Arthur Fils, lors de son match du premier tour contre ke Chilien Nicolas Jarry, à Roland-Garros, à Paris, le 26 mai 2025. GONZALO FUENTES / REUTERS
Jusque-là, entre Arthur Fils et Roland-Garros, ce n’était pas tout à fait l’amour fou. Avant cette année, l’Essonnien avait foulé trois fois la terre battue parisienne chez les professionnels – lors des éditions 2023 et 2024 et, la même année, dans le cadre des Jeux olympiques – pour à chaque fois le même résultat : une élimination d’entrée. Le Français de 20 ans a joliment inversé la tendance, lundi 26 mai, en battant le Chilien Nicolas Jarry en quatre sets (6-3, 6-4, 6-7, 6-3), au premier tour.
Arthur Fils a, cette fois, de quoi être confiant. Cette année, le Français n’est plus tout à fait ce joueur bougon qui, lors des JO de Paris, n’avait pas dépassé la douzaine de mots face aux journalistes pour expliquer sa défaite face à l’Italien Matteo Arnaldi. Depuis, le natif de Bondoufle (Essonne) a pris un peu de bouteille et réalisé quelques matchs références. En avril, à Monte-Carlo, traditionnel coup d’envoi de la saison sur terre battue en Europe, il a atteint les quarts de finale, où il a failli faire trébucher l’Espagnol Carlos Alcaraz, lauréat à Roland-Garros 2024, finalement vainqueur de leur duel en trois manches.
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