Une étape de sécurité supplémentaire pourrait compliquer vos virements à partir du 9 octobre

Avant de valider un virement, les banques devront bientôt vérifier la correspondance entre l’IBAN et le nom du titulaire du compte renseignés. Une étape de sécurité supplémentaire, pour éviter que votre argent soit envoyé à n’importe qui.

Peut-être que vous aussi au moment de faire un virement à un compte en rentrant son RIB, vous êtes pris d’une sueur froide. Une simple erreur de saisie de l’IBAN, et votre argent risque d’être envoyé à la mauvaise personne… Heureusement, cette angoisse sera bientôt du passé.

Comme le rapporte MoneyVox, à partir du 9 octobre, les banques seront obligées de mettre en place un système de vérification des bénéficiaires de virement. Concrètement donc, lorsqu’un de ses clients (qu’il soit particulier ou professionnel) effectuera un virement, une banque devra vérifier la correspondance entre l’IBAN et le nom du titulaire du compte renseignés.

Si ces deux données ne correspondent pas, votre banque vous enverra une alerte avant de valider le virement. Cela peut être le cas si vous avez fait une faute de frappe dans l’un des 27 caractères de l’IBAN. Ou alors, si vous n’avez rentré que le prénom ou le surnom du bénéciaire au moment de l’ajouter plutôt que son nom complet. Ou alors avez fait une faute dans l’orthographe de ce nom.

Un moyen de lutter contre les arnaques

Votre virement risque donc d’être bloqué. Mais c’est une bonne chose. Ce nouveau système empêche que votre virement ne soit envoyé au mauvais destinataire. Il a notamment été mis en place pour sécuriser les virements instantanés.

Ces derniers sont gratuits depuis janvier dernier (ils coûtaient généralement autour d’un euro auparavant). Mais ils sont de fait immédiats, et irréversibles: si vous vous apercevez que vous vous êtes trompé, il n’y a aucun moyen de récupérer votre argent. Alors qu’avec un virement classique, il y a un délai et l’argent peut être rattrapé en cas d’erreur.

Ce nouveau système de vérification va donc protéger le consommateur d’éventuelles erreurs de saisie. Mais va également permettre de contrer certaines fraudes. En effet, les arnaques dans lesquelles des escrocs se font passer pour un bénéficiaire légitime, et vous fournissent un IBAN pour que vous viriez de l’argent, sont extrêmement courantes.

Ces escroqueries aux faux ordres de virement se retrouvent dans des arnaques comme celle « au faux président », où une personne mal intentionnée usurpe l’identité d’un dirigeant d’entreprise. Ou alors dans celles aux sentiments, où les escrocs charment leurs victimes sur Internet et finissent par leur soutirer de l’argent.

Trois types de réponses possibles

Comment fonctionne ce système de vérification au juste? Concrètement au moment de valider le virement à ce nouveau bénéficiaire, votre banque interrogera en temps réel la banque du bénéficiaire. Cette dernière disposera de cinq secondes pour lui répondre.

Trois réponses seront possibles. Première: le nom et l’IBAN correspondent bien, vous pouvez poursuivre votre virement en toute sécurité. Deuxième: le nom ne correspond pas tout à fait. Par exemple, vous avez indiqué « Lilian Dupont » au lieu de « Lilian Dupond ». Dans ce cas, le nom exact de la personne vous est indiqué et vous pouvez choisir de confirmer ou annuler le virement.

Troisième possibilité: le nom ne correspond pas. Cela peut arriver aussi bien en cas d’usurpation que quand vous renseignez un surnom, ou un diminutif (« Lilian D » au lieu de « Lilian Dupond » par exemple). Vous serez averti du fait que les données ne correspondent pas, mais là on ne vous fournira pas le nom complet du bénéficiaire. Pour éviter cela, vous devrez donc être bien rigoureux au moment de procéder à un virement.

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Pourquoi le dispositif « Portable en pause », pour que les élèves déposent leur téléphone dans des casiers, a été ignoré par la plupart des collèges

Des élèves du collège Anjou-Bretagne de Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire) mettent leur téléphone portable dans une housse verrouillée jusqu’à la fin des cours, le 11 novembre 2024. JOSSELIN CLAIR/« LE COURRIER DE L’OUEST »/MAXPPP

Seuls 9 % des collèges ont mis en place, en cette rentrée, le dispositif « Portable en pause », qui consiste pour l’élève à se séparer physiquement de son téléphone en le déposant dans un casier ou dans une pochette scellée. La ministre de l’éducation nationale démissionnaire, Elisabeth Borne, avait pourtant insisté à la rentrée sur sa généralisation.

Derrière ce constat, dressé par le syndicat majoritaire des chefs d’établissement SNPDEN-UNSA dans son enquête de rentrée, on trouve à la fois du refus net et de l’attentisme : « 67 % disent qu’ils ne le feront pas, 25 % ne savent pas parce qu’ils attendent d’en savoir plus auprès de leur département », indiquait Bruno Bobkiewicz, le secrétaire général du syndicat, le 12 septembre.

Pour une majorité de principaux, cette mesure est plus ou moins sans objet, puisque l’usage du téléphone portable est déjà interdit dans les collèges depuis 2018. En pratique, les enfants peuvent l’avoir sur eux, mais ils n’ont pas le droit de s’en servir.

« On ne peut pas être contre le fait que les élèves utilisent moins leur téléphone, reconnaît Michaël Vidaud, principal dans un collège de Nice et secrétaire national au SNPDEN. Mais la loi de 2018, selon moi, est suffisante, car elle permet de confisquer des téléphones et de prendre des sanctions. » Depuis la rentrée, ce chef d’établissement a confisqué un seul appareil, à la fin de la deuxième semaine de cours. « Vous voyez, ce n’est pas insurmontable », conclut-il, en soulignant plutôt un problème au niveau des lycées – où le téléphone est autorisé dans les couloirs et où les élèves s’en servent en permanence.

