« À l’heure des prédateurs, nous devons être forts pour être craints »: Emmanuel Macron annonce la construction d’un nouveau porte-avions


« À l’heure des prédateurs, nous devons être forts pour être craints »: Emmanuel Macron annonce la construction d’un nouveau porte-avions{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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Art Spiegelman dans « Le Monde », la BD contre la barbarie

Art Spiegelman, à Paris, le 20 mars 2012, avant le vernissage de son exposition « Art Spiegelman, co-mix », au Centre Pompidou. BERTRAND LANGLOIS / AFP

Alors qu’une exposition intitulée « Never again !.. And again… And again… » réunissant des dessins de Joe Sacco et Art Spiegelman autour du conflit entre Israël et le Hamas se poursuit jusqu’au 10 janvier 2026 à la galerie Martel à Paris (au profit de l’Unicef), il est frappant de voir à quel point Le Monde a accompagné chaque étape de la carrière du dessinateur américain comme aucun romancier graphique auparavant. Art Spiegelman effectue son entrée, en toute majesté, dans Le Monde du 27 novembre 1987, à l’occasion de la publication en France de Maus, son magnum opus.

C’est la patronne du « Monde des livres », Josyane Savigneau, qui prend alors la plume pour longuement expliquer l’événement littéraire que constitue ce roman graphique et autobiographique où les juifs sont dessinés comme des souris, les nazis comme des chats et les Polonais sous les traits de porcs. Dans Maus se trouve relatée l’odyssée des parents d’Art Spiegelman, tous deux rescapés d’Auschwitz, le suicide de la mère de l’auteur, ses relations difficiles avec son père, une histoire familiale complexe qui, au-delà de la Shoah, raconte les survivants et les fils de survivants. « C’était, écrit Josyane Savigneau, une entreprise périlleuse – dessiner l’holocauste ! – qu’Art Spiegelman a su mener avec une infinie délicatesse. »

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« La décision a été prise cette semaine »: Emmanuel Macron confirme le lancement du futur porte-avions pour la marine française

Le président de la République a annoncé le lancement des travaux de développement et de construction du futur porte-avions de la Marine nationale.

Il y aura bien un porte-avions de nouvelle génération. S’adressant aux forces armées stationnées aux Émirats arabes unis, le président de la République Emmanuel Macron a donné le coup d’envoi de la construction du futur porte-avions de la Marine nationale, qui remplacera l’actuel Charles de Gaulle à la fin des années 2030.

« Conformément aux deux dernières lois de programmation militaire et après examen complet et minutieux, j’ai décidé de doter la France d’un nouveau porte-avions. La décision de lancer en réalisation ce très grand programme a été prise cette semaine », a déclaré Emmanuel Macron.

Ce nouveau porte-avions « sera l’illustration de la puissance de notre nation, la puissance de l’industrie, de la technologie », a-t-il ajouté.

Il a par ailleurs indiqué qu’il se rendrait en personne aux Chantiers de l’Atlantique à St Nazaire en février prochain. Ce programme va « irriguer notre économie et les 800 fournisseurs, dont 80% sont des PME, a précisé le président. Le projet de loi de finances 2025 prévoit des autorisations d’engagement à hauteur de 10,2 milliards d’euros sur plusieurs années, afin de soutenir le développement et la construction du porte-avions.

Cette annonce intervient après plusieurs années d’études (lancées en 2019) et de discussions, tant sur le plan technique que financier. La maîtrise d’oeuvre sera assurée par le constructeur Naval Group et les Chantiers de l’Atlantique. TechnicAtome est quant à lui chargé des travaux concernant les deux chaufferies nucléaires K22 qui assureront la propulsion de ce géant des mers.

Le futur porte-avions sera plus long et plus large que l’actuel, le Charles de Gaulle: si celui-ci mesure 260 mètres de long pour 64 mètres de large, les dimensions du futur bâtiment amiral sont affichées à 310 mètres de long pour 85 mètres de large.

Le « PA NG » accueillera aussi bien les Rafale Marine au prochain standard F5 que l’avion de combat du futur (le Scaf), mais aussi des drones. L’une des innovations du prochain porte-avions, c’est l’intégration de catapultes électromagnétiques (qui permettent aux avions de décoller): en lieu et place des catapultes à vapeur, les EMALS (electromagnetic aircraft launch system) seront moins encombrantes et la puissance de lancement des avions sera encore plus précise.

