisme. Mais le budget de la Sécurité sociale a été transmis la semaine dernière au Sénat sans vote sur l’ensemble du texte, et le même destin attend celui de l’État, faute de temps.

La présidente de l’Assemblée nationale pointe une « incompatibilité entre les délais constitutionnels » qui contraignent le Parlement à un examen en un certain nombre de jours, et « le nombre croissant d’amendements qui ne nous permet pas d’aboutir à un vote ».

Revoir l’ordre des discussions

Elle propose ainsi que les textes budgétaires puissent être soumis à une procédure de « temps législatif programmé », permettant de fixer un nombre d’heures maximal de débats, réparti entre les groupes en fonction de leur poids.

« Les députés pourraient déposer autant d’amendements qu’ils le souhaitent, mais ils ne pourraient en débattre que dans le temps imparti », explique celle qui avait déjà mis cette solution sur la table début novembre, sans rencontrer un très grand enthousiasme.

Yaël Braun-Pivet propose également de revoir l’ordre des discussions – qui commencent actuellement toujours par la partie consacrée aux recettes, avant de passer aux dépenses – en imaginant « séquencer » les textes « par thématique ».

« On déciderait par exemple de consacrer un certain nombre d’heures au logement, en examinant à la fois les dépenses en faveur de cette politique publique et les recettes afférentes », suggère-t-elle.

Ce qui éviterait de donner l’impression « que le Parlement ne discute que de taxes ». « Ce budget doit être le dernier discuté de cette façon-là », dit-elle.

Comment faire adopter ces évolutions?

Autre piste avancée: « renforcer le rôle des commissions ». « Aujourd’hui le texte débattu dans l’Hémicycle n’est pas celui qui a été travaillé et amendé en commission, mais la copie initiale du gouvernement. C’est une hérésie », estime-t-elle.

Mais faire aboutir de telles propositions ne sera pas aisé.

« Certaines évolutions relèvent du règlement de l’Assemblée nationale et réclament un accord global des différents groupes politiques que je suis en train de rechercher », souligne Yaël Braun-Pivet.

D’autres « relèvent du niveau constitutionnel », ajoute-t-elle, en disant vouloir s’entretenir à ce sujet avec le président du Sénat, Gérard Larcher, et le président de la République Emmanuel Macron.

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Narcotrafic: lors de leur visite à Marseille, les ministres de la Justice et de l’Intérieur vont rencontrer la famille Kessaci


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Droitier ou gaucher ? « Pour comprendre l’origine de la latéralité, il faut l’étudier in utero »

Echographie d’un fœtus au troisième trimestre de grossesse. MEDICAL BODY SCANS / BSIP

Jacqueline Fagard, directrice de recherche émérite au CNRS, a étudié la coordination bimanuelle dans l’espèce humaine. L’autrice de La Vie secrète du fœtus (Mardaga, 284 pages, 29,90 euros) revient sur ce que l’étude des nourrissons, mais aussi des fœtus in utero, a permis d’apprendre sur l’origine de la latéralité.

Pourquoi vous êtes-vous intéressée à l’apparition de la latéralité tôt dans le développement de l’individu ?

Avant de rédiger ma thèse, j’ai fait un stage à Harvard dans l’équipe du psychiatre Peter Wolff (1926-2021), qui s’intéressait aux enfants dont le corps calleux, la structure cérébrale qui relie les deux hémisphères, avait été sectionné pour soulager des épilepsies sévères. Au cours des premiers jours après l’opération, les enfants ont du mal à coordonner leurs deux mains – l’une contredit l’autre –, puis ils s’adaptent.

J’ai donc travaillé sur la coordination bimanuelle, sur la façon dont une main joue un rôle de support quand l’autre, généralement la droite, est plus active. J’ai fini par m’intéresser à la latéralité tout court. La stratégie à l’époque était d’observer l’enfant après la naissance, mais si on voulait remonter à l’origine, il fallait pouvoir l’étudier in utero.

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Narcotrafic: Benoît Payan estime que l’assassinat de Mehdi Kessaci est « un défi fait à l’État de droit et à la République »

Hier à 21h38

Laurent Nunez et Gérald Darmanin ont rencontré Amine Kessaci à Marseille

Ce direct est désormais terminé, merci de l’avoir suivi sur BFMTV.com.

