Horoscope du 22-10-2025 : Bélier

Amour

Aujourd’hui, la planète Vénus brille d’un éclat particulier dans votre signe, mettant en avant vos besoins affectifs insatissables. Il est temps de passer à l’action et de poursuivre vos rêves d’amour. N’ayez pas peur d’être honnête et de faire preuve de courage face à vos sentiments.

Santé

N’oubliez pas de prendre soin de votre corps et de votre esprit. Avec la nouvelle lune, il est essentiel de vous adapter à un rythme de vie plus doux. Évitez les stress et les dépenses excessives pour vous assurer un équilibre parfait.

Travail

Cette semaine, vous allez devoir faire face à de défis importants au travail. Ne vous laissez pas submerger par les problèmes. Envisagez de demander de l’aide à vos collègues ou de prendre quelques moments de réflexion pour trouver des solutions créatives. Souvenez-vous, confiance en soi et persévérance sont les clés du succès.

De « Zaï zaï zaï zaï » à Astérix, Fabrice Caro, un auteur hors classe

Fabrice Caro, lors du festival littéraire Les Correspondances de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence), le 26 septembre 2025. JOËL SAGET / AFP

Il y a dix ans, la course absurde et follement drôle de Zaï zaï zaï zaï (6 pieds sous terre, 2015) faisait de Fabcaro un nom incontournable de la bande dessinée française, une décennie après ses débuts avec Le Steak haché de Damoclès (La Cafetière, 2005). Au point qu’il est devenu le scénariste d’Astérix (avec Didier Conrad au dessin) pour L’Iris blanc (éd. Albert René, 2023) ; les quarante et unièmes aventures du Gaulois, Astérix en Lusitanie, qu’il a aussi concoctées, doivent paraître le 23 octobre.

Dans la même période, il a commencé à bâtir sous son nom d’état civil, Fabrice Caro, une œuvre littéraire pleine d’humour, de mélancolie et de tendresse. Son huitième roman, Les Derniers Jours de l’apesanteur, chronique d’une année de terminale au tournant des années 1990, en fournit un échantillon parfaitement représentatif avec ses situations burlesques, son personnage de gentil « loser », sa manière de dépeindre les relations familiales et sociales… Et de faire appel à tant de motifs qui circulent entre les BD de Fabcaro et les romans de Fabrice Caro. De Bédarieux (Hérault), où il vit, il a aidé par téléphone « Le Monde des livres » à s’orienter dans cette œuvre double, à laquelle il travaille d’arrache-pied en jonglant entre les projets – « Si je travaille autant et aussi vite, c’est peut-être pour ne pas avoir le temps de me trouver mauvais », confie l’auteur, qui ne s’est jamais vraiment dépris de son « sentiment d’imposture » vis-à-vis de la littérature, mais éprouve un immense plaisir à porter ses différentes casquettes.

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« Mentalité incroyable », « rêve » de sélection argentine… Qui est Joaquin Panichelli, l’étonnant meilleur buteur de Ligue 1 ?

Auteur d’un doublé et d’une grande prestation ce vendredi contre le PSG (3-3), Joaquin Panichelli caracole en tête du classement des buteurs en Ligue 1. Arrivé cet été à Strasbourg, l’attaquant argentin a déjà conquis son entraîneur, ses coéquipiers et ses supporters.

Un début de saison de rêve. Intenable ce vendredi contre le Paris Saint-Germain en Ligue 1 (3-3), l’attaquant argentin de Strasbourg Joaquin Panichelli a une nouvelle fois inscrit un doublé, le propulsant seul en tête du classement des buteurs avec sept réalisations en huit matchs.

Impressionnant dos au but, l’ancien avant-centre d’Alavés, prêté en deuxième division espagnole au CD Mirandés la saison dernière (21 buts en 44 rencontres), a pesé sur la défense centrale parisienne Zabarnyi-Beraldo. À la 26e minute, il a largement battu de la tête le défenseur ukrainien sur un centre de Guéla Doué. « C’est l’un des plus beaux buts de la tête que j’aie jamais vu au stade », a confié son coach Lima Rosenior en conférence de presse.

Dès le retour des vestiaires, l’attaquant de 23 ans a poussé Lucas Beraldo à la faute sur un duel. Ce qui a directement profité à Diego Moreira sur le côté gauche qui n’avait plus qu’à le retrouver en retrait. Seul face à Lucas Chevalier, Joaquin Panichelli ne s’est pas fait prier pour inscrire son deuxième doublé en deux matchs (après Angers).

« Il a une mentalité incroyable »

Du côté alsacien, « Pani » fait l’unanimité. « Il s’est vite intégré dans le groupe, a confié Diego Moreira en après-match. On est très contents de ce qu’il fait, il nous aide beaucoup sur le terrain, dans les duels. Il est très bon de la tête. On peut compter sur lui. »

Même constat pour le technicien anglais: « C’est l’une des plus belles performances d’un attaquant de pointe que j’aie jamais vue. Mais ça ne me surprend pas en raison de ce qu’il fait tous les jours à l’entraînement. Il travaille tellement dur. Il a une mentalité incroyable. Il comprend ce dont tu as besoin pour gagner. »

L’explosion du natif de Cordoba formé à River Plate n’était pourtant pas attendue si tôt, le RCSA disposant déjà d’un des meilleurs attaquants de Ligue 1: Emanuel Emegha. Le Néerlandais, qui rejoindra Chelsea dès l’été prochain, reste sur une saison à 14 buts en championnat. Mais le véloce Argentin a rapidement montré sa capacité à être performant dans plusieurs systèmes et registres. Il a par exemple disputé la première rencontre de la saison contre Metz avec Emanuel Emegha, avant d’être aligné seul en pointe après la blessure aux ischios du capitaine strasbourgeois.

Il faut dire que son profil a le don d’agacer les défenseurs du championnat. « L’intensité était dingue mais j’ai adoré ce combat », a confié le principal intéressé dans les couloirs du Parc des Princes. Du haut de ses 1,90m, celui qui n’est pas le dernier à aller au contact est un véritable poison dans les duels aériens. Une caractéristique développée durant les six mois de convalescence d’une blessure en 2023 où il a pris « 7 ou 8 kilos de masse musculaire », selon ses dires, « un tournant dans sa vie ».

Mais alors, jusqu’où peut-il aller? Les portes de la sélection argentine sont-elles inaccessibles? Le Strasbourgeois ne s’interdit pas de penser à l’Albiceleste. « La sélection est un rêve, a-t-il lancé devant la presse. Il faut bosser au maximum pour se donner cette chance. Mais quand tu travailles fort, les bonnes choses arrivent toujours. » Lionel Scaloni est prévenu.

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