Horoscope du 29-10-2025 : Bélier

Amour

Vous êtes actuellement sous l’emprise d’une personne qui vous touche le cœur. Si vous vous êtes récemment rencontré(e), vous avez probablement déjà remarqué la chaleur de la connexion qui vous relie.
N’ayez pas peur de vous ouvrir à cette personne, mais assurez-vous de la respecter et de ne pas en attendre trop vite.
Vos relations affectives sont en pleine évolution, alors soyez attentif aux signaux que votre partenaire vous envoie et soyez prêt à les suivre.

Santé

Cette journée pourrait vous voir faire un retour en force sur le plan physique, avec une envie de courir, de monter des montagnes ou de pratiquer une activité physique intense.
N’oubliez pas de prendre soin de vous et de ne pas vous excesser, car vous pourriez vous blesser.
Un moment de repos bien mérité après une activité physique exigeante vous apparaîtra bientôt comme une nécessité.

Travail

Ceux qui ont tendance à être perfectionnistes devraient être prudents aujourd’hui, car leur exigence pourrait leur jouer un tour, les forçant à remettre en question toutes les décisions qu’ils ont prises.
Il vaut donc mieux trouver le bon équilibre entre la qualité et la quantité, afin de ne pas se retrouver au bord de la démission.
Ne vous laissez pas démonter, vous êtes fort et vous serez capable de vous remettre sur les rails.

« Je n’ai plus confiance en la justice »: Marie-Claude, 73 ans, se confie après le squat de sa maison à Nantes

Marie-Claude, 73 ans, a entamé une grève de la faim à Nantes vendredi 24 octobre, pour alerter sur le squat de sa maison. Le locataire, qui louait seulement une chambre sur les quatre présentes, ne paye plus le loyer et a siliconé les serrures.

Cela fait cinq jours qu’elle ne mange plus. Et pour cause: Marie-Claude a estimé ce mardi 28 octobre auprès de BFMTV ne plus « avoir confiance en la justice » après avoir entamé une grève de la faim, face au manque d’aide pour alerter sur le squat de sa maison.

« Ce problème devrait être réglé depuis longtemps (…) Cette souffrance était telle qu’une grève de la faim ne pouvait pas être pire », explique-t-elle sur notre antenne.

À 73 ans, Marie-Claude a entamé cette grève de la faim à Nantes dès le vendredi 24 octobre. Et pour cause: son locataire, qui louait seulement une chambre sur les quatre présentes, ne paye plus le loyer. Pire encore: il a siliconé les serrures, estimant que cette dernière était « trop présente » dans le logement.

« Il a laissé sa clé dans la serrure afin que je ne puisse plus y pénétrer », explique-t-elle, affirmant qu’il a « payé deux mois de loyer après un demi loyer et depuis septembre il n’a rien versé ».

« Les mois passent est le problème est toujours existant »

Après avoir été dirigée plusieurs fois vers des établissements censés l’aider, Marie-Claude a tenté de déposer une plainte auprès de la police, en vain. Et pour cause: le locataire a lui-même porté plainte pour « violation de domicile ».

La propriétaire déplore notamment sur BFMTV la lenteur des structures d’aides: « la première fois, on me donne un avocat, donc il faut attendre un mois pour avoir un conciliateur de justice (…) les mois passent est le problème est toujours existant ».

La lenteur des démarches à effectuer pour récupérer sa maison a par la suite donné l’idée à Marie-Claude de faire cette grève de la faim. Mais pour l’heure, la situation stagne. « Le premier adjoint au maire a écrit au procureur de la République et au préfet », rapporte la septuagénaire qui n’a toutefois « pas eu de retour » sur la situation.

À l’approche de la trêve hivernale, Marie-Claude dit ne « plus comprendre grand chose » en la justice.

Source

Pakistan-Afghanistan : Islamabad rapporte que les négociations pour une trêve entre les deux pays voisins ont échoué

Un membre des forces de sécurité talibanes près du point de passage frontalier de Ghulam Khan, entre l’Afghanistan et le Pakistan, dans le district de Gurbuz, au sud-est de la province de Khost (Afghanistan), le 20 octobre 2025. AFP

Les négociations entre l’Afghanistan et le Pakistan pour une trêve durable après leurs récents affrontements ayant fait des dizaines de morts ont échoué, a annoncé, mercredi 29 octobre, Islamabad, alors que les pourparlers patinaient.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés La rivalité entre New Delhi et Islamabad, toile de fond des affrontements frontaliers entre le Pakistan et l’Afghanistan

« De manière regrettable, la partie afghane n’a donné aucune assurance, n’a cessé de s’écarter du problème central et s’est résolue à un jeu de reproches, de dérobades et de ruses », a dénoncé sur X le ministre pakistanais de l’information, Attaulah Tarar. Après quatre jours de discussions à Istanbul sous médiation qatarie et turque, « le dialogue a donc échoué à aboutir à une quelconque solution réalisable », a-t-il déploré.

