Apte à jouer, Neal Maupay ne figure pourtant pas dans le groupe de l’Olympique de Marseille pour le match inaugural de la saison 2025-2026 de Ligue 1 contre Rennes. Roberto De Zerbi a choisi de se passer de l’attaquant dont l’avenir apparait de plus en plus incertain chez les Phocéens.
Un premier choix fort de Roberto De Zerbi pour le début de la Ligue 1. En déplacement ce vendredi à Rennes pour le match d’ouverture de la saison, l’entraîneur de l’OM a décidé de laisser Neal Maupay à la maison selon les informations de RMC Sport.
En pleine possession de ses moyens et pourtant bien pourtant bien présent à l’entraînement de veille de match lors des oppositions, l’attaquant ne figure pas dans le groupe pour le voyage en Bretagne.
L’avenir de Maupay de plus en plus incertain à l’OM
Dans un secteur offensif très fourni avec notamment Amine Gouiri, Mason Greenwood ou encore le revenant Pierre-Emerick Aubameyang, Neal Maupay ne constitue plus l’un des premiers choix de Roberto De Zerbi.
Au point que pour le duel disputé ce vendredi au Roazhon Park, affiche qui marquera aussi la première de la plateforme Ligue1+, le technicien italien a préféré convoquer le jeune Robinio Vaz (18 ans) dans un groupe déjà élargi de 21 joueurs.
La concurrence sera rude dans le secteur offensif marseillais et l’avenir de Neal Maupay à Marseille s’inscrit en pointillés. Un départ lors du mercato reste possible et son avenir demeure très incertain. Encore plus avec ce choix du staff olympien pour le premier match de la saison.
Une incertitude en défense contre Rennes
Pas trop de surprise pour le reste du groupe phocéen qui s’est envolé dans la matinée vers Rennes. Suspendu pour la reprise de la Ligue 1, Facundo Medina n’est pas là. Idem pour la recrue Igor Paixao en raison d’une blessure. Fraîchement arrivé à l’OM lors du mercato estival, Timothy Weah est bien là avec les autres recrues même si l’ancien joueur de la Juventus et du PSG semble parti pour débuter sur le banc.
Roberto De Zerbi pourrait s’appuyer sur un dispositif en 4-3-3 avec Murillo dans le couloir droit et une charnière Balerdi-Egan Riley. A moins que le coach italien ne décide de titulariser Geoffrey Kondogbia dans l’axe avec le jeune CJ Egan-Riley sur le côté gauche de la défense.
La compo probable de l’OM contre Rennes: Rulli- Murillo, Balerdi Egan-Riley (ou Kondogbia) Garcia (ou Egan-Riley) – Hojbjerg, Gomes, Rabiot – Greenwood, Gouiri, Rowe.
« Le Double belvédère », au Cap de Carteret, jusqu’au 31 août
La cabane de Matali Crasset, Cap de Carteret. GANDY GALLERY
Nadine Gandy (fondatrice de la plus grande galerie d’Europe de l’Est, Gandy Gallery) a invité Matali Crasset à plancher sur le promontoire rocheux du cap de Carteret. La designer a imaginé une cabane composée de palettes en bois pour « habiter la vue », face aux îles anglo-normandes. Ouverte à tous, l’installation attend la visite des rêveurs et des enfants… Dès septembre, elle sera installée dans le parc de la mairie de Carteret.
Collection Heliada, Picasta, Hôtel Lou Pinet, à Saint-Tropez, jusqu’au 31 août
Dans une atmosphère d’antre de collectionneur, l’hôtel 5 étoiles tropézien de la collection Maisons Pariente (Le Coucou à Méribel, Le Grand Mazarin à Paris…) accueille en son jardin le mobilier en plâtre façonné à la main par l’artiste Picasta. Entre architecture et sculpture, ses œuvres immaculées ou réveillées de couleurs vives s’inscrivent dans le parcours hors les murs de l’exposition « Une maison à Saint-Tropez » imaginée par Isabelle Castanier.
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« S’agissant d’un des quatre corps, une procédure pour homicide volontaire a été confiée à la brigade criminelle », déclare le ministère public, sans préciser la manière dont la personne pourrait avoir été tuée. Concernant les trois autres corps retrouvés mercredi, l’enquête se poursuit « en recherche des causes de la mort » et reste confiée au commissariat de Choisy-le-Roi. « Aucune identification formelle n’a été établie pour qui que ce soit », ajoute la même source.
