Le président Emmanuel Macron à Bormes-les-Mimosas (Var), le 17 août 2025. MIGUEL MEDINA / AFP

Emmanuel Macron juge que François Bayrou « a les capacités » pour tenir le gouvernement jusqu’à la fin de son mandat et répète qu’il ne veut pas de nouvelle dissolution, estimant que c’est « aux responsables politiques de savoir travailler ensemble ».

François Bayrou « est mon ami… mon compagnon de route. Il a les capacités pour tenir ce gouvernement qui n’est pas habituel », plaide, mardi 19 août, dans Paris Match le président qui « espère » que le premier ministre pourra rester jusqu’en 2027. Il défend le plan d’économies budgétaires « lucide et courageux » du chef du gouvernement, « que nous avons longuement préparé ensemble ».

Ce plan prévoit le gel de la plupart des dépenses de l’Etat en 2026 au niveau de 2025, une « année blanche » gelant le barème des impôts, des prestations sociales et des retraites ou encore la suppression de deux jours fériés.

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Face au risque d’une censure du gouvernement par le Rassemblement national et la gauche sur le budget à l’automne, le chef de l’Etat avertit que « les responsables politiques doivent vraiment faire attention à ce qu’ils feront ». « Dans le contexte international, le pays a vraiment besoin de stabilité. Donc pas de coups politiques. Et du courage pour prendre les décisions fortes », juge-t-il.

Il répète qu’il ne veut pas de nouvelle dissolution. « On a un Parlement qui reflète les fractures du pays. C’est aux responsables politiques de savoir travailler ensemble. Regardez ce qui se passe en Allemagne. C’est ainsi que s’organise la coalition du chancelier Merz », argumente-t-il.

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Le Monde avec AFP

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Sélectionné en compétition à la Mostra de Venise, le biopic de Benny Safdie sur la légende du MMA Mark Kerr se révèle ce mardi dans un premier extrait engageant et mystérieux à souhait.

Trente secondes rythmées et rétro. Dans un premier trailer inédit diffusé ce mardi, l’incontournable Dwayne Johnson prend les traits de la légende du MMA des années 1990, Mark Kerr, surnommé « The Smashing Machine ».

Cheveux noirs sur le crâne, l’acteur sautille, salue la foule, bombe le torse, assène des coups, en prend, s’emporte. À ses côtés, la comédienne Emily Blunt (qui tourne actuellement dans la suite du Diable s’habille en Prada), en brune, interprète sa femme, Dawn Staples. Le film retrace à la fois la carrière et les addictions du célèbre combattant.

Sélectionné en compétition officielle à la Mostra de Venise, le biopic de Benny Safdie (qui a notamment signé avec son frère Josh les géniaux Good Time et Uncut Gems), produit par A24 et distribué en France par Zinc, a tout pour triompher aux prochains Oscars. Il sortira en salles le 29 octobre 2025.

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Des supporteurs de l’équipe de Saint-Etienne, lors d’un match contre Toulouse, au stade Geoffroy-Guichard de Saint-Etienne (Loire), le 17 mai 2025. JEAN-PHILIPPE KSIAZEK/AFP

La saison 2025-2026 de l’AS Saint-Etienne (ASSE) a commencé par deux bonnes nouvelles pour les fans du club de football stéphanois : une victoire 4-0 contre Rodez, samedi 16 août, pour la première rencontre à domicile, dans le championnat de Ligue 2, et, surtout, l’entrée annoncée des supporteurs au capital de la formation. Son conseil d’administration a validé, mardi 12 août, la cession à l’association Socios Verts des parts détenues par l’un des 65 actionnaires minoritaires de la Société anonyme sportive professionnelle AS Saint-Etienne (l’une des trois sociétés qui composent la holding Groupe ASSE détenue, depuis juin 2024, par la société canadienne Kilmer).

Lire l’enquête | Article réservé à nos abonnés L’équation ardue du modèle économique du football français : gagner moins et dépenser moins

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« Cet actionnaire, qui veut pour l’instant rester anonyme, nous a contactés en mars pour nous proposer d’acheter ses parts, explique Jeremy Chatonnier, président des Socios Verts. C’est une excellente nouvelle pour nous. Il nous reste à réunir les 150 000 euros nécessaires à l’achat des actions. » Et pour cela, le groupe dispose légalement d’un mois à compter de la décision de cession, soit jusqu’au vendredi 12 septembre.

