Crise politique après la démission de Sébastien Lecornu: « Chacun doit faire son travail », rappelle Jean-Marc Dumontet, chef d’entreprise


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Plan de Trump pour Gaza : derrière les négociations techniques qui s’ouvrent, en Egypte, entre Israël et le Hamas, des enjeux très politiques

Les négociations qui s’ouvrent, lundi 6 octobre en Egypte, entre Israël et le Hamas, sont dites « techniques »par les deux parties. De prime abord, chacune en fait une affaire entendue, qui pourrait durer « deux jours » tout au plus, comme l’a souhaité Donald Trump. Toutes s’accordent à ce que les otages capturés par le Hamas soient libérés, satisfaisant ainsi le président américain.

Lire aussi | EN DIRECT, Gaza : cent soixante et onze membres de la flottille pour Gaza, dont des Français et Greta Thunberg, ont été expulsés vers la Grèce et Slovaquie

A Charm El-Cheikh, station balnéaire du Sinaï, il sera question des conditions et de l’heure de ces libérations, ainsi que du cessez-le-feu qui doit régner alors. Cependant, le chef de la délégation du Hamas a fait savoir, dimanche, en arrivant le premier en Egypte, que ces pourparlers devaient d’abord aplanir de lourdes divergences.

Khalil Al-Hayya souhaite un échange « immédiat » d’otages et de prisonniers palestiniens, mais il entend pour cela négocier, dans l’ordre, « les mécanismes d’un cessez-le-feu, le retrait des forces d’occupation et un échange de prisonniers ». Or, définir ce retrait n’est pas l’affaire de deux jours. Le négociateur en chef du mouvement islamiste est apparu en public, dimanche, pour la première fois depuis qu’Israël a tenté de l’assassiner, lui et son équipe, lors des bombardements sur Doha, le 9 septembre. Son fils a été tué lors de cette attaque.

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« Ligne jaune »

De son côté, Benyamin Nétanyahou n’a pas envoyé en Egypte, pour diriger la délégation israélienne, le patron du Mossad (service de renseignement extérieur israélien), David Barnea, qui n’avait pas caché son opposition aux frappes aériennes sur Doha. C’est le plus proche collaborateur du premier ministre, l’Israélo-Américain Ron Dermer, qui mène la délégation, comme il le fait depuis février.

Durant le week-end, M. Trump a sèchement balayé les réserves de son allié israélien sur la réponse initiale du Hamas, qui l’a, au contraire, enthousiasmé. Il a publié une carte de la bande de Gaza sur son réseau, Truth Social, et sommé le mouvement islamiste d’accepter une première ligne de retrait des forces israéliennes. Cette « ligne jaune » laisse à l’armée le contrôle de la moitié du territoire et de la frontière égyptienne, mais lui enlève le corridor de Netzarim, qui isole la ville de Gaza du sud de l’enclave.

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Démission de Sébastien Lecornu : Les Républicains à l’initiative de la rupture quelques heures après s’être réengagés

Bruno Retailleau et Sébastien Lecornu, alors ministre de l’intérieur et ministre des armées, à l’Elysée, à Paris, le 16 juillet 2025. LUDOVIC MARIN/AFP

Depuis la dissolution de juin 2024, le temps politique s’est brutalement accéléré pour défier les lois de la physique. Et de la logique aussi. Dimanche 5 octobre, Les Républicains (LR) sont passés en l’espace de quatre heures d’« une participation exigeante » dans le gouvernement dirigé par Sébastien Lecornu – où il disposait de cinq portefeuilles sur dix-huit – au déclenchement d’une crise politique inédite. « La composition du gouvernement ne reflète pas la rupture promise », avait dénoncé Bruno Retailleau à 21 h 22, sur X. Une déclaration qui a créé une véritable déflagration politique aboutissant, lundi matin, à la démission de Sébastien Lecornu.

Dimanche en fin de journée, le président de LR était pourtant reconduit au ministère de l’intérieur. Comment un ministre peut-il dénoncer le casting du gouvernement auquel il appartient ? « On n’est pas le flotteur droit de la Macronie », souffle-t-on dans son entourage.

Tout s’est cristallisé autour de la nomination de deux anciennes figures de la droite passées au macronisme, Bruno Le Maire comme ministre des armées et Eric Woerth comme ministre de l’aménagement du territoire. Les deux hommes incarneraient le « macronisme du passé », selon le député des Hauts-de-Seine, Jean-Didier Berger.