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La crise du bio c’est fini: les ventes de Biocoop grimpent de 7,5%, l’enseigne compte avoir 160 magasins de plus d’ici 4 ans

Le leader du bio veut se développer pour mettre la main sur un secteur qui revient en force, tout en se fixant des objectifs environnementaux et équitables.

Ouvertures de magasins, développement de l’e-commerce… Le leader de la distribution spécialisée en produits issus de l’agriculture biologique Biocoop a dévoilé, jeudi 18 septembre, un plan d’investissement de plusieurs dizaines de millions d’euros d’ici à 2029 pour rendre son offre accessible à « 100% des Français ».

« La bio n’est plus en crise » a redit lors d’une visioconférence Frank Poncet, le directeur général de l’enseigne qui, après une « année 2024 historique », marquée par une hausse de 8,5% de ses ventes taxes comprises (1,79 milliard d’euros, pour un chiffre d’affaires hors taxes d’1,65 milliard d’euros)-, enregistre une croissance de 7,5% au premier semestre.

Fidélisation des clients et recrutements de nouveaux consommateurs « déçus de la grande distribution » expliquent cette bonne santé, selon lui.

Objectif plus de 2 milliards de chiffre d’affaires

Confiant dans l’avenir après des années laborieuses, Biocoop veut développer l’accessibilité « géographique », « économique » et « culturelle » de son offre, espérant dépasser rapidement les 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires.

L’enseigne mise sur un réseau de 900 magasins d’ici à fin 2029, contre 740 actuellement – avec une quinzaine d’ouvertures escomptées en 2026, comme en 2025 – et sur l’e-commerce, qui représente aujourd’hui moins d’1% de son activité, une part amenée à « tripler voire quadrupler ».

Elle entend aussi proposer à terme 500 produits à « prix engagés », contre 200 actuellement, et toucher de nouveaux publics dans les hôpitaux, les Ehpad ou les écoles en doublant son activité restauration, dont les revenus sont actuellement inférieurs à 20 millions d’euros.

Réduire de 25% ses émissions carbone d’ici 2030

Revendiquant son militantisme, la coopérative veut en outre atteindre 100% de fruits et légumes d’origine France, contre 87% ajourd’hui, quand ils sont productibles dans l’Hexagone.

Autre objectif, faire passer de 25% à 30% la part de son chiffre d’affaires réalisé en commerce équitable, et réduire de 25% ses émissions carbone d’ici à 2030.

Le président de la coopérative, Henri Godron, en a profité pour dénoncer une « situation paradoxale »: « jamais les consommateurs n’ont été autant en attente de solutions saines et durables (…) et pour autant, jamais nos hommes et femmes politiques n’ont été aussi peu soutenants envers l’agriculture biologique ».

En appelant aux pouvoirs publics, les deux dirigeants suggèrent la création d’une mission d’inspection interministérielle sur l’agriculture biologique, de garantir l’atteinte des objectifs de la loi Egalim – comme celui de 20% de produits bio dans les repas de la restauration collective -, et d’inciter tous les distributeurs à proposer un minimum d’offres bio.

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La Cour des comptes appelle à « agir d’urgence » contre la « dégradation continue et avérée de notre environnement »

La Cour des comptes, à Paris, le 4 octobre 2022. ROMUALD MEIGNEUX/SIPA

Alors que les responsables politiques regardent ailleurs, une des plus vieilles institutions françaises s’empare du défi environnemental. Dix-huit mois après un rapport annuel consacré aux défis de l’adaptation au changement climatique, la Cour des comptes publie, mardi 16 septembre, une première enquête thématique sur la transition écologique. Le document souligne l’importance de l’enjeu, mais aussi ses complexités pour un monde politique trop souvent obnubilé par les contingences de court terme. « La dégradation continue et avérée de notre environnement appelle une action urgente pour en limiter les impacts », écrivent les magistrats de la rue Cambon pour qui la transition « doit être menée sans délai et, idéalement, de façon coordonnée » même si « depuis plusieurs mois, la préoccupation écologique semble être passée au second plan de l’actualité du fait d’autres priorités ».

S’appuyant sur les travaux de nombreux scientifiques, sur les enquêtes conduites par les chambres régionales et territoriales des comptes, mais aussi sur un comité d’appui composé de nombreux experts, la Cour dresse un constat lucide sur la situation. Si « des progrès sensibles sont observés », s’agissant par exemple de certains polluants atmosphériques, mais aussi des émissions de gaz à effet de serre (GES), qui ont diminué en France de plus de 30 % entre 1990 et 2023, « les politiques de transition déjà engagées produisent des résultats positifs, mais encore fragiles et parfois insuffisants ».

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Les chimpanzés consomment l’équivalent de plusieurs verres d’alcool par jour à l’état sauvage, selon une étude

Les chimpanzés consomment l’équivalent de plusieurs verres d’alcool par jour en mangeant des fruits naturellement fermentés, riches en éthanol – une forme d’alcool produit par la fermentation du sucre -, selon une étude publiée ce mercredi 17 septembre. Leur consommation moyenne atteindrait environ 14 grammes d’éthanol par jour.

En mangeant des fruits mûrs chargés en éthanol, les chimpanzés consomment à l’état sauvage l’équivalent de plusieurs verres d’alcool par jour, avance ce mercredi 17 septembre une étude, éclairant sur les possibles raisons de notre penchant pour la boisson.

