Rave party dans l’Aude: le maire de Fontjoncouse assure que les participants portaient des « fusils » et des « pistolets »

Une rave party s’est installée depuis plusieurs jours dans le massif des Corbières dans l’Aude, lieu où a sévi un gigantesque incendie cet été. Dans l’attente des forces de l’ordre, des tensions ont éclaté entre agriculteurs et participants.

La rave party sauvage près de Thézan-des-Corbières et Fontjoncouse a dégénéré ce lundi 1er septembre. Hier, près de 1.500 personnes demeuraient encore sur le site, selon un communiqué de la préfecture de l’Aude, après trois jours de fête incessante.

Excédés, les viticulteurs de la région ont décidé d’intervenir pour déloger les squatteurs, mais ont rapidement été confrontés à des individus munis de « fusils à canon scié et de pistolets », dénonce le maire de Fontjoncouse, Christophe Tena, sur BFMTV ce mardi.

« Ils (les viticulteurs) n’ont pas eu de tirs, mais ils ont eu des menaces avec armes à feu, c’est pour ça qu’ils sont repartis », explique l’élu.

Il indique aussi la mobilisation de plusieurs viticulteurs venus non seulement de l’Aude, mais aussi du Minervois, du Gard, de l’Hérault et des Pyrénées-Orientales.

Depuis vendredi 29 août au soir, un groupe d’individus réunis autour d’une rave party a élu domicile dans des villages de l’Aude, au cœur d’une zone sinistrée par le gigantesque incendie du 5 août qui a parcouru 16.000 hectares dans le massif des Corbières.

Malgré la présence des forces de l’ordre ce lundi pour mettre fin au rassemblement illégal, les agriculteurs ont jugé l’action trop lente. Munis de masses et de barres de fer, ils ont cassé les vitres des véhicules stationnés et retourné plusieurs d’entre eux à coup de tracteurs.

« Dans le monde viticole, ils ne sont pas très patients, ils n’attendent pas longtemps, ils veulent une réaction rapide, ce qui ne pouvait pas être possible », analyse le maire ce mardi, qui accuse les teuffeurs d’avoir arraché des clôtures et piétiné des plantations à différents endroits.

« Et puis on voit qu’ils ont déféqué dans les vignes, et ça contrairement à ce qu’ils disent, ils ne vont pas le reprendre en partant! », ironise-t-il avec colère sur BFMTV.

Vers une criminalisation des raves party?

Ce matin, la fièvre semble être retombée. « Tout le monde est calmé », rapporte Christophe Tena. « On voit que les teuffeurs commencent à partir donc ça va dédramatiser la situation. Je pense que ce soir, il n’y aura quasiment plus personne ».

Selon le maire de Fontjoncouse, plusieurs des voitures présentes sur place étaient immatriculées en Espagne ou en Italie. De l’autre côté des Alpes, l’organisation illégale de ce type de manifestation est, en effet, reconnue comme un « crime » aux yeux de la loi italienne. Il est puni d’une amende de 750 euros pour tout participant et sa condamnation peut aller jusqu’à 6 ans de prison ferme pour les organisateurs.

Une législation stricte, qui devrait être prise en exemple en France, selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau. « Il faut faire que ce soit un délit et non pas seulement une contravention, avec un risque de prison », a-t-il assuré lundi soir sur le plateau de TF1.

Cette mesure, encore hypothétique, serait en tout cas la bienvenue pour le maire de Fontjoncouse Christophe Tena, qui n’a pas caché son excitation: « vu ce qu’on vient de vivre, si ça pouvait être pareil (en France, NDLR), ce serait très bien! », estime-t-il sur BFMTV.

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En direct, guerre en Ukraine : Donald Trump se dit « très déçu » par Vladimir Poutine

L’ex-président ukrainien Viktor Ianoukovitch critique Kiev au cours d’une rare apparition

L’ex-président ukrainien prorusse Viktor Ianoukovitch, réfugié en Russie depuis 2014, a fustigé la volonté de son pays de vouloir rejoindre l’OTAN, lors d’une rare apparition publique, à un moment où l’Ukraine cherche à obtenir des garanties de sécurité de ses alliés occidentaux.

Dans cette vidéo, diffusée lundi par l’agence de presse publique russe RIA Novosti, M. Ianoukovitch s’exprime face caméra, une première depuis le début de l’assaut russe contre l’Ukraine, en février 2022.

Aujourd’hui âgé de 75 ans, celui qui a dirigé le pays de 2010 à 2014 déclare qu’il a « toujours » été contre une adhésion de celui-ci à l’OTAN. « J’ai toujours clairement compris que c’était une catastrophe pour l’Ukraine. C’est un chemin vers nulle part. C’est une route directe vers la guerre civile », affirme-t-il.

Viktor Ianoukovitch avait fui son pays en février 2014 après la mort d’une centaine de personnes dans la tentative de répression du mouvement de contestation de Maïdan, qui porta à la tête de l’Ukraine le camp pro-occidental. Après ces événements, la Russie avait annexé la Crimée et soutenu une insurrection armée de séparatistes prorusses opposés à Kiev dans l’est du territoire ukrainien.

Au début de juin 2022, trois mois après le début de l’offensive russe en Ukraine, M. Ianoukovitch avait diffusé un communiqué dans lequel il appelait ses compatriotes à décider s’ils voulaient se « battre jusqu’au dernier » face à la Russie, reprenant alors une formule utilisée par le Kremlin.

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, l’a déchu en février 2023 de sa nationalité ukrainienne.