Dès lundi 18 août, l’association a lancé une campagne de financement, avec une participation minimale de 19,33 euros. Les supporteurs ont immédiatement répondu présent sur les réseaux sociaux : « Contribution effectuée : dix parts. Allez les Verts ! », « Fait, dans un premier temps pour ma mère et pour moi, les autres viendront plus tard »… « Notre but est, non seulement de réunir cette somme, mais aussi d’avoir le plus grand nombre possible de participants, déclare Jeremy Chatonnier. Il s’agit d’une démarche d’actionnariat populaire, dans un club dont le public est populaire. »

Dès sa création, en 2021, Socios Verts a lancé une campagne d’appel à participation virtuelle pour faire connaître son projet et démontrer sa viabilité. En quatre ans, les promesses d’achat de parts ont dépassé 500 000 euros. En outre, le collectif peut compter sur un parrain de choix, qui s’est engagé à ses côtés, en septembre 2024 : Michel Platini, l’une des légendes du club et du football français.

« Une vision à long terme »

Concrètement, cette entrée au capital va permettre au représentant de l’association de participer à l’assemblée générale des actionnaires de l’ASSE et d’avoir accès à des informations stratégiques. Mais elle a aussi un autre but. « Nous nous battons pour diffuser la culture des socios en France, observe Jeremy Chatonnier, qui est également président de la Fédération des socios de France. Le modèle économique du foot est en pleine crise et nous croyons qu’en donnant plus de place aux supporteurs dans l’économie des clubs, cela peut aider à les renforcer. »

Si ladite culture est encore peu présente en France, avec seulement huit associations (à Sochaux, Guingamp, Rouen, Bastia, Nancy, Metz, Nîmes et Bordeaux), elle est très ancrée dans d’autres pays. En Espagne, les supporteurs sont propriétaires actionnaires à titre individuel du FC Barcelone et du Real Madrid, par exemple, dont ils choisissent le président : les premiers sont environ 150 000 et les seconds 90 000. En Allemagne, depuis 1998, pour limiter l’influence de groupes privés, la règle du 50 + 1 impose aux formations de Bundesliga de laisser la voix majoritaire à l’association historique du club, à laquelle les fans peuvent adhérer. Le Bayern Munich compte ainsi près de 350 000 socios.

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Avocat spécialisé dans le football au sein du cabinet Bignon Lebray, Paul Camille juge cette influence positive. « L’investissement par les supporteurs constitue une alternative crédible au foot business, car ils ont une vision à long terme et sont moins tournés vers le profit, estime-t-il. Cela apporte une stabilité capitalistique. »

Avec 150 000 euros d’actions, le poids financier des Socios Verts reste toutefois marginal au regard du capital, qui vient d’être augmenté de plus de 30 millions d’euros par l’actionnaire principal. Dans l’entourage de la direction du club, on précise au Monde que le groupe Kilmer, bien qu’il se réjouisse de l’engagement des supporteurs – qu’ils deviennent actionnaires ou non –, n’a pas l’intention de céder des parts aux Socios.

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« L’investissement des socios a plus d’avenir dans les clubs de moindre envergure, en Ligue 2 ou en Nationale, remarque Paul Camille. Les propriétaires privés ont la mainmise sur les grandes formations, et il n’est pas forcément stratégique pour eux de voir leur participation diluée par des supporteurs, car cela risquerait d’engendrer des situations de blocage. » Il reste que les Socios Verts ont, eux, un rendez-vous décisif le vendredi 12 septembre avec l’histoire légendaire de leur club.

Luc Chatel (Saint-Etienne, correspondance)

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Quatre corps ont été découverts ce mercredi 13 août dans la Seine à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), sans qu’aucun lien ne soit établi, pour l’heure, entre les victimes.

Une macabre découverte. Quatre corps ont été retrouvés dans la Seine, à Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne, ce mercredi 13 août.

Une enquête a été ouverte et doit permettre d’établir les circonstances du drame et un éventuel lien entre les victimes. Ces dernières n’ont pas encore été identifiées.

