Travailler jusqu’à 12 jours consécutifs légalement: « Ce qui est certain, c’est qu’il va falloir travailler plus » en France, explique Jean-Philippe Cartier, entrepreneur


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Un apéro avec CharlElie Couture : « J’ai retrouvé tout mon entrain »

CharlElie Couture, dans le bar-restaurant Le Chansonnier, à Paris, le 21 octobre 2025. EDOUARD CAUPEIL / PASCO POUR « LE MONDE »

A un moment, un buffle et un castor sont apparus dans la conversation. C’était à propos du livre que CharlElie Couture vient de publier, Manhattan Galerie. Traits portraits (Calmann-Lévy, 104 pages, 14,90 euros, numérique 11 euros), où il trace le portrait écrit et dessiné de 50 visiteurs de l’atelier-galerie qu’il a tenu à New York entre 2010 et 2015, The RE Galerie. On lui fait remarquer que ce livre est à l’image de beaucoup de ses chansons et tableaux : des zooms sur un personnage, un instant suspendu, avec tout un monde en arrière-plan, comme attrapé au vol. « J’ai toujours fait ça, répond-il. Quand j’étais gamin, si je dessinais un cow-boy, à côté, j’écrivais : “Le cow-boy court parce qu’il y a 100 Indiens qui le poursuivent, et après, il a rencontré un buffle, et après un castor…” » Le goût de raconter des histoires ? Une nécessité, plutôt. « J’ai toujours besoin d’en dire plus. »

C’est de cela que l’on discute, dans l’arrière-salle d’un café du 10ᵉ arrondissement de Paris, tandis que la nuit tombe, et que le verre de kir descend lentement : du « plus », du désir jamais éteint de multiplier les angles, les visions, les univers. A propos de son nouveau livre, il dit : « Il aurait pu contenir 100 portraits, mais ç’aurait été trop, non ? » Parfois, CharlElie Couture se retient. Rare concession aux limites du réel, pour un homme qui a passé sa vie à tenter de les abolir.

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Budget rejeté: « Il n’y aura pas de relance politique tant qu’Emmanuel Macron sera à l’Élysée », réitère Aurélien Taché, député LFI


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Les transferts d’argent des migrants vers leur pays d’origine, une discrète manne qui dépasse les 900 milliards de dollars

Dans une agence de transfert d’argent, à Beyrouth, le 27 juillet 2022. JOSEPH EID / AFP

Ils sont discrets, mal connus, mais représentent une manne considérable et grandissante : les envois d’argent des diasporas vers leur pays d’origine, appelés remises migratoires ou plus communément transferts d’argent des migrants, ont dépassé les 900 milliards de dollars en 2024. Ces flux financiers font, de ce fait, régulièrement l’objet de discours alarmistes, s’inquiétant d’un manque à gagner pour les pays d’accueil des immigrés.

Début novembre, un nouveau rapport de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie – un think tank français dont les publications soulèvent de nombreuses réserves – affirmait que ces envois de fonds représentaient « 155 milliards d’euros perdus pour la France en 15 ans » et qu’il serait par conséquent légitime de chercher « à réduire ces transferts » et « souhaitable de [les] taxer ».

C’est précisément ce qu’a décidé l’administration de Donald Trump l’été dernier dans le cadre de sa politique anti-immigration : une nouvelle loi instaurant une taxe de 1 % sur les transferts d’argent des migrants vers l’étranger devrait entrer en vigueur en janvier 2026.

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Plan de paix en Ukraine: sans « éléments de dissuasion », Emmanuel Macron affirme que les Russes « trahiront leur promesse »

La journée de dimanche 23 novembre sera riche en discussions autour de la guerre en Ukraine. À Genève, les Ukrainiens et Américains se réuniront pour évoquer le plan de paix de Donald Trump tandis que des échanges auront lieu en visio-conférence pour la Coalition des volontaires.