Menée dans des forêts africaines où ces animaux vivent, l’étude vient appuyer la théorie selon laquelle les hommes auraient hérité des singes cet attrait ainsi que leur capacité à métaboliser l’alcool, pourtant toxique.

Des fruits naturellement alcoolisés

En recueillant des fruits habituellement consommés par les chimpanzés et en mesurant leur taux en éthanol, une forme d’alcool produite par la fermentation de sucres, les chercheurs ont pu établir que nos plus proches cousins étaient quotidiennement exposés à cette substance via leur alimentation.

Et pas qu’un peu. Selon leurs calculs basés sur la teneur mesurée et la quantité très importante de fruits ingérés par jour par ces primates, ils évaluent que leur consommation journalière se situe autour de 14 grammes d’éthanol.

« On peut dire que ça équivaut à une pinte » de bière pour un humain, pesant bien plus lourd qu’un chimpanzé, explique à l’AFP Aleksey Maro, auteur principal de l’étude publiée dans la revue Science Advances.

Sont-ils ivres pour autant? La question reste ouverte, car si cette consommation « n’est pas négligeable », elle « est très diluée et davantage associée à la nourriture », relève ce doctorant en biologie des systèmes à l’université de Californie à Berkeley.

L’hypothèse du « singe ivre »

Quoi qu’il en soit, ces expériences menées en Ouganda et en Côte d’Ivoire ont permis de montrer « pour la première fois que nos plus proches parents vivants consomment quotidiennement des doses d’alcool physiologiquement significatives », poursuit-il.

Un élément qui vient consolider l’hypothèse du « singe ivre » formulée il y a plus de dix ans par un biologiste américain, Robert Dudley, d’ailleurs co-auteur de l’étude.

Selon ce postulat, l’appétence de l’être humain pour l’alcool ainsi que sa capacité à le métaboliser viendraient du fait que nos ancêtres primates étaient quotidiennement exposés à cette substance à travers leur régime frugivore.

« Le nom est mal choisi, on devrait plutôt l’appeler la théorie de la gueule de bois évolutionniste », plaisante Aleksey Maro.

D’abord reçue avec scepticisme par plusieurs experts, cette théorie avait gagné en popularité ces dernières années, plusieurs travaux de recherche ayant montré un intérêt de certains singes pour des substances alcoolisées ou encore pour des fruits très mûrs fortement chargés en éthanol.

Des implications encore floues

Pour Nathaniel Dominy, professeur d’anthropologie et de biologie de l’évolution au Darmouth College, interrogé par l’AFP, l’étude publiée mercredi est « un véritable tour de force » mais soulève de « nombreuses nouvelles questions », notamment sur les conséquences biologiques et comportementales d’une telle exposition chronique chez ces singes.

Ou encore sur le réel attrait de ces primates pour cette substance psychoactive, les chercheurs n’ayant pas pu déterminer si les chimpanzés recherchaient délibérément ou non les fruits à forte teneur en éthanol.

Loin d’être anecdotique, ce sujet devrait continuer à être creusé pour permettre de mieux comprendre les origines de la consommation humaine d’alcool et mieux évaluer ses risques et potentiels bénéfices, plaide Aleksey Maro: « Nous pouvons en apprendre davantage sur nous-mêmes à travers les chimpanzés ».

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Explosion dans le port de Beyrouth en 2020 : le propriétaire du bateau transportant le nitrate d’ammonium arrêté en Bulgarie

Cette photo montre une vue générale du lieu de l’explosion qui a frappé le port de Beyrouth, au Liban, le mercredi 5 août 2020. BILAL HUSSEIN / AP

Le propriétaire du navire lié à l’explosion dans le port de Beyrouth en 2020 a été arrêté le 5 septembre à l’aéroport de Sofia, a annoncé mardi 16 septembre la porte-parole du tribunal de la capitale bulgare.

Igor Grechushkin, citoyen russo-chypriote de 48 ans, est désigné par les autorités libanaises comme le propriétaire du Rhosus, le navire qui transportait le nitrate d’ammonium débarqué dans le port de Beyrouth où il avait explosé, faisant plus de 200 morts et des dégâts énormes.

Après son arrestation, l’homme a comparu devant le tribunal de Sofia le 7 septembre et a été « placé en détention pour une durée maximale de quarante jours », a précisé la porte-parole. Selon la législation bulgare, les autorités qui demandent une extradition ont quarante jours pour envoyer les documents nécessaires au transfert de la personne recherchée.

M. Grechushkin a été interpellé à son arrivée en provenance de Paphos (Chypre), sur la base d’une notice rouge d’Interpol, a confirmé à l’Agence France-Presse une autre source judiciaire bulgare, sous couvert de l’anonymat. Une notice rouge d’Interpol est « une demande aux forces de l’ordre du monde entier de localiser et d’arrêter provisoirement une personne dans l’attente de son extradition » ou « d’une action en justice ».

Le Monde avec AFP

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« Notre capitaine a été attaqué et c’est inacceptable », la grosse colère de Keller contre les ultras strasbourgeois après les banderoles contre Emegha

Recruté par Chelsea, club qui appartient consortium américain BlueCo, comme Strasbourg, le capitaine du Racing Emanuel Emegha a été conspué par des ultras à la Meinau, lors du match contre Le Havre. Inadmissible et inacceptable pour le président du club Marc Keller qui a tenu une conférence de presse musclée ce jeudi.

« Emegha pion de BlueCo après avoir changé de maillot rends ton brassard », ont brandi les ultras strasbourgeois de la Tribune Ouest le week-end dernier lors de la rencontre face au Havre (1-0). En cause, le transfert déjà annoncé d’Emanuel Emegha, capitaine de Strasbourg vers Chelsea (club aussi détenu par le consortium américain BlueCo) dès la saison prochaine. Une annonce qui ne passe pas pour les supporters, qui s’en sont également pris à leur président Marc Keller, par le biais d’une autre banderole. En réponse, le président alsacien a organisé une conférence de presse ce jeudi matin.