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En République tchèque, la rupture à pas comptés d’Andrej Babis avec le soutien à l’Ukraine

Petr Pavel, président tchèque (de dos), et Andrej Babis, chef du parti ANO, le jour de sa nomination comme nouveau premier ministre, au château de Prague, en République tchèque, le 9 décembre 2025. EVA KORINKOVA / REUTERS

Depuis qu’il est redevenu premier ministre à Prague, le 8 décembre, le milliardaire populiste tchèque Andrej Babis marche sur une ligne de crête au sujet de l’Ukraine. S’il entend rompre avec la politique résolument pro-Kiev de son prédécesseur, le conservateur Petr Fiala (2021-2025), il ne veut pas pour autant passer pour prorusse. Vendredi 19 décembre, M. Babis s’est ainsi fait remarquer, à Bruxelles, en annonçant que son pays de 10 millions d’habitants refuserait de participer à la garantie du prêt européen de 90 milliards d’euros décidé lors du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne (UE).

Pour la première fois depuis le début de la guerre en Ukraine, la République tchèque s’est ainsi rangée du côté de la Hongrie de Viktor Orban et de la Slovaquie de Robert Fico, deux dirigeants qui aiment flatter le président russe, Vladimir Poutine, et menacent régulièrement de bloquer les efforts européens de soutien à Kiev. « Nous n’avons pas la même position que la Slovaquie et la Hongrie », a toutefois tenu à préciser M. Babis, assurant que sa ligne diplomatique diffère de celle de ses deux voisins d’Europe centrale.

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« La Marseillaise » entonnée à la fin du discours aux Armées d’Emmanuel Macron


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EN DIRECT, guerre en Ukraine : l’armée ukrainienne concède à l’armée russe la ville de Siversk, dans l’oblast de Donetsk

La centrale nucléaire de Tchernobyl menacée d’effondrement en cas de nouvelle frappe russe, selon son directeur

Des employés de la centrale de Tchernobyl, le 22 décembre 2025. TETIANA DZHAFAROVA / AFP

Une frappe russe pourrait provoquer l’effondrement de l’abri antiradiations interne de la centrale nucléaire de Tchernobyl, aujourd’hui à l’arrêt, en Ukraine, a déclaré le directeur de la centrale, Sergiy Tarakanov à l’Agence France-Presse (AFP). « Si un missile ou un drone le touche directement, ou même tombe quelque part à proximité, par exemple un Iskander, Dieu nous en garde, cela provoquera un mini-séisme dans la zone », a-t-il expliqué à l’AFP, lors d’un entretien réalisé la semaine dernière. « Personne ne peut garantir que l’abri restera debout après cela. C’est là la principale menace », a-t-il ajouté.

Les vestiges de la centrale nucléaire sont recouverts d’une coque interne en acier et en béton, que l’on nomme « sarcophage », construite à la hâte après la catastrophe nucléaire de 1986, ainsi que d’une coque externe moderne et high-tech, appelée « New Safe Confinement » (NSC, nouveau confinement de sécurité).

L’abri du NSC a été gravement endommagé lors d’une frappe de drone russe, en février, qui a provoqué un incendie majeur dans le revêtement extérieur de la structure en acier. « Notre NSC a perdu plusieurs de ses fonctions principales. Et nous comprenons qu’il nous faudra au moins trois ou quatre ans pour restaurer ces fonctions », a précisé M. Tarakanov.

Les niveaux de radiation sur le site restent « stables et dans les limites normales », a-t-il aussi déclaré.

L’AIEA a prévenu au début du mois qu’une mission d’inspection avait constaté que l’abri avait « perdu ses fonctions de sécurité essentielles, notamment sa capacité de confinement, mais qu’il n’y avait pas de dommages permanents aux structures porteuses ou aux systèmes de surveillance ».

Le trou causé par l’impact du drone a été recouvert d’un écran protecteur, a encore détaillé M. Tarakanov, mais 300 petits trous faits par les pompiers pour lutter contre l’incendie doivent encore être comblés.

L’armée russe s’était emparée de la centrale au début de son invasion, en 2022, avant de se retirer quelques semaines plus tard.

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« On n’a pas les moyens de laisser ces 6.000 euros »: pourquoi le FC Sochaux n’a pas laissé sa part de la recette à Béthune en Coupe de France

Éliminé par Sochaux samedi en 32es de finale de la Coupe de France, le club de Béthune (R1) a dénoncé la décision du FCSM de ne pas lui laisser la totalité de la recette du match. Joint par RMC Sport, le président sochalien dit regretter ces critiques et assumer sa position.

