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Agressions de médecins: « Ce qui est nouveau, ce sont nos confrères qui se font agresser en ville », explique Mathias Wargon, chef du service des urgences du centre hospitalier Delafontaine de Saint-Denis
Comment mieux maîtriser l’activité de ses enfants sur ChatGPT ? C’est pour apporter certaines réponses à cette question qu’OpenAI a lancé, lundi 29 septembre, un contrôle parental pour son assistant conversationnel.
La mesure avait été officiellement annoncée le 2 septembre, en réponse au dépôt d’une plainte par des parents accusant le service d’intelligence artificielle (IA) d’avoir accompagné leur adolescent, Adam Raine, pendant des mois dans sa démarche de suicide.
Concrètement, ce contrôle parental sera mis en place en liant le compte de l’enfant à celui de ses parents. Il activera des « protections de contenus renforcées », promet OpenAI : les filtres automatiques mis en place par l’entreprise seront alors censés supprimer les réponses « graphiques » montrant des éléments jugés choquants ou violents, ainsi que les « challenges viraux » (souvent des jeux dangereux comme le jeu du foulard), les « jeux de rôle sexuels, romantiques ou violents » et les « idéaux de beauté extrêmes », encourageant par exemple les troubles alimentaires.
Désactiver la génération d’images ou le mode vocal
Les parents pourront définir des plages horaires pendant lesquelles l’utilisation de ChatGPT sera impossible, par exemple la nuit. Il sera également possible de désactiver la génération d’images ou le mode vocal, qui permet de dialoguer avec l’assistant à l’oral.
Les tuteurs pourront de plus « désactiver la mémoire » de ChatGPT, ce qui permettra de supprimer l’historique des réponses faites à l’adolescent. Cette mesure a probablement été inspirée par l’affaire Adam Raine, dont les conversations très intimes et personnelles avec l’assistant conversationnel autour du suicide avaient duré des mois.
Egalement en réponse à la plainte des parents de l’adolescent qui s’est suicidé, OpenAI annonce des « notifications » « permettant d’alerter les parents en cas de problème sérieux » – comme des propos récurrents sur le suicide.
Ces dispositions soulèvent toutefois certaines questions, notamment sur la confidentialité des conversations des ados avec l’assistant conversationnel, qui pourront susciter des alertes envoyées directement aux parents. « La confidentialité reste une priorité : seules les informations nécessaires seront partagées afin d’aider les parents à s’assurer de la sécurité de leur enfant », assure OpenAI.
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Dans une boutique éphémère de la marque de fast-fashion chinoise Shein, à Dijon, le 26 juin 2025. ARNAUD FINISTRE/AFP
Shein n’en finit plus d’être sous le coup d’enquêtes. Deux mois après la publication du rapport de l’organisation non gouvernementale ActionAid soulignant le « caractère structurel des atteintes aux droits humains » dans la chaîne de production des vêtements vendus par la plateforme chinoise, le Point de contact national (PCN) français de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a dévoilé, lundi 29 septembre, une dizaine de recommandations que Shein devrait suivre pour se conformer aux « principes directeurs de l’OCDE à l’intention des entreprises multinationales ». C’est-à-dire les recommandations de l’institution intergouvernementale pour « encourager la contribution positive que les entreprises peuvent apporter au progrès économique, environnemental et social, et réduire au minimum les impacts négatifs auxquels leurs activités (…) peuvent être associées ».
Le PCN, instance tripartite dirigée par un haut fonctionnaire français, avait été saisi, en juin 2023, par deux députés socialistes, Dominique Potier (Meurthe-et-Moselle) et Boris Vallaud (Landes). Les plaignants entendaient démontrer « l’absence de conduite responsable de Shein ». La plateforme de vente en ligne de vêtements à bas prix, renouvelés en permanence et produits majoritairement en Chine, présenterait « un bilan carbone, social et environnemental insoutenable » qui, d’après eux, est « en contradiction avec les recommandations de l’OCDE ».
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Après la condamnation de l’ancien président de la République, le journaliste de Mediapart déplore une « expression malheureuse » du tribunal. Pour lui, cette note attribuée à Moussa Koussa, l’ancien chef des services secrets libyens, pourrait « contenir une erreur de date ».
C’est un document au cœur des débats après le procés en première instance de Nicolas Sarkozy. L’ancien chef de l’État a été condamné jeudi dernier à cinq ans de prison avec mandat de dépôt à effet différé avec exécution provisoire dans l’affaire dite des « financements libyens » de sa campagne présidentielle de 2007.
