Sur X, Emmanuel Macron explique que la reconnaissance d’un État palestinien « est le début d’un chemin, c’est un parcours pour la paix »


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RER B : un plan d’action pour limiter le retard « inacceptable » de livraison des trains d’Alstom et CAF

Des employés travaillent à la rénovation des rames du RER B d’Ile-de-France, à l’usine Alstom de Reichshoffen (Bas-Rhin), le 4 octobre 2019. PATRICK HERTZOG / AFP

Si tout se passe bien – ou moins mal –, les nouvelles rames du RER B arriveront, à partir de décembre 2028, sur le réseau francilien. Soit un retard d’un an par rapport à la dernière estimation officielle à la laquelle plus personne ne croyait. Mais c’est en avance de neuf mois en comparaison avec les estimations d’un rapport d’experts, rendu le 11 septembre, qui juge sévèrement la conduite du « dossier maudit » du renouvellement de la flotte de trains du RER B, qui transportent chaque jour un million de voyageurs.

La présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, réunissait, lundi 22 septembre, les parties prenantes de ce contrat portant sur 146 trains, d’une valeur de 2,5 milliards d’euros, qui prévoyait une livraison à partir de la fin de l’année 2025. Au siège de la région à Saint-Ouen-sur-Seine, Mme Pécresse, qui dirige également Ile-de-France Mobilités (IDFM), était entourée de représentants de la SNCF et de la RATP, les deux opérateurs de la ligne. Et surtout d’Henri Poupart-Lafarge, directeur général d’Alstom, dont les réponses étaient très attendues, le géant français de l’industrie ferroviaire faisant office de principal accusé dans cette affaire.

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Antisémitisme: pour Emmanuel Macron, les critiques de l’ambassadeur américain en France étaient « inacceptables »

Dans un entretien accordé à CBS, le président de la République est revenu sur la polémique provoquée le mois dernier par Charles Kushner. L’ambassadeur des États-Unis avait déploré l' »absence d’action suffisante » du gouvernement français pour lutter contre l’antisémitisme.

Un mois après la polémique entre l’ambassadeur des États-Unis en France et Paris, Emmanuel Macron ne décolère pas contre le diplomate. Dans une interview à la chaîne américaine CBS enregistrée jeudi et diffusée ce dimanche 21 septembre, le président de la République a qualifié d' »inacceptables » les critiques de Charles Kushner.

Fin août, l’ambassadeur américain en France, par ailleurs père de Jared Kushner, gendre de Donald Trump, avait dénoncé l' »absence d’action suffisante » du gouvernement français contre l’antisémitisme dans une lettre adressée au président de la République et publiée par le Wall Street Journal.

Sur CBS, Emmanuel Macron a dit considérer que cette lettre était une « erreur » et une « déclaration inacceptable de la part de quelqu’un qui est censé être diplomate ».

« Si vous êtes diplomate, vous devez respecter les règles de la diplomatie », a insisté le chef de l’État auprès de CBS. « L’argent du contribuable (américain) n’est pas utilisé correctement si c’est pour financer ce genre de déclarations. »

Des critiques qui avaient suivi celles de Netanyahu

En réponse à la lettre de Charles Kushner, Paris avait convoqué l’ambassadeur des États-Unis et « réfuté fermement ces allégations » allant « à l’encontre du droit international, en particulier du devoir de ne pas s’immiscer dans les affaires intérieures des États, prévu par la Convention de Vienne de 1961 qui régit les relations diplomatiques ».

La polémique était intervenue quelques jours après une violente charge du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu contre le président français, qu’il avait accusé « d’alimenter le feu antisémite » en appelant à la reconnaissance internationale de l’État de Palestine.

Convocation de l’ambassadeur américain en France: les dessous d’une sanction diplomatique

La France fait partie d’une dizaine de pays qui doivent confirmer leur reconnaissance formelle de l’État palestinien ce lundi 22 septembre, à la veille de l’Assemblée générale des Nations unies et malgré l’opposition des États-Unis et d’Israël.

Alors que l’État hébreu a intensifié son offensive à Gaza, « reconnaître aujourd’hui l’État palestinien est la seule façon d’apporter une solution politique à une situation qui doit cesser », a résumé Emmanuel Macron.