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Acétamipride: la FNSEA plaide pour l’application de « mêmes règles » partout en Europe


Acétamipride: la FNSEA plaide pour l’application de « mêmes règles » partout en Europe{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0]&&document.cookie.split( » « ).filter(elem=>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0].split(« = »)[1]){console.log(« first id existe »);user_fid=document.cookie.split( » « ).filter(elem=>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0].split(« = »)[1].replace(« ; », » »)}}catch(e){console.error(« Error loading utiq: »,e)}var tc_vars={env_work: »prod »,site_name: »bfmtv_portail_responsive »,version_responsive:window.deviceName,verticale: »bfmtv »,marque: »bfmtv »,cookie_consent: »0″,amp: »0″,user_category: »Non connecté »,user_email: » »,user_email_hash: » »,user_id: » »,user_utiq_id_mobile:user_utiq_id_mobile,user_utiq_id_wifi:user_utiq_id_wifi,user_fid:user_fid,chapitre1: »sante »,chapitre2: »alimentation »,categorie1: »alimentation »,nbr_paragraphes:0,nbr_posts:0,nombre_mots:0,embeded_element:0,level2: »BFM Actu »,pagename: »video-acetamipride-la-fnsea-plaide-pour-l-application-de-memes-regles-partout-en-europe_VN-202509020360″,titre_contenu: »video-acetamipride-la-fnsea-plaide-pour-l-application-de-memes-regles-partout-en-europe_VN-202509020360″,type_page: »video »,id_contenu: »202509020360″,date_publication: »2025-09-02T10:46:39Z »,rub_secondaires: » »,source: »Brightcove »,URL_complet: »https://www.bfmtv.com/sante/alimentation/video-acetamipride-la-fnsea-plaide-pour-l-application-de-memes-regles-partout-en-europe_VN-202509020360.html »,type_embed: » ».split(« , »),flags: » »,flags: » ».split(« , »),date_modification: » »,application: »bfm_actu »,marque_web: »bfm_actu »};console.log(« tc vars pour le test tag imagino »,tc_vars);]]> appendScript(« /assets/v12/js/videoPlayer.8b3190fde7b03145a837.js »));]]>s());]]>{window.tagCoScriptLoaded=true};]]> appendScript(‘https://synchrobox.adswizz.com/register2.php’));]]> appendScript(‘https://delivery-cdn-cf.adswizz.com/adswizz/js/SynchroClient2.js’));]]>

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Au Cameroun, l’ONU dénonce les restrictions de l’espace civique à l’approche de la présidentielle

Une peinture du président camerounais Paul Biya, lors de la célébration de ses quarante-deux ans à la tête du pays, devant la mairie de Yaoundé, le 6 novembre 2024. ETIENNE NSOM / AFP

Le haut-commissaire de l’Organisation des Nations unies (ONU) aux droits de l’homme, Volker Türk, a dénoncé, mardi 2 septembre, « les restrictions de l’espace civique et démocratique » au Cameroun, à l’approche de l’élection présidentielle du 12 octobre. Paul Biya, 92 ans et au pouvoir depuis près de quarante-trois ans, affrontera 12 autres candidats pour briguer un nouveau septennat.

« Un environnement sûr et propice à la promotion des droits humains est essentiel pour des élections paisibles, inclusives et crédibles. Il est à déplorer qu’un tel environnement ne semble pas prévaloir au Cameroun », a déclaré M. Türk dans un communiqué. Selon lui, les « restrictions croissantes » des activités des partis d’opposition suscitent des craintes quant à la possibilité pour les électeurs d’exprimer librement leur volonté. Il exhorte le gouvernement à prendre des « mesures urgentes ».

Plusieurs rassemblements ont été interdits et l’interview télévisée d’un ex-candidat présidentiel – écarté le 5 août de la course électorale par le Conseil constitutionnel – a été interrompue en direct par les forces de sécurité, souligne l’ONU. En effet, le 7 août, la chaîne de télévision privée STV a dû interrompre la diffusion en direct d’une émission avec Dieudonné Yebga, un ancien haut responsable du Mouvement africain pour la nouvelle indépendance et la démocratie, a expliqué ensuite un porte-parole du Haut-Commissariat, Jeremy Laurence, lors d’un point presse à Genève.

Arrestation de 53 personnes

Il y a aussi des inquiétudes concernant l’exclusion de certaines personnalités politiques de l’élection, ainsi que des irrégularités dans l’inscription des électeurs, relève l’ONU, qui rapporte que « des candidats de l’opposition et leurs partisans auraient également été intimidés et menacés ». « L’égalité d’accès à la participation aux processus électoraux pour tous les Camerounais est absolument essentielle. Toute mesure susceptible de priver certaines parties de la société camerounaise de leurs droits devrait faire l’objet d’une attention immédiate », a déclaré M. Türk.

Lire aussi | Election présidentielle au Cameroun : Maurice Kamto dénonce le « rejet arbitraire » de sa candidature

Les forces de sécurité camerounaises ont arrêté, le 4 août, environ 53 partisans de l’opposition devant le Conseil constitutionnel, dans la capitale, Yaoundé, lors d’audiences en appel contre certaines décisions du conseil électoral, selon le Haut-Commissariat, qui précise que « les partisans ont été accusés de troubles à l’ordre public, de rassemblement illégal, de rébellion et d’incitation à la révolte ». Ces personnes ont ensuite été libérées en août.

« Si la libération des 53 partisans de l’opposition est une bonne nouvelle, ils n’auraient tout simplement pas dû être arrêtés. Nul ne devrait être arrêté pour avoir exercé ses droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique », a souligné M. Türk.

Ces développements interviennent après la suspension de trois organisations de la société civile et l’interdiction de deux autres en décembre 2024, tandis que des restrictions ont également été imposées aux activités et au financement de certains groupes de la société civile, s’inquiète l’ONU. « Le gouvernement ne devrait pas réprimer le travail essentiel des organisations de la société civile et des médias », a insisté M. Türk.

Lire le décryptage | Article réservé à nos abonnés Au Cameroun, le président Paul Biya, 92 ans, en route pour un huitième mandat

Le Monde avec AFP (avec AFP)

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Devant Xi Jinping à Pékin, Vladimir Poutine se félicite de relations russo-chinoises « à un niveau sans précédent »

En Chine, Vladimir Poutine a estimé que les relations russo-chinoises sont actuellement à un « niveau sans précédent », tandis que Xi Jinping a salué une « collaboration stratégique complète » entre les deux pays.

Xi Jinping et Vladimir Poutine ont affiché ce mardi 2 septembre leur proximité dans un contexte global tendu, le président russe évoquant des relations à un « niveau sans précédent » devant son homologue chinois à Pékin.

Xi Jinping a salué, pour sa part, la relation de « collaboration stratégique complète » entre les deux pays, et affirmé la volonté de coopérer à la « construction d’un système de gouvernance globale plus juste et plus raisonnable », selon des propos diffusés au début de leurs entretiens à Pékin. Le président russe est en Chine depuis ce dimanche 31 août.

