En ce jour, les énergie et la passion sont très présentes dans ton rapport affectif. Tu as probablement envie de prendre des risques et de t’ouvrir à la possibilité d’une romance nouvelle. Mais, ne te laisse pas aller à la folie : la prudence est la mère de la sagesse.
Santé
Les Nourritures et les habitudes sont une question à laquelle tu dois te demander des questions. Les excès et la paresse peuvent avoir de graves conséquences sur ton bien-être physique et émotionnel. Assure-toi de prendre soin de ton corps et d’écouter les messages de ton esprit.
Travail
Tu es en train de vivre une période de grande inspiration et de créativité. Tes idées et tes talents sont sollicités, et tes réalisations seront reconnues par les autres. Fais preuve d’une bonne gestion du temps et n’hésite pas à prendre des décisions difficiles pour atteindre tes objectifs.
Aujourd’hui, l’amour peut être la clé de votre réussite. Vous avez peut-être des projets de rencontre en tête, ou vous cherchez désormais à approfondir votre relation existante. Soyez vous-même, car cela fera ressortir votre authenticité et attirerez une personne qui vous appréciera vraiment.
Santé
N’oubliez pas de prendre soin de votre santé physique et émotionnelle. L’activité physique, comme le yoga ou une promenade, peut vous aider à vous sentir plus détendu et en forme. Il est également essentiel de dormir suffisamment pour vous sentir bien. Évitez de vous laisser submerger par les obligations et les stress, car cela pourrait vous affecter durablement.
Travail
Vous avez besoin de vous sentir compris et soutenu dans votre travail actuel. Essayez de nouer des liens avec vos collègues, car cela peut rendre votre quotidien plus facile. N’hésitez pas à solliciter de l’aide si vous en avez besoin et n’ayez pas peur de montrer votre point de vue. Cela vous aidera à développer une relation de travail saine et efficace.
Manifestation féministe après la torture et le meurtre de deux jeunes femmes et une adolescente, à Buenos Aires, le 27 septembre 2025. GUSTAVO GARELLO/AP
Il y a d’abord l’horreur du triple féminicide, rapporté dans les moindres détails par la presse argentine. Il y a ensuite le cortège de questions qu’il soulève. Morena Verdi et Brenda del Castillo, deux cousines de 20 ans, et leur amie Lara Gutierrez, 15 ans, sont vues pour la dernière fois vendredi 19 septembre au soir. Invitées à une fête, elles montent de leur plein gré à bord d’un véhicule, en banlieue de Buenos Aires.
Dès le lendemain, leurs proches s’inquiètent de leur absence et lancent l’alerte. Où sont Brenda, Lara et Morena ? La recherche se poursuit jusqu’à la découverte, mercredi 24 septembre, de corps enterrés dans le jardin d’une maison de Florencio Varela, ville voisine de la capitale. Les autopsies établissent que les trois victimesont subi des tortures, selon la presse.
Le déchaînement de violence aurait été transmis en direct « sur les réseaux sociaux et 45 personnes l’auraient vu »,sur un groupe fermé, a assuré Javier Alonso, le ministre de la sécurité de la province de Buenos Aires. A ce stade, l’enquête ne parvient pas à établir le canal de diffusion, rapporte le quotidien Clarin.
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Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: pour Thomas Ménagé, député RN, « Emmanuel Macron se donne du temps avant d’annoncer une dissolution »
Crise politique: « Il faut un programme clair et un gouvernement resserré idéologiquement pour qu’il puisse s’ouvrir aux compromis », estime Philippe Brun, député PS
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: « Nous demandons au président de la République de respecter le résultat des urnes de juillet 2024 », fustige Pierre Jouvet, secrétaire général du PS
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: « Chacun doit faire son travail », rappelle Jean-Marc Dumontet, chef d’entreprise{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: pour Thomas Ménagé, député RN, « Emmanuel Macron se donne du temps avant d’annoncer une dissolution »
Crise politique: « Il faut un programme clair et un gouvernement resserré idéologiquement pour qu’il puisse s’ouvrir aux compromis », estime Philippe Brun, député PS
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: « Nous demandons au président de la République de respecter le résultat des urnes de juillet 2024 », fustige Pierre Jouvet, secrétaire général du PS
Les négociations qui s’ouvrent, lundi 6 octobre en Egypte, entre Israël et le Hamas, sont dites « techniques »par les deux parties. De prime abord, chacune en fait une affaire entendue, qui pourrait durer « deux jours » tout au plus, comme l’a souhaité Donald Trump. Toutes s’accordent à ce que les otages capturés par le Hamas soient libérés, satisfaisant ainsi le président américain.