« Ça, je ne l’accepterai pas »

Dès le début de la conférence de presse, Marc Keller, remonté et ému, a mis les points sur les i. « J’ai reçu des messages de colère et de déception mais aussi un soutien que je n’aurais pas pu imaginer. Il s’est passé quelque chose que je n’aurais pas imaginé. J’ai vu une minorité de personnes de la tribune Ouest s’attaquer à l’institution. Le projet a été attaqué et notre capitaine, Emanuel Emegha a été attaqué. Ça, je ne l’accepterai pas, c’est inacceptable. Le club a été construit par des valeurs qui ne sont pas celles-ci », a cinglé le président de Strasbourg. « Même si nos relations avec la Tribune Ouest se sont refroidies depuis la vente, ce qu’on n’a vu dimanche ne respecte plus les règles de notre famille, de notre club. On va enclencher un certain nombres de mesures », a annoncé le dirigeant alsacien.

Des mesures annoncées

Ce sur quoi Alain Plet, Directeur général adjoint en charge des opérations a rebondi : « ça comprendra des mesures évolutives qui vont être expliquées aux intéressés et qui vont modifier le cadre qu’on avait depuis 12 ans. Je réserve la primeur aux gens concernés. On les informera aujoud’hui (jeudi) et ça prendra effet demain. Ce sont des ajustements par rapport à ce qu’on faisait avant. On est tellement peiné de voir ce qu’il se passe par rapport à la relation qu’on avait. Il ne faut pas faire d’alamage, quelques personnes ont franchi la ligne rouge ».

Strasbourg reviendra à la Meinau en ouverture de la sixième journée de Ligue 1 pour accueillir Marseille. En attendant, les hommes de Liam Rosenior se déplacent ce samedi pour affronter le Paris FC.

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Manifestations du 18 septembre: 45% de grévistes dans les collèges et lycées, selon le Snes-FSU

Selon le Snes-FSU, principal syndicat de l’enseignement secondaire, 45% des personnels des collèges et lycées ont été comptabilisés comme grévistes lors de la grève du 18 septembre, organisée pour protester contre le projet de budget présenté par le gouvernement.

Le Snes-FSU, premier syndicat du secondaire, a comptabilisé 45% de grévistes dans les collèges et lycées ce jeudi 18 septembre, dans le cadre de la journée de mobilisation destinée à peser sur les choix budgétaires du nouveau Premier ministre, a-t-il annoncé.

« Cette forte mobilisation des personnels du second degré (…) témoigne d’une profonde colère face aux conditions de rentrée, au déclassement salarial et à la mise à mal de l’école publique », a estimé le Snes-FSU dans un communiqué.

« Des établissements sont fermés dans l’académie de Limoges ou Versailles, on compte 60 à 70% de grévistes dans certains établissements et des vies scolaires sont fermées, par exemple dans l’académie d’Aix-Marseille », a-t-il détaillé.

Une mobilisation comparable à celle contre la réforme des retraites

Cette mobilisation est « comparable à celle connue lors de la mobilisation contre la réforme des retraites en 2023« , a-t-il ajouté.

Début 2023, lors de la première journée de mobilisation le 19 janvier, les syndicats avaient recensé jusqu’à 70% d’enseignants grévistes dans le primaire et 65% dans les collèges et lycées. Le ministère de l’Éducation avait lui fait état d’un taux de grévistes chez les enseignants de 42,35% dans le primaire et 34,66% dans le secondaire.

La FSU-Snuipp, premier syndicat du primaire, avait indiqué ce mardi tabler sur un tiers des enseignants du premier degré (écoles maternelles et élémentaires) grévistes ce jeudi. À Paris, ce syndicat avait même fait état de prévisions de plus de 45% de grévistes, avec au moins 90 écoles fermées.

Le ministère de l’Éducation communique habituellement à la mi-journée sur des chiffres de grévistes.

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Une étude prône de réduire drastiquement la place accordée à la voiture pour promouvoir un « système alternatif de mobilité »

Le boulevard périphérique parisien à hauteur de la porte d’Asnières, le 12 septembre 2024. ED JONES/AFP

Malgré l’urgence à décarboner nos déplacements, malgré son coût, malgré les politiques destinées à limiter son usage, la voiture demeure le mode de transport ultradominant en France, avec une part estimée à 80 % des kilomètres parcourus. Dans une étude publiée mardi 16 septembre, le Forum vies mobiles, un think tank financé par la SNCF, se prend à rêver à un « système alternatif de mobilités », où la voiture devrait rendre aux piétons, cyclistes et transports en commun 43 % du réseau routier actuel.

Cette étude part du postulat que la prédominance automobile est davantage subie que voulue par les Français. Ces derniers auraient toutes les raisons du monde − pécuniaires, notamment − de faire autrement, mais ne le peuvent pas, faute d’infrastructures et de services adaptés. Ce « tout voiture » laisse aussi au bord de la route le tiers de Français qui ne conduisent pas et tous ceux qui n’ont pas les moyens de posséder ou d’utiliser un véhicule.

Deuxième postulat, selon les mots de Sylvie Landriève, directrice du Forum vies mobiles, « il existe un défaut de représentation de l’élite : elle réfléchit comme si toute la France n’était composée que de Paris et de la campagne ». Entre la grande ville et la pleine campagne, il y a les zones périurbaines, les communes intermédiaires, les zones rurales, etc. dont les habitants sont de fait dépendants de la voiture.