Très vite, les regards se sont tournés vers une pièce du dossier, la « note Moussa Koussa », du nom d’un proche du dictateur libyen alors chef des services secrets extérieurs. Publiée en avril 2012, dans l’entre-deux tours de la présidentielle, par Mediapart, elle évoquait un « accord portant sur le soutien à la campagne électorale du candidat aux élections présidentielles Monsieur Nicolas Sarkozy pour un montant de 50 millions d’euros ».
Un document qui, selon l’enquête de Mediapart, ne prouvait pas que cette somme avait été versée, mais que le régime de Mouammar Kadhafi aurait été prêt à le faire.
Erreur de date?
Dans son jugement rendu ce jeudi, le tribunal de Paris indique que le « plus probable » est « que ce document est un faux ». Ce dont le journaliste de Mediapart Fabrice Arfi, refuse de convenir.
« Une expression malheureuse qui ne veut rien dire en droit », a-t-il réagi ce lundi sur l’antenne de BFMTV. Le litige porte notamment sur la date dudit document. « Ce n’est pas parce qu’il y a une erreur de date que ça en fait un faux, a fortiori pour une rencontre qui a vraiment existé », a-t-il encore plaidé.
La note en question fait référence à une réunion entre Brice Hortefeux et Abdallah Senoussi, beau-frère du dictateur libyen, condamné à la perpétuité pour son rôle dans l’attentat du DC-10 de l’UTA qui avait coûté la vie à 170 personnes en 1989, dont 54 Français. Le tribunal a estimé qu' »il est impossible que (Brice Hortefeux) n’ait pas rendu compte au candidat (Nicolas Sarkozy) » de cette rencontre. La « situation pénale » d’Abdallah Senoussi en France « était un sujet de préoccupation très important pour les Libyens », toujours d’après le tribunal, ce que Nicolas Sarkozy et ses proches « n’ignoraient pas ». Une présentation des faits que l’ancien président de la République a toujours nié, affirmant qu’il ne savait rien de ce rendez-vous.
Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, Nicolas Sarkozy a riposté au sujet de cette note qui a déclenché l’affaire. « S’il y a un faux, c’est parce qu’il y a eu des faussaires, des manipulateurs et donc un complot ». Et d’ajouter dans ce même titre: « Dans un monde normal, c’est l’ensemble de l’accusation qui aurait dû s’écrouler. Or, le tribunal a fait exactement le contraire. Je rappelle que j’ai perdu la présidentielle de 2012 de très peu. Le faux de Mediapart y a joué un grand rôle. Qui réparera cette injustice? »
En marge de sa rencontre avec Benjamin Netanyahu, ce lundi 29 septembre à la Maison Blanche, le président américain a dévoilé les 20 mesures de son « conseil de paix » et a précisé qu’Israël se retirera de Gaza « par étapes ».
Après avoir « remercié », ce lundi 29 septembre, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu d’avoir « accepté » son plan pour la paix au cours de leur rencontre à Washington D.C., le président des États-Unis Donald Trump a précisé qu’Israël se retirerait « par étapes » de Gaza en cas d’accord. Celui-ci « mettra une fin immédiate à la guerre » à Gaza déclenchée par le Hamas le 7 octobre 2023. Tous les otages devront être libérés dans les 72 heures suivant le feu vert d’Israël et le Hamas doit être désarmer selon le plan proposé par le dirigeant américain.
« Pendant ce temps, toutes les opérations militaires, y compris les bombardements aériens et d’artillerie, seront suspendues, et les lignes de bataille resteront figées », précise la Maison Blanche.
Israël conserverait également la « responsabilité de la sécurité » de l’enclave palestinienne. De son côté, Benjamin Netanyahu a promis de « finir le travail » si le Hamas n’accepte pas le plan de Donald Trump. Le mouvement palestinien n’a pas encore ratifié ce plan, mais le locataire de la Maison Blanche a déjà indiqué espérer une réponse « positive » de leur part.
Un « comité de la paix » que présiderait Donald Trump
Selon ce dernier, Donald Trump présidera un comité supervisant la transition à Gaza dont aucun habitant ne sera déplacé de force. Un « comité de la paix » que présiderait Donald Trump et qui compterait parmi ses membres l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair. Le territoire palestinien serait gouverné par un comité palestinien « apolitique et technocratique » gérant les affaires courantes et excluant le Hamas.