Selon elle, si une source policière avait avancé que trois des corps étaient de « type africain », il est impossible de le déterminer pour l’instant en raison des dégâts causés par une immersion plus longue que pour le quatrième corps.
Mercredi vers 13 h 30, les sapeurs-pompiers de Paris étaient intervenus non loin du pont de Choisy, qui relie cette ville de banlieue sud parisienne à Créteil. L’alerte avait été donnée peu avant par un passager voyageant dans le RER C, qui disait avoir aperçu un corps flottant dans la Seine, selon les premiers éléments de l’enquête.
Prenant le relais des pompiers, les policiers locaux puis ceux de la brigade fluviale ont découvert les corps dans le fleuve : un immergé, un flottant en bordure de quai, un troisième coincé dans des branchages et un dernier emporté par le courant.
Un arbre, planté en 2011 à Épinay-sur-Seine en hommage à ce jeune Français juif séquestré et torturé à mort en 2006 par le « gang des barbares », a été abattu.
Une enquête a été ouverte après l’abattage de l’arbre planté en hommage à Ilan Halimi à Épinay-sur-Seine, a indiqué le préfet de Seine-Saint-Denis à l’AFP ce vendredi 15 août. L’enquête est ouverte du chef de « destruction d’un bien d’utilité publique », a indiqué le parquet à BFMTV.
L’arbre avait été planté en 2011 dans cette commune de la banlieue nord de Paris en hommage à ce jeune Français juif séquestré et torturé à mort en 2006 par le « gang des barbares ». Il a été sectionné probablement à l’aide d’une tronçonneuse dans la nuit de mercredi 13 à jeudi 14 août.
« La Nation n’oubliera pas cet enfant de France mort parce que Juif »
Le président Emmanuel Macron a assuré que la République serait « toujours intransigeante » face à l’antisémitisme. « Abattre l’arbre rendant hommage à Ilan Halimi, c’est chercher à le tuer une deuxième fois. Il n’en sera rien: la Nation n’oubliera pas cet enfant de France mort parce que Juif. Tous les moyens sont déployés pour punir cet acte de haine », a écrit sur X le chef de l’État.
« Nul crime ne peut déraciner la mémoire. La lutte jamais achevée contre le mortel poison de la haine est notre devoir premier », a ajouté sur X le chef du gouvernement.
Plusieurs autres responsables politiques ont exprimé leur émotion et leur réprobation après cet acte, alors que la communauté juive est confrontée à une très forte hausse des faits antisémites depuis les attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 et le début de la guerre à Gaza.
« Colère immense »
« Honte au profanateur antisémite qui a dû penser que cet acte était d’un courage infini… », a lancé sur le même réseau social le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, tandis que le député de la France insoumise (LFI) Antoine Léaument a fait part de sa « colère immense » et de son « plein soutien à nos compatriotes juifs ».
Raphaël Glucksmann, patron de Place publique, a appelé à la « lutte sans relâche contre les ordures antisémites, ceux qui les excusent et leur pavent la voie », en relevant qu’Ilan Halimi avait été « torturé et tué parce que Juif » et « pourchassé désormais par-delà la mort », « victime perpétuelle des barbares ».
À droite, Éric Ciotti, patron de l’UDR alliée au Rassemblement national, y voit « un abominable symbole de l’explosion de l’antisémitisme dans notre pays autant qu’une infâme attaque contre la mémoire du martyr d’Ilan Halimi ».
Ilan Halimi, 23 ans, avait été enlevé, séquestré et torturé en janvier 2006 par un groupe d’une vingtaine de personnes qui se faisaient appeler « le gang des barbares« , sous la direction de Youssouf Fofana.
Découvert nu, bâillonné, menotté et portant des traces de tortures et de brûlures, à Sainte-Geneviève-des-Bois, dans l’Essonne, le jeune homme était mort pendant son transfert à l’hôpital un peu moins d’un mois plus tard.