Il a participé à un sommet régional à Tianjin (nord) et doit assister ce mercredi 3 septembre à Pékin à un grand défilé militaire célébrant les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Xi Jinping était lui-même en mai aux commémorations russes de fin de la Seconde Guerre mondiale.

La Chine et la Russie sont engagées dans une épreuve de force avec l’Occident et les États-Unis. À Tianjin, Vladimir Poutine, malgré sa rencontre avec Donald Trump en Alaska le 15 août, n’a donné aucun signe de vouloir céder aux pressions du président américain pour une résolution du conflit en Ukraine.

La Chine et les États-Unis se sont de leur côté livrés début 2025 à une surenchère de droits de douanes réciproques avant de convenir d’une trêve. Les relations des Russes et des Chinois sont également tendus avec les Européens.

« Des résultats gagnant-gagnant entre grandes puissances »

Avec le sommet de Tianjin et le défilé du 3 septembre, Pékin se veut le puissant héraut d’une nouvelle gouvernance globale face à un hégémonisme occidental facteur d’instabilité et d’injustice. Xi Jinping a dénoncé lundi les « actes d’intimidation » et « une mentalité de guerre froide et de confrontation de blocs » à l’oeuvre selon lui.

« Notre communication étroite reflète le caractère stratégique des liens russo-chinois qui sont actuellement à un niveau sans précédent », a dit Vladimir Poutine mardi.

Assister au défilé de mercredi, « c’est rendre hommage aux exploits de nos peuples, peuple russe et peuple chinois, c’est confirmer le rôle crucial de nos pays dans la victoire sur les axes européen et asiatique », a-t-il dit. « Nous avons toujours été ensemble à cette époque-là et nous restons ensemble maintenant », a-t-il dit.

« Les relations entre la Chine et la Russie ont résisté à l’épreuve des changements internationaux, ce sont des relations de bon voisinage, de collaboration stratégique complète et de coopération mutuellement bénéfique pour des résultats gagnant-gagnant entre grandes puissances », a déclaré Xi Jinping.

Des alliés de l’Ukraine soupçonnent la Chine de soutenir la Russie dans la guerre, ce dont elle se défend, invoquant sa neutralité et reprochant aux Occidentaux de prolonger le conflit en armant l’Ukraine.

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Bachar Al-Assad visé par un mandat d’arrêt français pour le bombardement d’un centre de presse à Homs, en 2012

L’ancien président syrien Bachar Al-Assad, à Damas, le 16 juillet 2023. LOUAI BESHARA / AFP

Sept mandats d’arrêt ont été délivrés en août par la justice française contre d’anciens hauts dignitaires du régime syrien, dont l’ex-président Bachar Al-Assad, pour le bombardement en 2012 d’un centre de presse à Homs dans lequel deux journalistes ont péri, ont annoncé, mardi 2 septembre, des avocats des parties civiles.

Le 22 février 2012, lorsque le bâtiment avait essuyé de premiers tirs, les journalistes qui s’y trouvaient avaient décidé de sortir. Les deux premiers à franchir la porte, la journaliste américaine du Sunday Times Marie Colvin, 56 ans, et le photographe free-lance français Rémi Ochlik, 28 ans, avaient été tués par un obus de mortier. A l’intérieur, la journaliste française Edith Bouvier, le photographe britannique Paul Conroy et leur traducteur syrien Wael Al-Omar avaient été blessés.

« Après treize ans d’enquête, les juges d’instruction du pôle crimes contre l’humanité du tribunal judiciaire de Paris ont délivré des mandats d’arrêt [contre] sept anciens haut gradés syriens pour complicité de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité », ont expliqué des avocats dans un communiqué transmis par la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH).

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Syrie : la justice française est aux trousses des caciques de l’ancien régime, dont Bachar Al-Assad en personne

Une « étape décisive »

Outre Bachar Al-Assad, exilé en Russie, ces mandats − signés par les juges le 19 août − visent notamment Maher Al-Assad, frère du président déchu et chef de facto de la 4e division blindée syrienne au moment des faits ; Ali Mamlouk, alors directeur des renseignements généraux syriens ; Ali Ayoub, chef d’état-major de l’armée syrienne au moment des faits, et Rafik Shahada, alors chef du comité militaire et sécuritaire de Homs.

« L’émission de ces sept mandats d’arrêt constitue une étape décisive qui ouvre la voie à un procès en France », a souligné Clémence Bectarte, avocate des parents de Rémi Ochlik, de la FIDH et du Centre syrien pour les médias et la liberté d’expression (SCM), rappelant qu’il s’agit du « plus vieux dossier syrien instruit à Paris ».

« Il a fallu plus d’une décennie pour en arriver là mais, enfin, ces mandats d’arrêt tant attendus sont désormais délivrés. C’est le premier pas vers la fin d’une ignoble impunité ! », a affirmé de son côté à l’Agence France-Presse Marie Dosé, avocate de la reporter Edith Bouvier.

Le Parquet national antiterroriste (PNAT) avait également requis en juillet un nouveau mandat d’arrêt international contre Bachar Al-Assad pour des attaques chimiques mortelles en 2013 en Syrie, après l’annulation d’un premier mandat d’arrêt par la Cour de cassation.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Bachar Al-Assad : la Cour de cassation confirme l’immunité personnelle des chefs d’Etat en exercice

Le Monde avec AFP

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Le témoignage en intégralité du père de Lenny, 12 ans, tué par un bloc de béton dans le Gard


