Le maire sortant de Béziers, Robert Ménard, le 15 novembre, à Béziers. SYLVAIN THOMAS / AFP
Le maire de Béziers, Robert Ménard, a déclaré à l’Agence France-Presse (AFP), vendredi 21 novembre, être « ravi » du soutien du parti Les Républicains aux prochaines élections municipales et milite pour une « union des droites » sans savoir à ce stade « ce que veut faire le RN ».
« Je suis ravi de ce soutien, mais il n’y aura pas les logos des partis [sur les documents de campagne], de la même façon que nous n’en avions pas mis en 2020 », a fait savoir M. Ménard, candidat à sa succession pour un troisième mandat. En 2014, il avait été élu avec le soutien du Front national.
Lors d’une commission d’investiture qui s’est déroulée mardi, Les Républicains ont apporté leur soutien à une trentaine de candidatures de la même « famille politique » aux municipales 2026, dont le fils de Nicola Sarkozy, Louis, à Menton.
« Un maire extraordinaire »
Le patron de LR et ex-ministre de l’intérieur Bruno Retailleau a estimé, mercredi sur Europe 1/CNews, que M. Ménard était « un maire extraordinaire ». « Nous l’avons investi comme maire de Béziers » (…) « très certainement avec un candidat RN face à lui », a-t-il précisé.
Le maire de Béziers souhaite « l’union des droites » aux municipales. « A la différence des autres, moi, je la fais à Béziers (…) Je travaille avec des élus du Rassemblement national dans ma majorité, tout comme des élus LR ».
Anciennement proche des figures de l’extrême droite Marine Le Pen et Eric Zemmour, l’édile indique ne pas savoir « ce que veut faire le RN ». « Il fera ce qu’il voudra. J’ai des désaccords avec différents partis au niveau national, je suis plus proche de certains que d’autres », a-t-il ajouté.
SIGNÉ BFM – Une exposition du Musée de l’Homme veut casser les stéréotypes sur les momies{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
« Le (cambriolage au) Louvre est un révélateur de notre incapacité à protéger notre patrimoine », pointe Jérémie Patrier-Leitus, vice-président de la commission des affaires culturelles à l’Assemblée
Emmanuel Lechypre face à Jean-Marc Daniel : Nationaliser ArcelorMittal, la pire idée ? – 20/11{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
L’attaquant anglais n °10 de l’Olympique de Marseille, Mason Greenwood (à droite), célèbre le troisième but de son équipe lors du match de Ligue 1 contre l’OGC Nice, au stade Allianz Riviera à Nice, le 21 novembre 2025. VALERY HACHE / AFP
Sérieux, efficace et très supérieur à son adversaire du soir, l’OM a repris provisoirement la tête de la Ligue 1 en s’imposant facilement, vendredi 21 novembre, à Nice (5-1) pour préparer sereinement la très importante réception de Newcastle mardi en Ligue des champions.
Jeudi, Roberto De Zerbi s’était dit heureux d’avoir pu bien travailler pendant la trêve internationale, mais on ne savait pas trop quelles conclusions en tirer, les quelques retours de blessures (Balerdi, Kondogbia, Weah, Nadir) étant compensés par de nouveaux pépins (Aguerd, Murillo).
Mais les joueurs du technicien italien ont répondu sur le terrain avec une prestation très consistante, qui doit leur offrir une bonne dose de confiance avant de se frotter à Newcastle mardi, pour ce qui ressemble à une dernière carte à abattre en Ligue des champions.
En attendant, les Marseillais repartent de la Côte d’Azur installés sur la première marche du podium, dont seul le Paris SG pourra les déloger, en cas de succès samedi soir face au Havre.
Pour Nice en revanche, les affaires ne s’arrangent pas. Neuvièmes avant les autres matchs de cette 13e journée, les Aiglons viennent en effet d’enchaîner trois défaites consécutives en championnat et ont très souvent paru totalement impuissants vendredi. Après un début de match équilibré et bruyamment animé par les ultras niçois, qui fêtaient le 40e anniversaire de leur groupe, l’OM a en effet assez vite pris les devants.
Porté notamment par l’envie de Benjamin Pavard, revanchard après une période difficile, ou l’activité de Geoffrey Kondogbia, qui retrouvait le terrain après une longue absence, l’équipe de De Zerbi a su mettre la pression sur la très jeune et parfois fébrile défense centrale niçoise.
L’ouverture du score a été signée Pierre-Emerick Aubameyang, plus vif et plus attentif que Melvin Bard pour reprendre un ballon dévié par Pavard sur un corner frappé par Mason Greenwood (1-0, 11e).