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François Hollande estime que « le Premier ministre » doit discuter « avec les socialistes »

Le 14/09 à 23h25

Sébastien Lecornu va poursuivre ses consultations ce lundi

Ce direct consacré à l’actualité politique est désormais terminé, merci de l’avoir suivi.

Le Rassemblement national a fait sa rentrée, ce dimanche, au Parc des expositions à Bordeaux. Marine Le Pen et Jordan Bardella ont pris la parole face à 6.000 militants.

François Hollande a donné une interview à Marc Fauvelle, pour BFMTV. Il y a indiqué que le Premier ministre devait discuter avec les socialistes. Il s’est positionné contre une dissolution de l’Assemblée nationale et a proposé de suspendre la réforme des retraites en 2026.

Ce lundi, Sébastien Lecornu poursuivra ses consultations. Il devrait recevoir des organisations patronales et syndicales.

Le 14/09 à 19h15

Emmanuel Macron « a raison de reconnaître l’État palestinien », selon François Hollande

L’ancien président de la République et député de Corrèze affirme qu' »Emmanuel Macron a raison de reconnaître l’État palestinien, même si ça ne changera rien à la situation sur le terrain. Il a raison parce que ça va donner une pression supplémentaire en cas d’accord de paix pour qu’on aille vers la reconnaissance des deux États ».

Il ajoute: « Cette reconnaissance aurait pu avoir lieu plus tôt, d’ailleurs j’aurais pu aller jusque-là. Il s’en est fallu de très peu, à la fin de mon quinquennat. À ce moment le gouvernement israélien était tout près d’aboutir à cette solution, mais il s’y est refusé. »

Le 14/09 à 19h06

François Hollande dénonce le comportement de Donald Trump, qui « a du respect pour les autocrates, mais pas pour les démocrates »

« Donald Trump a du respect pour les autocrates et pas pour les démocrates. Je pense qu’il croit qu’il peut toujours y avoir un deal possible avec Vladimir Poutine », indique François Hollande, qui précise que le président américain se trompe. Il sait « par expérience », qu' »il n’y a pas de deal possible avec Vladimir Poutine sans un rapport de force ».

Il ajoute: « C’est la même chose pour Israël. Israël dépasse toutes les limites, y compris au-delà de ce qu’il se passe à Gaza, en allant frapper des membres du Hamas au Qatar. Il y a une base américaine au Qatar, ce sont des alliés des États-Unis. Où est le protecteur [Donald Trump, NDLR]? Il n’est pas là. On est devant cette situation où l’allié américain, loin d’empêcher les guerres, les perpétue. Loin de punir les autocrates, essaye de discuter avec eux ».

Pour François Hollande, « dans ces conditions, c’est l’Europe qui doit se bâtir différemment du passé ».

Le 14/09 à 18h54

Le Rassemblement national ne fait « pas partie de l’arc républicain », estime François Hollande

« Le Rassemblement national fait partie des groupes qui sont représentés à l’Assemblée nationale […] mais on ne peut pas dire qu’il fait partie de l’arc républicain », estime François Hollande.

Il met notamment en cause « ses valeurs », comme « le principe de la préférence nationale, les discriminations » et évoque « le souvenir de déclarations […] racistes et autrefois antisémites, même s’il y a eu une évolution » là-dessus.

Le 14/09 à 18h47

L’ex-président François Hollande propose de suspendre la réforme des retraites en 2026

Interrogé sur la question de la réforme des retraites, François Hollande propose de « suspendre la réforme pour 2026 » et d’en discuter en 2027 « lors du débat présidentiel ».

Le gouvernement a « dit qu’il n’était pas question de revenir au conclave », qui avait pour but « d’améliorer la prise en compte de la pénibilité », indique François Hollande, qui ajoute: « Je le regrette […] il faut donc trouver une autre solution ».

Le 14/09 à 18h34

François Hollande déclare qu’il « faut un rétablissement des finances publiques »

L’ancien président de la République déclare, sur BFMTV, qu' »il faut un rétablissement des finances publiques. Sans doute pas avec la même ampleur prévue par François Bayrou, pas les 44 milliards ».

« Ça peut être un peu plus que les 22 milliards proposés par le Parti socialiste, notamment si on trouve des recettes supplémentaires. Parmi elles, il y en a deux qui sont des lignes rouges pour le PS: il faut qu’il y ait une contribution pour les grandes fortunes et il est nécessaire que les entreprises contribuent aussi », ajoute-t-il.

Le 14/09 à 18h29

François Hollande estime que « le Premier ministre » doit discuter « avec les Socialistes »

« Il faut que le nouveau Premier ministre discute avec la seule opposition qui est prête à entrer dans cette négociation, en l’occurrence les socialistes », estime François Hollande.

Il précise que « c’est aussi aux Socialistes de faire des propositions, de poser des conditions et de nouer un compromis, à un moment, s’il est possible ».

Le 14/09 à 18h26

François Hollande n’est pas favorable à une dissolution de l’Assemblée nationale

François Hollande se dit « pas favorable » à une dissolution actuellement, dans un entretien diffusé sur BFMTV.

Il estime, par ailleurs, qu' »un président de la République est en position de poursuivre et finir son mandat, il n’a pas à être destitué. Si un gouvernement tombe, un autre le remplace (…) une dissolution peut aussi intervenir », mais il n’y est pas favorable.

Le 14/09 à 18h21

François Hollande indique que la baisse de la note de la France est dûe à « l’instabilité politique »

L’ancien président de la République François Hollande a indiqué, dans un entretien diffusé sur BFMTV ce dimanche, que l’abaissement de la note de la France par l’agence Fitch est dû à « l’instabilité politique ».