Le témoignage en intégralité du père de Lenny, 12 ans, tué par un bloc de béton dans le Gard{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0]&&document.cookie.split( » « ).filter(elem=>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0].split(« = »)[1]){console.log(« first id existe »);user_fid=document.cookie.split( » « ).filter(elem=>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0].split(« = »)[1].replace(« ; », » »)}}catch(e){console.error(« Error loading utiq: »,e)}var tc_vars={env_work: »prod »,site_name: »bfmtv_portail_responsive »,version_responsive:window.deviceName,verticale: »bfmtv »,marque: »bfmtv »,cookie_consent: »0″,amp: »0″,user_category: »Non connecté »,user_email: » »,user_email_hash: » »,user_id: » »,user_utiq_id_mobile:user_utiq_id_mobile,user_utiq_id_wifi:user_utiq_id_wifi,user_fid:user_fid,chapitre1: »police-justice »,nbr_paragraphes:0,nbr_posts:0,nombre_mots:0,embeded_element:0,level2: »BFM Actu »,pagename: »video-le-temoignage-en-integralite-du-pere-de-lenny-12-ans-tue-par-un-bloc-de-beton-dans-le-gard_VN-202509020365″,titre_contenu: »video-le-temoignage-en-integralite-du-pere-de-lenny-12-ans-tue-par-un-bloc-de-beton-dans-le-gard_VN-202509020365″,type_page: »video »,id_contenu: »202509020365″,date_publication: »2025-09-02T10:49:29Z »,rub_secondaires: » »,source: »Brightcove »,URL_complet: »https://www.bfmtv.com/police-justice/video-le-temoignage-en-integralite-du-pere-de-lenny-12-ans-tue-par-un-bloc-de-beton-dans-le-gard_VN-202509020365.html »,type_embed: » ».split(« , »),flags: » »,flags: » ».split(« , »),date_modification: » »,application: »bfm_actu »,marque_web: »bfm_actu »};console.log(« tc vars pour le test tag imagino »,tc_vars);]]>

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Edouard Philippe maintient une voix critique à l’intérieur du camp présidentiel

Edouard Philippe à l’université d’été du Laboratoire de la République, à Autun (Saône-et-Loire), le 29 août 2025. JULIEN DANIEL/MYOP POUR LE MONDE

Edouard Philippe manie l’art de toujours se faire désirer après une période de silence médiatique. Quarante-huit heures après l’annonce de la convocation d’un vote de confiance sur la question budgétaire par François Bayrou, le président du parti Horizons a profité du premier déplacement de sa rentrée politique, en marge de l’université d’été du Medef à Paris, mercredi 27 août, pour rompre le silence.

Sur un ton empreint de gravité, l’ancien premier ministre d’Emmanuel Macron (2017-2020), qui n’a eu de cesse d’alerter sur la dérive de la dette, s’est affiché en soutien au constat « juste et inquiétant » dressé par François Bayrou et a appelé l’ensemble des forces politiques à « assurer la stabilité du pays ».

Face à des oppositions remontées et ayant rapidement promis la chute au gouvernement, il a questionné en creux la stratégie du premier ministre, en qualifiant sa décision de « pari risqué » et estimé que « quand vous demandez la confiance, il faut essayer de la construire ».

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Un automobiliste de 21 ans meurt percuté par le conducteur d’un véhicule ayant commis un refus d’obtempérer

Après avoir commis un refus d’obtempérer, un automobiliste sans permis a percuté un véhicule à contresens, près de Carpentras, dans la nuit du lundi 1er septembre. Le conducteur de ce dernier est mort.

Un jeune homme de 21 ans est mort à Carpentras (Vaucluse), dans la nuit du lundi 1er au mardi 2 septembre, après que son véhicule a été percuté par un automobiliste qui venait d’effectuer un refus d’obtempérer.

Aux alentours de minuit, une patrouille de la BAC a repéré une Mercedes sur une route départementale près de Carpentras, avec trois personnes à bord. Les agents ont tenté de contrôler le véhicule, mais le conducteur, qui conduisait sans permis, a refusé d’obtempérer.

L’automobiliste percuté a succombé à ses blessures

Celui-ci a pris la fuite sur une voie rapide à contresens et a percuté un véhicule au niveau de la commune de Monteux. Le conducteur de la voiture touchée, âgé de 21 ans, a été grièvement blessé lors du choc. Malgré l’intervention des secours, il a succombé à ses blessures, a appris BFMTV de source policière.

Les trois occupants à bord du véhicule qui avait pris la fuite ont de leur côté été blessés, dont deux grièvement. L’un d’eux est âgé de 17 ans, un autre a 22 ans.

D’après les informations de BFM Marseille Provence de source policière, le véhicule qui a commis un refus d’obtempérer transportait de la cocaïne et du cannabis.

Johan Honnet et Alexandra Gonzalez avec Mathias Fleury

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REF 2025: revivez les temps forts de la Rencontre des entrepreneurs de France organisée par le Medef

Le 28/08 à 20h56

François Bayrou est « persuadé que tout peut bouger »

Cette seconde journée de la Rencontre des entrepreneurs de France organisée par le Medef est désormais terminée.

Grand invité de cette journée, François Bayrou s’est voulu combatif et a martelé que les économies présentées n’étaient pas « de l’austérité mais un freinage des dépenses ». Retrouvez notre article sur ce qu’il faut retenir de son intervention.

Les chefs des autres partis politiques ont ensuite eu l’occasion de présenter leurs propositions, comme Bruno Retailleau.

Merci d’avoir suivi ce live.

Le 28/08 à 19h07

Manuel Bompard souhaite planifier « des créations d’emplois »

« Je refuse catégoriquement la logique qui consiste à penser qu’il y aurait une horde de travailleurs qui ne veulent pas travailler (…). Il faut avoir des politiques de créations d’emplois et avoir une forme de planification. Je pense à l’économie de la mer, au spatial, à la transition énergétique », souhaite Manuel Bompard (LFI).

Sur la situation politique, ce dernier estime que « deux logiques économiques s’affrontent ».

« Si on veut ramener une forme de stabilité, on a besoin que ce soit tranché: politique de l’offre ou politique de relance ? », estime-t-il.

Le 28/08 à 19h03

Bruno Retailleau fera des propositions « pour un troisième étage au système de retraite par capitalisation »

Répondant à Jordan Bardella, Bruno Retailleau a indiqué: « la seule façon de faire un fonds souverain sans avoir de la monnaie de singe, c’est la retraite par capitalisation ».

« La difficulté, c’est la transition. Dans quelques semaines, nous ferons des propositions pour installer un troisième étage au système de retraite par capitalisation », a précisé le chef de file des LR.

Le 28/08 à 19h00

Gabriel Attal invite à « enfin assumer la capitalisation dans les retraites »

« La solution, c’est pas la retraite à 60 ans, c’est d’enfin assumer la capitalisation dans les retraites pour avoir des fonds d’épargne disponibles pour les entreprises », a lancé Gabriel Attal.