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« S’appeler Marine en 2025, ce n’est pas facile »: Marine Tondelier veut « redorer » l’image de son prénom

La patronne des Écologistes, qui publie son livre Demain, si tout va bien, a estimé ce jeudi 2 octobre que Marine Le Pen avait « privatisé ce prénom pour en faire sa marque » avec le Rassemblement national.

Pour Marine Tondelier, porter le prénom associé à la figure du Rassemblement national n’est pas une chose aisée. Invitée dans l’émission C à vous sur France 5 ce jeudi 2 octobre, la Secrétaire nationale des Écologistes a encouragé ses homonymes à réhabiliter ce prénom, que Marine Le Pen s’est, selon elle, « appropriée ».

« S’appeler Marine en France, en 2025, ce n’est pas facile! », a-t-elle confié, estimant qu’il était aujourd’hui connoté à l’extrême droite.

La patronne des Verts, qui a publié ce mercredi son livre Demain, si tout va bien, estime que la candidate du RN (ex-Front national) aux présidentielles de 2012, 2017 et 2022 « a privatisé ce prénom pour en faire sa marque ». Et ce, notamment pour permettre « l’effacement à tout prix du nom Le Pen », renvoyant à son père Jean-Marie.

Un prénom choisi par sa mère grâce à Michel Platini

Propulsée sur le devant de la scène politique au moment de la dissolution de juin 2024, Marine Tondelier s’est d’ailleurs aguerrie en affrontant Marine Le Pen à trois reprises, dans son fief de Hénin-Beaumont, lors de plusieurs élections législatives dans le Pas-de-Calais.

Née le 23 août 1986, la responsable écologiste a également confié sur France 5 que sa mère avait opté pour ce prénom après avoir lu dans Paris Match que la fille de Michel Platini s’appelait ainsi. « Michel Platini est vert, hasard, je ne pense pas », s’en est-elle amusée, faisant référence au passage du footballeur à Saint-Étienne durant sa carrière.

« J’espère à mon humble mesure avoir contribué » à ce que certaines femmes se réapproprient ce prénom, ajoute Marine Tondelier, avouant que celui-ci lui a valu quelques « blagues » pendant sa jeunesse. En particulier après le succès de la chanson Marine de la rappeuse Diam’s, sortie en 2004.

Pour rappel, Marine Le Pen s’appelle en réalité Marion Anne Perrine Le Pen.

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EN DIRECT, démission de Sébastien Lecornu : après la déflagration, les partis tentent de s’organiser en urgence

Dans un message sur X, Marc Fesneau, président du groupe MoDem à l’Assemblée, écrit : « J’ai honte de notre vie politique. Je veux, ici, dire les choses telles qu’elles sont. L’irresponsabilité individuelle, les ambitions présidentielles et les petits calculs mesquins sont en train de faire sombrer le pays dans le chaos. Au bout, les seules victimes seront les Français. J’ai honte de voir tout cela étalé devant les yeux de nos concitoyens, qui peuvent légitimement être en colère. J’ai honte devant les conséquences à venir, s’il n’y a pas de sursaut, car elles frapperont d’abord les plus modestes et les plus fragiles. Maintenant, que ceux qui refusent ce chaos, qui ne se résolvent pas à l’impuissance, qui aiment notre pays par-dessus toute autre considération, se parlent enfin et vraiment. »

Il ajoute : « Je prendrai personnellement toute ma part pour faire vivre ce dialogue indispensable pour parvenir à des solutions pour le pays. Nous, au MoDem et au groupe parlementaire Les Démocrates, nous ne dévierons pas de nos responsabilités. Nous ne renoncerons pas et nous jetterons toutes nos forces dans cette bataille pour trouver un compromis historique pour la France. »

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Condamnation de Nicolas Sarkozy: le Parquet national financier fait appel

Un peu plus d’une semaine après la condamnation de Nicolas Sarkozy dans l’affaire dite « libyenne » des financements de Mouammar Kadhafi pour sa campagne présidentielle de 2007, le Parquet national financier annonce faire appel.

Après Nicolas Sarkozy, c’est au tour du Parquet national financier (PNF) de faire appel de la condamnation de l’ancien président à cinq ans de prison avec mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire dans l’affaire « libyenne » du financement de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.

L’appel du PNF concerne sa condamnation pour « association de malfaiteurs », mais aussi pour les relaxes obtenues pour « recel de détournement de fonds publics » et « corruption passive ». Après les trois mois de procès au début de l’année 2025, les représentants du Parquet avaient requis sept ans de prison, cinq ans d’inéligibilité et 300.000 euros d’amende contre Nicolas Sarkozy. Le PNF avait alors fustigé le « pacte de corruption inconcevable, inouï, indécent » noué en 2005 avec le dictateur libyen Mouammar Kadhafi.