« Ce qui est mis en cause , c’est l’instabilité politique. Il y a une incertitude dans les mois qui viennent, sur la capacité de la France à prendre des décisions », a-t-il déclaré.

Selon lui, il « y a maintenant une responsabilité qui pèse sur le nouveau Premier ministre et aussi des groupes d’opposition et notamment le Parti socialiste ».

Le 14/09 à 16h40

Jordan Bardella annonce « un grand référendum sur la politique migratoire »

« L’une de nos premières décisions sera d’organiser un grand référendum sur la politique migratoire », affirme Jordan Bardella.

Il estime que les Français « pourront reprendre en main leur destin » et « protéger leur identité nationale » avec ce référendum.

Le 14/09 à 16h38

D’après Jordan Bardella, le mandat d’Emmanuel Macron a été teinté de « bien trop de mensonges et faux semblants »

« Il y a eu, durant huit ans, bien trop de mensonges, de faux-semblants, de mépris, parfois de dissimulations », dénonce Jordan Bardella.

« On ne rétablira la confiance que si les Français ont la certitude d’avoir à la tête de l’Etat des dirigeants qui les aiment, les respectent », ajoute-t-il.

Le 14/09 à 16h33

« La contribution française au budget européen sera réduite », assure Jordan Bardella

A l’échelle européenne, Jordan Bardella assure que « la contribution française au budget européen sera réduite ».

« Nous rendrons leur argent aux Français et croyez-moi, nous feront respecter la voix de la France », dit-il.

Le 14/09 à 16h23

Jordan Bardella assure que Sébastien Lecornu « tombera » s’il ne rompt pas avec la politique du président

« Si le nouveau Premier ministre ne rompt pas avec la politique d’Emmanuel Macron, alors tout naturellement il tombera », affirme le président du Rassemblement national.

Il assure que son parti « aura le courage de réduire le train de vie de l’Etat (…) de faire le ménage dans chaque dépense inutile pour qu’aucun français ne se demande où passe son argent ».

Le 14/09 à 16h18

D’après Jordan Bardella, « les Français n’ont plus confiance dans ceux qui les ont gouvernés »

« Les Français n’ont plus confiance dans ceux qui les ont gouvernés », avance Jordan Bardella.

« Les Macronistes ont rapetissé le plus grand pays du monde, ils ont étouffé ses atouts, bailloné ses talents, méprisé ses forces vives », dit-il, avant de dénoncer un monde où « être honnête est moins valorisé que profiter du système ».

Le 14/09 à 16h13

Jordan Bardella avance n’avoir « aucun goût pour le désordre et l’instabilité »

« Contrairement aux accusations grotesques des macronistes, à la tentation du chaos de la gauche, nous n’avons aucun goût pour le désordre et aucun penchant pour l’instabilité », avance le président du RN.

« Les seuls responsables de l’instabilité politique ne sont pas ceux qui défendent la France, ce sont ceux qui la trahissent », ajoute-t-il.

Le 14/09 à 16h10

« Le RN n’est pas à vendre au macroniste le plus offrant », affirme Jordan Bardella

Le Rassemblement national n’est pas à vendre au macroniste le pus offrant », déclaré le président du RN.

« A ceux qui ne l’auraient pas encore compris, nous ne sommes pas comme eux. Notre seule boussole est l’intérêt supérieur de la nation et la défense du peuple français », indique-t-il.

Le 14/09 à 16h09

Jordan Bardella estime que « nous sommes à un tournant de notre démocratie »

« Nous sommes à un tournant de notre démocratie », annonce Jordan Bardella.

A la suite du vote de confiance initié par François Bayrou, il affirme « qu’aucun marchandage, aucun calcul politicien ou aucun arrangement de couloir » n’aurait fait la différence.

Le 14/09 à 15h56

Marine Le Pen dénonce « une stagnation insupportable » de la France

Marine Le Pen décrit « une stagnation insupportable qui s’appelle en politique le déclin ».

Elle cite « les usines qui ferment, les hôpitaux que ne fonctionnent plus », ainsi que « les banlieues gangrénées par les mafias ».

Le 14/09 à 15h54

« La priorité nationale, nous le ferons », assure Marine Le Pen

« La priorité nationale, nous le ferons », martèle Marine Le Pen.

« Pour le logement et pour accéder aux aides sociales, dans la commande publique pour nos entreprises, pour la réduction drastique des flux migratoires réguliers et irréguliers » , énumère-t-elle.

Le 14/09 à 15h44

D’après Marine Le Pen, Emmanuel Macron est « usé jusqu’à la corde »

Lors de son discours organisé à Bordeaux, Marine Le Pen affirme que le pouvoir d’Emmanuel Macron « ne se maintient plus que par des tours de foire ».

« Il est usé jusqu’à la corne. C’est un pouvoir sans souffle et sans vision », ajoute-t-elle.

Le 14/09 à 15h40

D’après Marine Le Pen, « nous avons besoin d’un retour aux urnes »

Marine Le Pen, présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée, appelle à « un retour aux urnes » après « huit années interminables de mandat d’Emmanuel Macron ».

Elle affirme que « la seule solution à court terme est de dissoudre l’Assemblée nationale » et que « la France ne sera jamais mieux servie que par nous-mêmes ».

Le 14/09 à 15h34

Marine Le Pen dénonce une France « paralysée » par deux forces « dont le projet est le blocage »

« La France se retrouve paralysée politiquement et institutionnellement par deux forces dont le projet est le blocage », déclare Marine Le Pen.

Elle évoque d’abord le président de la République, en tentant une métaphore rugbystique: « le bloc macroniste se couche sur le ballon pour empêcher la partie », dit-elle.

Et décrit ensuite Les Insoumis, « ces che guevaristes de carnaval qui cherchent à bloquer le pays en faisant brûler des poubelles par des petits bourgeois encagoulés ».