Parmi les autres points clé du plan, les États-Unis travailleront avec des « partenaires arabes et internationaux pour mettre en place une Force internationale de stabilisation (ISF) qui doit être immédiatement déployée à Gaza ». Cette force formera et fournira un soutien à des « forces de police palestiniennes approuvées » et aura des consultations avec la Jordanie et l’Egypte.
« Personne ne sera forcé à quitter Gaza », dit le texte alors que Donald Trump avait évoqué il y a quelques mois l’idée de vider le territoire de ses habitants. « Nous encouragerons les gens à rester et leur offrirons l’occasion de construire un Gaza meilleur ».
Le Forum des familles, principale organisation israélienne de proches d’otages retenus à Gaza, a salué dans un communiqué « un accord historique qui permettra à notre peuple de guérir, de mettre fin à la guerre et de tracer un nouvel avenir pour le Moyen-Orient ». Sur les 251 personnes enlevées durant l’attaque du Hamas du 7 octobre 2023, 47 sont toujours retenues à Gaza, dont 25 considérées comme mortes par l’armée israélienne.
Une peine de trois ans de prison ferme et cinq ans d’inéligibilité avec exécution immédiate ont été requis lundi 29 septembre à l’encontre du maire de Saint-Etienne, Gaël Perdriau, dans l’affaire du chantage à la « sextape » pour museler un rival.
« Le dossier démontre de manière totalement claire, même s’il s’en défend, que c’est Gaël Perdriau qui a validé le piège », a déclaré la procureure, Audrey Quey, au sixième jour du procès devant le tribunal correctionnel de Lyon.
« Gaël Perdriau est le décideur, celui qui avait la main sur la manette nucléaire », a-t-elle ajouté, en reprochant à l’édile de 53 ans d’être « le seul à ne pas avoir évolué » au cours de la procédure, le « seul à nier l’évidence ».
Pour cette raison, elle a demandé une peine plus lourde contre lui que contre les autres acteurs du dossier : soit cinq ans de prison, dont deux avec sursis, une peine « non aménageable », 50 000 euros d’amende et cinq ans d’inéligibilité.
« Trouble démocratique »
La procureure a déclaré mesurer « le trouble démocratique » d’appliquer immédiatement cette peine, ce qui empêchera Gaël Perdriau, exclu du parti Les Républicains, de se représenter aux municipales de mars. « Mais les décisions de justice doivent être harmonisées pour être comprises par nos concitoyens, et les faits sont d’une abjectivité et d’une vilenie autrement plus graves que des dossiers de détournements de fonds », a-t-elle poursuivi, en référence à l’affaire des assistants parlementaires du Rassemblement national (RN).
La magistrate a, par ailleurs, demandé un an de prison ferme, pouvant être aménagé au domicile sous bracelet, contre l’ancien directeur de cabinet du maire Pierre Gauttieri. Celui-ci a assuré à la barre que, dès son élection en 2014, Gaël Perdriau lui avait demandé de trouver un moyen de « tenir » son premier adjoint, Gilles Artigues, dont il doutait de la loyauté. Ce dernier, un élu centriste, catholique opposant au mariage homosexuel, a été filmé à son insu en 2015 dans une chambre d’hôtel à Paris.
La procureure a requis deux ans ferme contre l’ancien adjoint à l’éducation Samy Kéfi-Jérôme et son ancien compagnon Gilles Rossary-Lenglet qui, selon elle, ont une « participation équivalente » dans la mise en œuvre du piège.
Audrey Quey a, en revanche, demandé la relaxe pour deux couples à la tête d’associations stéphanoises, accusés d’avoir perçu des fausses subventions municipales, reversées à Gilles Rossary-Lenglet. Selon elle, ils ont été bernés par ce dernier.
Cédric Jubillar: l’ancien procureur interrogé au début de la deuxième semaine du procès{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Procès de Cédric Jubillar: « Faire une lessive à quatre heures du matin, ça pose question », affirme Elina Rostan, auteure de « L’affaire Jubillar – Un crime parfait? »
Condamnation de Nicolas Sarkozy: « Il y a probablement une erreur dans la date » de la note révélée par Médiapart, déclare Fabrice Arfi, responsable du pôle Enquête à Médiapart
La ravine de la Saleta, après que de fortes pluies ont fait craindre une répétition des inondations meurtrières qui ont dévasté la région en 2024, à Aldaia (Espagne), le 29 septembre 2025. JOSE JORDAN/AFP
La région de Valence et d’autres zones de l’est de l’Espagne sont restées en alerte rouge, lundi 29 septembre, après de fortes pluies dans la nuit, mais celles-ci n’ont pas causé de dégâts majeurs, onze mois après les inondations meurtrières d’octobre 2024.