• Un passager du RER donne l’alerte

C’est un usager du RER C qui a alerté les forces de l’ordre ce mercredi après-midi. Des policiers ont alors découvert un corps immergé dans le fleuve, à un endroit où le débit est très important.

Les agents de la Brigade fluviale ont ensuite découvert trois autres corps. L’un flottait en bordure du quai, un autre était coincé dans des branchages. Le quatrième corps dérivait dans les courants.

• Qui sont les victimes?

Les victimes sont des hommes majeurs. Deux sources policières avaient d’abord indiqué à BFMTV hier que ces trois hommes ont étaient « de type africains ». Mais selon nos informations actualisées à l’issue de l’autopsie, le médecin-légiste a conclu qu’ils seraient en fait de type caucasien. Cette erreur tient à une réaction physiologique qui affecte le corps humain lorsqu’il est plongé très longtemps dans l’eau : la peau se noircit.

Les enquêteurs pensent que les quatre corps ont vraisemblablement été immergés dans la Seine à des moments différents, sans lien apparent entre eux, a appris BFMTV de sources concordantes. Aucun signalement sur la disparition d’un groupe de trois ou quatre personnes n’a également été effectué.

S’il est rarissime de trouver quatre corps ensemble, « cela peut s’expliquer », indique une source proche du dossier à BFMTV. « La Brigade fluviale retrouve régulièrement des corps qui flottent. Ceux qui nous intéressent ont été découverts de manière fortuite, à un endroit du fleuve où des amas de branchage peuvent bloquer des corps qui dérivent. »

• Trois corps dans un état « très dégradé »

Les corps ont été transportés à l’institut médico-légal. Selon nos informations, la première autopsie a été pratiquée sur le corps le moins détérioré et a conclu à un acte criminel. Son identification « est toujours en cours », selon le parquet de Créteil. Ce corps porte des traces de violence, selon une source judiciaire à BFMTV. Il est en état d’être reconnu par ses proches.

Ce n’est pas le cas des trois autres corps, qui sont « extrêmement dégradés » du fait de leur très long séjour dans l’eau, selon cette même source judiciaire. « Leur niveau de dégradation est tel qu’il ne permet pas de déterminer leur âge ou de les faire reconnaître par leurs proches », indique-t-elle. Ce sont des hommes. Mais impossible de dater précisément leur immersion dans l’eau.

« Les investigations se poursuivent en recherche des causes de la mort par le commissariat », indique le parquet de Créteil à BFMTV.

• Une enquête ouverte

Une enquête pour homicide volontaire a été confiée au commissariat de Choisy-le-Roi, a indiqué le parquet de Créteil. Elle doit permettre de déterminer l’origine de ces corps et comment ils ont été immergés.

« On n’a pas l’habitude de ce genre de faits. C’est un acte qui suscite énormément d’interrogations », selon une source policière à BFMTV.

« Est-ce criminel? Ces personnes étaient-elles alcoolisées et n’ont pas survécu à la canicule? Est-ce qu’ils se sont baignés ou noyés? », s’interroge-t-elle. La configuration de la Seine à Choisy-le-Roi pourrait expliquer la présence simultanée de quatre corps, d’après le parquet.

L’enquête sur les recherches de la cause de la mort des trois autres corps, sans doute à l’eau depuis beaucoup plus longtemps que le premier, se poursuit. Ils ne révèlent pas de signe de violences : ni impact de balle, ni trace de coup de couteau. Les enquêteurs penchent pour une cause accidentelle de type noyade.

Paul Conge, Maxime Cliet Ruzza, Mathilde Lemaire, avec Matthieu Heyman

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Le Français Arthur Fils lors de son match contre le Tchèque Jiri Lehecka, lors du tournoi de tennis de Toronto, au Canada, le 1ᵉʳ août 2025. DAN HAMILTON / IMAGN IMAGES VIA REUTERS CONNECT

Il avait dû quitter prématurément Roland-Garros, avant son troisième tour, à cause d’une fracture de fatigue au dos, le 30 mai. Puis, il avait dû faire l’impasse sur Wimbledon (du 30 juin au 13 juillet). Arthur Fils ne disputera pas non plus l’US Open. Sur son compte Instagram, le tennisman français de 21 ans a expliqué, mardi 19 août, avoir ressenti une « alerte » physique lors du tournoi de Toronto (Canada), où il s’est incliné au troisième tour, le 1er août.