D’une ampleur rare, la confrontation a débuté il y a deux semaines, lorsque le gouvernement taliban a déclenché une offensive à la frontière après des explosions à Kaboul imputées au Pakistan. Un cessez-le-feu approuvé il y a une dizaine de jours grâce à une médiation du Qatar a permis une suspension des combats, qui ont fait des victimes civiles. La frontière entre les deux pays est fermée depuis deux semaines et seuls les migrants afghans expulsés ou chassés du Pakistan peuvent la traverser.

Des positions irréconciliables

Le Pakistan, confronté à une résurgence d’attaques contre ses forces de sécurité, disait attendre des négociations que le voisin afghan cesse d’abriter sur son sol des groupes « terroristes » antipakistanais. Kaboul dément soutenir ces organisations et assure vouloir faire respecter l’intégrité territoriale de l’Afghanistan. Un « dernier effort », selon la partie pakistanaise, avait été entrepris, mardi, pour tenter d’arracher un accord « malgré l’obstination des talibans ».

Ces derniers, dont des responsables ont été cités par des médias afghans, qualifiaient pour leur part les demandes pakistanaises de « déraisonnables et inacceptables », tout en assurant que les pourparlers « restaient la meilleure option de résoudre le conflit ».

Lire l’analyse | Article réservé à nos abonnés Le Pakistan, confronté à une résurgence inédite des violences des talibans

Au cours du week-end, le ministre pakistanais de la défense, Khawaja Asif, avait prévenu qu’une « guerre ouverte » pourrait éclater si les négociations ne donnaient rien. « Nous continuerons de prendre toutes les mesures nécessaires possibles pour protéger notre population de la menace du terrorisme », a encore lancé, mercredi, le ministre pakistanais Attaulah Tarar, promettant de « décimer les terroristes, leurs sanctuaires, leurs complices et leurs partisans ». Kaboul n’avait pas commenté dans l’immédiat.

Le Monde avec AFP

Réutiliser ce contenu

Source

Budget: les députés votent un doublement de la taxe Gafam qui vise les géants de la tech

Les députés ont voté en faveur d’un doublement du taux de la taxe Gafam, qui vise les grandes entreprises de la tech, malgré les craintes du gouvernement « de représailles disproportionnées » de la part des États-Unis.

Les députés ont voté ce mardi 28 octobre pour doubler le taux de la taxe Gafam qui cible les grandes entreprises de la tech, passant de 3 à 6%, en dépit de l’opposition du gouvernement inquiet d’éventuelles représailles de l’administration Trump.

En commission, les élus macronistes avaient proposé de porter le taux de 3% à 15%, avant de se raviser en séance et de soutenir un compromis à 6%. L’amendement du député Jean-René Cazeneuve (Renaissance) a ainsi recueilli 296 voix pour, contre 58.

« Gênées », les écologistes dénoncent « les menaces de Trump »

« Les géants du numérique doivent payer en France un impôt qui soit proportionnel à leur activité. Ils ont multiplié un certain nombre d’astuces légales pour faire en sorte que leur chiffre d’affaires et leur profitabilité ne soient pas connus », a dénoncé dans l’hémicycle le député macroniste pour justifier la hausse de la taxe.

Mais « je ne suis pas là non plus pour rouvrir une guerre commerciale entre la France et les États-Unis », a-t-il ajouté, optant finalement pour un taux plus modéré de 6%. Ce revirement a suscité l’indignation des députés de gauche, qui ont dénoncé un recul face aux pressions américaines.

« Je suis extrêmement gênée (…) cela veut dire qu’on ne peut plus légiférer sur la question des Gafam sous les menaces de Trump », a fustigé la cheffe des députés écologistes Cyrielle Chatelain.

Avant le vote, le ministre de l’Economie Roland Lescure a appelé les députés à la retenue: « Si on introduit une taxe disproportionnée, on aura des représailles disproportionnées ». « Soyez prudent, je vous en conjure », a même imploré le ministre.

Dans la foulée, Les Républicains ont annoncé qu’ils ne voteraient aucune proposition qui alourdirait cette taxe, afin de « préserver nos filières agricoles, de vins et spiritueux », premières touchées en cas de représailles, selon la députée Valérie Bazin-Malgras. Pour le député socialiste Philippe Brun, « deux camps s’opposent » dans l’hémicycle, entre ceux « qui pensent qu’il faudra toujours plier le genou devant le géant américain » et ceux qui « s’affirment » et « n’acceptent pas qu’un pays impose sa seule loi ».

Plusieurs députés de la gauche et du Rassemblement national ont aussi dénoncé la faiblesse de l’Union européenne dans le bras de fer engagé avec Donald Trump, qui a imposé au cours de l’été des droits de douane de 15% sur certains produits français.

Source