Le PNF a fait appel du jugement des autres prévenus

L’ancien chef de l’État est convoqué le 13 octobre par le PNF pour connaître les modalités de son incarcération. Le mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire prononcé par le tribunal judiciaire de Paris envoie Nicolas Sarkozy en prison, malgré son appel. Une décision justifiée par le tribunal par « l’exceptionnelle gravité des faits » et le « quantum de la peine prononcée » mais qui suscite la colère de Nicolas Sarkozy, pour qui « rien ne justifiait de prononcer » cette mesure qui a pour objectif de « l’humilier ».

Défiance, insultes, menaces de mort: les magistrats face à la remise en cause de leur impartialité

Outre le cas de Nicolas Sarkozy, le PNF fait aussi appel du jugement rendu à l’encontre des autres prévenus, comme Brice Hortefeux, Claude Guéant, Éric Woerth et Thierry Gaubert.

Dans ce dossier libyen, il y aura donc bien un procès en appel, ce qui constitue un nouveau rendez-vous pour l’ancien chef de l’État. Dans l’affaire Bygmalion liée à ses comptes de campagne de 2012, Nicolas Sarkozy a été condamné à un an d’emprisonnement dont 6 mois ferme. Il s’est pourvu en cassation, un recours qui sera examiné le 8 octobre prochain.

Dans l’affaire Bismuth, l’ex-chef de l’État a été définitivement condamné à un an de prison ferme pour « corruption ». Conséquence, Nicolas Sarkozy a porté un bracelet électronique entre janvier et mai. Il a déposé un recours devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH).

Vincent Vantighem, avec Matthieu Heyman

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DOCUMENT BFM MARSEILLE PROVENCE. Municipales 2026: les premières images du tandem Franck Allisio-Stéphane Ravier

La veille, sur le plateau de BFM Marseille, Stéphane Ravier avait créé la surprise en annonçant son renoncement à briguer la mairie de Marseille en 2026. Le sénateur a choisi d’apporter son soutien au candidat du Rassemblement national, Franck Allisio.

Une photo symbolique. Franck Allisio et Stéphane Ravier se sont affichés côte à côte ce vendredi soir à la Foire de Marseille. Il s’agit là de la première séquence officielle depuis que ce dernier ait affiché son soutien “sans réserve” au candidat d’extrême droite pour les municipales de 2026.

Franck Allisio a tenu à saluer publiquement le geste de son allié: « J’aimerai que la politique ressemble plus à ça. Ce qu’a fait Stéphane honore la politique et Marseille. En échangeant depuis plusieurs mois, on savait que nos idées pour Marseille, que l’alternance, il y avait un chemin. Aujourd’hui, ensemble, nous avons un boulevard ».

« Ensemble nous allons remettre Marseille en ordre »

Concernant la place de Stéphane Ravier dans sa campagne, le candidat RN a été clair: « Regardez, il sera avec moi, à côté de moi. On va gagner ensemble. On a cinq mois pour faire campagne, cinq mois pour convaincre les Marseillais de renverser la table les 15 et 22 mars. Les Marseillais nous demandent d’être unis: c’est le cas, ensemble sur le terrain. Et ensemble nous allons remettre Marseille en ordre. »

Interrogé sur une possible adhésion future de Stéphane Ravier au RN, Franck Allisio temporise: « pour l’instant ce n’est pas d’actualité. Laissez-nous faire campagne, laissez-nous penser à Marseille. Les partis et tout ça, c’est autre chose…. Pour l’instant, on est là pour Marseille et les Marseillais ».

« Une opportunité de remporter la victoire »

De son côté, Stéphane Ravier a justifié sa présence à la Foire de Marseille par l’importance symbolique du lieu: « la foire est un lieu symbolique. Elle n’est pas réservée aux Marseillais mais c’est un lieu où beaucoup convergent, avec de nombreux visiteurs. Avant d’ajouter: On a trouvé que c’était important d’y être aussi ».

Et à cinq mois du scrutin, les deux hommes comptent sur cette image d’unité pour convaincre les Marseillais qu’ils peuvent incarner l’alternance politique à Marseille.

Jeudi soir, dans un entretien accordé à BFM Marseille et La Provence, celui qui a claqué la porte du RN lors de la présidentielle de 2022 a mis de côté les rancœurs passées.