Des mots très forts. Samedi soir, une heure après la défaite de son club de Béthune contre Sochaux (2-4), en 32es de finale de la Coupe de France, Jean-Guy Wallemme avait des choses à dire – et à dénoncer – devant les médias locaux. L’objet de son courroux? La décision du FCSM de ne pas laisser sa part de recette au club amateur. « C’est un club professionnel qui s’est en plus qualifié. Il y a un minimum de respect à avoir. Je sais que Sochaux a connu des soucis financiers, mais ce n’est pas notre problème », a pesté le coach de la formation nordiste, pensionnaire de Régional 1.

À la lecture de ces critiques, Clément Calvez admet être « tombé de haut ». Joint par RMC Sport, le président sochalien se dit « assez peiné » et dans l’incompréhension. « Je peux entendre que Béthune soit déçu parce qu’il y a cette tradition de laisser la recette qui existe mais qui n’est pas obligatoire. Et il faut comprendre notre position. Lors des quatre premiers tours, on a joué contre des clubs de l’est de la France, on a toujours laissé la recette parce qu’on estimait que ce n’était notre devoir en tant que club phare de la région d’aider au développement du football régional. On a même aidé à l’organisation des matchs qui se sont joués à Bonal », explique-t-il ce dimanche.

Et de poursuivre: « Là on a joué un club d’une autre région, avec d’importants frais de déplacement (bus, hôtellerie, repas). La part qui revient au club visiteur ne couvre même pas nos frais. Ce n’est pas un manque de respect envers Béthune. Ce n’est pas choquant. Oui, on est encore un club pro mais on évolue en National, un championnat compliqué financièrement. On est encore en difficulté financière et on revient de loin. On a mis en place un plan de sauvegarde de l’emploi il y a un an et demi, d’autres départs sont prévus. Laisser environ 6.000 euros à un club qui est à sept heures de chez nous aurait été maladroit vis-à-vis de tous ces gens qui partent. »

« On a manqué de respect à personne! »

Monument du football français mais pris à la gorge par des finances dans le rouge ces dernières années, Sochaux lutte aujourd’hui pour remonter en Ligue 2, et retrouver une stabilité économique. « On ne pouvait pas se permettre de laisser cette recette, qui nous permet de couvrir une partie de nos frais de déplacement. Cette tradition était plus facile à maintenir quand le foot français était en meilleure situation financière, avec 700 millions d’euros de droits TV qui nous aidaient tous à respirer. Aujourd’hui, on n’a pas les moyens de laisser ces 6.000 euros. Jean-Guy Wallemme dit qu’il connaît la situation financière du FC Sochaux mais que ce n’est pas son problème. Je trouve cette remarque assez choquante. J’ai expliqué à son président pourquoi je ne laissais pas la recette. On a manqué de respect à personne! », développe Clément Calvez, président du club depuis septembre 2024.

« Il y a deux ans, des clubs de Ligue 1 sont repartis de Bonal avec la recette, on n’a pas crié au scandale, c’est comme ça. Aujourd’hui, je me bagarre tous les jours pour les finances de mon club et je n’ai pas l’impression d’être un monstre », conclut-il, le regard maintenant tourné vers le tirage au sort des 16es de finale programmé ce dimanche soir (à suivre à partir de 19h45 sur notre site). Avec l’envie d’oublier cette polémique et l’espoir d’une belle fête à Bonal au prochain tour.

>> Coupe de France: le tirage des 16es de finale EN DIRECT

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Israël prolonge jusqu’à fin 2027 la possibilité d’interdire des médias jugés dangereux

Dans la salle de montage de la chaîne qatarie Al-Jazira, à Ramallah, en Cisjordanie, le 5 mai 2024. NASSER NASSER/AP

La Knesset, le Parlement israélien, a annoncé, mardi 23 décembre, avoir voté un amendement qui permet aux autorités de prolonger jusqu’à fin 2027 l’interdiction de diffusion de médias étrangers accusés de porter atteinte à la sécurité de l’Etat.

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Adoptée en avril 2024 en pleine guerre à Gaza entre l’Etat hébreu et le Hamas, la législation visait principalement la chaîne qatarie Al-Jazira, qualifiée par les autorités d’« organe de propagande » du mouvement islamiste palestinien. La chaîne, fermée par les autorités, était accusée d’avoir « participé activement » à l’attaque terroriste du 7 octobre 2023 menée par le Hamas dans le sud d’Israël, qui a déclenché la guerre à Gaza.

