Gérard Miller mis en examen pour viols et agressions sexuelles sur six femmes

Gérard Miller, au Festival de Cannes, le 13 mai 2018. VIANNEY LE CAER/INVISION/AP

A l’issue des quarante-huit heures de garde à vue à la brigade de protection des mineurs, le psychanalyste Gérard Miller a été mis en examen, jeudi 2 octobre, pour trois viols sur mineures, un viol sur majeure ainsi qu’une agression sexuelle sur mineure et une agression sexuelle sur majeure, a confirmé le parquet de Paris au Monde. Les faits, qui impliquent six femmes, auraient été commis en 2000, 2001, 2004, 2019 et 2020. Il a été, en outre, placé sous le statut de témoin assisté « pour un fait de viol sur mineur de plus de 15 ans, susceptible d’avoir été commis en 2000 » sur une septième femme, précise le parquet de Paris. Gérard Miller, qui reste présumé innocent,n’a pas répondu à nos sollicitations.

Le psychanalyste a été placé sous contrôle judiciaire « avec l’obligation de payer un cautionnement de 65 000 euros, l’obligation de suivre des soins, l’interdiction d’exercer l’activité de psychanalyste, toute activité impliquant un contact habituel avec les mineurs, ainsi que l’activité de chroniqueur télévision en public, l’interdiction d’entrer en contact avec les victimes et les personnes citées à la procédure, ainsi que l’interdiction de quitter le territoire », confirme le parquet de Paris.

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SIGNÉ BFM – « D’ici quelques mois, Marine Le Pen et le RN couperont la tête politiquement de Sébastien Lecornu »


SIGNÉ BFM – « D’ici quelques mois, Marine Le Pen et le RN couperont la tête politiquement de Sébastien Lecornu »{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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Anne Hidalgo publie le détail des notes de frais des maires d’arrondissement de Paris

Anne Hidalgo à l’Hôtel de ville de Paris, le 15 janvier 2024. MARTIN LELIEVRE/AFP

La maire socialiste de Paris Anne Hidalgo a riposté a des critiques sur certaines dépenses liées à son mandat, jeudi 2 octobre, en publiant un état des lieux détaillé des indemnités versées à ses élus, ainsi que les frais de représentation des maires d’arrondissements.

L’édile socialiste a annoncé porter plainte le 19 septembre pour « dénonciations calomnieuses » après la révélation par Mediapart de ses frais de déplacement et de représentation, qui s’élèvent à au moins 75 000 euros sur quatre ans en frais, notamment vestimentaires, dans le respect du plafond légal.

Le maire socialiste du 18e arrondissement Eric Lejoindre, dont elle est proche, a également été épinglé jeudi, tandis que le journal Libération a épluché les notes de frais des 17 maires d’arrondissements, de droite comme de gauche.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Anne Hidalgo prise dans une polémique sur ses frais de représentation

Si les journalistes Damien Dole et Laurent Léger écrivent que « les règles établies en 2019 par l’équipe municipale, en liaison avec la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique semblent respectées », leur examen des factures fait ressortir plusieurs exemples de dépenses – « repas dans les grandes tables parisiennes, apéritifs au champagne, dépenses en chocolats, mais aussi caisses de champagne, menus enfant, bougies antiodeurs de tabac et livres » – dont le lien direct avec le mandat des édiles n’est pas établi.

« Menus enfant »

Rappelant que le budget annuel de la capitale dépasse les 11 milliards d’euros en 2025 et que la maire exerce « une fonction de représentation nationale et internationale », la Ville a souligné, selon l’Agence France-Presse, que les indemnités des élus locaux « sont fixées par délibérations de l’assemblée élue » et encadrées par le code général des collectivités territoriales.

Le plafond général pour la maire et les membres du Conseil de Paris qui cumulent d’autres indemnités électives est fixé à 8 897,93 euros brut mensuels, rappelle-t-elle dans un communiqué. Les frais de représentation, strictement encadrés depuis l’élection de l’ex-maire PS Bertrand Delanoé en 2001, sont plafonnés à 19 720 euros pour la maire de Paris et à 11 092 euros pour les maires d’arrondissement.