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Drapeaux palestiniens sur les mairies: pour Joshua Zarka, ambassadeur d’Israël en France, « il faut renoncer à cette idée »


Drapeaux palestiniens sur les mairies: pour Joshua Zarka, ambassadeur d’Israël en France, « il faut renoncer à cette idée »{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>

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La Confédération paysanne appelle les agriculteurs à manifester à Paris le 14 octobre, contre l’accord UE-Mercosur

Des membres de la Confédération paysanne, manifestent alors que la ministre de l’agriculture française démissionnaire, Annie Genevard, visite la 39ᵉ édition du salon international de l’élevage, SPACE 2025, au parc des expositions de Rennes, à Bruz, dans la banlieue rennaise, le 16 septembre 2025. DAMIEN MEYER / AFP

La Confédération paysanne appelle à manifester le 14 octobre à Paris, « tracteurs en tête », afin de « stopper l’accord de libre-échange UE-Mercosur », dont Bruxelles a lancé le processus de ratification, selon un communiqué publié mardi 23 septembre.

« La Confédération paysanne appelle largement l’ensemble des paysan·nes, encarté·es ou non, les organisations citoyennes de solidarité internationale, de protection des consommateur·trices, de défense de l’environnement, les syndicats de travailleur·euses, les pétitionnaires contre la loi Duplomb, les citoyen·nes à monter sur Paris pour manifester, tracteurs en tête, le 14 octobre », a annoncé le syndicat.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés L’accord UE-Mercosur relance la mobilisation des syndicats agricoles

Une mobilisation à l’appel de la FNSEA le 26 septembre

De son côté, le syndicat agricole FNSEA a appelé à « une grande journée d’action » autour des questions des échanges internationaux pour les produits agricoles le vendredi 26 septembre à travers toute la France. Cette mobilisation aura lieu contre « le Mercosur, les taxes imposées par Donald Trump et le flot des importations internationales qui ne respectent pas les normes qui sont les nôtres », a expliqué son président, Arnaud Rousseau, dans un entretien au Journal du Dimanche, mi-septembre.

« Les actions sont à l’appréciation des fédérations départementales, mais ça peut prendre la forme de visite de grandes surfaces pour aller chercher tous les produits non conformes », a fait savoir à l’Agence France-Presse un porte-parole du premier syndicat agricole français, qui mènera ces actions avec les Jeunes Agriculteurs (JA).

La FNSEA et les JA avaient déjà dit leur hostilité à l’accord de libre-échange entre des pays latino-américains du Mercosur et l’Union européenne (UE). Cet accord UE-Mercosur doit notamment permettre à l’UE d’exporter davantage de voitures, de machines, de vins et de spiritueux en Argentine, au Brésil, en Uruguay et au Paraguay. En retour, il faciliterait l’entrée de viande, de sucre, de riz, de miel ou de soja sud-américains, au risque de fragiliser certaines filières agricoles européennes.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Accord UE-Mercosur : Bruxelles avance ses pions, en faisant un geste à l’égard de la France

Le Monde avec AFP

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Reconnaissance de la Palestine: l’interview de Joshua Zarka, ambassadeur d’Israël en France


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La taxe Zucman sur les très hauts patrimoines et le débat qu’elle provoque : 6 questions pour tout comprendre

Manifestation dans les rues de Besançon, le 18 septembre 2025. LEO KELER/HORS FORMAT POUR « LE MONDE »

En cette rentrée tendue sur le plan politique et budgétaire, la taxe Zucman électrise le débat. Pour ses partisans, cette « mesure d’équité fiscale » est la solution pour sortir de la crise de la dette en mettant à contribution les plus aisés. Pour ses détracteurs, cette taxe sur les hauts patrimoines va contribuer à éloigner les capitaux et représenterait « un frein terrible à l’investissement et à la prise de risque pour les entreprises ».

Que sait-on réellement de cette mesure et de ses effets possibles ? En quoi se distingue-t-elle de l’ancien impôt de solidarité sur la fortune (ISF) ? Permettrait-elle de renflouer les caisses de l’Etat, ou ferait-elle au contraire fuir les plus riches, privant la France d’importantes recettes fiscales ? Serait-elle inconstitutionnelle, comme le défendent certains ? Les Décodeurs font le point sur les principaux volets de ce débat brûlant.

Lire aussi l’entretien | Article réservé à nos abonnés Gabriel Zucman : « Il va être très difficile de demander aux Français de faire des efforts tant que les milliardaires paieront si peu d’impôts »

Qu’est-ce que la taxe Zucman ?

Le principe de cette taxe est un impôt plancher permettant de s’assurer que les foyers fiscaux disposant de plus de 100 millions d’euros de patrimoine contribuent chaque année au moins à hauteur de 2 % du montant de leur fortune. Pour un ménage qui s’acquitterait actuellement d’impôts annuels équivalant à 0,5 % de son patrimoine, la taxe Zucman s’élèverait donc à 1,5 % de son patrimoine.

