Une enveloppe supplémentaire de 4,2 milliards d’euros et des fusées réutilisables: Emmanuel Macron veut muscler les capacités spatiales militaires de la France

Emmanuel Macron entend consacrer 4,2 milliards d’euros supplémentaires au spatial militaire sur la période 2026-2030 et mise sur le développement des futurs lanceurs spatiaux réutilisables.

Rester dans la course et développer de nouvelles capacités. La mission est claire. Emmanuel Macron a déclaré vouloir consacrer 4,2 milliards d’euros supplémentaires au spatial militaire sur la période 2026-2030 par rapport à ce qui était prévu dans la Loi de programmation militaire 2024-2030, qui prévoyait 6 milliards d’euros de besoins programmés sur l’ensemble de la période.

« Si nous voulons garder notre autonomie, il est indispensable de prendre des décisions structurantes et de poursuivres celles commencées hier », a déclaré le président de la République à Toulouse, à l’occasion de l’inauguration du Commandement de l’espace.

S’y ajouteront « plus de 16 milliards d’euros pour le spatiale français civil, en incluant les activités duales » (civiles et militaires), a-t-il ajouté.

C’est toutefois bien en deçà des 35 milliards d’euros que le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a promis d’investir d’ici 2030 dans la défense spatiale allemande pour contrer les capacités militaires de la Russie et de la Chine.

La France risque donc de se présenter en position de faiblesse pendant la conférence ministérielle de l’ESA prévue à Brême, en Allemagne, les 26 et 27 novembre.

Le président français a également demandé de sortir du principe du « retour géographique » de l’Agence spatiale européenne (ESA) qui garantit que chaque Etat membre récupère, sous forme de contrats industriels, une part des investissements proportionnelle à sa contribution au budget de l’agence, deux semaines avant le conseil ministériel crucial de l’ESA qui définira les budgets pour les trois ans à venir.

Ce principe « a eu sa justification et son utilité à une époque, mais nous devons désormais tourner la page » pour que « nos champions européens soient compétitifs », a-t-il insisté.

Lanceurs réutilisables

Le chef de l’État a aussi déclaré qu’il souhaitait le développement de futurs lanceurs spatiaux réutilisables à la manière des américains SpaceX d’Elon Musk et Blue Origin de Jeff Bezos, pour faire face à la compétition mondiale, tant civile que militaire. Il souhaite « développer les futurs lanceurs autour de la réutilisation, la propulsion à bas coût, la motorisation à forte poussée qui sont les éléments de rupture et d’avancée technologique que nous avons identifiés ».

Emmanuel Macron a martelé: « dépendre d’une grande puissance tierce ou d’un quelconque magnat du spatial c’est hors de question », ajoutant: « suivez mon regard », dans une claire allusion à Elon Musk.

Il faut « faire monter en cadence l’exploitation d’Ariane 6 dont la compétitivité doit être améliorée », a par ailleurs souligné Emmanuel Macron, qui souhaite « moderniser la base de Kourou pour en faire un lieu agile, ouvert aux petits lanceurs et aux partenaires étrangers ».

Le spatial militaire, enjeu stratégique

« Nos compétiteurs de nous attendent pas », a averti Emmanuel Macron, faisant particulièrement référence aux ambitions chinoises et russes. « L’environnement économique, militaire et stratégique de l’espace a parfois évolué plus vite que nous, mais nous avons toutes les cartes en main pour relever le défi », a-t-il assuré.

Le président de la République a également mis en avant la nécessité d’une coopération européenne et plus particulièrement avec l’Allemagne, avec en ligne de mire l’organisation d’un sommer spatial international qui devrait se tenir en France au printemps 2026.

« La France et l’Europe ne se contenteront pas de subir les règles imposées par d’autres, nous les écrirons avec les alliés européens pour garder une capacité d’action, dans, depuis et vers l’espace. »

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« Pluribus » sur Apple TV : seule contre un tsunami de gentillesse

Rhea Seehorn (Carol Sturka) dans la série « Pluribus », créée par Vince Gilligan. APPLE TV+

APPLE TV – À LA DEMANDE – SÉRIE

« La personne la plus malheureuse sur Terre doit sauver le monde du bonheur » : on pouvait lire ces mots avant de voir Pluribus sur le site d’Apple TV destiné à la presse. La nouvelle série de Vince Gilligan (Breaking Bad, Better Call Saul) ressemble à cette phrase, gauche et intrigante.