Ces derniers doivent rembourser la partie de l’enveloppe qu’ils n’ont pas dépensé chaque année. Selon Libération, par exemple, le maire du XVe arrondissement, Philippe Goujon, a restitué 654 euros sur les 49 605 euros qui lui ont été alloués entre 2020 et 2024. Rachida Dati, la maire du VIIe arrondissement a, de son côté, remis à la Ville quasiment l’intégralité de son enveloppe à l’exception de trois dépenses de moins de 200 euros en 2020 et en 2021.

« Depuis 2001, ces frais ont baissé de quasiment 10 000 euros » pour le maire, a souligné en conférence de presse Patrick Bloche, le premier adjoint, faisant valoir leur rôle de « garde-fou contre la corruption ». Un mémento élaboré par la Commission de déontologie de la ville de Paris précise les conditions d’utilisation de ces frais, souligne la mairie.

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Eric Lejoindre a été interpellé en conseil d’arrondissement sur des remboursements de repas avec « menus enfant », ont souligné les élus LR du groupe de Rachida Dati au Conseil de Paris. Le maire du 18e arrondissement, également directeur de campagne du candidat PS aux municipales Emmanuel Grégoire, a déploré dans Le Parisien une « tentative de diversion de la droite parisienne », alors que la candidate des LR sera jugée pour corruption en septembre 2026, six mois après les municipales.

Le Monde avec AFP

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Gérard Depardieu a-t-il sexualisé une fillette? La justice se penche sur le « Complément d’enquête » consacré à « la chute de l’ogre »

Le conflit qui oppose Yann Moix et Gérard Depardieu aux journalistes de l’émission « Complément d’enquête » est examiné au tribunal correctionnel de Paris ce jeudi 2 octobre. La défense du comédien assure que le montage des images a été fait frauduleusement pour le faire passer pour un pédocriminel.

Une séance en replay au sein même du tribunal de Paris. Près de deux ans après sa diffusion, le numéro de l’émission Complément d’enquête consacré à « Gérard Depardieu, intitulé « La chute de l’ogre », va être examiné par la 31e chambre du tribunal judiciaire de Paris, ce jeudi 2 octobre, au cours d’une audience qui s’annonce électrique.

Jérémie Assous, l’avocat de Gérard Depardieu, a fait citer directement en justice la société de production Hikari estimant qu’elle s’était livrée à un « montage [des images] frauduleux » et au délit de « travail dissimulé », notamment.

Dans le camp adverse, les journalistes auteurs du documentaire attaquent le comédien pour « dénonciation calomnieuse ». La justice a donc décidé de réunir toutes les procédures au cours de ce procès pour y voir clair.

Gérard Depardieu estime avoir été « tué socialement » après la diffusion de ce film dans lequel on le voit tenir des propos orduriers alors qu’il se trouve, en compagnie du réalisateur Yann Moix, en Corée du Nord. Si le comédien, aujourd’hui âgé de 76 ans, reconnaît avoir un « langage fleuri », il a toujours contesté avoir sexualisé une fillette âgée d’une dizaine d’années, comme le prétend Complément d’enquête dans le reportage.

Sur les images qui ont, depuis, fait le tour du monde, Gérard Depardieu tient des propos grossiers et à connotation sexuelle en permanence alors qu’il se trouve, en 2018, dans un haras en Corée du Nord où des cavaliers montent à cheval. Dans son reportage, Complément d’enquête assure que certains des propos du comédien s’adressaient à une fillette d’une dizaine d’années en train de faire du poney, ce que le comédien dément.

Un documentaire en Corée du Nord ou une fiction?

Dans cette affaire, la défense de Gérard Depardieu tient en deux points. D’abord, son avocat Jérémie Assous assure qu’il participait à une « œuvre de fiction ».

Peu importe que celle-ci ne reposait sur aucun scénario écrit et que Yann Moix lui-même a assuré, après le tournage, qu’il s’agissait d’un « documentaire » (sur France Inter, le 21 septembre 2018), voire « peut-être d’un chef d’œuvre » (sur Canal +, le 7 octobre 2022), pour son avocat, Gérard Depardieu jouait un rôle, comme Benoît Poelvoorde a pu le faire dans C’est arrivé près de chez vous.

Pour autant, la défense de l’acteur des Valseuses assure qu’il ne s’est jamais adressé à la fillette de dix ans et que le reportage de Complément d’enquête a été « truqué » dans le but de le faire passer pour un pédocriminel.