L’ambition de ce projet est de rétablir davantage de justice fiscale tout en générant une nouvelle source de recettes dans un contexte budgétaire extrêmement contraint. L’économiste français Gabriel Zucman, à l’origine de la proposition, part d’un double constat :

  • d’une part, la flambée du patrimoine des plus riches au cours des dernières décennies (pour les 500 plus grandes fortunes de France, il a progressé trois fois plus rapidement que la richesse nationale, selon le magazine Challenges, qui estime que leur richesse représente 40 % du PIB, contre 6 % en 1996).
  • d’autre part, le fait que les milliardairespaient proportionnellement deux fois moins d’impôts que la moyenne des Français, tous prélèvements confondus. D’après Gabriel Zucman et l’Institut des politiques publiques (IPP), les impôts payés chaque année par les centimillionaires et les milliardaires représentent en moyenne 0,3 % de leur fortune totale.

Les plus fortunés paient-ils vraiment moins d’impôts ?

Des chercheurs de l’IPP ont montré dans une étude récente que le taux effectif d’imposition sur l’ensemble des revenus commence à décroître à partir des 0,1 % les plus riches. Et si ces derniers sont imposés à 46 % de leurs revenus, les 0,0002 % les plus fortunés (les milliardaires) ne reversent que 26,2 % de leurs revenus. Une anomalie qui s’explique par le fait que les plus fortunés tendent à diriger leurs revenus dans des holdings, qui ne sont pas soumises à l’impôt sur le revenu.

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Si les données sur lesquelles se fonde cette étude datent de 2016, les chercheurs confirment que ce phénomène de régressivité de l’imposition des grandes fortunes perdure aujourd’hui. Dans la dernière révision de leurs calculs (septembre 2025), le taux d’imposition effectif des revenus des milliardaires a baissé de près d’un point.

Selon Gabriel Zucman, un taux fixé à 2 % permettrait d’enrayer cette baisse d’imposition pour les plus riches : « Les milliardaires paieraient autant – mais pas plus – que les catégories sociales situées en dessous d’eux », a estimé l’économiste, dans un entretien au Monde.

Quelles sont les principales différences entre la taxe Zucman, l’IFI et l’ISF ?

En ciblant le patrimoine, la taxe Zucman se rapproche de l’actuel impôt sur la fortune immobilière (IFI) et de l’ancien impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Mais il présente d’importantes différences.

L’ISF était calculé à partir du patrimoine immobilier, des liquidités (comptes courants, livrets d’épargne…) et des placements financiers (comme l’assurance-vie). Il a été remplacé en 2018 par l’IFI, qui se limite à l’immobilier. La taxe Zucman, elle, s’appliquerait à l’ensemble du patrimoine, y compris les « biens professionnels » (comme les actions d’entreprise).

Le taux proposé de la taxe Zucman est de 2 %, tandis que les taux de l’IFI s’échelonnent de 0,5 % à 1,5 % du patrimoine, comme l’ISF par le passé. Par ailleurs, à la différence de l’IFI et de l’ISF, la taxe Zucman ne prévoit pas de plafonnement.

  • Le seuil de déclenchement

La taxe Zucman vise les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, tandis que l’IFI se déclenche à partir de 1,3 million d’euros, comme l’ISF avant lui.

  • Le nombre de ménages concernés

Le choix d’un tel seuil restreint la taxe Zucman à quelque 1 800 foyers, d’après l’économiste. C’est largement moins que l’IFI (qui a concerné près de 186 000 ménages en 2024) et l’ISF (environ 358 000 ménages en 2017).

L’IFI a rapporté 2,2 milliards d’euros en 2024. S’il est difficile de dire ce que l’ISF rapporterait aujourd’hui s’il avait été maintenu, le Comité d’évaluation des réformes de la fiscalité du capital a estimé que son remplacement par l’IFI a généré un manque à gagner de 4,5 milliards d’euros pour l’Etat en 2022.

Quant à la taxe Zucman, l’estimation de son rendement potentiel ne fait pas consensus.

Combien rapporterait réellement la taxe Zucman ?

Pour les plus optimistes, elle pourrait rapporter 20, voire 25 milliards d’euros par an aux caisses de l’Etat. Le chiffre est cependant contesté. Dans une tribune au Monde, sept économistes anticipent plutôt des retombées de l’ordre de 5 milliards d’euros. Une estimation basse, qu’ils justifient par les risques d’exil fiscal ou d’optimisation, s’appuyant notamment sur les conclusions d’un rapport du Conseil d’analyse économique (CAE) qui, sur la base de plusieurs comparaisons internationales, table sur un rendement de 0,25 euro par euro espéré.

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Gabriel Zucman a critiqué cette comparaison : selon lui, le cas de l’ISF danois mis en avant par l’étude du CAE n’est en rien comparable avec un impôt plancher sur les ultrariches. Une analyse partagée par l’économiste Camille Landais, coauteur de l’étude, qui a réfuté, dans Alternatives économiques, la pertinence de toute extrapolation entre ses résultats et ceux escomptés de la nouvelle taxe proposée.