L’Anglais a ensuite marqué lui-même le deuxième but marseillais d’une frappe du droit déviée par Bard, qui a vécu 45 premières périodes très pénibles (2-0, 33e).
Le début de bagarre générale qui a suivi le but de Greenwood a ensuite brièvement relancé les Aiglons, qui ont eu plusieurs fois l’occasion de marquer (Terem Moffi 42e et 45e+2, Bard 45+3) mais ont finalement surtout montré que Jeffrey De Lange était un gardien remplaçant tout à fait fiable.
Courte interromption
Juste avant la pause, Igor Paixao, accompagné par Aubameyang, a de son côté saboté un deux-contre-un qui aurait pu permettre à l’OM de boucler définitivement l’affaire, et le match était donc encore ouvert au retour des vestiaires.
Newsletter
« Sport »
Enquêtes, reportages, analyses : l’actualité du sport dans votre boîte e-mail chaque samedi
S’inscrire
Le Monde Guides d’achat
Cadenas de vélo
Les meilleurs cadenas de vélo
Lire
Newsletter
« Sport »
Enquêtes, reportages, analyses : l’actualité du sport dans votre boîte e-mail chaque samedi
S’inscrire
Il ne l’est resté que quelques minutes, le temps pour De Lange de mettre à nouveau Moffi en échec, puis pour Greenwood d’enfoncer le clou. Contrairement à Moffi, l’Anglais est impitoyable : à la 53e minute, il a laissé Juma Bah sur place d’un crochet et d’une accélération avant de battre Yehvann Diouf d’une impeccable frappe croisée du droit (3-0).
Cinq minutes plus tard, Timothy Weah, décidément plus que précieux, alourdissait la marque au bout d’une jolie action animée par Aubameyang et Emerson Palmieri (4-0) et l’affaire était entendue.
Mohamed-Ali Cho a bien sauvé l’honneur de la tête, bien servi par Sofiane Diop (4-1, 63e), mais l’OM a encore sévi quand Aubameyang a montré à Paixao comment on gère un deux-contre-un. Pas rancunier, le Gabonais a servi le Brésilien et Marseille s’est imposé 5-1.
En fin de match, un feu d’artifice tiré par les ultras niçois a interrompu le match quelques instants, mais tout était réglé. On sait que la Coupe d’Europe ne réussit pas aux Aiglons et vendredi, l’adversaire était clairement de calibre européen.
Le covoiturage est en très légère hausse aux abords de 12 grandes métropoles françaises, selon le 8e baromètre de Vinci Autoroutes. Mais ces résultats restent insuffisants au regard des objectifs climatiques de la France.
Les Français se mettent petit à petit au covoiturage. Cette pratique de partage de la voiture progresse très légèrement en France, mais reste encore trop peu pratiqué, notamment aux heures de pointe, selon la 8e édition du baromètre de « l’autosolisme » de Vinci Autoroutes.
Selon les données recueillies par cette étude, grâce à cette progression, 84% des conducteurs ont circulé seuls dans leur véhicule l’an dernier contre 85,7% un an auparavant.
L’autosolisme, qui désigne le fait d’être seul à bord d’un véhicule, est donc en recul, notamment en Ile-de-France (-9,5%), aux abords d’Orléans (-7,1%), de Biarritz (-6,2%) ou de Lyon (-5,3%).
« A l’inverse, Bordeaux voit son taux d’autosolisme augmenter de 5,4% sur un an, après une embellie à l’automne 2024 », relève Vinci Autoroutes dans un communiqué.
Un pic de covoiturage à 9h45
Pour mener cette enquête, le groupe a noté le nombre de passagers dans 1,3 million de véhicules sur le réseau autoroutier géré par la société autour de 12 métropoles entre le 10 et 30 juin.
Les résultats ont été obtenus grâce à la technologie Cyclope.ai.: des caméras installées sur les portiques capturent entre 7H00 et 10H00 du matin des images du trafic sur des sections urbaines et périurbaines du réseau Vinci Autoroutes, « dans le respect de l’anonymat des conducteurs et de leurs passagers », précise le groupe autoroutier. Les données sont ensuite analysées par un logiciel d’intelligence artificielle.
La pratique du covoiturage aux heures de pointe est ainsi « en hausse dans neuf métropoles », détaille le groupe. Mais « c’est à 8H00 du matin que la proportion de covoiturage est la plus faible (13,9%) », avant d’augmenter « progressivement au cours de la matinée », à 23% à 9Hh45.
Loin de l’objectif
En moyenne, le taux d’occupation « reste très bas », à 1,25 occupant par véhicule, bien inférieur à l’objectif des 1,75 fixé par la stratégie nationale bas carbone (SNBC, feuille de route pour la France vers la décarbonation) d’ici 2030.