Deux passages sont aujourd’hui au cœur de la polémique: un premier passage où Gérard Depardieu dit « S’il galope, elle jouit… » et un autre où il lance « C’est bien ma fifille, continue. Tu vois, elle se gratte, là… »

Trois expertises au cœur de l’affaire

Si la justice va se pencher dessus ce jeudi, ces extraits ont, en réalité, déjà été examinés par trois experts différents depuis la diffusion de l’émission le 7 décembre 2023.

C’est d’abord un huissier de justice mandaté par France Télévision qui avait visionné les images. Selon lui, il n’y avait aucun doute sur le fait que Gérard Depardieu visait bien la petite fille dans ses propos. « Au cours de cette séquence, je constate qu’à l’exception de la jeune fille, seuls des cavaliers d’apparence masculine entrent en premier plan des caméras », justifiait-il dans son rapport selon des extraits consultés par BFMTV.

Quelques mois plus tard, autre procédure et nouvelle expertise. Dans le cadre de l’enquête menée sur les viols dénoncés par Charlotte Arnould, la juge d’instruction décide de faire examiner le Complément d’enquête pour éclairer sur la personnalité de Gérard Depardieu.

En mai 2025, un expert agréé par la cour d’appel d’Aix-en-Provence rend son rapport, que BFMTV a pu consulter. Il analyse d’abord la phrase « si jamais il galope, elle jouit ». D’après son analyse, cela semble s’adresser à une cavalière adulte, même si, d’après les images, la seule femme dans le champ de vision de Gérard Depardieu apparaît 38 secondes après qu’il a tenu ces propos.

« Mais il n’est pas improbable qu’elle soit entrée dans le manège avant [sans être filmée] », juge l’expert.

Sur la seconde phrase incriminée – »C’est bien ma fifille. Tu vois, elle se gratte là… »–, l’expert est, en revanche, catégorique. « Ces commentaires sont adressés (…) à la fillette sur le poney, indique-t-il. L’analyse technique permet d’établir que des propos à connotation sexuelle ont été adressés à l’égard d’une fillette évoluant sur un poney. »

« C’est des grosses salopes ça… »

Très actif sur le front judiciaire, Jérémie Assous obtient, en parallèle, la nomination d’un nouvel expert chargé de regarder les rushs de l’émission.

Le 1er septembre 2025, celui-ci propose aux différentes parties à la procédure une « note de synthèse » dans laquelle il livre ses conclusions. Comme le précédent expert, il pense que la première phrase s’adressait à une cavalière adulte mais que la sortie « Tu vois, elle se gratte là » visait bien la fillette.

Propos à mettre en perspective avec ceux tenus par l’acteur une trentaine de secondes plus tôt: « Le clito qui frotte sur… le pommeau de la selle… c’est des grosses salopes ça… dans les chasses à courre… t’en as des paquets. »

Au final, il y a donc trois experts qui estiment que, au moins, l’une des deux phrases problématiques ont bien été adressées à l’attention de la jeune fille d’une dizaine d’années.

Là aussi, Jérémie Assous contre-attaque et prétend que son client a dit « elle se gratte » justement parce que la jeune fille se grattait la joue. Dans les rushs que BFMTV a pu visionner, on voit effectivement l’enfant porter une main à son visage, sauf qu’elle le fait très exactement 18 secondes après que le comédien a prononcé ces mots, ce qui met à mal son argument.

Reste à savoir ce que les magistrats de la 31e chambre du tribunal judiciaire de Paris penseront de ce reportage et des expertises réalisées à son sujet jusqu’ici. Peut-être demanderont-ils à Jérémie Assous pourquoi il a conseillé à Gérard Depardieu de ne pas répondre lorsqu’on lui a posé, lors de la dernière expertise, la seule question qui vaille: « Mais de qui parliez-vous exactement? Une adulte ou une enfant? ».