Comme l’a souligné la commission des finances du Sénat, toute estimation des effets de la mesure s’avère complexe car « aucune autre imposition de ce genre n’existant aujourd’hui, il est possible que les personnes les plus aisées s’exilent pour éviter l’impôt ». Plusieurs études récentes laissent toutefois penser que cet exil fiscal et ses conséquences économiques resteraient limités : selon le CAE, un point de pourcentage supplémentaire d’imposition entraînerait « une expatriation supplémentaire à long terme comprise entre 0,02 et 0,23 % des hauts patrimoines français », soit entre 90 et 900 foyers.

Cependant, comme l’a noté le Sénat, le rendement de la taxe Zucman pourrait être « beaucoup plus sensible au moindre exil fiscal » que l’ancien ISF, car son assiette est plus large et ses cibles sont moins nombreuses. Un danger que les défenseurs du texte souhaiteraient encore réduire avec un « bouclier anti-exil », qui viendrait soumettre les potentiels exilés fiscaux à cet impôt jusqu’à cinq ans après leur départ.

Qui est pour, qui est contre ?

Les débats parlementaires sur la proposition de loi écologiste instaurant la taxe Zucman, adoptée par l’Assemblée nationale le 20 février puis rejetée par le Sénat le 12 juin, ont permis de situer les différentes forces politiques sur ce dossier.

  • Le texte a été largement soutenu par toutes les forces de gauche, qui estiment, à l’image du député communiste Nicolas Sansu, que« le pouvoir politique (…) doit reprendre la main par rapport à l’oligarchie financière ».
  • Il a été rejeté par le bloc central et la droite, qui craignent, à l’instar du député Charles Sitzenstuhl (Ensemble pour la République), une perte d’attractivité de la France « néfaste pour l’économie française ».
  • Le Rassemblement national (RN) s’est d’abord abstenu, la députée Claire Marais-Beuil commentant que « les fruits du travail doivent être protégés ». Plus récemment, dans un entretien à Sud-Ouest, Marine Le Pen s’est clairement prononcée contre la taxe Zucman, jugée « inefficace, injuste et dangereuse puisqu’elle entraverait le développement de nos entreprises ».

La taxe Zucman enfreint-elle la Constitution ?

C’est ce que soutiennent plusieurs de ses contempteurs, à commencer par l’ex-premier ministre François Bayrou. Pour eux, cette taxe entre dans la catégorie des mesures dites « confiscatoires », qui sont rejetées par la jurisprudence.

Gabriel Zucman et les défenseurs de l’établissement de la taxe répondent qu’une imposition limitée à 2 % et déclenchée à partir d’un seuil très élevé (100 millions d’euros) ne peut aucunement être jugée « confiscatoire ». A leurs yeux, leur proposition respecte bien mieux l’exigence d’égalité devant l’impôt, telle que formulée dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, que l’état actuel du droit.

Mais personne n’en aura le cœur net tant que le Conseil constitutionnel ne se sera pas prononcé – ce qu’il pourrait être amené à faire, si la mesure figurait dans le prochain budget.

Romain Imbach, Julien Lemaignen et Lara Pino Lerro

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Reconnaissance de la Palestine: « Je me bats pour qu’on ait deux États qui puissent vivre côte à côte », indique Olivier Faure (PS)


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Emmanuel Macron reconnaît la Palestine: « Il sanctuarise la solution à deux États », observe David Khalfa, co-directeur de l’Observatoire de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient

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SIGNÉ BFM – Emmanuel Macron reconnaît l’État de Palestine, une décision qui ne fait pas l’unanimité dans la classe politique française

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Palestine: pour Emmanuel Macron, l’attaque du 7-Octobre est une « blessure encore vive »

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Horoscope du 23-09-2025 : Poissons

Amour

Aujourd’hui, les Poissons devraient se concentrer sur leurs émotions et leur intuition pour trouver les bons conseils dans les affaires du cœur. Vous devriez être très attentifs à la manière dont vos partenaires vous communiquent, car cela pourrait vous éclairer sur des décisions importantes pour votre relation.

Santé

Un jour parfait pour se connecter avec votre corps et votre énergie. Il est conseillé de commencer à pratiquer des exercices de respiration profonde pour se sentir plus en harmonie et plus en paix dans son quotidien.

Travail

Les responsabilités professionnelles vous attendent, mais aujourd’hui, essayez de désamorcer l’atmosphère des conflits qui pourraient éclater en écoutant activement les opinions et sentiments des autres.