Le ministre de l’Intérieur Laurent Nunez s’est rendu à Marseille, où il a été rejoint par le ministre de la Justice Gérald Darmanin. Ils ont rencontré Amine Kessaci et sa famille, une semaine après l’assassinat de Mehdi Kessaci.

Selon le maire de la cité phocéenne, il s’agit d’un « défi fait à l’État de droit et à la République ». « Puisque c’est la République qui est en danger, on a besoin que la République soit partout. Les services publics, la sécurité sociale, La Poste, les écoles: on a besoin du retour de la puissance de l’État dans tous les quartiers, les villes et les villages de France », ajoute le maire de Marseille.

Ce dernier plaide pour « l’unité nationale », notamment pour la marche blanche prévue ce samedi après-midi.

Hier à 20h57

Laurent Nuñez et Gérald Darmanin ont rencontré Amine Kessaci lors de leur déplacement à Marseille

Lors de la rencontre entre les ministres Laurent Nuñez et Gérald Darmanin avec la famille Kessaci, Amine Kessaci était présent, a appris BFMTV.

La rencontre a duré plus d’une heure.

Hier à 18h40

Pour le maire de Marseille, l’assassinat de Mehdi Kessaci est « un défi fait à l’État de droit, à la démocratie et à la République »

Benoît Payan, maire de Marseille, estime que l’assassinat de Mehdi Kessaci est « là pour nous faire peur » et que c’est « un défi fait à l’État de droit, à la démocratie et à la République ».

« Puisque c’est la République qui est en danger, on a besoin que la République soit partout. Les services publics, la sécurité sociale, La Poste, les écoles: on a besoin du retour de la puissance de l’État dans tous les quartiers, les villes et les villages de France », ajoute-t-il.

L’édile appelle à « l’unité nationale » et à la venue du plus grand nombre lors de la marche blanche prévue samedi à 15 heures à Marseille.

Hier à 16h36

Sébastien Lecornu affirme que « la lutte contre le narcotrafic est un combat qui va durer »

Le Premier ministre Sébastien Lecornu déclare, depuis le Congrès des maires, que « la lutte contre le narcotrafic est un combat qui va durer ».

« Il va falloir s’adapter, adapter les moyens de l’État, la réponse locale, face à un adversaire en train de muter », ajoute-t-il.

Il annonce également que la proposition de Boris Vallaud d’organiser un débat sur le sujet à l’Assemblée nationale a été acceptée. « Nous allons l’organiser », déclare le locataire de Matignon.

Hier à 15h36

Boris Vallaud demande à Sébastien Lecornu un débat sur le narcotrafic à l’Assemblée nationale

Le président du groupe Socialistes à l’Assemblée nationale Boris Vallaud a écrit au Premier ministre Sébastien Lecornu pour demander « l’inscription à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale d’un débat sur l’actualité de la lutte contre le narcotrafic ».

Il évoque l’assassinat de Mehdi Kessaci qui est « de l’avis de tous, un point de bascule ».

« Cette menace commande une mobilisation nationale sans faille et de se tenir résolument aux côtés de celles et de ceux qui, engagés au péril de leur vie contre la criminalité organisée, ont décidé en dépit de tout de ne pas se taire. Plus vaste sera la mobilisation contre le narcotrafic, plus leurs vies seront protégées », ajoute-t-il, dans son courrier.

Hier à 15h05

Gérald Darmanin annonce « un renforcement » du nombre « de magistrats à Marseille »

Le ministre de la Justice Gérald Darmanin annonce que le nombre « de magistrats, du parquet comme du siège » va être renforcé à Marseille.

« Il y a eu 50 magistrats de plus depuis cinq ans à Marseille, il faut continuer », ajoute-t-il.

Le garde des Sceaux estime qu' »il faut aussi lutter contre la corruption, qui touche les services enquêteurs et possiblement les tribunaux ».

Hier à 14h48

Gérald Darmanin déclare qu’il « y a 700 détenus en France, issus de la criminalité organisée, qualifiés de très dangereux »

Le garde des Sceaux rappelle que « 700 détenus en France sont qualifiés de très dangereux ». Il s’agit de personnes « qui sont dans la criminalité organisée donc le narcotrafic, le trafic d’êtres humains, le proxénétisme aggravé ou tout trafic qui récupère énormément d’argent ».

« Il y a 700 personnes pour qui le service du renseignement pénitentiaire évoque la très grande dangerosité, la très grande capacité d’évasion et de corruption », ajoute Gérald Darmanin.