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Grève du 2 octobre: « Il y aura 76.000 policiers et gendarmes » mobilisés, annonce Bruno Retailleau


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Mobilisation du 2 octobre : dans les cortèges, des manifestants désemparés mais qui refusent de renoncer

Un manifestant sur le cours Jean-Jaurès lors de la manifestation de l’intersyndicale à Avignon, le 2 octobre 2025. LEWIS JOLY POUR « LE MONDE »

Des mines résignées, des manifestants déçus voire un peu déboussolés par le calme des manifestations, mais une colère toujours présente. La mobilisation sociale du jeudi 2 octobre a marqué un net recul par rapport à celle du 18 septembre : dans les rues, le ministère de l’intérieur a compté plus de deux fois moins de manifestants sur tout le territoire (195 000, le 2 octobre, contre 505 000, le 18 septembre) et les taux de grévistes ont également chuté dans le scolaire (autour de 6 % contre 17 % le 18, selon le ministère de l’éducation) comme dans la fonction publique (4 % contre 11 %). Dans les cortèges, de Paris à Avignon, en passant par Valenciennes (Nord) ou Lyon, l’amertume l’emportait encore sur le renoncement.

« Je ressens une certaine morosité », reconnaissait Marie, une fonctionnaire de la Ville de Paris de 58 ans, jadis mobilisée avec les « gilets jaunes » (les témoins cités par leur prénom n’ont pas souhaité donner leur nom). « On en a marre de faire des manifs qui ne mènent à rien, avec les mêmes chants… C’est déprimant. Il faudrait d’autres formes de lutte. Les blocages on est pour, mais qui va commencer ? Tout le monde a un peu la trouille », avançait-elle en défilant dans les rues de la capitale. « L’échec de la mobilisation contre la réforme des retraites en 2023 a fait du mal. Beaucoup sont aujourd’hui en position d’attente, mais n’en pensent pas moins », estimait également Pierre, cadre au ministère de la transition écologique.

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Attaque d’une synagogue à Manchester : la communauté juive britannique sous le choc

Sur le site de la tuerie, devant la synagogue d’Heaton Park, à Manchester (Royaume-Uni), le 2 octobre 2025. PETER BYRNE/AP

La communauté juive britannique était à l’unisson, jeudi 2 octobre : ce qu’il s’est passé en début de matinée à la synagogue d’Heaton Park, dans le nord de l’agglomération de Manchester, est ce qu’elle redoutait depuis déjà quelque temps. Un homme a attaqué, d’abord avec une voiture, puis au couteau, des membres de la congrégation juive locale qui s’étaient rassemblés pour prier le jour de Yom Kippour, la fête la plus sacrée du calendrier liturgique juif.

La police locale est intervenue rapidement et a abattu l’assaillant, mais l’attaque, qui a très vite été qualifiée de terroriste par les autorités, a fait deux morts, et trois blessés – et non quatre comme annoncé initialement par les autorités – étaient encore dans un état grave, jeudi soir.

La police a communiqué, jeudi soir, l’identité de l’homme soupçonné d’être l’assaillant : il s’agit de Jihad Al-Shamie, un citoyen britannique de 35 ans d’origine syrienne. Trois suspects, deux hommes âgés d’une trentaine d’années et une femme d’une soixantaine d’années, ont été interpellés et placés en garde à vue. Ils sont présumés avoir « commis, préparé et incité à commettre des actes terroristes », d’après la police.

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Deux personnes abattues par la gendarmerie marocaine alors qu’elles tentaient de « prendre d’assaut » une brigade en marge de protestations

La tension s’accentue au Maroc au deuxième jour de violences en marge de manifestations réclamant un meilleur système éducatif et de santé. Deux personnes ont été abattues ce mercredi 1er octobre par des gendarmes.

Deux personnes ont été abattues ce mercredi 1er octobre dans la soirée par des gendarmes au Maroc alors qu’elles tentaient « de prendre d’assaut » une brigade, au deuxième jour de violences en marge d’un mouvement pacifique pour de meilleurs systèmes éducatif et de santé.

Il s’agit de l’incident le plus grave depuis le début des protestations impulsées samedi par un collectif de jeunes baptisée GenZ 212, dont les initiateurs sont inconnus.

Pour la première fois, les manifestations ont été autorisées. Elles ont rassemblé des centaines de manifestants à Casablanca (ouest), Tanger ou Tétouan (nord), avec les slogans « Le peuple veut la chute de la corruption » et « Liberté, dignité et justice sociale ». Les protestataires à Casablanca ont également demandé le « départ » du chef du gouvernement Aziz Akhannouch, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Mais pour la deuxième soirée consécutive, des violences ont par ailleurs frappé le pays.