Alors que les Américains et les Ukrainiens vont se réunir à Genève dimanche 23 novembre pour évoquer le « plan de paix » du président américain, Emmanuel Macron annonce, ce samedi, que les pays de la « Coalition des volontaires » échangeront par visio-conférence la même journée.

Il rappelle également, depuis l’Afrique du Sud où il se trouve pour le G20, que « les gens qui vont se réunir demain à Genève, ce ne sont que des gens qui veulent la paix ».

« Il ne faut pas se tromper. La tension est avec la Russie, c’est la Russie qui a déclenché une guerre d’agression. C’est la Russie qui, depuis mars, ne veut pas le cessez-le-feu », ajoute le chef de l’État.

Territoires ukrainiens contre non-agression russe: à qui profite le plan de paix proposé par Trump ?

Des conditions pour que « la paix soit acceptable »

Le « plan de paix » de Donald Trump est un document en 28 points, vu avec une grande inquiétude à Kiev puisqu’il reprend plusieurs exigences clés de la Russie, à savoir que l’Ukraine lui cède des territoires, accepte une réduction de la taille de son armée et renonce à intégrer l’Otan. Il offre cependant des garanties de sécurité occidentales à Kiev pour prévenir toute nouvelle attaque russe.

Emmanuel Macron précise: « On va faire re-converger ces positions avec tous le même but: obtenir la paix, mais pas une paix qui serait précaire, une paix durable pour l’Ukraine et les Européens. »

Il rappelle qu’il y a des « conditions » pour que « cette paix soit acceptable, bien que « toute initiative qui va vers la paix est bonne ». Il faut, selon lui, des « éléments de la dissuasion ».

Sans eux, « les Russes reviendront et trahiront leur promesse. Nous l’avons vu à plusieurs reprises et notamment en ce qui concerne l’Ukraine en février 2022« , souligne le président français, qui estime que la paix « doit commencer par un cessez-le-feu ».

Le président de la République demande également à ce que le projet de Donald Trump soit « renforcé ». « Aucune frontière ne doit être modifiée par la force et l’Ukraine ne doit jamais être vulnérable. Toute décision impliquant l’Union européenne ou l’OTAN doit recueillir l’assentiment de leurs membres », a-t-il notamment écrit sur X.

« Avec nos partenaires européens et du G7, nous saluons les efforts des États-Unis pour ramener la paix en Ukraine. Cela montre une chose : tout le monde veut la paix, sauf la Russie qui continue obstinément de bombarder l’Ukraine », a également réagi le chef de l’État sur son compte X.

Une réponse avant le 27 novembre

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a, lui aussi, repoussé vendredi ce plan, que Donald Trump et Vladimir Poutine le pressent d’accepter, assurant qu’il allait proposer des « alternatives » aux Américains.

Une rencontre entre Poutine et Zelensky peut-elle aboutir à un accord de paix?

Les pourparlers avec les États-Unis seront menés par son bras droit, le chef de la présidence Andriï Iermak, et comprendra entre autres secrétaire du Conseil de sécurité ukrainien, Roustem Oumerov, les chefs des services de sécurité et de renseignement et le chef d’état-major. Soit une délégation essentiellement militaire.

Donald Trump a donné jusqu’au 27 novembre, jour de la fête de Thanksgiving, à Volodymyr Zelensky pour donner sa réponse aux solutions proposées. « Il faudra bien que (ce plan, NDLR) lui plaise, et si cela ne lui plaît pas, alors, vous savez, ils n’auront qu’à continuer à se battre », a lancé le dirigeant américain.

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« Nous pesons moins de 1 % des émissions et pourtant nous souffrons le plus » : à la COP30, les pays du Sud veulent plus d’argent pour s’adapter au réchauffement

Pavillon dédié aux ONG et aux associations civiles et sociales, lors de la COP30, à Belem, dans l’Etat du Pará, au Brésil, le 15 novembre 2025. MAURO PIMENTEL / AFP

L’un de ses surnoms est la « COP de l’adaptation ». La 30e conférence mondiale sur le climat (COP30) à Belem, au Brésil, a mis au cœur de son agenda la réduction de la vulnérabilité face aux impacts déjà majeurs du réchauffement. Une priorité pour la présidence brésilienne et pour les pays du Sud, qui payent un lourd tribut à la crise climatique. Cet enjeu était l’un des plus débattus dans la dernière ligne droite des négociations, qui doivent s’achever officiellement vendredi 21 novembre.