Ce dernier a également plaidé pour réaliser « l’union des marchés de capitaux » au niveau européen en identifiant le manque d’investissement comme l’une des raisons de l’affaiblissement de la France.

Le 28/08 à 18h52

Marine Tondelier veut « discuter de la diminution du temps de travail »

« Il faut mieux partager le travail. Il y a 5,2 millions de chômeurs et 400.000 emplois non pourvus. Je voudrais que l’on discute, secteur par secteur, de la diminution du temps de travail pour le répartir », a expliqué la porte-parole des Écologistes.

Sur le plan budgétaire, Marine Tondelier a également critiqué « les rentes de situation » de certaines entreprises pharmaceutiques, notamment sur les traitements anti-cancéreux.

« Vous voulez faire des économies ? Négociez aussi avec ces entreprises », a-t-elle enjoint.

Le 28/08 à 18h44

Bruno Retailleau plaide pour le non remplacement des fonctionnaires partant à la retraite « dès 2026 »

« Je propose dès 2026 de ne pas remplacer tous les fonctionnaires qui partiront à la retraite dans l’administration administrante », a indiqué Bruno Retailleau.

Ce dernier propose également « un seuil 0 charge » pour faire se « rapprocher le brut du net ».

Concrètement, il n’y aurait « ni cotisations salariales, ni cotisations patronales » au-delà de 1623 heures travaillées par an.

Il suggère enfin « un compte social unique qui regroupera toutes les aides sociales ». Ce dernier serait « capé » pour « valoriser le travail ».

Le 28/08 à 18h38

Jordan Bardella souhaite la création d’un « fonds souverain »

« Il faut renouer avec les grands projets », a indiqué Jordan Bardella proposant de créer un fonds souverain pour « que les Français qui le souhaitent soient actionnaires de la Maison France ».

Selon lui, cela permettrait de doper l’investissement en fléchant l’épargne vers les entreprises.

Le 28/08 à 18h35

Fabien Roussel propose « d’injecter 500 milliards d’euros sur cinq ans »

« Il faut que la France injecte 500 milliards d’euros sur cinq ans. Soyons offensifs, conquérants. Nous avons besoin de renouer avec une France des bâtisseurs », a plaidé le chef de file du PCF, en recommandant de s’inspirer de l’Inflation Reduction Act (IRA) mise en place par Joe Biden aux États-Unis.

Le 28/08 à 18h34

Fabien Roussel appelle à « indexer tous les salaires sur l’inflation »

Le secrétaire national du Parti communiste français souhaite « indexer tous les salaires sur l’inflation » afin de « faire en sorte que le travail nous permette de vivre dignement, de partir en vacances, d’élever ses enfants. »

« Depuis qu’Emmanuel Macron a été élu, on est passé de 12% de salariés au SMIC à 17%. Qui peut vivre décemment avec un SMIC dans notre pays tellement il est bas ? »

« Quand vous augmentez les salaires, ceux qui vont gagner 100 ou 200 euros en plus ne vont pas faire de l’évasion fiscale mais le dépenser et faire tourner l’économie. »

Le 28/08 à 18h18

Marine Tondelier regrette que « l’argent soit rare sauf pour les aides aux entreprises »

L’élue écologiste s’est montrée critique vis-à-vis des aides aux entreprises qui se sont élevées à plus de 200 milliards d’euros en 2023 d’après un récent rapport du Sénat.

« J’ai l’impression que l’argent est rare sauf pour les aides aux entreprises. Est-ce qu’on peut débattre de la conditionnalité des aides aux entreprises ? »

Le 28/08 à 18h14

Bruno Retailleau estime qu' »on ne peut plus vivre dans un système social étatiste »

« On ne peut plus vivre dans un système qui est dans un système social étatiste », a déclaré Bruno Retailleau devant les chefs d’entreprise. Avant de reprendre les mots de Ronald Reagan qui selon lui « décrivait assez bien la situation française il y a plus de vingt ans »:

« Tout ce qui bouge on le taxe, ce qui bouge encore on le règlemente et ce qui ne bouge plus du tout, on le subventionne. On en est là », a cité le ministre de l’Intérieur, applaudi par l’auditoire.

Le 28/08 à 18h11

Jordan Bardella pointe du doigt « les impôts de papier »

« Il n’y a pas eu de politique de l’offre depuis 2017. Quand on baisse les impôts de production, mais qu’on les récupère en impôts de papier par des normes et de la bureaucratie, on ne peut pas parler de politique de l’offre », estime Jordan Bardella (RN).

Ce dernier propose de s’attaquer aux contraintes et reprend le chiffre, déjà cité par François Bayrou, selon lequel la bureaucratie amputerait le PIB de 4% par an.

Ce chiffre est tiré d’une étude publiée par des économistes des universités de Columbia et de Shanghai.

Le 28/08 à 18h04

Gabriel Attal estime que « la France ne peut pas tourner avec un modèle de 1945 »

Lors du débat entre les responsables politiques, l’ancien Premier ministre a mis en avant le modèle social daté de la France : « La France ne peut pas tourner avec un modèle de 1945. Tout notre modèle économique et social a été construit à une époque qui n’a rien à voir. »

« C’est une révolution dont notre modèle a besoin. »

« Après la Seconde Guerre mondiale, on avait une démographie qui explosait et aujourd’hui, on a une population qui vieillit, a-t-il souligné. Après la Seconde Guerre mondiale, on avait une économie qui était tirée par la consommation intérieure. Aujourd’hui, on a une révolution absolue qui est l’intelligence artificielle. »

Le 28/08 à 17h55

Manuel Bompard (LFI) met en garde contre les « effets recessifs du budget »

« Le budget de l’année qui s’écoule a déjà réduit la croissance par deux. Si le budget proposé par François Bayrou devait voir le jour, il aurait encore des effets récessifs, réduisant les carnets de commandes des entreprises », considère Manuel Bompard.

Le coordinateur de La France Insoumise plaide pour un abandon de la politique de l’offre au profit d’une « politique de la relance ».

Le 28/08 à 17h41

Le débat entre les chefs de partis commence

Gabriel Attal, Jordan Bardella, Manuel Bompard, Fabien Roussel et Marine Tondelier sont réunis pour un débat en clôture de la rentrée du Medef.