Une « tentative de vol de munitions, de matériels et d’armes de service »

À Lqliaâ, près d’Agadir (sud), les gendarmes « ont été contraints de faire usage de leurs armes de service, dans le cadre de la légitime défense, pour repousser une attaque et une prise d’assaut menées par des groupes d’individus », ont indiqué les autorités locales citées par l’agence MAP.

Deux personnes ont trouvé la mort et d’autres ont été blessées, a ajouté cette source.

Munis d’armes blanches, les assaillants avaient mis le feu à un véhicule et à une partie du bâtiment avant de prendre d’assaut la brigade dans une « tentative de vol de munitions, de matériels et d’armes de service », a-t-il été ajouté.

À Salé, ville voisine de la capitale Rabat, des personnes cagoulées ont par ailleurs incendié deux voitures de police et une agence bancaire sans scander de slogans, a constaté un journaliste de l’AFP.

Des personnes ont également incendié des bureaux au siège de la commune rurale de Sidi Bibi, près d’Agadir dans le sud, d’après des médias locaux.

Des actes de vandalisme ont aussi été commis dans des petites villes comme Kelâat M’Gouna (sud) qui ne faisaient pas partie des localités de manifestations désignées par le collectif GenZ 212, selon les mêmes sources.

400 interpellations

Mardi soir, des manifestations non autorisées avaient déjà donné lieu à des heurts avec les forces de l’ordre dans des villes comme Oujda (est) et Inzegane, en banlieue d’Agadir (sud).

Suite à ces violences, qui ont fait près de 300 blessés, en majorité dans les rangs des forces de l’ordre, plus de 400 personnes ont été interpellées, a indiqué Rachid El Khalfi, porte-parole du ministère de l’Intérieur.

Ce dernier a précisé que plus de 140 véhicules de la police et 20 voitures de particuliers avaient été incendiés et que les manifestants ont également pris d’assaut des administrations, des agences bancaires et commerces, notamment à Inzegane et Oujda.

À Rabat, le parquet a décidé mercredi qu’un deuxième groupe de 97 personnes, dont trois placées en détention, allaient être jugées, a déclaré à l’AFP leur avocate Souad Brahma, précisant que la date de leur procès n’a pas encore été fixée.

Un premier groupe de 37 personnes, dont trois placées en détention, doit être jugé à partir du 7 octobre, selon Me Brahma.

Le groupement GenZ 212 est apparu récemment via des appels à manifester sur des réseaux sociaux comme Discord. Il se décrit comme un « espace de discussion » sur « des questions qui concernent tous les citoyens, comme la santé, l’éducation et la lutte contre la corruption », et affirme rejeter « la violence » et agir par « amour de la patrie et du roi » Mohammed VI.

Au Maroc, les inégalités sociales restent un problème majeur avec de fortes disparités régionales et un fossé entre les secteurs public et privé.

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Horoscope du 03-10-2025 : Poissons

Amour

Les Poissons du jour peuvent s’attendre à une semaine charnière dans leur vie sentimentale. Vous aurez l’occasion de revoir des personnes qui ont disparu pendant un moment. Ne vous découragez pas si des choses ne se passent pas comme prévu au début, car le temps sera bientôt à votre avantage pour vous exprimer et trouver une personne idéale. Une relation nouvelle va peut-être évoluer à votre rythme.

Santé

La santé physique des Poissons sera bonne malgré quelques jours de fatigue. Essayez d’accorder un peu plus d’importance à votre hygiène de vie, comme la mise à niveau de vos régimes alimentaires. Si vous avez des problèmes d’insomnie, vous devriez vous lancer dans les activités de bien-être pour apaiser votre esprit. Ainsi, vous vous sentirez bien reposés en fin de semaine.

Travail

Pour les Poissons travaillant dans divers contextes, la semaine se montre prometteuse. L’ambition et la détermination sont les ingrédients clés pour votre réussite. Le leadership naturel que vous manifestez contribuera à renforcer vos relations avec vos collègues. Vous pourriez même avoir des occasions de travailler sur des projets ambitieux que vous avez longtemps rêvés, ce qui pourrait améliorer votre statut et votre réputation.