« Nous pesons moins de 1 % des émissions de gaz à effet de serre et pourtant nous souffrons le plus », dénonce Lina Yassin, déléguée du Soudan, s’exprimant au nom du groupe des 44 pays les moins avancés. L’adaptation consiste à limiter les dégâts humains et économiques des canicules, inondations ou sécheresses. Il s’agit par exemple de mettre au point des cultures plus résistantes aux chaleurs ou de créer des îlots de fraîcheur dans les villes. Mais ces politiques progressent lentement, tant le sujet a toujours été le parent pauvre des politiques climatiques au regard de la réduction des émissions – que l’on appelle l’atténuation.

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« Plan de paix » pour l’Ukraine: « Vladimir Poutine ne renoncera jamais à conquérir l’Ukraine », observe Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique


« Plan de paix » pour l’Ukraine: « Vladimir Poutine ne renoncera jamais à conquérir l’Ukraine », observe Bruno Tertrais, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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Bruno Retailleau préfère le recours à « une loi spéciale » plutôt qu’un budget qui va « appauvrir les Français »

Dans un entretien au Parisien publié ce samedi 22 novembre, le président des Républicains estime que le Parti socialiste a mis la main sur le gouvernement alors que la France n’a jamais état autant à droite ».

Tout en dénonçant « un hold-up démocratique » du Parti socialiste, le patron des Républicains Bruno Retailleau a affirmé ce samedi 22 novembre qu’il préfère « une loi spéciale » à un budget qui « appauvrit les Français » dans un entretien mis en ligne sur le site du Parisien.

« Il vaut mieux une loi spéciale plutôt qu’un budget qui continuera à déclasser la France et à appauvrir les Français », estime l’ex-ministre de l’Intérieur après le rejet quasi unanime du projet de budget de l’État dans la nuit de vendredi à samedi.

En cas d’absence d’accord sur le budget 2026, le gouvernement peut faire voter une loi spéciale permettant la reconduction pour les premiers mois de l’an prochain du budget actuel. Ce qui permet à l’État de fonctionner et de continuer à lever des impôts.

Promettant que le Sénat, où la droite et le centre ont la majorité, reviendra sur « les folies fiscales de LFI et du Rassemblement national », Bruno Reailleau prévient qu’un « accord en commission mixte paritaire » sera impossible tant que la réforme des retraites sera suspendue.

« Le PS a mis la main sur le gouvernement »

Le Sénat examine actuellement le budget de la Sécurité sociale, détricotant une bonne partie des mesures votées à l’Assemblée nationale. À l’issue du vote sur ce texte mercredi, sept sénateurs et sept députés se retrouveront pour une commission mixe paritaire (CMP) afin de rédiger une mouture de compromis. Mais leurs chances d’y parvenir sont jugées très faibles et le texte devrait repartir pour une deuxième lecture à l’Assemblée.

Bruno Retailleau, qui a retrouvé son siège de sénateur après sa sortie du gouvernement, dénonce un « hold-up démocratique » de la part des socialistes.

« Le PS a mis la main sur le gouvernement alors que la France n’a jamais été autant à droite. Son Premier secrétaire, c’est le Premier ministre », déplore le patron de LR, dont six membres ont choisi de rejoindre l’exécutif malgré la décision du parti de ne pas y participer.

« Olivier Faure décide. Sébastien Lecornu, lui, s’exécute », s’agace-t-il, reprochant au chef du gouvernement de s’être « lié les mains » en renonçant à l’utilisation du 49.3 pour adopter le budget et de les avoir tendues « aux socialistes en leur offrant la suspension de la réforme des retraites et une montagne d’augmentation d’impôts ».