De ce qui a fait le succès de ses précédentes entreprises, Gilligan n’a conservé que le décor, le désert du Sud-Ouest américain. Le crime, la corruption, la violence ont disparu non seulement du scénario mais de toute la planète dans cette série qui relève de la science-fiction et du conte philosophique. Dès les premières séquences, qui montrent l’équipe d’une station spatiale dans un état d’agitation extrême, on est obligé de prêter une extrême attention à l’enchaînement des événements, qui, dans l’ensemble, s’écartent de la norme des récits dispensés par les plateformes.

Pour revenir à la formule citée plus haut : la personne la plus malheureuse sur Terre s’appelle Carol Sturka. Romancière, elle produit des tomes et des tomes d’un hybride de fantasy et de romance sous le titre Les Vents de Wycaro. Carol Sturka, incarnée par Rhea Seehorn, a toutes les raisons d’être heureuse : elle vend des centaines de milliers de chacun de ses livres, vit en couple avec sa plus proche collaboratrice dans un joli quartier d’Albuquerque (Nouveau Mexique) et travaille sans relâche au traditionnel « projet plus personnel ».

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La famille Saadé, propriétaire de CMA CGM, entre au capital de Carrefour à hauteur d’environ 4% et en devient le deuxième actionnaire

Le géant de la grande distribution a annoncé mercredi en fin de journée l’arrivée de la famille Saadé comme nouvel actionnaire de référence du groupe avec une participation d’environ 4% du capital.

La famille Saadé, propriétaire de l’armateur marseillais CMA CGM (propriétaire de BFM Business), est entrée au capital de Carrefour à hauteur d’environ 4%, devenant son deuxième actionnaire, a annoncé mercredi le géant de la grande distribution. Le milliardaire Rodolphe Saadé entrera à cette occasion le 1er décembre au conseil d’administration du groupe, en remplacement d’Eduardo Rossi, qui représentait Peninsula, la holding de la famille du milliardaire brésilien Abilio Diniz décédé mi-février 2024.

Dans un communiqué distinct, Carrefour a annoncé que son actionnaire de référence Peninsula, qui détenait 9,23% du capital et 15,07% du droit de vote à fin 2024, a pour sa part décidé de vendre sa participation.

« Cette opération a été réalisée et Peninsula n’anticipe pas d’impact complémentaire sur le marché », a déclaré la société dans un communiqué.

Peninsula est la holding de la famille du milliardaire brésilien Abilio Diniz. La société brésilienne était arrivée au capital de Carrefour il y a une dizaine d’année, après avoir été le partenaire du rival Casino. En conséquence, les deux représentants du conseil d’administration de Peninsula, Eduardo Rossi et Flavia Buarque, ont démissionné.

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La fin de l’âge d’or de l’apprentissage a sonné, et les conséquences sont immédiates

Un apprenti plombier, au lycée professionnel Hector-Guimard, à Paris, le 17 janvier 2025. THOMAS SAMSON/AFP

Un peu de répit pour les apprentis. Vendredi 7 novembre, les députés ont rejeté une mesure du gouvernement inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), qui prévoyait de supprimer le régime d’exonérations de cotisations salariales sur la rémunération des alternants. Si l’avenir du texte est incertain, ces derniers conservent pour l’instant une partie de leur exonération, dont le plafond avait déjà été abaissé de 79 % à 50 % du smic.

Il n’empêche, malgré ce vote quasi unanime à l’Assemblée, cette mesure, censée engendrer 400 millions d’euros d’économies, confirme la volonté de l’exécutif, exprimée depuis maintenant trois ans, de réduire la voilure sur l’apprentissage. La période faste est terminée. Et les conséquences sont immédiates.

Selon les données publiées, jeudi 6 novembre, par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), un peu plus de 60 000 emplois salariés du secteur privé ont été détruits entre juin et septembre, dont « environ deux tiers » sont liés à la baisse des contrats d’apprentissage. Déjà l’Insee, dans sa note de conjoncture publiée en septembre, prévoyait un recul de 65 000 postes d’alternant au second semestre. Selon la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques, rattachée au ministère du travail, le nombre de contrats d’apprentissage signés dans le privé ou le public a baissé de 4,1 % de janvier à août. Pour certains centres de formation des apprentis, les comptes passent au rouge.

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« Le Diable s’habille en Prada 2 »: premières images de Meryl Streep et Anne Hathaway dans la suite du film culte

La suite du film culte des années 2000 se dévoile dans une première bande-annonce où Miranda Priestly et Andy Sachs se retrouvent dans les locaux du magazine Runway.