Hier à 14h23

Laurent Nuñez viendra à Marseille chaque mois pour “s’assurer de la correcte mise en œuvre des dispositifs”

Le trafic de stupéfiants « est un combat permanent, c’est une bataille et nous sommes déterminés à la mener », indique le ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez.

« Pour ce qui me concerne, en tant que ministre de l’Intérieur et pour les forces de l’ordre à Marseille, la lutte contre le trafic de stupéfiants est une priorité », souligne-t-il, précisant qu’il se rendra à Marseille « tous les mois pour m’assurer de la correcte mise en œuvre des dispositifs ».

Hier à 14h15

« L’État, les consommateurs, la société marseillaise »: Gérald Darmanin appelle à ce que « chacun se réveille »

Le ministre de la Justice Gérald Darmanin considère qu’il « y a des personnes qui ont pignon sur rue, des responsables qu’on pourrait qualifier de notabilité locale, qui peuvent avoir fermé les yeux sur l’arrivée de la mafia dans la vie économique et dans la vie sociale ».

« Il faut que chacun se réveille: les consommateurs, l’État, qui doit prendre son rôle, mais toute la société marseillaise également », ajoute-t-il.

Hier à 14h03

Gérald Darmanin dénonce « une menace qui tue énormément et qui est au moins équivalente à celle du terrorisme »

Le garde des Sceaux Gérald Darmanin espère « que la loi narcotrafic que nous venons de faire voter va permettre de répondre à une menace qui tue énormément », indique-t-il depuis Marseille.

Il estime que cette menace est « au moins équivalente à celle du terrorisme sur le territoire national ».

Hier à 13h54

Laurent Nuñez considère que l’assassinat de Mehdi Kessaci « vise à faire peur et atteindre la République »

Le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez déclare, en direct de Marseille, que l’assassinat de Mehdi Kessaci est « un crime qui vise à faire peur et qui vise à atteindre la République et l’État ».

« C’est quelque chose qui nous interpelle », ajoute-t-il, aux côtés du Garde des Sceaux, Gérald Darmanin.

Hier à 12h47

Gérald Darmanin et Laurent Nuñez se sont rendus au Centre pénitentiaire des Baumettes

Plus tôt dans la journée, Gérald Darmanin et Laurent Nuñez se sont rendus au Centre pénitentiaire des Baumettes à Marseille où la surpopulation carcérale bat des records. Le taux d’occupation de la prison est 195,5%.

Pour désengorger les cellules, une nouvelle extension, surnommée Beaumettes 3, a été inaugurée cet été avec 743 nouvelles cellules dans un contexte où la lutte contre le narcobanditisme est loin d’être gagnée.

Hier à 12h25

Le maire de Marseille prendra la parole à 15h15

Le maire de Marseille s’exprimera en sortie de réunion, à 15h15, à la Préfecture de police, apprend BFMTV de la Ville de Marseille.

Hier à 12h20

Les Marseillais dans les rues ce samedi

À l’approche de la marche blanche qui aura lieu ce samedi en hommage à Mehdi, les Marseillais se disent prêt à soutenir la famille Kessaci.

« J’espère qu’il y aura beaucoup de monde et que les gens n’auront pas peur, parce qu’avoir peur c’est les laisser gagner », affirme une habitante sur BFMTV.

« Il faut que le public marseillais se mobilise au maximum », insiste-t-elle. « Je vais y participer parce que j’ai suivi l’affaire dès le début. Il y a quelques années, j’ai vu Amine parler avec Emmanuel Macron et je l’avais trouvé épatant dans sa démarche », partage une autre Marseillaise.

Si certains seront présents ce samedi, d’autres disent qu’ils resteront chez eux, mais soutiennent malgré tout la famille Kessaci.

Hier à 11h49

2.000 personnes mises en examen pour trafic de stupéfiants à Marseille

À ce jour, 2.000 personnes sont actuellement mises en examen pour trafic de stupéfiants à Marseille, a rappelé, il y a deux jours, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez.

À ce chiffre s’ajoute, 900 personnes placées en détention provisoire toujours pour des affaires en lien avec trafic de stupéfiants.

Pour autant, le bilan du nombre d’homicides en lien avec le narcotrafic est en baisse. Entre 2023 et 2024, il a été divisé par deux: 24 homicides en 2024 contre 49 homicides en 2023

Aujourd’hui, les forces de police dénombrent 80 points de deal encore actifs à Marseille.

