Les syndicats agricoles ont choisi leur date de mobilisation: ça sera le 26 septembre{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
18 septembre: « Le mouvement social gagnera par le fait qu’il soit puissant, fort et solidaire mais pas violent », souligne Sandrine Rousseau, députée Écologiste et Social de Paris
Taxe Zucman: « Il y a eu un enrichissement éhonté des plus riches, il est normal qu’ils redonnent une partie de cette richesse à la société », affirme Sandrine Rousseau, députée Écologiste et Social de Paris
Une boutique de l’enseigne de prêt-à-porter Pimkie, à Villeneuve-d’Ascq (Nord), le 8 janvier 2018. DENIS CHARLET / AFP
Pimkie franchit le Rubicon. L’enseigne française d’habillement a annoncé, mardi 16 septembre, avoir monté un joint-venture avec Shein pour fabriquer et vendre des collections sur son site. « Notre objectif est de réaliser 100 millions d’euros de chiffre d’affaires avec Shein d’ici à 2028, soit un tiers de notre activité », a fait valoir son directeur général et actionnaire, Salih Halassi, lors d’une conférence de presse organisée par Shein.
Le distributeur de mode féminine qui, jusqu’en 2023, était détenu par la famille Mulliez, propriétaire d’Auchan, Decathlon et Leroy-Merlin, avant sa cession à l’entrepreneur Salih Halassi, est le premier acteur tricolore à céder aux sirènes de Shein. Connu pour ses petits prix, son offre pléthorique et sa fabrication en quelques jours auprès de milliers de fournisseurs en Chine, le site d’origine chinoise est en train de monter une plateforme de vente, à la manière d’Amazon, pour y agréger des marques et leur faire payer l’accès à son audience mondiale. En Europe, Shein compte plus de 145 millions de clients actifs par mois. Mais rares sont encore les marques à avoir signé avec le site, bête noire des enseignes d’habillement depuis son arrivée dans l’Hexagone en 2018.
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Drones russes en Roumanie: la tension monte aux portes de l’Europe{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Guerre en Ukraine: la Roumanie annonce qu’un drone russe a pénétré son espace aérien, moins de quatre jours après une intrusion dans le ciel en Pologne
Le Théâtre Nanterre-Amandiers, dans les Hauts-de-Seine, en juin 2025. GÉRALDINE ARESTEANU
Annoncée pour les deux derniers week-ends d’octobre, la réouverture du Théâtre Nanterre-Amandiers, dans les Hauts-de-Seine, après quatre ans de travaux, était attendue de pied ferme. Fausse joie : il va encore falloir patienter avant de franchir les portes d’une institution refaite de pied en cap sous la houlette des architectes de l’agence Snohetta (conceptrice de l’opéra d’Oslo ou encore du siège du Groupe Le Monde).
Samedi 13 septembre, Christophe Rauck, directeur depuis janvier 2021 du Centre dramatique national (CDN), reçoit un appel du maire de Nanterre (divers gauche). Raphaël Adam préfère différer l’ouverture pour ne pas exposer le théâtre à un avis défavorable de la commission de sécurité. « Elle devait passer le 20 octobre pour une réouverture le 25 octobre, le maire a jugé que c’était trop risqué étant donné l’état d’un chantier qui n’est pas complètement abouti. » Christophe Rauck pensait pouvoir inaugurer une ou deux des trois salles dont dispose ce théâtre flambant neuf. Impossible : c’est sur l’entièreté du bâtiment que la commission doit donner son aval.
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L’ancien président de la République François Hollande plaide pour un changement de politique de la part du nouveau Premier ministre, Sébastien Lecornu. En revanche, pour lui, il est « hors de question » que des ministres socialistes rejoignent son gouvernement.
Après sa nomination en tant que Premier ministre mardi 9 septembre, Sébastien Lecornu doit désormais former un gouvernement. Pour l’ancien président de la République François Hollande, il est « hors de question » que des ministres socialistes rejoignent l’exécutif.
Dans ce cas, « ça serait une logique de coalition » et là, ça n’est pas le cas. Mais pour François Hollande, ce qui compte surtout, c’est ce que fera la nouvelle équipe gouvernementale.
« Il y a une équipe gouvernementale, elle sera certainement très proche de celle qui existait avec François Bayrou, et ça n’est pas une question de personne mais une question de contenu. », estime-t-il lors d’un entretien accordé à BFMTV, diffusé ce dimanche 14 septembre.
« Est-ce que la politique va changer ou va rester la même? Si elle reste la même, il est sûr qu’on aura les mêmes causes qui produiront les mêmes effets », poursuit-il.
Les Français « doivent avoir de la stabilité »
Ce que demande François Hollande, c’est un « changement de politique ». Il veut « que les Français soient préservés dans cette période. Ils doivent avoir de la stabilité, donc la capacité à consommer, à investir, à entreprendre […] il faut les préserver au sens qu’il faut qu’ils aient un pouvoir d’achat qui soit garanti ».
Pour lui, il faut aussi qu’il « puisse y avoir des négociations qui évitent que ce soit les petits salaires, les petites retraites et les assurés sociaux qui fassent l’effort ».