Miranda Priestly est de retour. Ce mercredi 12 novembre, 20th Century Studios a dévoilé la première bande-annonce de la suite du film culte Le Diable s’habille en Prada, prévue en salles pour mai 2026.

Dans ce court extrait, Miranda Priestly, incarnée par Meryl Streep, arpente les couloirs du magazine Runway en talons aiguilles rouges avant d’être rejointe dans l’ascenseur par son ancienne assistante, Andy Sachs, incarnée par Anne Hathaway.

« Tu en as mis du temps », lui lance alors Miranda pendant que les portes de l’ascenseur se ferment.

Un second volet centré sur Miranda Priestly

Si le premier volet du Diable s’habille en Prada sorti en 2006 mettait en scène l’ascension et la désillusion d’Andrea Sachs au sein de Runway Magazine, cette suite se centrera davantage sur le personnage de Miranda Priestly.

La tyrannique rédactrice en chef de Runway est alors confrontée au déclin de la presse papier, et au manque d’argent de son propre titre. Pour obtenir des recettes publicitaires, elle est contrainte de se tourner vers Emily Charlton, son ancienne employée (interprétée par Emily Blunt dans le premier volet), qu’elle a terrorisée pendant des années.

Près de vingt ans après son succès, la suite du Diable s’habille en Prada verra le retour d’Anne Hathaway donc, mais aussi Meryl Streep, Emily Blunt et Stanley Tucci. Ils seront rejoints par Lucy Liu, Pauline Chalamet ou encore Simone Ashley, dont les rôles ne sont pas encore connus.

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Festival d’Angoulême : les principales maisons d’édition de BD menacent d’un boycott

Lors du 51ᵉ Festival international de la bande dessinée d’Angoulême, le 26 janvier 2024. YOHAN BONNET/AFP

L’étau se resserre dangereusement autour du Festival international de la bande dessinée (FIBD) d’Angoulême. Probablement décisive, une réunion en visioconférence s’est déroulée, lundi 10 novembre, entre les collectivités locales et le milieu de l’édition afin de trouver une solution à la crise qui ébranle actuellement la manifestation charentaise.

Un tournant s’est fait jour : longtemps divisées sur le sujet, les principales maisons d’édition du secteur ont fait savoir au maire de la ville, Xavier Bonnefont (DVD), et au directeur de cabinet adjoint de la région Nouvelle-Aquitaine, Frédéric Vilcocq, qu’elles boycotteraient la prochaine édition du festival (29 janvier-1er février 2026) − et pas seulement celle de 2027, comme annoncé dans un premier temps − si la société 9e Art + n’était pas exclue de l’appel d’offres lancé par l’association FIBD, propriétaire de l’événement, pour son organisation.

Une fronde sans précédent secoue le monde de la bande dessinée depuis le samedi 8 novembre et l’annonce par l’association FIBD que 9e Art + est toujours en course pour le renouvellement de son contrat de délégation, à partir de 2028 pour une durée de neuf ans. La société dirigée par Franck Bondoux est dans le collimateur de la profession depuis dix mois et la révélation dans la presse d’un grand nombre de dysfonctionnements : opacité comptable, management toxique, dégradation de l’offre artistique, soupçons de népotisme, auxquels s’est ajouté le licenciement d’une salariée après que celle-ci eut déposé plainte pour un viol qu’elle dit avoir subi lors de l’édition 2024 du festival.

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INFOGRAPHIE. Certains futurs retraités gagneront 6 mois: ce que change concrètement la suspension de la réforme des retraites selon votre âge

L’Assemblée nationale vient d’adopter l’article 45 bis du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026, qui instaure la suspension de la réforme des retraites jusqu’au 1er janvier 2028. Pendant cette période, l’âge légal de départ sera donc figé à 62 ans et 9 mois pour certaines générations.

Voilà une première étape de passée, mais pas décisive. Ce mercredi 12 novembre, l’Assemblée nationale a adopté, en première lecture du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026 et en séance publique, la suspension de la réforme des retraites.

Une telle mesure gèle, jusqu’au 1er janvier 2028, l’âge légal de départ à 62 ans et 9 mois. Cet âge correspond en fait à l’âge actuellement en vigueur pour la génération 1963. La durée de cotisation, c’est-à-dire le nombre de trimestres nécessaires pour partir à la retraite sans subir de décote sur la pension, est également figée à 170 trimestres.