Le 28/08 à 17h30

Les responsables des partis politiques sont arrivés à Roland-Garros

La 7e édition de la Rencontre des entrepreneurs de France se clôture avec un grand débat d’un peu plus d’une heure entre Bruno Retailleau, Gabriel Attal, Jordan Bardella, Manuel Bompard, Bruno Retailleau, Fabien Roussel et Marine Tondelier.

Le 28/08 à 15h54

« Boomers »: Bayrou évoque des « propos déformés » et affirme ne pas vouloir « cibler les retraités »

Après avoir pointé la responsabilité des « boomers » dans l’explosion de la dette lors de son interview sur TF1 mercredi soir, François Bayrou a assuré que ses propos avaient « été déformés ». « C’est une expression que j’ai simplement reprise », a-t-il assuré.

Le Premier ministre a estimé que c’est cette génération du baby-boom « qui devrait être en première ligne pour protéger les plus jeunes (en prenant part à l’effort pour réduire la dette) ». »C’est exactement ce que j’ai dit et rien d’autre. J’ai même dit à plusieur reprises que je ne voulais pas cibler les retraités ».

« Ceux qui ont profité de l’aisance de l’après-guerre, qui ont travaillé beaucoup, mais qui ont profité de cet élan-là devraient être aujourd’hui à mes côtés les premiers pour qu’on baisse la dette et que ce ne soit pas les plus jeunes qui soient obligés de la payer », a-t-il martelé, jugeant « immoral » le fait « qu’une génération ne pense pas à la génération suivante, qu’elle lui impose sans le lui dire la charge d’avoir à payer pendant des décennies des facilités que nous avons rencontrées ».

Plus d’informations ici.

Le 28/08 à 15h48

Bayrou veut « garantir que les Français les plus favorisés vont participer à l’effort national »

En conclusion de son discours à la REF, le chef du gouvernement a estimé qu' »il n’y aura cohésion autour de l’effort que s’il y a justice » et qu’il fallait donc « garantir que les Français les plus favorisés vont participer à l’effort national à la juste mesure de leur capacité. »

« La justice est la condition même de l’acceptation du budget par les Français. »

En revanche, François Bayrou refuse que l’effort « touche à l’outil de travail » : « Tout ce qui amoindrit le redressement productif et le détourne de notre pays, tout ce qui pousserait au déplacement des investisseurs, nous devons le considérer comme un risque. Mais nous devons aussi considérer comme un risque un certain nombre de dispositifs d’évasion fiscale, d’optimisation multipliée. »

Le 28/08 à 15h39

François Bayrou défend la suppression de jours fériés au mois de mai, « le moins travaillé »

« Je pense que le mois de mai est le moins travaillé de l’année en dehors des deux mois de l’été », a déclaré François Bayrou au sujet de sa volonté de supprimer deux jours fériés.

Le 28/08 à 15h32

« Ce n’est pas l’austérité mais un freinage des dépenses », assure François Bayrou

« Il faut que nous consentions comme peuple des efforts importants mais supportables de freinage de nos dépenses, insiste le Premier ministre. Ce n’est pas l’austérité mais un freinage des dépenses supplémentaires pour que le pays se ressaisisse et pour que nous revenions à l’équilibre de la dette. Voilà le plan et ce qui justifie les 44 milliards de maîtrise. »

Le 28/08 à 15h30

François Bayrou veut « définir le statut de bailleur privé » pour relancer le secteur du logement

Le Premier ministre a rapidement abordé les difficultés du secteur du logement. Il a précisé avoir intégré dans son discours de politique générale du 8 septembre la question de l’investissement, en voulant notamment « définir le statut de bailleur privé pour apporter une sève nouvelle ».

Le 28/08 à 15h25

Pour le Premier ministre, « nous sommes devant un grand effort national »

« Nous sommes devant un grand effort national. Il impose qu’on considère qu’au dessus des intérêts particuliers, de l’intérêt social des entreprises, il existe un intérêt national auquel chacun peut participer. Cette entreprise de reconquête exige le dépassement et la mise en commun des capacités », estime François Bayrou.

« Nous sommes tous sur le même bateau », insiste le Premier ministre qui appelle à dépasser les clivages.

Le 28/08 à 15h12

François Bayrou affirme que « préparer l’avenir impose des efforts »

« Préparer l’avenir impose des efforts de dimension conséquente », martèle le Premier ministre qui appelle à « la lucidité tant les défis devant nous sont impressionnants ».

Le maire de Pau enjoint à s’inspirer du rapport sur la compétitivité rendu l’an passé par Mario Draghi.

François Bayrou insiste particulièrement sur le contexte géopolitique en pourfendant la négociation « humiliante » sur les droits de douane avec les États-Unis, « la stratégie construite et redoutable de domination » de la Chine, ainsi que « l’attaque insupportable » de la Russie contre « l’héroïque Ukraine ».

Le 28/08 à 15h03

François Bayrou vante la démocratie sociale face à « un univers de plus en plus violent »

« Il n’y aura d’avenir que si la démocratie sociale s’affirme dans le même mouvement de responsabilité sociale que la démocratie politique », indique le Premier ministre devant les adhérents du Medef.

« Il faut plusieurs centres de responsabilité, qui dialoguent entre eux, s’estiment et se respectent pour que le juste chemin puisse être tracé », poursuit François Bayrou qui dépeint un « univers de plus en plus violent ».

Le 28/08 à 14h29

François Bayrou s’exprimera à la REF dans quelques minutes

Le Premier ministre vient d’arriver à Roland Garros, où il doit intervenir dans quelques instants devant le Medef.

Le 28/08 à 14h24

Les investisseurs chinois « surveillent de très près » la situation

La situation politique française préoccupe les investisseurs jusqu’en Chine, comme l’observe le South China Morning Post, le quotidien anglophone de Hong Kong.

« Le climat politique est surveillé de très près », note un dirigeant chinois installé en Europe.

Certains craignent que l’instabilité politique perturbe les investissements chinois dans le secteur des énergies renouvelables en France.

Le SCMP relève les cas de Das Solar, qui a prévu de construire sa première usine de panneaux photovoltaïques à l’étranger dans le Doubs, et du géant des batteries Envision, un partenaire important de Renault.