Hier à 11h36

Laurent Nuñez est arrivé à Marseille

Le ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, est arrivé à la Préfecture de police à Marseille à 11 heures. Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin le rejoindra sous peu.

Les deux ministres doivent rencontrer les forces de police et les enquêteurs de la cité phocéenne, une semaine après le meurtre de Mehdi Kessaci.

Hier à 11h14

L’enquête sur le meurtre de Mehdi est « une affaire difficile et complexe »

Selon une source proche de l’enquête à BFMTV, l’enquête sur le meurtre de Mehdi Kessaci est « une affaire difficile et complexe ».

« Une fois que nous les (les suspects, NLDR) aurons identifiés et que nous aurons un éventuel mobile, nous nous interrogerons sur le fait de savoir s’il y a ou non, un ou des commanditaires », indique cette même source à BFMTV.

Une semaine après le drame, une trentaine d’enquêteurs marseillais de la Division de la Criminalité Organisée et Spécialisée (DCOS) est mobilisé à plein temps sur le meurtre de Mehdi Kessaci. Le parquet de Paris et la JUNALCO ont été saisis de l’affaire.

Hier à 10h41

Une réunion organisée à 11h40 par la Préfecture de police à Marseille

À 11h40, la préfète de police des Bouches-du-Rhône, les autorités judiciaires et les forces de sécurité s’entretiendront lors d’une réunion sur la criminalité organisée à Marseille.

Le ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, et le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, échangeront ensuite en début d’après-midi avec la famille Kessaci, doublement endeuillée par la perte de leur fils Brahim en 2020 et Mehdi, il y a une semaine.

Hier à 10h01

Un éducateur, proche de la famille Kessaci, dit « ne pas avoir peur » d’exercer son activité à Marseille

Depuis Marseille, Mohammed Benmedour, éducateur dans les quartiers difficiles et proche de la famille Kessaci, dit « ne pas avoir peur » d’exercer son activité malgré la menace.

« Je n’ai pas peur d’aller sur les points de deals et d’aller parler aux jeunes. Ils me connaissent tous, certains, je les ai vus grandir et d’autres mourir », explique-t-il sur BFMTV.

« Je tends la main aux jeunes (…) et je leur dis qu’on sera là pour eux », affirme Mohammed Benmedour appelant la préfecture « à travailler » avec les élus et les éducateurs. « C’est toute la population qui doit se joindre à ce combat ».

Hier à 09h54

Sébastien Delogu affirme « ne rien attendre » de la visite de Gérald Darmanin et Laurent Nuñez

Alors que Gérald Darmanin et Laurent Nuñez sont en visite à Marseille pour réaffirmer leur engagement contre le narcobanditisme, Sébastien Delogu député insoumis dit « ne s’attendre à rien » de la part du gouvernement.

« Ils sont venus à plusieurs reprises nous dire qu’ils vont faire des opérations avec des saisis records et des arrestations, mais tout cela ne change rien », estime Sébastien Delogu sur BFM Marseille.

« Ils ont fait des opérations XXL, coups de poing, avec des chiffres démesurés (…) et au final, qu’est-ce qu’il se passe? Des pères de famille ont peur dès que leur enfant est hors de leur domicile », poursuit le député. « Il faut changer de logique et mettre des moyens d’actions et de prévention ».

Hier à 09h16

Pour Amine Kessaci, la lutte contre le narcotrafic « n’est plus une question de droite ou de gauche »

À quelques jours de la marche blanche en hommage à Mehdi, Amine Kessaci invite les citoyens et les politiques à « parler » et à « continuer d’alerter » sur les conséquences du narcobanditisme.

« Il ne s’agit plus d’une question de droite, de gauche ou de centre. Aujourd’hui, il s’agit de la question de la nation, de l’avenir des quartiers et des zones rurales », assure le militant sur BFMTV-RMC.

Hier à 09h09

Amine Kessaci dit « ne pas avoir peur » des représailles après la perte de ses deux frères

Connu pour son engagement contre le narcotrafic depuis plusieurs années, Amine Kessaci dit « ne pas avoir peur » de représailles.

« Je ne peux pas avoir peur après ce qu’ils ont fait à mon petit frère et à mon aîné. Je n’ai plus rien à perdre. C’est une lutte à mort qui est engagé », déclare-t-il avec émotion.