A Charm El-Cheikh, station balnéaire du Sinaï, il sera question des conditions et de l’heure de ces libérations, ainsi que du cessez-le-feu qui doit régner alors. Cependant, le chef de la délégation du Hamas a fait savoir, dimanche, en arrivant le premier en Egypte, que ces pourparlers devaient d’abord aplanir de lourdes divergences.
Khalil Al-Hayya souhaite un échange « immédiat » d’otages et de prisonniers palestiniens, mais il entend pour cela négocier, dans l’ordre, « les mécanismes d’un cessez-le-feu, le retrait des forces d’occupation et un échange de prisonniers ». Or, définir ce retrait n’est pas l’affaire de deux jours. Le négociateur en chef du mouvement islamiste est apparu en public, dimanche, pour la première fois depuis qu’Israël a tenté de l’assassiner, lui et son équipe, lors des bombardements sur Doha, le 9 septembre. Son fils a été tué lors de cette attaque.
De son côté, Benyamin Nétanyahou n’a pas envoyé en Egypte, pour diriger la délégation israélienne, le patron du Mossad (service de renseignement extérieur israélien), David Barnea, qui n’avait pas caché son opposition aux frappes aériennes sur Doha. C’est le plus proche collaborateur du premier ministre, l’Israélo-Américain Ron Dermer, qui mène la délégation, comme il le fait depuis février.
Durant le week-end, M. Trump a sèchement balayé les réserves de son allié israélien sur la réponse initiale du Hamas, qui l’a, au contraire, enthousiasmé. Il a publié une carte de la bande de Gaza sur son réseau, Truth Social, et sommé le mouvement islamiste d’accepter une première ligne de retrait des forces israéliennes. Cette « ligne jaune » laisse à l’armée le contrôle de la moitié du territoire et de la frontière égyptienne, mais lui enlève le corridor de Netzarim, qui isole la ville de Gaza du sud de l’enclave.
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Olivier Faure à Matignon?: « Si on est à Matignon, on change de méthode », explique Philippe Brun, député PS{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: pour Thomas Ménagé, député RN, « Emmanuel Macron se donne du temps avant d’annoncer une dissolution »
Crise politique: « Il faut un programme clair et un gouvernement resserré idéologiquement pour qu’il puisse s’ouvrir aux compromis », estime Philippe Brun, député PS
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: « Nous demandons au président de la République de respecter le résultat des urnes de juillet 2024 », fustige Pierre Jouvet, secrétaire général du PS
Crise politique: « Si un gouvernement devait se former, selon la coalition qui est attendue, on pourrait dégainer très rapidement une censure », signale Clémence Guetté, députée LFI
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: « Tous les partis politiques, à l’exception du RN, sont responsables de la situation actuelle », estime Alexandre Loubet, député RN de la Moselle
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: Jonas Haddad, porte-parole des Républicains, déclare que le parti « n’est pas obsédé par les postes » du gouvernement
Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: « Le problème, ce soir encore, il est à l’Élysée », estime Paul Vannier, député LFI du Val-d’Oise
Bruno Retailleau et Sébastien Lecornu, alors ministre de l’intérieur et ministre des armées, à l’Elysée, à Paris, le 16 juillet 2025. LUDOVIC MARIN/AFP
Depuis la dissolution de juin 2024, le temps politique s’est brutalement accéléré pour défier les lois de la physique. Et de la logique aussi. Dimanche 5 octobre, Les Républicains (LR) sont passés en l’espace de quatre heures d’« une participation exigeante » dans le gouvernement dirigé par Sébastien Lecornu – où il disposait de cinq portefeuilles sur dix-huit – au déclenchement d’une crise politique inédite. « La composition du gouvernement ne reflète pas la rupture promise », avait dénoncé Bruno Retailleau à 21 h 22, sur X. Une déclaration qui a créé une véritable déflagration politique aboutissant, lundi matin, à la démission de Sébastien Lecornu.