La loi était initialement limitée à la durée de l’état d’urgence déclaré au début du conflit. L’amendement a été voté dans la nuit de lundi à mardi. Le Parlement a annoncé mardi sur le réseau social X avoir approuvé le projet de loi « permettant, dans le cadre d’une disposition temporaire valable jusqu’au 31 décembre 2027, de restreindre les diffusions de médias étrangers portant atteinte à la sécurité de l’Etat ».

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Une « politique de musellement » des médias

D’après la législation, si le premier ministre estime, sur la base d’« avis professionnels », qu’un média est dans ce cas, le ministre de la communication peut ordonner l’arrêt des diffusions, la fermeture des bureaux, la saisie de son matériel de diffusion ainsi que le blocage de son site Internet, selon le texte publié sur le site du journal Haaretz. Les différents organismes de sécurité doivent être consultés. Un seul avis favorable suffit pour autoriser une fermeture, sans nécessité de validation par une décision judiciaire.

« Les chaînes terroristes sont hors jeu en période normale comme en état d’urgence », s’est réjoui le ministre de la communication, Shlomo Karhi, après le vote. Réagissant sur X, l’homme politique Mustafa Barghouti, du mouvement Palestinian National Initiative, a, pour sa part, fustigé une mesure « injuste » qui vient compléter une « politique de musellement » des médias.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Reporter en Cisjordanie, une profession à haut risque

Entre 2024 et 2025, Israël a perdu 11 places dans le classement mondial de la liberté de la presse de Reporters sans frontières (RSF), tombant au 112e rang sur 180.

Lundi, le gouvernement a voté la fermeture de la très populaire station de radio militaire Galei Tsahal, malgré l’opposition de la conseillère juridique du gouvernement.

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Le Monde avec AFP

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Christian Estrosi, déguisements et drapeau de la ville: les images festives de la 79e édition du Bain de Noël de Nice

Plusieurs centaines de personnes se sont réunies ce dimanche 21 décembre pour la nouvelle édition du Bain de Noël de Nice. Un événement incontournable lors des fêtes de fin d’année auquel s’est également rendu le maire Christien Estrosi.

Ce dimanche 21 décembre, les Niçois les plus courageux se sont élancés dans la mer Méditerranée à l’occasion de la 79e édition du Bain de Noël de Nice. Plusieurs centaines de personnes ont participé à l’événement dans une ambiance chaleureuse malgré la température de l’eau.

De nombreux individus se sont jetés dans une eau à 16°C affublés de déguisements de Noël, notamment des bonnets rouge traditionnels.

« C’est le meilleur médicament, c’est le docteur qui l’a dit », a déclaré un participant à nos confrères de Franceinfo.

Le maire de la ville, Christian Estrosi, était également présent et a saisi parmi le groupe de nageurs le drapeau de Nice. Il ne s’est toutefois pas baigné comme il l’a déjà fait par le passé.

Des festivités sur le sable

Sur la plage de Ruhl, les festivités ont commencé dès 10h30 avec plusieurs défilés et une représentation d’une compagnie de danse. Une course de natation a ensuite été lancée à 11h15, avant que le bain populaire ne soit ouvert peu avant midi.

D’autres communes ont organisé le même événement, à l’image de Beaulieu-sur-Mer et de Villefranche-sur-Mer.

La tradition, qui fêtera ses 80 ans en 2026, a été lancée en 1944. Elle n’a été annulée qu’à deux reprises: en 2019 en raison de la tempête Fabien et en 2020 lors de la pandémie de Covid-19.

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Le Var placé en vigilance orange crues et pluie-inondation ce dimanche soir

Météo-France a placé le département en vigilance orange dès 22 heures, ce dimanche soir. Il est également placé en alerte jaune pour vent et orages.

Le département du Var sera placé en vigilance orange pour risque de crue et pluie-inondation dès 22h, ce dimanche 21 décembre. Météo-France avait déjà placé le secteur en vigilance jaune sur cette journée et mis en garde face à une éventuelle aggravation de la situation.

Le Var rejoint l’Aveyron, l’Hérault et la Lozère. La Lozère, l’Ardèche et le Gard sont également placés en vigilance orange pour fortes pluies jusqu’à minuit.

Un département en alerte

Le Var est également placé en vigilance jaune aux orages et pour le vent, ce dimanche. Dans la matinée, Météo-France avait mis en garde les habitants du département : « des précipitations durables et parfois orageuses sont attendues pouvant donner des cumuls importants ».

Météo-France précise qu’un épisode neigeux notable sur le sud du Massif Central est prévu, tout comme un risque de crues importants sur Hérault Amont et le Haut Tarn.

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