Par ailleurs, l’ancien président de la République appelle Sébastien Lecornu à échanger « avec la seule opposition qui est prête à entrer dans cette négociation, en l’occurrence les socialistes », qui doivent, eux aussi, « faire des propositions, poser des conditions et nouer un compromis, à un moment, s’il est possible ».
Sulaiman A. comparaît devant le tribunal régional supérieur de Stuttgart-Stammheim, en l’Allemagne, le 16 septembre 2025. THOMAS KIENZLE/VIA REUTERS
C’est le premier attentat d’une série qui a polarisé la société allemande : l’auteur afghan de l’attaque au couteau de Mannheim, qui visait un rassemblement anti-islam et avait provoqué la mort d’un policier fin mai 2024, a été condamné mardi 16 septembre à la prison à perpétuité. Le tribunal de Stuttgart a assorti la peine de prison à vie d’une reconnaissance de la gravité particulière de la culpabilité. Ce qui exclut quasiment une libération anticipée de Sulaiman A., 26 ans, considéré comme un partisan du groupe djihadiste Etat islamique (EI).
Le tribunal, qui l’a reconnu coupable d’un meurtre et de quatre tentatives de meurtre, a ainsi suivi les réquisitions du parquet. Le condamné a voulu causer « le plus grand nombre de victimes mortelles possible », a déclaré le juge Herbert Anderer. Le jeune Afghan a reconnu les faits et fini par présenter, au bout du procès, ses excuses aux proches du policier tué. Il a expliqué s’être radicalisé au cours d’échanges sur les réseaux sociaux et a imputé sa radicalisation à l’offensive israélienne contre le Hamas à Gaza.
Le 31 mai 2024 à Mannheim, dans l’ouest du pays, sur la place du marché, il s’en était pris à plusieurs membres d’une organisation anti-islam, le mouvement citoyen Pax Europa (BPE). Il a d’abord poignardé l’orateur principal, Michael Stürzenberger, déjà condamné pour incitation à la haine raciale, qui a subi au total six coups de couteau. Sulaiman A. a ensuite donné des coups de couteau aux personnes venues en aide à M. Stürzenberger, avant de s’en prendre à un policier de 29 ans. Une vidéo le montrant en train de frapper l’agent à la tête avait largement circulé sur les réseaux sociaux, accentuant l’émotion. La victime était morte deux jours plus tard à l’hôpital.
Le juge Anderer s’est adressé aux parents du policier, soulignant qu’il était mort pour « l’Etat de droit, aussi horrible cela soit-il ». Selon les enquêteurs, Sulaiman A. aurait décidé au printemps 2024 de commettre un attentat en Allemagne contre des « infidèles ». Il souhaitait lui-même mourir en « martyr » à la fin de l’attaque « pour entrer au paradis », a déclaré le juge Anderer.
Plusieurs violences meurtrières impliquant des ressortissants étrangers
Le condamné vivait jusque-là avec sa femme et ses deux enfants dans une petite ville de la région. Selon le tribunal, il avait fui l’Afghanistan pour l’Allemagne en 2013, comme mineur non accompagné. Sa demande d’asile avait été rejetée, mais il avait pu rester en raison d’une interdiction d’expulsion vers son pays en guerre.
Au cours de la campagne, l’Allemagne a connu d’autres violences meurtrières impliquant des ressortissants étrangers qui ont enflammé le débat sur la politique d’asile et la sécurité. Mi-février, l’ouverture du procès de Sulaiman A. avait d’ailleurs coïncidé avec une attaque à la voiture-bélier à Munich, dont l’auteur présumé est également afghan. Elle a fait deux morts, une petite fille de 2 ans et sa mère de 37 ans, et 44 blessés graves. Peu avant, fin janvier, un Afghan souffrant de troubles psychiatriques s’en est pris à un groupe d’enfants dans un parc à Aschaffenbourg (Sud), poignardant à mort deux personnes, dont un garçon de deux ans.
La première économie européenne a accueilli plus d’un million de réfugiés, dont de très nombreux Syriens et Afghans, lors de la crise migratoire de 2015-2016. Mais elle a aujourd’hui définitivement tourné cette page associée à l’ex-chancelière Angela Merkel (2005-2021). Pour enrayer l’ascension de l’AfD, le chancelier conservateur, Friedrich Merz, a opéré un nouveau tour de vis sur la politique migratoire, instaurant notamment le refoulement des demandeurs d’asile aux frontières. En juillet, sa coalition a organisé le rapatriement de 81 condamnés afghans dans leur pays, malgré la présence au pouvoir des talibans.