Le 28/08 à 13h57

Pour Bruno Retailleau, « jamais la France n’a été à ce point au bord du gouffre financier »

« Jamais la France n’a été à ce point au bord du gouffre financier », a indiqué le ministre de l’Intérieur, lors du séminaire d’été du laboratoire de la République, le cercle de réflexion de Jean-Michel Blanquer, à Autun (Saône-et-Loire).

Bruno Retailleau s’exprimera à la REF à partir de 17h15 lors d’une table ronde avec Jordan Bardella, Gabriel Attal, Fabien Roussel, Manuel Bompard et Marine Tondelier.

Le 28/08 à 13h28

Le Premier ministre François Bayrou est attendu à 14h30 à Roland-Garros

Le chef du gouvernement doit s’adresser aux patrons réunis à la Rencontre des entrepreneurs de France à partir de 14h30.

Son ministre de l’Economie et des Finances Eric Lombard ainsi que sa ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles de France étaient présents à l’événement plus tôt dans la journée.

Le 28/08 à 11h48

Eric Lombard évoque « 30 milliards » d’euros de dépenses supplémentaires dans le prochain budget

En conclusion de sa prise de parole, le ministre de l’Economie a mis en perspective l’effort budgétaire de 44 milliards d’euros. « Les dépenses publiques de notre pays représentent 1.700 milliards d’euros, 57% du PIB, a-t-il indiqué […] Cela représente 30 milliards de plus pour le budget que nous proposons pour 2026. »

« Mais sur ces 30 milliards de plus, il y a un effort de défense, l’augmentation du coût de la dette, la contribution à l’Union européenne. »

Le 28/08 à 11h41

Le ministre de l’Economie « ne croit pas à la crise » car « le pays est riche et se développe »

Le patron de Bercy s’est montré optimiste sur la situation économique de la France. « Je ne crois pas à la crise, a-t-il souligné. Le pays est riche, il se développe et il est tenu et géré. » Il a notamment évoqué une croissance de 0,3% au deuxième trimestre, soit « trois fois plus que la moyenne européenne ».

« Simplement, ces intertitudes que tout le monde voit se traduisent par une augmentation du coût de financement de la dette », a-t-il tempéré.

« Il est important de lever le plus vite possible ces incertitudes et je suis convaincu qu’à ce moment, l’écart de taux d’intérêt avec l’Allemagne va diminuer comme il a diminué quand nous avons été nommés à la fin de l’année dernière. »

Le 28/08 à 11h34

Eric Lombard affirme que le budget « est quasiment prêt » mais qu’il sera « difficile pour les Français »

Au cours de sa prise de parole devant les patrons, le ministre de l’Economie et des Finances a indiqué que le prochain était « quasiment prêt ». « En fonction des décisions qui seront prises, il sera transmis au Parlement au mois d’octobre », a-t-il ajouté.

En revanche, il a admis qu’il s’agirait d’un budget « difficile pour les Français » :

« Nous allons geler un certain nombre de prestations comme les rémunérations des fonctionnaires, nous n’allons pas indexer les retraites. »

Le 28/08 à 11h24

Eric Lombard assure que « l’ISF est complètement écarté » dans le budget 2026

Le ministre de l’Economie Eric Lombard a assuré jeudi devant le Medef que « l’ISF est complètement écarté » dans le budget 2026, sans exclure qu’il y ait des « discussions » sur le partage de l’effort « dans les limites de ce qui est raisonnable ».

Le président du Medef Patrick Martin avait repoussé l’idée d’un retour de l’Impôt de solidarité sur la fortune, ou d’un impôt similaire, mercredi lors de son discours devant la Rencontre des Entrepreneurs de France.

Le 28/08 à 10h59

Eric Lombard se dit « convaincu que nous aurons un budget pour 2026 et dans les délais »

Invité de la Rencontre des entrepreneurs de France, le ministre de l’Economie et des Finances a fait part de sa confiance dans la capacité à doter la France d’un budget pour l’année prochaine pour « arriver à 4,6% de déficit ».

Le 28/08 à 08h46

Marc Ferracci assure que « tout est négociable s’agissant des mesures » du Budget 2026

Le ministre de l’Industrie Marc Ferracci veut y croire. Pour éviter la chute du gouvernement avec le vote de confiance prévu le 8 septembre, il a rappelé ce matin sur franceinfo TV que le Premier ministre était prêt à discuter.

« Tout est négociable s’agissant des mesures, sauf une chose: le volume d’économies que nous devons faire. »

Selon lui, pas question de revenir sur les près de 44 milliards d’euros d’économies prévues pour 2026. En revanche, le contenu du budget peut être amené à bouger.

« On peut s’interroger sur les jours fériés, sur les mesures fiscales, sur les dépenses publiques… », a-t-il assuré, insistant sur l’importance « d’avoir un budget à la fin de l’année ».

Le 28/08 à 08h33

Agroalimentaire: « on ne remplace pas les Etats-Unis »

Sur BFM Business, Jean-François Loiseau, président de l’Ania souligne que les droits de douane imposés par l’administration Trump vont fragiliser le secteur agroalimentaire.

« On dit souvent, nous allons essayer d’aller vers d’autres pays pour compenser ces taxes. On ne remplace pas les Etats-Unis, c’est le plus grand marché en volume mais aussi en valeur. C’est compliqué d’aller sur un autre pays pour promouvoir le champagne par exemple ».

Et d’appeler à « des exemptions » pour certains produits comme le vin.

Le 28/08 à 08h28

Marylise Léon pointe « la responsabilité des organisations patronnales »

« En colère » contre les mesures budgétaires présentées par François Bayrou, la numéro 1 de la CFDT a pointé la responsabilité du gouvernement et du Premier ministre dans la situation politique et budgétaire de la France.

« Je voulais aussi pointer aujourd’hui la responsabilité des organisations patronales », a ajouté Marylise Léon sur RTL.

« Je ne fais pas de reproches. Je dis qu’on a tous des responsabilités et les responsabilités doivent être partagées. »

Elle a notamment évoqué les plans sociaux en cours dans de nombreuses entreprises françaises. « J’ai une pensée pour les salariés qui vivent des plans sociaux, le dialogue avec les employeurs est souvent difficile, c’est aussi une responsabilité des employeurs de travailler sur les questions du maintien de l’emploi », a-t-elle lancé.