Guerre en Ukraine: « Il n’y a qu’un agresseur, la Russie, et il n’y qu’un État qui propose une capitulation, c’est la Russie », réitère Emmanuel Macron
Le gardien de Rennes, Brice Samba, dans le match opposant l’équipe à Marseille, au Roazhon Park de Rennes, le 15 août 2025. STEPHANE MAHE/REUTERS
Faux départ pour l’Olympique de Marseille (OM). L’équipe phocéenne, deuxième de Ligue 1 la saison passée, a dérapé dès l’ouverture du championnat de France de football, en s’inclinant (0-1) à Rennes, vendredi 15 août, lors de la première journée.
Dominer n’est pas gagner, une leçon que Marseille a souvent méditée au cours de l’année passée et qui restera son principal axe de progression cette saison, où la Ligue des champions s’ajoutera à son programme. Avec un Mason Greenwood parfaitement muselé par son ancien coéquipier Quentin Merlin, les difficultés olympiennes à changer de rythme et à créer des brèches dans les trente derniers mètres adverses ont été criantes. Ce qui est d’autant plus étonnant que l’OM a joué en supériorité numérique pendant une heure après le carton rouge reçu par le Rennais Abdlehamid Aït Boudlal.
Les Rouge et Noir, eux, sans jamais renoncer à faire mal à leur adversaire, ont su faire le dos rond, avant de frapper. C’est le remplaçant Ludovic Blas qui marquait dans la première minute du temps additionnel, six minutes après son entrée sur le terrain.
Carences offensives
Avec Conrad Egan-Riley et Angel Gomes titulaires, mais Pierre-Emerick Aubameyang et Timothy Weah sur le banc, l’entraîneur marseillais, Roberto De Zerbi, avait privilégié les automatismes de la saison passée. Du côté de Rennes, le grand chambardement des derniers mois se manifestait par le fait que le seul joueur sur le terrain qui était rouge et noir l’an dernier à pareille époque était Amine Gouiri… aujourd’hui à l’OM.
L’entraîneur rennais, Habib Beye, avait même joué à fond la carte du renouvellement en lançant trois recrues – Quentin Merlin, Przemislaw Frankowski et Valentin Rongier, l’ex-Nantais et Marseillais, fraîchement accueilli en conséquence par le kop rennais, mais capitaine malgré tout – et deux joueurs prêtés la saison dernière, Fabian Rieder au milieu et Abdlehamid Aït Boudlal en défense, pour ses toutes premières minutes en Ligue 1.
Malheureusement pour lui, le jeune défenseur marocain (18 ans), a été le héros malheureux de la première période en se faisant expulser peu après la demi-heure de jeu pour s’être rendu coupable d’une semelle sur une cheville de Michael Murillo. Relativement équilibré jusque-là, malgré la forte domination marseillaise dans la possession du ballon, le match a ensuite été presque à sens unique.
Ce scénario, apparemment idéal, a cependant mis en lumière les carences offensives marseillaises et une stérilité préoccupante dans l’utilisation du ballon.
Marseille pas plus dangereux après l’entrée d’Aubameyang
Marseille s’est finalement créé fort peu d’occasions franches, surtout compte tenu de son potentiel offensif. Certes, le poteau a deux fois sauvé Brice Samba, sur une frappe d’Adrien Rabiot en toute fin de première période (45e + 5) et sur une tête de Murillo (58e). Le gardien international français s’est tout de même distingué sur une reprise aérienne de Leonardo Balerdi aux six mètres (66e) et une frappe à rebond de Gouiri (69e).
Même l’entrée d’Aubameyang à la 63e, qui a poussé Gouiri de l’axe vers l’aile gauche, n’a pas rendu Marseille plus mordant. Sans un Rulli décisif pour préserver le 0-0 à deux reprises devant Moussa Al-Tamari (42e, 61e), les Bretons auraient même pu prendre les devants plus tôt.
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Mais c’est finalement une superbe ouverture de Merlin, dans le dos de la défense marseillaise, qui trouvait Ludovic Blas, auteur d’un magnifique appel qui lui permettait de se présenter seul devant le portier argentin pour ouvrir le score, avant que Mohamadou Nagida, un autre entrant, soit près de doubler la mise, cinq minutes plus tard.