« C’est pour ça que l’État et les ministres doivent protéger ma famille dans un premier temps », convient Amine Kessaci.

Quelques années plus tôt, le militant marseillais avait déjà perdu son grand frère Brahim suite à un règlement de compte dans la nuit du 28 au 29 décembre 2020. Ce dernier a été tué par arme à feu et été touché lors d’un triple assassinat. Son corps avait été retrouvé carbonisé dans un véhicule près de Marseille.

Hier à 09h08

« Plus personne ne pourra dire qu’il ne savait pas' »: Amine Kessaci appelle à continuer le combat contre le narcotrafic

Avec la mort de Mehdi, « plus personne ne pourra dire ‘je ne savais pas’, plus personne ne pourra dire qu’il ignorait les circonstances du narcotrafic », estime Amine Kessaci.

Pour le militant, les « ennemis » sont à la fois « ceux qui commanditent », mais aussi ceux qui « appuient sur la gâchette ».

« Tout le monde est menacé aujourd’hui, c’est pour ça que la réponse doit être plus que forte », affirme-t-il sur BFMTV-RMC.

Hier à 09h02

Amine Kessaci demande aux politiques de « passer à l’action »

Le militant écologiste engagé dans la lutte contre le narcobanditisme appelle les politiques à « passer à l’action ».

« Arrêtons les discours et passons à l’action (…) Il doit y avoir une véritable révolution sociale dans ces quartiers et partout en France », assène Amine Kessaci sur BFMTV-RMC.

Hier à 08h58

Une marche blanche organisée ce samedi

Après la perte de ses deux frères, Amine Kessaci dit « ne pas savoir » ce qu’il fera par la suite. « Là seule chose que je sais, c’est que je vais tenir debout jusqu’à samedi et la suite j’en sais rien », confie le militant.

Amine Kessaci a appelé hier sur France 2 à se rassembler à l’occasion d’une marche silencieuse ce samedi en hommage à son frère Mehdi Kessaci. Elle aura commencera à 15 heures, « au rond-point Claudie d’Arcy, 13004 Marseille », là où le jeune homme a perdu la vie.

Hier à 08h55

La famille Kessaci se dit « anéantie » par la disparition de Mehdi

Une semaine après l’assassinat de son petit frère, Amine Kessaci se questionne sur les motivations des meurtriers.

« Toute la famille est anéantie. On ne comprend pas pourquoi lui, pourquoi Mehdi, qui n’a jamais pris la parole, qui n’est pas sur les réseaux sociaux? Lui qui a une vie tranquille », s’interroge le militant.

Malgré la douleur, « regardez-moi je suis débout, je suis là et rien que pour Mehdi et toutes ces victimes, on doit tenir pour eux », affirme Amine Kessaci.

Hier à 08h49

Pour Amine Kessaci, le meurtre de Mehdi est une atteinte à « la liberté d’expression » et à « l’État de droit »

« Mon frère, c’est un gardien de la paix et on doit le reconnaître comme tel », déclare Amine Kessaci sur BFMTV-RMC. Le jeune homme, tué le 13 novembre dernier, avait en effet pour projet de passer le concours pour devenir policier.

« Derrière Mehdi, c’est toute la France qu’on a voulu tuer, assure le militant. C’est la liberté d’expression qu’on a tuée, c’est l’État de droit qu’on a voulu remettre en question ».

Hier à 08h40

Amine Kessaci dit avoir mis en garde son frère Mehdi

Amine Kessaci indique avoir mis en garde son frère contre un potentiel risque. « Je lui avais dit: ‘comme on se ressemble un peu et qu’on a un peu la même tête, fais attention. Il y a des gens qui me cherchent, imagine qu’ils te confondent avec moi et qu’ils te tuent' », raconte le militant sur BFMTV-RMC.

« Il m’a dit: ‘non, t’inquiète Amine, il ne va rien m’arriver », se souvient Amine Kessaci. « Il était dans cette insouciance, il n’y croyait pas », ajoute-t-il.

Hier à 08h34

« Il est mort pour rien »: Amine Kessaci se confie sur la mort de son frère

Invité sur BFMTV-RMC, Amine Kessaci se confie sur la mort de son petit frère, Mehdi Kessaci, tué par balle à Marseille il y a une semaine.

« Mon frère est mort pour rien. Il est coupable d’une seule chose, c’est d’avoir été mon petit frère », exprime le militant engagé contre le narcobanditisme.