Le gestionnaire autoroutier a également interrogé 248 utilisateurs sur 15 parkings de covoiturage du réseau Vinci Autoroutes: 39% des usagers questionnés ne covoituraient pas avant la création d’un parking dédié à cet usage – pour que les passagers se retrouvent et laissent la voiture de ceux qui ne conduisent pas sur le trajet réalisé en commun.
Leurs motivations? Economiques (pour 34% des personnes), pratiques et conviviales (28%), écologiques (26%) ou tout simplement parce que les personnes n’ont pas d’autres solutions pour se rendre au travail (12%).
Le plan américain pour l’Ukraine peut « servir de base à un règlement définitif » du conflit, affirme Poutine, menaçant d’atteindre ses objectifs « par les armes », en cas de refus
Le président russe a estimé vendredi que le plan proposé par les Etats-Unis pour l’Ukraine peut « servir de base à un règlement pacifique définitif » de la guerre, menaçant de conquérir plus de territoire si Kiev venait à le rejeter. « Cependant, ce plan n’est pas discuté avec nous de manière concrète », a ajouté M. Poutine, lors d’une réunion gouvernementale retransmise à la télévision.
« Nous sommes prêts à mener des négociations pacifiques et à résoudre les problèmes par des moyens pacifiques. Cependant, cela nécessite bien sûr une discussion approfondie de tous les détails du plan proposé. Nous y sommes prêts », a-t-il ajouté.
Selon lui, ce plan en 28 points, vu avec inquiétude à Kiev, n’a été évoqué entre Moscou et Washington que « dans les grandes lignes », les Américains ayant demandé aux Russes de « faire certains compromis, de faire preuve de souplesse ».
« L’Ukraine et ses alliés européens se bercent encore d’illusions et rêvent d’infliger une défaite stratégique à la Russie sur le champ de bataille », a poursuivi M. Poutine, assurant que Moscou était prêt, en cas de refus, à atteindre ses objectifs « par les armes, dans le cadre d’une lutte armée ».
« Si Kiev ne souhaite pas discuter des propositions du président Trump et refuse de le faire, alors Kiev et les fauteurs de guerre européens doivent comprendre que les événements qui se sont produits à Koupiansk se reproduiront inévitablement sur d’autres secteurs-clés du front », a ajouté le président russe.
SIGNÉ BFM – Deux tiers des Français sont inquiets pour leur sécurité, comment va réagir l’Assemblée?{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Propos chocs du chef d’état-major: « Je ne suis pas d’accord, pour l’augmentation du budget de la défense », explique Louis Boyard, député LFI, « alors que l’on baisse le budget de l’école »
Suspension de la réforme des retraites: « L’Assemblée nationale aura le dernier mot », déclare Jean-Pierre Farandou, ministre du Travail et des Solidarités
Évasion à Rennes: « Le message a été clair de la part du ministre pour les directeurs de prisons », rappelle Christy Nicolas, secrétaire général du syndicat pénitentiaire des surveillants
« On incite à stopper l’usage unique des bouteilles »: Véronique Riotton, députée « Ensemble », évoque l’amendement visant à rehausser leur taux de TVA
Nutri-Score sur une boîte de biscuits, à Paris, le 10 mars 2025. JOEL SAGET / AFP
Les sénateurs ont rejeté, vendredi 21 novembre, une mesure du budget de la Sécurité sociale visant à rendre obligatoire l’affichage du Nutri-score sur les emballages des aliments, suivant l’avis du gouvernement qui la juge contraire aux normes européennes.
Par 212 voix contre 117, le Sénat s’est opposé à un article introduit à l’Assemblée nationale début novembre. La mesure proposait de généraliser le Nutri-score sur les emballages, cette échelle de notation des aliments pouvant aller de A à E. Les entreprises qui refuseraient d’afficher cette information seraient pénalisées d’une taxe de 5 % sur leur chiffre d’affaires, dont le produit serait affecté à l’Assurance maladie.
« L’information, oui ; la taxation, non », s’est justifié le sénateur Les Républicains Laurent Somon. La ministre de la santé, Stéphanie Rist, a aussi soutenu la suppression de cette mesure, avançant une « incompatibilité avec le droit européen ».
La gauche a regretté ce retour en arrière, alors que la suppression de ce dispositif avait été repoussée samedi en commission des affaires sociales. Il est « largement prouvé que le Nutri-score modifie les comportements dans le bon sens et notamment pour l’alimentation des enfants. Le généraliser est un véritable outil de santé publique », a appuyé le sénateur Bernard Jomier (groupe socialiste).