« Il n’y a heureusement pas eu beaucoup d’incidents au cours de la nuit », a commenté à la presse, lundi, le responsable des services d’urgence de la région autonome de Valence, Juan Carlos Valderrama, qui a toutefois estimé que la situation restait encore « instable et quelque peu incertaine ».
L’Agence météorologique nationale (Aemet) a maintenu l’alerte rouge sur le littoral de la province de Valence, mais a abaissé le niveau d’alerte à orange sur la côte sud de la Catalogne et le nord de la Communauté valencienne.
Dans la nuit de dimanche à lundi, les précipitations ont provoqué quelques inondations et même fait déborder une ravine à Aldaia, l’une des localités valenciennes les plus touchées par les inondations tragiques qui avaient fait plus de 230 morts le 29 octobre de l’an dernier, dans la même région. Mais il n’y a pas eu de victimes ou de dommages corporels cette fois.
Les pluies ont aussi occasionné des retards dans les transports, principalement ferroviaires, et laissé plus d’un demi-million d’élèves de 243 municipalités sans cours. La mairie de Valence a en effet décidé de ne pas ouvrir les écoles et les collèges. Les bibliothèques, les parcs, les jardins et les cimetières sont également restés fermés.
Des sacs de sable installés en prévention d’inondations après de fortes pluies tombées sur la région, à Aldaia (Espagne), le 29 septembre 2025. JOSÉ JORDAN / AFP
Un « danger extraordinaire »d’inondations
D’autres localités voisines de Valence, troisième ville d’Espagne, ou situées dans le sud de la Catalogne, ont pris la même décision.
Le match de Liga entre Valence et le Real Oviedo, prévu lundi soir, a été reporté au lendemain, mardi « si les conditions météo le permettent », a annoncé la fédération espagnole de football.
Le roi d’Espagne, Felipe VI, a assuré, dans un communiqué de la Maison royale, suivre « attentivement l’évolution des fortes pluies qui touchent le littoral méditerranéen et d’autres régions d’Espagne », appelant à la prudence et à suivre les recommandations des services d’urgence.
Dimanche, l’Aemet avait déclaré l’alerte rouge pour certaines parties des provinces de Tarragone, Castellon et Valence, évoquant même un « danger extraordinaire » d’inondations.
Les habitants de la région avaient aussi reçu très tôt un message de la protection civile sur leur téléphone portable leur demandant d’être extrêmement vigilants, alors que l’an dernier, un message similaire avait été envoyé très tard.
Les inondations d’octobre 2024 avaient été provoquées par des pluies extrêmement abondantes, conséquences d’une « goutte froide » (dépression isolée à haute altitude, assez fréquente en automne sur la côte méditerranéenne espagnole) dont les effets sont renforcés par le changement climatique et l’importante urbanisation des zones touchées.
La catastrophe avait suscité la colère des sinistrés, qui avaient critiqué la gestion de l’alerte et des secours, avec en toile de fond une polémique entre le gouvernement central de gauche et les autorités régionales de droite sur leurs compétences respectives dans ce domaine.
Si vous êtes en couple, préparez-vous à partager des moments intenses et passionnés avec votre partenaire. Le amour s’intensifie et vous vous sentez plus attachés l’un à l’autre. Cependant, il est important de s’assurer que vous communiquiez ouvertement pour éviter toute confusion.
Santé
La santé est au premier chef cette semaine. Vous avez probablement déjà constaté une amélioration au niveau de votre bien-être physique et émotionnel. Continuez à vous occuper de vos habitudes de vie saine et à prendre soin de votre corps. N’oubliez pas de vous laisser du temps pour la relaxation.
Travail
Les débats et conflits au travail peuvent surgir cette semaine. Il est essentiel de demeurer calme et de trouver des solutions pacifiques. Vous devrez faire preuve d’une grande flexibilité et adaptabilité. Cela aidera à résoudre les problèmes de manière constructive et à préserver des relations positives au travail.