« Nous avons une chance historique. Il y aura en 2026 une opportunité de remporter la victoire. Et je ne veux pas être le diviseur ».

Dans un communiqué, Franck Allisio a salué « un geste extrêmement fort ».

Jimmy Comte et Manon Mugica

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Le gouvernement Lecornu, à peine nommé et déjà menacé d’implosion

Le premier ministre, Sébastien Lecornu, à Matignon, à Paris, le 3 octobre 2025. CYRIL BITTON/DIVERGENCE POUR « LE MONDE »

Une implosion spectaculaire. Il est 21 h 22, dimanche 5 octobre, quand Bruno Retailleau, le ministre de l’intérieur, reconduit pour la troisième fois en un an Place Beauvau, sonne la charge contre Sébastien Lecornu et l’équipe gouvernementale fraîchement nommée et dont il fait officiellement partie. « La composition du gouvernement ne reflète pas la rupture promise »,critique le président du parti Les Républicains (LR) sur le réseau social X, créant ainsi une crise inédite. Le courroux du ministre de l’intérieur s’explique par la nomination surprise de l’ancien ministre de l’économie Bruno Le Maire (2017-2024) au ministère des armées.

Pour les LR, son retour au gouvernement sonne comme un double affront. Il est perçu comme le symbole de la dérive des finances publiques et du recyclage de personnalités politiques décrié par l’opinion. Autre circonstance aggravante : le premier ministre, Sébastien Lecornu, n’a pas daigné informer Bruno Retailleau du retour de cette figure tutélaire du macronisme malgré leur entrevue d’une heure quarante sollicitée par le ministre de l’intérieur, dimanche en fin d’après-midi, peu avant l’annonce du gouvernement.

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Bande de Gaza: le Hamas accepte de libérer tous les otages, Donald Trump appelle Israël à « stopper ses bombardements »

Le Hamas a accepté ce vendredi soir de libérer tous les otages retenus dans la bande de Gaza, conformément à la proposition du président américain.

Le Hamas a accepté ce vendredi 3 octobre de libérer « tous les otages » retenus dans la bande de Gaza, conformément à la proposition de Donald Trump.

« Le mouvement annonce son accord pour la libération de tous les prisonniers de l’occupation, les vivants et les dépouilles, selon la formule d’échange incluse dans la proposition du président Trump », a indiqué le Hamas dans un communiqué, en référence aux prisonniers palestiniens devant être libérés en échange des otages retenus à Gaza.

Donald Trump croit que « le Hamas est prêt pour une paix durable »

Le Hamas a ajouté être prêt à des négociations immédiates pour discuter des « détails » de la libération des otages. Le mouvement islamiste n’a pas précisé s’il accepterait de se désarmer.

Le Hamas a par ailleurs réaffirmé son accord pour confier la gestion de la bande de Gaza à une instance palestinienne composée de « technocrates » indépendants, précisant que les autres questions concernant l’avenir du territoire devraient être discutées dans un cadre palestinien « auquel le Hamas participera et contribuera de manière responsable ».

Gaza : le plan de Donald Trump peut-il vraiment apporter la paix au Moyen-Orient?

Le plan du président américain prévoit que ce comité soit placé sous la houlette d' »un nouvel organe international de transition » baptisé « Comité de la paix » et présidé par M. Trump lui-même, disposition sur laquelle le communiqué du Hamas ne dit rien.

Dans la foulée, sur ses réseaux sociaux, le président américain Donald Trump a appelé Israël à « stopper immédiatement les bombardements sur la bande de Gaza afin que nous puissions faire sortir les otages en toute sécurité et rapidement ».

Le locataire de la Maison Blanche affirme que « les États-Unis sont déjà en discussion sur les détails à régler » concernant le plan de paix du dirigeant américain qui estime que « le Hamas est prêt pour une paix durable ».

Un peu plus tôt dans la journée, Donald Trump avait menacé le Hamas, donnant au mouvement islamiste jusqu’à ce dimanche soir pour accepter son plan de paix pour l’enclave palestinienne. Pour le président américain, c’était la « dernière chance » pour le mouvement palestinien avant de connaître « l’enfer ».

Sur les 251 personnes enlevées lors de l’attaque du 7-Octobre, 47 sont toujours retenues à Gaza, dont 25 considérées comme mortes par l’armée israélienne. Ce dimanche, le Hamas a indiqué avoir perdu le contact avec deux otages à Gaza-ville à cause des raids israéliens.

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