Le 14/09 à 15h30

Marine Le Pen cite « le déclassement de la France » lors de son premier discours de rentrée

A Bordeaux (Gironde), à l’occasion de son discours marquant sa rentrée politique, Marine Le Pen évoque « le déclassement de la France ».

« On se demande comme Emmanuel Macron peut conserver le moindre crédit auprès de quiconque », dit-elle, rappelant « qu’il n’est pas majoritaire, ni à l’assemblée, ni dans l’opinion ».

Le 14/09 à 14h54

Bruno Retailleau pose « deux limites » pour la participation des LR au gouvernement

Lors d’un rassemblement militant dans le Bas-Rhin, Bruno Retailleau a déclaré poser « deux limites » pour que Les Républicains participent au gouvernement de Sébastien Lecornu.

« La première, c’est l’intérêt supérieur de la nation, de la France, et l’autre, ce sont nos convictions », a-t-il déclaré.

Il précise: « Si demain une politique devait être faite pour satisfaire la gauche, si demain on devait instituer la taxe Zucman (…) avec cette taxe-là, nos propres entreprises pourraient s’enfuir, on pourrait assister à une délocalisation. Donc sans doute dialoguer, mais pas au mépris des intérêts supérieurs de notre pays ».

Le 14/09 à 14h35

Manuel Bompard déclare ne « pas avoir l’intention de négocier » avec Sébastien Lecornu

Interrogé par BFM Politique sur sa réponse face à une invitation à Matignon, Manuel Bompard a assuré que les négociations ne seront pas envisageables.

« Si monsieur Lecornu nous convie à Matignon avant le vote de confiance ou avant le vote de censure que nous allons proposer, je n’ai pas l’intention d’aller négocier avec lui », di-il.

Il ajoute: « Je considère que La France Insoumise s’inscrit dans l’opposition à la politique de monsieur Lecornu ».

Le 14/09 à 13h18

Pour Sébastien Lecornu, « l’État doit être exemplaire sur sa gestion de l’argent du contribuable »

Le nouveau Premier ministre a annoncé la création d’une nouvelle mission « pour faire le ménage dans les comités, délégations et offices étatiques ».

Sébastien Lecornu martèle que l’État « doit être exemplaire sur sa gestion de l’argent du contribuable ». Il va confier cette mission, qui sera sous son autorité directe, à des hauts fonctionnaires « de sensibilités politiques différentes, en retraite et donc libres de toute attache ».

Le 14/09 à 13h05

« Il n’a rien à faire là »: Marine Tondelier dénonce de nouveau le choix Lecornu

La secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, invitée sur RTL, a de nouveau critiqué le choix de Sébastien Lecornu comme nouveau Premier ministre.

« Pour nous les choses sont claires, Sébastien Lecornu n’a rien à faire là », a-t-elle déclaré, ajoutant néanmoins: « Nous irons le rencontrer, après, de là à engager des négociations, nous n’en sommes pas là. »

Le 14/09 à 12h58

Pour Clémence Guetté, « le pire du budget Bayrou va être relancé par Bayrou »

La députée (LFI) Clémence Guetté a déploré la « continuité totale d’Emmanuel Macron » que représente Sébastien Lecornu, nouveau Premier ministre, sur franceinfo.

Ainsi, « le pire du budget Bayrou va être relancé par Bayrou », souligne-t-elle en dénonçant également le « totem » de la suppression des deux jours fériés « pour nous faire oublier le reste ».

Le 14/09 à 12h55

Prisca Thévenot estime que la gauche est aussi « en capacité de faire rentrer le pays dans la stabilité »

La députée (Ensemble) Prisca Thévenot a affirmé que « la gauche est aussi en capacité de faire rentrer le pays dans la stabilité », excluant « la gauche mélenchonisée » de l’équation, dans un entretien accordé à France 3.

« nous assumons avec Gabriel Attal d’être une plateforme de compromis politique », a-t-elle ajouté.

Le 14/09 à 12h40

Manuel Bompard appelle à la mobilisation le 18 septembre prochain

Manuel Bompard appelle les Français à se mobiliser le 18 septembre prochain pour dénoncer la situation politique actuelle.

« Descendez dans la rue, mobilisez-vous, car sinon si la chute de François Bayrou ne se matérialisera pas en changement politique », indique-t-il.

Le 14/09 à 12h32

Manuel Bompard se dit « évidemment favorable » à la fin des privilèges pour les anciens ministres

Désormais Premier ministre, Sébastien Lecornu, a annoncé vouloir prendre une mesure pour mettre fin aux privilèges qui sont encore accordés à certains anciens membres du gouvernement.

Interrogé au micro de BFM Politique, Manuel Bompard indique être « évidemment favorable à cette mesure ».

Le 14/09 à 12h20

Manuel Bompard appelle Sébastien Lecornu à « solliciter un vote de confiance »

Invité de BFM Politique, le député LFI, Manuel Bompard, juge que Sébastien Lecornu est « illégitime » en tant que Premier ministre.

« Je demande à Monsieur Lecornu faire comme Monsieur Bayrou et de demander un vote de confiance à l’Assemblée nationale (…) s’il ne le veut pas, et bien avec mes collègues parlementaires, nous déposerons une motion de censure », déclare-t-il.

Le 14/09 à 12h16

Manuel Bompard estime « pas surprenant » le retrait de la suppression des jours fériés décidé par Sébastien Lecornu

Au micro de BFMTV, Manuel Bompard, coordinateur de la France Insoumise, indique que le retrait de la mesure de supression des jours fériés est « symobilique et pas surprenant ».