« Moi, quand je vois mes mains, je vois le sang de mon frère. Ces gens, ils ont voulu me toucher moi et comme ils n’ont pas pu, ils ont touché un jeune innocent qui n’avait rien fait », explique-t-il avec émotion.

Hier à 08h20

Amine Kessaci est l’invité de BFMTV-RMC

Une semaine après avoir perdu son frère Mehdi Kessaci, tué par balle à Marseille, le militant Amine Kessaci est l’invité de BFMTV-RMC ce matin à 8h30.

Hier à 08h18

Six jours après l’assassinat de Mehdi, aucune interpellation effectuée

Six jours après l’assassinat à Marseille de Mehdi Kessaci, aucune interpellation n’a été effectuée. Le parquet de Paris et la juridiction nationale de lutte contre la criminalité (Junalco) sont saisis de l’enquête.

Les chefs d’accusation retenus sont « meurtre en bande organisée avec préméditation », « associations de malfaiteurs en vue de commettre un crime en bande organisée », « destruction par moyens dangereux en bande organisée », « vol en bande organisée » et « recel en bande organisée ».

Lire l’article

Hier à 08h17

Laurent Nuñez dénonce un « crime d’intimidation »

À l’issue d’une réunion avec Emmanuel Macron au palais de l’Élysée, ce mardi, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a dénoncé un « crime d’intimidation » visant le frère de la victime Amine Kessaci, jeune militant engagé contre le narcotrafic.

« Ce n’est évidemment pas un règlement de comptes classique comme on pouvait malheureusement le déplorer dans le cadre du paysage de la lutte contre le trafic de stupéfiants. C’est manifestement un crime d’intimidation », a déclaré Laurent Nuñez évoquant un « point de bascule ».

Agé de 22 ans, Amine Kessaci est une personnalité bien connue localement en raison de son engagement contre le narcobanditisme à travers son association Conscience. Il est régulièrement la cible de menaces en raison de son engagement.

Lire l’article

Hier à 08h09

Laurent Nuñez et Gérald Darmanin en visite à Marseille

Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré aux suites de l’enquête sur le meurtre de Mehdi Kessaci, le petit frère du militant Amine Kessaci, tué par balle le jeudi 13 novembre à Marseille.

Tandis que les investigations se poursuivent pour retrouver les auteurs du crime, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez et le ministre de la Justice Gérald Darmanin sont attendus à Marseille où ils passeront la journée auprès des magistrats et des enquêteurs en première ligne dans le combat contre le narcobanditisme.

« Il n’était coupable que d’être mon frère »: à Marseille, la lutte contre le narcotrafic face à un crime d’intimidation

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« Digne de “Game of Thrones” » : à la Commission européenne, la bataille pour le contrôle de la diplomatie

LETTRE DE BRUXELLES

La haute représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, Kaja Kallas, à Niagara-on-the-Lake (Canada), le 12 novembre 2025. NICK IWANYSHYN / AP

« L’histoire est digne de Game of Thrones », relate un observateur de la bulle européenne. Fin octobre, un frisson a parcouru les corridors du siège de la Commission européenne : le « monstre du Berlaymont » est annoncé de retour à Bruxelles. Martin Selmayr est affublé de ce surnom peu flatteur depuis son passage en tant que directeur de cabinet, de 2014 à 2018, de Jean-Claude Juncker, alors président de la Commission, puis un an comme secrétaire général de l’exécutif européen. A l’époque, cet avocat allemand brillant, très politique, et connu pour la brutalité de certaines de ses décisions, était présenté comme l’homme le plus puissant de Bruxelles.

En 2019, à son arrivée à la présidence de la Commission, Ursula von der Leyen et son fidèle chef de cabinet, Björn Seibert, décident d’éloigner promptement leur concitoyen, à Vienne pour y diriger la délégation européenne puis plus récemment à Rome auprès du Saint-Siège. Mais cet automne, Kaja Kallas, la cheffe de la diplomatie européenne, a décidé de le recruter comme secrétaire adjoint du service européen d’action extérieure (SEAE) pour la géoéconomie et les questions institutionnelles.

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« Mehdi n’est coupable que d’une seule chose, c’est d’avoir été mon petit frère », dénonce Amine Kessaci


« Mehdi n’est coupable que d’une seule chose, c’est d’avoir été mon petit frère », dénonce Amine Kessaci{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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