Dimanche en fin de journée, le président de LR était pourtant reconduit au ministère de l’intérieur. Comment un ministre peut-il dénoncer le casting du gouvernement auquel il appartient ? « On n’est pas le flotteur droit de la Macronie », souffle-t-on dans son entourage.
Tout s’est cristallisé autour de la nomination de deux anciennes figures de la droite passées au macronisme, Bruno Le Maire comme ministre des armées et Eric Woerth comme ministre de l’aménagement du territoire. Les deux hommes incarneraient le « macronisme du passé », selon le député des Hauts-de-Seine, Jean-Didier Berger.
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La patronne des Écologistes, qui publie son livre Demain, si tout va bien, a estimé ce jeudi 2 octobre que Marine Le Pen avait « privatisé ce prénom pour en faire sa marque » avec le Rassemblement national.
Pour Marine Tondelier, porter le prénom associé à la figure du Rassemblement national n’est pas une chose aisée. Invitée dans l’émission C à vous sur France 5 ce jeudi 2 octobre, la Secrétaire nationale des Écologistes a encouragé ses homonymes à réhabiliter ce prénom, que Marine Le Pen s’est, selon elle, « appropriée ».
« S’appeler Marine en France, en 2025, ce n’est pas facile! », a-t-elle confié, estimant qu’il était aujourd’hui connoté à l’extrême droite.
La patronne des Verts, qui a publié ce mercredi son livre Demain, si tout va bien, estime que la candidate du RN (ex-Front national) aux présidentielles de 2012, 2017 et 2022 « a privatisé ce prénom pour en faire sa marque ». Et ce, notamment pour permettre « l’effacement à tout prix du nom Le Pen », renvoyant à son père Jean-Marie.
Un prénom choisi par sa mère grâce à Michel Platini
Propulsée sur le devant de la scène politique au moment de la dissolution de juin 2024, Marine Tondelier s’est d’ailleurs aguerrie en affrontant Marine Le Pen à trois reprises, dans son fief de Hénin-Beaumont, lors de plusieurs élections législatives dans le Pas-de-Calais.
Née le 23 août 1986, la responsable écologiste a également confié sur France 5 que sa mère avait opté pour ce prénom après avoir lu dans Paris Match que la fille de Michel Platini s’appelait ainsi. « Michel Platini est vert, hasard, je ne pense pas », s’en est-elle amusée, faisant référence au passage du footballeur à Saint-Étienne durant sa carrière.
« J’espère à mon humble mesure avoir contribué » à ce que certaines femmes se réapproprient ce prénom, ajoute Marine Tondelier, avouant que celui-ci lui a valu quelques « blagues » pendant sa jeunesse. En particulier après le succès de la chanson Marine de la rappeuse Diam’s, sortie en 2004.
Pour rappel, Marine Le Pen s’appelle en réalité Marion Anne Perrine Le Pen.
Dans un message sur X, Marc Fesneau, président du groupe MoDem à l’Assemblée, écrit : « J’ai honte de notre vie politique. Je veux, ici, dire les choses telles qu’elles sont. L’irresponsabilité individuelle, les ambitions présidentielles et les petits calculs mesquins sont en train de faire sombrer le pays dans le chaos. Au bout, les seules victimes seront les Français. J’ai honte de voir tout cela étalé devant les yeux de nos concitoyens, qui peuvent légitimement être en colère. J’ai honte devant les conséquences à venir, s’il n’y a pas de sursaut, car elles frapperont d’abord les plus modestes et les plus fragiles. Maintenant, que ceux qui refusent ce chaos, qui ne se résolvent pas à l’impuissance, qui aiment notre pays par-dessus toute autre considération, se parlent enfin et vraiment. »
Il ajoute : « Je prendrai personnellement toute ma part pour faire vivre ce dialogue indispensable pour parvenir à des solutions pour le pays. Nous, au MoDem et au groupe parlementaire Les Démocrates, nous ne dévierons pas de nos responsabilités. Nous ne renoncerons pas et nous jetterons toutes nos forces dans cette bataille pour trouver un compromis historique pour la France. »