Pour Sandrine Rousseau, députée (Écologiste et social) de Paris, « Emmanuel Macron est un forcené dans l’Élysée »{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Nouveau Premier ministre: Sébastien Lecornu discute actuellement avec Bruno Retailleau, avant d’aller au ministère de l’Intérieur pour une cellule de crise interministérielle
Vote de confiance: « La crise que nous traversons est une catastrophe pour l’équilibre international », estime Bernard Guetta, député européen Renaissance
Guerre en Ukraine: « Nous voyons comme une des garanties de sécurité notre adhésion à l’Union européenne », indique Volodymyr Zelensky, président de l’Ukraine
La députée (Val-de-Marne) Mathilde Panot, présidente de La France insoumise et du groupe parlementaire LFI-NFP, à l’Assemblée nationale, le 8 septembre 2025. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »
La France insoumise (LFI) a refusé l’invitation du nouveau premier ministre, Sébastien Lecornu, qui reçoit mercredi à Matignon les responsables de gauche dans le cadre de ses consultations en vue de préparer le budget 2026, a déclaré mardi 16 septembre la cheffe des députés LFI, Mathilde Panot. Cette dernière a précisé avoir reçu un coup de téléphone lundi soir de Matignon pour inviter LFI mercredi matin, et affirmé que son groupe ne s’y rendrait pas, comme cela avait déjà été le cas lorsque François Bayrou avait voulu les consulter.
« Les “insoumis” n’ont absolument rien à négocier avec les macronistes (…), qui n’ont aucune légitimité pour continuer une politique dont personne ne veut », a affirmé la présidente des députés LFI en conférence de presse. Elle a fustigé un coup de fil « tardif, vers 21 heures », déplorant un « sens du timing (…) extrêmement méprisant ».
Le RN également reçu mercredi
Depuis sa nomination le 9 septembre, Sébastien Lecornu a commencé ses consultations avec d’abord les partis de son « socle commun » (bloc central et Les Républicains), puis les syndicats et organisations patronales. Mardi après-midi, il reçoit des représentants de la galaxie centriste : le groupe parlementaire Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (LIOT) à 16 heures, le Parti radical à 17 h 15, le Parti radical de gauche à 18 h 15 et le parti Utiles (proche de LIOT) à 19 h 30.
Mercredi, les responsables du Parti socialiste, des Ecologistes et du Parti communiste français seront reçus dans la matinée, ainsi que le Rassemblement national de Jordan Bardella et Place publique, la formation sociale-démocrate de Raphaël Glucksmann, a fait savoir Matignon, sans préciser les horaires de ces entretiens. Viendra enfin, jeudi, le tour d’Eric Ciotti et de son Union des droites pour la République.
Manifestation anti-immigration à Londres: pour Thierry Mariani, député RN, « il y a un problème d’immigration en Europe »{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Manifestation anti-immigration à Londres: « Il faut s’opposer à la submersion migratoire pour préserver notre identité », affirme Stanislas Rigault, ancien président de Génération Z
Manifestation anti-immigration: « La meilleure politique d’intégration, c’est de réduire les flux d’entrée », estime Guillaume Larrivé, vice-président des Républicains
Manifestation anti-immigration: « La Grande-Bretagne a fait n’importe quoi en matière de maîtrise des flux migratoires », estime Patrick Stefanini, représentant spécial du ministre de l’Intérieur
Immigration: « L’Europe a un problème avec l’intégration », estime Thierry Breton, ancien Commissaire européen au marché intérieur, ancien ministre de l’Économie
Manifestation anti-immigration: « Il faut qu’il fasse attention Elon Musk, il joue avec le feu », estime Thierry Breton, ancien Commissaire européen au marché intérieur
Manifestation anti-immigration à Londres: « On est tout à fait favorables à ce même genre de manifestation » en France, indique Hilaire Bouyé, président de Génération Zemmour
Manifestation anti-immigration à Londres: « Une augmentation du nombre d’immigrés dans la population en 20 ans, qui est passée de 8% à 18% », souligne Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration
Manifestation anti-immigration à Londres: pour Pouria Amirshahi, député (Écologiste et social), « les manifestants ont répondu à une pulsion identitaire du moment qu’il ne faut pas encourager »
Tour d’Espagne arrêté par des manifestations pro-Palestine: « Arrêtons de mélanger le sport et la politique », fustige Thierry Mariani, député RN{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>
Mobilisation du 18 septembre: « Il faut qu’il y ait une mobilisation populaire très forte pour obtenir un changement de politique », explique Manuel Bompard, coordinateur national de LFI
Mobilisation du 18 septembre: « Pour se faire entendre, il faut que cette mobilisation soit pacifique », indique Manuel Bompard, coordinateur national de LFI
FORUM BFMTV – Immigration en France: « Si on veut que notre pays soit puissant, il faut qu’il y ait des étudiants étrangers », explique Philippe Brun, député (PS)
FORUM BFMTV – Insécurité: « Il n’y a plus personne pour nous protéger parce que eux aussi [les policiers] sont sujets à l’insécurité », affirme Elisa Ruffier, étudiante en droit
FORUM BFMTV – Insécurité: « On fait un métier où on est confrontés à la violence », explique Grégory Joron, secrétaire général du syndicat de police Un1té
FORUM BFMTV – Mobilisation du 18 septembre: Philippe Brun, député (PS), souhaite « nationaliser l’électricité, un bien qui ne doit pas faire l’objet de marchandages »