Aujourd’hui, chaud passion peut éclairer votre chemin d’amour. Soyez ouvert aux nouvelles rencontres et ne croyez pas que la première impression est toujours la bonne. Un lien secret pourrait être à l’origine d’une relation profonde, même si les apparences ne le suggèrent pas.
Santé
Ce jour, vous devriez donner la priorité à votre équilibre émotionnel. Les tensions et les étroites contraintes ne sont pas bénéfiques à votre santé. Vous devez laisser respirer votre âme pour vous sentir en harmonie avec vous-même. N’oubliez pas de manger sainement et de faire de la physicalité régulière pour entretenir votre corps.
Travail
Aujourd’hui, votre ambition et votre volonté vont vous conduire vers un résultat remarquable. Ne vous laissez pas intimider par les défis et les difficultés, car vous êtes capable de les relever avec esprit de conviction. Votre leader vous donnera la confiance et vous permettra de faire preuve de votre plein potentiel.
Droit social. « Dans la vie, y a pas de grands, y a pas de petits. La bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent terre. » A l’instar de Coluche, il n’y a pas de bon niveau de protection sociale, mais celui que chaque nation est capable de financer.
L’Assurance-maladie a connu un déficit de 13,8 milliards d’euros en 2024. Avec des raisons aussi structurelles : vieillissement, montée des arrêts longs liés à la santé mentale, etc. Mais, dans nos conditions de température (financière) et de double pression démographique (moins d’enfants, plus de seniors), il nous faut systématiquement veiller à ne pas l’aggraver.
Or, la fraude corrompt tout, y compris notre pacte social.
Côté recettes générales, les contrôles ciblés de l’Urssaf ont conduit à 1,57 milliard d’euros de redressements en 2024 : quatre fois plus qu’il y a dix ans. Plus dissuasif.
Légalité et légitimité
Côté arrêts maladie : le renversant « je me mets en arrêt ! » incarne la croissance des certificats de complaisance, et sans doute aussi un problème de management.
Légalité et légitimité ne font ici plus bon ménage. L’opinion publique s’étonne de voir indemnisé un salarié dont les pratiques quotidiennes contredisent son arrêt. La caricature étant le cas d’un mécanicien en arrêt pour une affection touchant ses deux mains, mais pilote de rallye amateur (Cass. soc., 16 oct. 2013). Tandis que les collègues héritent souvent des tâches de l’absent, avec in fine une spirale infernale d’absentéisme local, et de suspicion générale à l’égard de tous les malades.
Explication juridique. La Cour de cassation sépare l’assuré, devant rendre des comptes à la seule caisse primaire d’assurance-maladie, et le salarié en « arrêt de travail » qui, n’étant plus subordonné, n’en a en principe pas de comptes à rendre à son employeur.
Un exemple topique : le malade « doit s’abstenir de toute activité non autorisée ».Quid de celui qui travaille pour une autre entreprise ? En principe, travailler pour une sociéténon concurrentene constitue pas, en soi, un manquement à l’obligation de loyauté. Pour fonder un licenciement, le salarié doit avoir causé un préjudice à son employeur. Ce qui, selon nos juges, n’est pas le cas des indemnités complémentaires versées.
Il vous reste 40.5% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
La journée de mobilisation nationale, ce jeudi 18 septembre, bénéficie d’un certain écho à Lyon, où plusieurs actions ont lieu depuis le début de la matinée, notamment sur le périphérique, qui a été évacué après une tentative de blocage.
Une semaine après une première journée de mobilisation, de nouvelles actions sont menées en France ce jeudi 18 septembre. À Lyon, de nombreux groupes mobiles sont recensés, mais les actions réalisées sont limitées.
Des premiers heurts ont éclaté vers 12h30, avec des tirs de mortiers et des jets de projectiles en direction des forces de l’ordre au niveau de Saxe Gambetta. Deux personnes ont été blessées: un journaliste et un policier.
La CGT évoque la présence de 20.000 manifestants. La prefecture de police estime de son côté que 14.000 personnes participent à la mobilisation, dont 400 individus violents. Trois personnes ont été interpellées.
Une tentative de blocage du périphérique
Aux alentours de 7h30, un groupe d’une vingtaine de personnes ont brièvement occupé le périphérique, comme cela avait déjà été le cas le 10 septembre, dans le secteur Cusset. Ce blocage a duré une dizaine de minutes.
« La tentative de blocage a été très rapidement déjouée grâce à l’intervention rapide des effectifs de la police nationale et la circulation a été rétablie immédiatement », indique la préfecture d’Auvergne-Rhône-Alpes sur X.
Sciences Po et l’ENS fermés
En ce qui concerne les établissements scolaires et universitaires, des mobilisations sont à signaler dans les lycées Saint-Exupéry et La Martinière. Contrairement à la semaine dernière, aucune tentative de blocage n’a eu lieu à l’université Lyon 2, où les cours doivent avoir lieu si la grève des professeurs reste limitée.
L’ENS Lyon et Sciences Po Lyon ont en revanche été fermés préventivement, sur décision des directions des établissements. Les cours sont annulés.
Quelques groupes ont été recensés brièvement dans le secteur Perrache tôt dans la matinée. Une opération de tractage a également eu lieu du côté de Villeurbanne.