« L’ensemble de mon groupe a été, je dirais, presque héroïque, mais c’est surtout qu’il a été fantastique, a déclaré l’entraîneur rennais, Habib Beye. Parce que les héros, c’est sur la [durée] d’une saison, ce n’est pas juste sur un “one shot”. »
« On a eu beaucoup d’occasions, mais on n’a pas marqué et on a encaissé ce but bête (…). Si on pense qu’on est plus fort qu’on ne l’est, et que les buts vont tomber du ciel, alors on n’a rien compris », a déploré, de son côté, le coach de l’OM, Roberto De Zerbi. « Il faut réussir à se les créer, ces buts, avec de l’envie, avec du cynisme, avec plus de méchanceté », a ajouté l’entraîneur italien.
Guerre en Ukraine: « Il n’y a qu’un agresseur, la Russie, et il n’y qu’un État qui propose une capitulation, c’est la Russie », réitère Emmanuel Macron
Israël envisage de fermer le consulat français à Jérusalem, en représailles à la reconnaissance par la France de l’Etat de Palestine, selon « Israel Hayom »
En guise de « représailles » à l’engagement du président Emmanuel Macron de reconnaître l’Etat de Palestine, « Israël devrait fermer le consulat français à Jérusalem », rapporte Israel Hayom. Selon le quotidien israélien, le ministre des affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a recommandé cette mesure au premier ministre la semaine dernière, reprenant une idée poussée par le ministre des affaires de la diaspora, Amichai Chikli, depuis plusieurs mois.
Lors d’une réunion du cabinet israélien, dimanche 17 août, M.Chikli a déclaré : « La décision prise par [Emmanuel] Macron de lancer la création d’un Etat de Palestine a gravement nui aux otages et à l’Etat d’Israël, et aucune déclaration de notre part sur cette question ne suffira. » Il a appelé à prendre « des mesures drastiques contre la France, en nationalisant ses biens à Jerusalem et en fermant le consulat », rapporte Israel Hayom.
Selon la même source, Gideon Saar a annoncé à cette occasion que le processus de fermeture du consulat commencerait en parallèle de celui pour la reconnaissance de l’Etat palestinien, à l’Assemblée générale des Nations unies (ONU) en septembre.
C’est le consul général de France à Jérusalem, Nicolas Kassianides, qui avait apporté la missive à Mahmoud Abbas, jeudi 24 juillet, lui apprenant que la France s’engageait à la pleine reconnaissance de la Palestine comme Etat. « Le consulat agit de manière provocatrice », a fait valoir un responsable du ministère des affaires étrangères, estimant que « la France mène actuellement une ligne anti-israélienne ».
A Paris, le ministère des affaires étrangères assure n’avoir pas été contacté à ce sujet. « Nous n’avons pas été informés par les autorités israéliennes d’une telle mesure qui nuirait particulièrement à notre relation bilatérale et entraînerait une réaction forte », déclare le Quai d’Orsay.
À quelques heures de la rencontre organisée entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska, le président des États-Unis s’est envolé en direction du 48e État américain, alors qu’il espère trouver un accord pouvant mettre fin à la guerre en Ukraine.
Le président américain Donald Trump s’est envolé depuis la base aérienne militaire américaine d’Andrews, dans le Maryland, pour l’Alaska, ce vendredi 15 août, en début d’après-midi, où il va rencontrer son homologue russe Vladimir Poutine lors d’un sommet. Les discussions porteront majoritairement sur les conditions d’un cessez-le-feu en Ukraine.
Quelques minutes avant de prendre place dans l’Air Force One, le président américain a écrit sur son réseau social Truth Social, à propos de ce sommet: « Enjeux élevés!!! » L’expression « High stakes » en anglais peut également faire référence à la terminologie du poker, quand les mises sont élevées.
Interrogé par Fox News Radio jeudi, Donald Trump a estimé que « cette rencontre va ouvrir la voie à une autre », espérant prochainement une réunion tripartite avec Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. « Mais il y a 25% de chances que cette rencontre ne soit pas un succès », a-t-il aussi avancé.
Alors que le rencontre entre les deux dirigeants n’a pas encore débuté, le président américain a déjà évoqué la tenue d’une conférence de presse commune l’issue de leur réunion. « Nous n’en avons même pas discuté. Je pense que ce serait bien d’avoir une conférence conjointe, puis séparée », a-t-il déclaré jeudi soir auprès de Fox Radio.