Le 14/09 à 11h19

Sébastien Chenu estime que « Sébastien Lecornu c’est Emmanuel Macron »

Interrogé par BFMTV sur l’impopularité du nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, le vice-président du RN, Sébastien Chenu, estime qu’elle était prévisible.

« Sébastien Lecornu, c’est Emmanuel Macron », cingle-t-il. « Les Français ne sont pas dupes, ils ont compris qu’Emmanuel Macron a nommé, le premier soldat du macronisme », ajoute-t-il.

Le 14/09 à 10h29

Yaël Braun-Pivet « prend note » du souhait de Sébastien Lecornu de « travailler plus étroitement avec le Parlement »

La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, indique sur LCI « prendre note » du souhait de Sébastien Lecornu, nouveau Premier ministre, de travailler « plus étroitement avec le Parlement ».

« Je prends note qu’il a le souhait de travailler beaucoup plus étroitement avec le Parlement (…) Parfois les ministres ne travaillaient pas en amont les textes avec le Parlement », assure-t-elle.

Le 14/09 à 10h24

Yaël Braun-Pivet « se satisfait » du renoncement de Sébastien Lecornu à supprimer des jours fériés

Invitée de LCI, ce dimanche 14 septembre, la présidente de l’Assemblée nationale réagit au renoncement de Sébastien Lecornu à supprimer des jours fériés.

« Cela fait des semaines que je demandais l’abandon de cette mesure donc je m’en satisfais », indique-t-elle

Le 14/09 à 10h08

Le député PS, Philippe Brun assure que « aucun socialiste ne participera au gouvernement » de Sébastien Lecornu

Invité de franceinfo, ce dimanche 14 septembre, Philippe Brun indique qu' »aucun socialiste ne participera au gouvernement » de Sébastien Lecornu.

« Nous ne voulons pas participer à un gouvernement macroniste », déclare-t-il.

Le 14/09 à 09h53

Sébastien Lecornu souhaite « ne pas être contraint » d’utiliser le 49.3 pour faire passer le budget

Dans les colonnes de Sud-Ouest, le nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu, a assuré ne pas souhaiter « être contraint d’utiliser » l’article 49.3 pour faire passer le budget au Parlement.

« Si c’était le cas, ce ne serait pas uniquement l’échec du gouvernement, ce serait un échec pour tous, mais la France doit avoir un budget », indique-t-il.

Le 14/09 à 09h32

Marine Le Pen prévient Sébastien Lecornu que « les mêmes causes entraîneront les mêmes effets »

Dans un entretien accordé à Sud-Ouest, Marine Le Pen prévient le nouveau Premier ministre qu’il devra faire des compromis s’il veut rester à Matignon.

« Si celui qui n’est autre que le fils spirituel d’Emmanuel Macron ne rompt pas avec sa politique, alors les mêmes causes entraîneront les mêmes effets puisqu’à l’inverse du PS, le Rassemblement national n’est pas prêt à se vendre pour un plat de lentilles », déclare-t-elle.

Le 14/09 à 09h12

Sébastien Lecornu annonce la présentation prochaine au Parlement « d’un grand acte de décentralisation »

Le nouveau Premier ministre indique, ce dimanche 14 septembre, qu’un « grand acte de décentralisation, de clarification et de liberté locale » du service public allait être présenté au Parlement.

« Pour réduire la dilution des responsabilités et le millefeuille administratif payé par le contribuable, sans jamais tomber dans la critique facile de nos fonctionnaires », écrit-il sur X.

Le 14/09 à 08h12

Michel Barnier conseille à Sébastien Lecornu de « ne pas faire confiance » au RN

L’ancien Premier ministre LR Michel Barnier a invité dimanche le nouveau chef du gouvernement Sébastien Lecornu à « ne pas faire confiance » au Rassemblement national et à chercher un « accord de non-censure » avec les socialistes, dans un entretien accordé à Radio J.

« J’ai des raisons de ne pas avoir confiance dans le Rassemblement national, dans ce qu’il peut promettre ou ne pas promettre », a affirmé le Savoyard, convaincu que le vote du RN « sera totalement opportuniste comme il l’a été lorsque je suis tombé ».

Le 14/09 à 07h16

Manuel Bompard invité de BFM Politique, ce dimanche

Le coordinateur de la France Insoumise, Manuel Bompard, est l’invité, ce samedi 14 septembre, de BFM Politique.

Le 14/09 à 07h13

Marine Le Pen prend la parole à Bordeaux lors des universités d’été du RN

À Bordeaux, les universités d’été du RN continuent. Ce dimanche, la tête de file du parti va prendre la parole lors d’un discours face à ses militants. Jordan Bardella est aussi attendu à la tribune.

Le 14/09 à 07h10

« Faire de l’anti-Bayrou? »: comment Sébastien Lecornu va tenter de durer à Matignon

Fraîchement nommé Premier ministre, l’ancien ministre des Armées négocie en coulisses pour parvenir à obtenir la bienveillance des socialistes et du Rassemblement national.

En nommant ce fidèle d’entre les fidèles, Emmanuel Macron, très fragilisé politiquement, abat sa dernière carte.

>> Retrouvez notre article sur comment Sébastien Lecornu va tenter de durer à Matignon

Le 14/09 à 07h07

Sébastien Lecornu ne bénéficie que de 16% d’opinion favorable, selon un sondage

Bonjour à tous et bienvenue sur ce direct consacré à l’actualité politique de ce dimanche 14 septembre.

Cinq jours après sa nomination à Matignon, Sébastien Lecornu est déjà en difficulté en matière de popularité.

Selon une étude Ipsos BVA pour La Tribune Dimanche et Cesi, le nouveau Premier ministre bénéficie de seulement 16% d’opinion favorable.

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