« Déception » de l’UFC-Que choisir
L’association UFC-Que choisir a fait part de sa « déception » car il s’agit d’« un outil de protection des consommateurs ». « Encore une fois, le Sénat a préféré défendre les intérêts industriels plutôt que la santé publique et c’est un problème », a-t-elle ajouté dans un communiqué à l’Agence France-Presse (AFP).
Les sénateurs ont par ailleurs adopté une taxe sur les boissons énergisantes alcoolisées, ciblant notamment de nouveaux produits particulièrement prisés des jeunes comme la boisson Vody. Cette taxe, qui avait déjà été adoptée par les députés, a été élargie par les sénateurs pour prendre en compte certaines boissons mélangeant alcool fort et ingrédients sucrés et aromatisés.
Le Palais du Luxembourg a également adopté un amendement du sénateur Renaissance Xavier Iacovelli pour instaurer une taxe sur les sucres ajoutés dans les produits alimentaires destinés aux nourrissons et aux enfants en bas âge.
Ces votes sont loin d’être définitifs car les débats sur ce budget de la Sécu vont se poursuivre entre les deux chambres du Parlement jusqu’au début du mois de décembre au plus tôt.
La présidente de l’Assemblée nationale propose de séquencer l’ordre des discussions budgétaires par « thématique » et un nombre d’heures de débats réparti entre les groupes parlementaires en fonction de leur poids.
« On voit émerger une culture du compromis » mais « nos règles de fonctionnement empêchent aujourd’hui cette culture de s’épanouir pleinement », déplore Yaël Braun-Pivet.
Le Premier ministre Sébastien Lecornu s’est engagé cette année à ne pas recourir à l’article 49.3 de la Constitution, jouant la carte du parlementarisme. Mais le budget de la Sécurité sociale a été transmis la semaine dernière au Sénat sans vote sur l’ensemble du texte, et le même destin attend celui de l’État, faute de temps.
La présidente de l’Assemblée nationale pointe une « incompatibilité entre les délais constitutionnels » qui contraignent le Parlement à un examen en un certain nombre de jours, et « le nombre croissant d’amendements qui ne nous permet pas d’aboutir à un vote ».
Revoir l’ordre des discussions
Elle propose ainsi que les textes budgétaires puissent être soumis à une procédure de « temps législatif programmé », permettant de fixer un nombre d’heures maximal de débats, réparti entre les groupes en fonction de leur poids.
« Les députés pourraient déposer autant d’amendements qu’ils le souhaitent, mais ils ne pourraient en débattre que dans le temps imparti », explique celle qui avait déjà mis cette solution sur la table début novembre, sans rencontrer un très grand enthousiasme.
Yaël Braun-Pivet propose également de revoir l’ordre des discussions – qui commencent actuellement toujours par la partie consacrée aux recettes, avant de passer aux dépenses – en imaginant « séquencer » les textes « par thématique ».
« On déciderait par exemple de consacrer un certain nombre d’heures au logement, en examinant à la fois les dépenses en faveur de cette politique publique et les recettes afférentes », suggère-t-elle.
Ce qui éviterait de donner l’impression « que le Parlement ne discute que de taxes ». « Ce budget doit être le dernier discuté de cette façon-là », dit-elle.
Comment faire adopter ces évolutions?
Autre piste avancée: « renforcer le rôle des commissions ». « Aujourd’hui le texte débattu dans l’Hémicycle n’est pas celui qui a été travaillé et amendé en commission, mais la copie initiale du gouvernement. C’est une hérésie », estime-t-elle.
Mais faire aboutir de telles propositions ne sera pas aisé.
« Certaines évolutions relèvent du règlement de l’Assemblée nationale et réclament un accord global des différents groupes politiques que je suis en train de rechercher », souligne Yaël Braun-Pivet.
D’autres « relèvent du niveau constitutionnel », ajoute-t-elle, en disant vouloir s’entretenir à ce sujet avec le président du Sénat, Gérard Larcher, et le président de la République Emmanuel Macron.
Narcotrafic: lors de leur visite à Marseille, les ministres de la Justice et de l’Intérieur vont rencontrer la famille Kessaci{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Propos chocs du chef d’état-major: « Je ne suis pas d’accord, pour l’augmentation du budget de la défense », explique Louis Boyard, député LFI, « alors que l’on baisse le budget de l’école »
Suspension de la réforme des retraites: « L’Assemblée nationale aura le dernier mot », déclare Jean-Pierre Farandou, ministre du Travail et des Solidarités
Évasion à Rennes: « Le message a été clair de la part du ministre pour les directeurs de prisons », rappelle Christy Nicolas, secrétaire général du syndicat pénitentiaire des surveillants
« On incite à stopper l’usage unique des bouteilles »: Véronique Riotton, députée « Ensemble », évoque l’amendement visant à rehausser leur taux de TVA