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Morts au travail : un niveau jamais atteint en 2024

Devant des photos de victimes d’accidents du travail, lors d’un rassemblement à Paris, le 4 mars 2023. STEPHANE DE SAKUTIN/AFP

Sept cent soixante-quatre : c’est le nombre d’accidents du travail mortels en 2024, selon le « Rapport annuel de l’Assurance-maladie – Risques professionnels », publié mardi 18 novembre. C’est cinq de plus qu’en 2023, qui était déjà une année record. S’y ajoutent 318 victimes d’accidents de trajet (entre domicile et travail notamment) et 215 des suites d’une maladie professionnelle, soit un total de 1 297 personnes.

Des chiffres lourds mais comme chaque année incomplets, puisqu’ils concernent seulement les salariés du privé affiliés au régime général, excluant ainsi la fonction publique, les agriculteurs, les chefs d’entreprise et les microentrepreneurs.

Les deux catégories les plus touchées, au sens de la Caisse nationale d’Assurance-maladie, sont celles regroupant les métiers des transports, de l’eau, du gaz, de l’électricité, du livre et de la communication (178 morts, en hausse de 13 % par rapport à 2023), et le BTP (146 morts, – 2 %). Le secteur de l’alimentation voit son nombre d’accidents mortels s’accroître de 20 % en un an.

Lire aussi l’enquête | Article réservé à nos abonnés Morts au travail : une prise de conscience timide et tardive

Si plus de la moitié des décès sont la conséquence de malaises sur le lieu de travail, un quart des accidents mortels ont une origine professionnelle identifiée (chutes de hauteur, manutention manuelle…). « Plus de 20 % des décès sont survenus dans l’année qui suit la prise de poste », ajoute le rapport. Vingt-deux décès concernent des salariés de moins de 25 ans, contre 33 en 2023.

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Une conférence de presse lunaire malgré la victoire: l’entraîneur de Caen reste 38 secondes devant les médias et puis s’en va

Pour la première fois depuis un mois et demi, Caen a remporté un match, vendredi soir contre Bourg-en-Bresse. Mais l’entraîneur Maxime d’Ornano est passé en coup de vent en conférence de presse, ne restant que 38 secondes, visiblement agacé.

C’est un petit évènement pour le Stade Malherbe Caen. En s’imposant 1-0 contre Bourg-en-Bresse vendredi soir, le club a décroché sa quatrième victoire de la saison seulement, et la première depuis début octobre. Un résultat qui aurait dû redonner un peu le sourire à l’entraîneur Maxime d’Ornano, sauf qu’il est apparu en conférence de presse très agacé.

Le coach caennais s’est contenté de quelques mots pour analyser la rencontre : « On est contents d’avoir gagné. Pas plus. Une première mi-temps contractée, en deuxième mi-temps on s’est un peu plus lâchés, on marque à la fin, c’est très bien. » Les journalistes sur place ont tenté de comprendre pourquoi Maxime d’Ornano était visiblement en colère.

« On est juste contents d’avoir gagné, c’est tout »

« Qu’est-ce qui vous agace, ce soir? », a demandé l’un d’eux. « Rien, on est juste contents d’avoir gagné, c’est tout. » Relancé, l’entraîneur n’a rien dit de plus: « Je suis juste content qu’on ait gagné », a-t-il conclu, avant de souhaiter bonne soirée et de s’extirper. Au total, la conférence de presse a duré 38 secondes.

Malgré la victoire, le contexte reste tendu à Caen. Le Malherbe Normandy Kop a notamment chanté contre Maxime d’Ornano, en souhaitant sa démission, et des sifflets sont descendus des tribunes après le coup de sifflet final. Ces dernières semaines, marquées par la polémique entre Orelsan et Kylian Mbappé, a aussi remis la lumière sur le club, en difficulté, qui pointe à la neuvième place de National.

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