Le 28/08 à 08h14

Véronique Louwagie: « les entreprises sont la solution pour sortir de la crise »

Sur BFM Business, Véronique Louwagie, Ministre déléguée chargée du Commerce, de l’Artisanat, des PME et de l’Économie sociale et solidaire, reconnaît que les entreprises ont besoin de « stabilité et de visibilité ».

Mais dans le même temps, « l’entreprise est la solution pour sortir de la crise », souligne-t-elle.

« C’est l’entreprise qui créé de la richesse, nous devons les entendre, les soutenir. Et il y a une inquiétude sur le niveau des impôts et je veux leur dire qu’il ne faut pas augmenter les impôts ».

Le 28/08 à 08h08

« 60% des Français savent que nos régimes sociaux ne tiennent plus », souligne Patrick Martin

Sur BFM Business, le président du Medef estime que les Français ont conscience du problème de financement des comptes sociaux.

« Il y a des sondages dont on parle moins selon lesquels 60% des Français savent que nos régimes sociaux ne tiennent plus, après c’est dans l’ordre des choses que les uns et les autres défendent des avantages acquis ».

Et l’état des finances publiques « est un thème de préoccupation important » pour les Français, souligne Patrick Martin.

Le 28/08 à 08h00

Patrick Martin craint que la France passe en récession

« Taxons les entreprises un peu plus! Après, il ne faudra pas s’étonner qu’on ait une croissance molle et je crains que nous passions en récession », prévient Patrick Martin sur BFM Business.

Le 28/08 à 07h57

Patrick Martin appelle les politiques à aller « au dessus de leurs calculs »

Le président du Medef exhorte les politiques « à prendre en compte une situation qui est grave, préoccupante et poser les colt (les pistolets, NDLR), discuter avec nous », dit-il sur BFM Business.

« Si ça ne se fait pas, bon courage à celui qui prendra les manettes du pays le jour venu, c’est une réalité », souligne-t-il.

Le 28/08 à 07h51

Le Medef toujours contre l’ISF mais fait des propositions

A l’ouverture de la REF, Patrick Martin a réitéré le rejet total d’un retour de l’ISF afin de participer au redressement des finances publiques.

« Ce à quoi on est ouvert, c’est par exemple le double effacement. Remettre en cause un certain nombre de compensations, plus que d’aides aux entreprises et c’est sûrement pas 211 milliards d’euros comme on peut le lire dans un rapport parlementaire récent », dit le patron du Medef sur BFM Business.

« Mais d’avoir en contre-partie un abaissement des seuils d’imposition », poursuit-il.

Le 28/08 à 07h45

Pour Patrick Martin, « les politiques sont dans un monde parallèle »

Sur BFM Business, le président du Medef estime que les politiques « ne voient pas ce qui se passe autour de nous sur la planète, sur le plan économique et c’est très grave ».

Le 28/08 à 07h23

La France se retrouvera-t-elle sans budget si le gouvernement tombe le 8 septembre?

Si le gouvernement ne passe pas le vote de confiance à l’Assemblée le 8 septembre, le processus d’adoption du Budget 2026 prendra plus de temps que prévu.

Loi spéciale, dissolution de l’Assemblée… Quels sont les scénarios possible?

>>Lire notre article

Le 28/08 à 06h26

François Bayrou prendra la parole à 14h30

Le Premier ministre, désormais prêt « à toutes les négociations nécessaires » sur le budget s’il remporte son pari d’un vote de confiance à l’Assemblée nationale, trouvera jeudi, devant le Medef, une quatrième occasion en quatre jours d’évoquer publiquement la question budgétaire.

Le Premier ministre interviendra à 14H30 devant la Rencontre des entrepreneurs de France (REF), qui se tient pour la première fois à Roland Garros avec un slogan qui résonne avec l’actualité : « Jeu décisif ».

Le 28/08 à 06h20

Le gouvernement a certaines niches fiscales dans le viseur

Invitée sur le plateau de BFMTV mardi soir, la ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin a indiqué que le gouvernement proposerait aux parlementaires de supprimer 50 niches fiscales « obsolètes ou évaluées comme inefficaces » dans le cadre de l’effort budgétaire de 44 milliards d’euros.

Le 28/08 à 06h15

L’instabilité politique pourrait freiner le marché immobilier

Les taux d’emprunt d’Etat, notamment l’OAT 10 ans, pourraient augmenter en cas de chute du gouvernement dans les prochains jours. Or, il s’agit d’une variable sur laquelle les banques peuvent se baser afin de déterminer les taux de leurs crédits immobiliers lesquels pourraient donc évoluer à la hausse et donc réduire le pouvoir d’achat des acquéreurs.

Le 28/08 à 06h10

Les patrons redoutent une nouvelle chute du gouvernement

A peine neuf mois après la censure du gouvernement Barnier, les chefs d’entreprises craignent les conséquences économiques d’une nouvelle période d’instabilité politique. Et ce, même s’ils partagent le constat du danger du surendettement de la France.

Le 28/08 à 06h05

Patrick Martin pose ses conditions à Bayrou pour le budget 2026

Lors de son discours d’ouverture, le président du Medef a mis en garde mercredi contre tout retour, sous une forme ou une autre, de l’Impôt de solidarité sur la fortune (ISF), assurant que le Medef s’y opposerait.

« Sous la menace d’un retour déguisé de l’ISF, nos entreprises familiales retiennent aujourd’hui plus encore leurs investissements (…) Je veux être clair (…): quelle qu’en soit la forme, un retour de l’ISF serait ravageur pour notre économie, et nous nous y opposerons. »

Le 28/08 à 06h01

Bienvenue dans ce direct consacré à l’université d’été du Medef

Bonjour et bienvenue dans ce live dédié à la 7e édition de la Rencontre des entrepreneurs de France qui se déroule pour la première fois à Roland-Garros.

Au lendemain de l’ouverture de l’évènement par le président du Medef Patrick Martin, ce sont notamment François Bayrou et Eric Lombard qui sont attendus pour prendre la parole dans la journée.

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