Un âge légal de départ à 62 ans et 9 mois jusqu’à la génération née au 1er trimestre 1965

Autrement dit, grâce à la suspension de la réforme, et jusqu’au 1er janvier 2028, les personnes pourront partir à la retraite trois mois plutôt que ce que prévoyait la réforme entrée en vigueur le 1er septembre 2023. Y compris les personnes relevant du dispositif des carrières longues et les catégories actives et super-actives de la fonction publique.

En règle générale, les personnes nées en 1964 pourront donc partir à la retraite à 62 ans et 9 mois au lieu de 63 ans. Le tout en cotisant un trimestre de moins pour bénéficier d’une pension à taux plein.

L’Edito de Raphaël Legendre : Retraites, les conséquences d’un naufrage – 12/11

Une partie des futurs retraités gagneront même six mois. En effet, le gouvernement a complété l’article 45 bis du budget de la Sécu pour 2026 par un amendement, largement adopté par les députés ce mercredi, qui permet aux personnes nées au premier trimestre de l’année 1965 de partir à la retraite également à 62 ans et 9 mois au lieu de 63 ans et 3 mois. Et seulement 170 trimestres, au lieu de 172, seraient nécessaires pour ne pas subir de décote.

En revanche, les personnes nées entre le 1er avril et le 31 décembre 1965 partiraient à la retraite à 63 ans avec 171 trimestres pour bénéficier du taux plein. Elles gagneraient donc, comme la génération née en 1964, trois mois par rapport à ce que prévoyait la réforme avant la suspension.

Une réforme décalée

Pour les personnes nées à partir de l’année 1966 en revanche, leur avenir est suspendu à l’élection présidentielle de 2027. Si une conférence sociale dédiée au travail et aux retraites invite les partenaires sociaux à repenser le système des retraites, c’est bien cette échéance électorale qui pourrait changer la donne. Le passage à un système par points, universel et l’ajout d’un étage de capitalisation seront sans doute au coeur des débats.

En revanche, si aucune réforme de grande ampleur ne se dessine à l’issue de la présidentielle, alors la réforme Borne reprendra son cours au 1er janvier 2028. Conséquence, celle-ci n’aura véritablement été décalée que d’un an puisque l’âge légal de départ à 64 ans serait effectif pour les personnes nées à partir de 1969 au lieu de 1968.

Dit autrement, les personnes partiraient à la retraite trois mois plus tôt que prévu par la réforme avant la suspension votée par les députés. Par exemple, les personnes nées en 1966 partiraient à la retraite à 63 ans et 3 mois au lieu de 63 ans et 6 mois. Ils ne profiteraient en revanche d’aucun changement sur la durée de cotisation, qui resterait à son plafond fixé à 172 trimestres.

À noter cependant que rien n’est encore joué à ce stade. Le Sénat doit désormais examiner le PLFSS pour 2026. Il est donc possible qu’il supprime la suspension de la réforme des retraites avant que l’Assemblée nationale ne procède à une nouvelle lecture du texte.

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A Gaza, la mort silencieuse des hommes, femmes et enfants malades et mutilés

Ryad Al-Hams, 2 ans, atteint d’une tumeur de la moelle épinière, en attente d’une évacuation médicale, à l’hôpital Nasser à Gaza, le 4 novembre 2025. AHMAD ALBABA

Deux petites têtes brunes, quasi identiques, l’une contre l’autre, un sourire tendre plissant leurs grands yeux noirs. Ce sont les jumelles Rawan et Razan Barbakh lorsqu’elles étaient enfants. Rawan a choisi cette photo comme image de profil sur Facebook. En réalité, toute la page de l’adolescente n’est plus qu’un mur à la mémoire de sa sœur, morte en novembre 2024, à l’âge de 14 ans. Razan, au sourire plus discret sur la photo, était atteinte d’une leucémie, comme sa jumelle encore vivante. Dans la bande de Gaza anéantie par l’offensive israélienne, les médecins de l’hôpital Nasser, établissement du sud de l’enclave, n’ont rien pu faire.

« Nous avons tellement souffert pendant la guerre. Les deux devaient régulièrement recevoir des transfusions sanguines, nous devions nous-mêmes trouver des donneurs, car les hôpitaux n’avaient aucune réserve », témoigne Arafat Barbakh, leur père, au téléphone, Israël interdisant toujours l’accès à la bande de Gaza à la presse internationale. Originaire de Rafah, il vit actuellement à Al-Mawassi, sur la côte sud, où s’étendent des centaines de milliers de tentes de déplacés.

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Marschall Truchot :Sansal gracié, Macron exprime sa « profonde gratitude »


Marschall Truchot :Sansal gracié, Macron exprime sa « profonde gratitude » – 12/11{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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