Le numéro 20 mondial au classement ATP n’avait pas pu enchaîner avec Cincinnati (Ohio), du 7 au 18 août, et Winston Salem (Caroline du Nord), du 17 au 23 août, prévus à son programme en préparation de Flushing Meadows.

Cette « alerte » l’a conduit, ajoute-t-il « à prendre la décision difficile, mais raisonnable de renoncer » au dernier tournoi du Grand Chelem de l’année (du 24 août au 7 septembre). « Cette décision a été prise pour permettre une récupération complète, écrit Arthur Fils. Je travaille dur chaque jour avec mon équipe pour revenir en pleine forme et être prêt pour cette fin de saison. »

En janvier, le Parisien avait déjà été contraint à l’abandon au troisième tour de l’Open d’Australie en raison d’une blessure. Arthur Fils n’a pas été appelé en sélection pour affronter la Croatie en Coupe Davis, le 12 et 13 septembre, mais le capitaine français Paul-Henri Mathieu a encore la possibilité d’ajouter un cinquième et dernier joueur dans son groupe.

Le Monde avec AFP

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Le 16/08 à 04h27

Un sommet très attendu entre Vladimir Poutine et Donald Trump qui ne découle sur aucune annonce concrète

Ce direct est désormais terminé, merci de l’avoir suivi sur BFMTV.com.

Vladimir Poutine et Donald Trump se sont rencontrés sur une base militaire en Alaska, un sommet largement consacré à la guerre en Ukraine. Mais celui-ci n’a découlé sur aucune annonce concrète, le président américain assurant qu’il reste « très peu » de points à régler. Selon lui, un accord « dépend » désormais du président ukrainien Volodymyr Zelensky, avec qui il doit s’entretenir.

De son côté, Vladimir Poutine a affirmé que « la sécurité de l’Ukraine doit être garantie ». Le maître du Kremlin a évoqué « une entente » avec son homologue américain, sans apporter davantage de détails.

Le 16/08 à 04h20

Donald Trump accorde la note de « 10/10 » à sa rencontre avec Vladimir Poutine

Interrogé par Fox News sur la note qu’il accorderait à sa rencontre avec Vladimir Poutine en Alaska, Donald Trump a répondu que « la réunion mérite un 10 ».

« Nous nous sommes très bien entendus, et c’est une bonne chose quand deux grandes puissances s’entendent, surtout quand ce sont des puissances nucléaires », a poursuivi le dirigeant américain.

Le 16/08 à 04h01

Donald Trump décrit Vladimir Poutine comme « un homme fort et dur comme l’acier »

Le président américain Donald Trump est revenu auprès de Fox News sur sa rencontre avec Vladimir Poutine. Il a décrit son homologue russe comme « un homme fort ».

« Il est dur comme l’acier », a-t-il poursuivi.

« Mais la réunion a été très chaleureuse entre deux pays très importants. Et c’est une bonne chose quand ils s’entendent », a précisé Donald Trump.

Le 16/08 à 03h52

Donald Trump écarte de nouvelles sanctions contre la Russie car sa rencontre avec Vladimir Poutine « s’est très bien passée »

Toujours sur Fox News, Donald Trump a indiqué que sa rencontre avec Vladimir Poutine s’est « très bien passée ». Raison pour laquelle le président américain « n’a pas besoin de penser maintenant » à de nouvelles sanctions contre la Russie.

Plus tôt dans la semaine, le locataire de la Maison Blanche a menacé de « conséquences très graves » si le maître du Kremlin n’accepte pas de mettre un terme à la guerre en Ukraine.

Le 16/08 à 03h43

La Maison-Blanche affirme que « le but est toujours la paix »

Sur ses réseaux sociaux, la Maison-Blanche partage une photo de Vladimir Poutine et Donald Trump, accompagnée d’un message: « le but est toujours la paix ».

Le 16/08 à 03h35

Donald Trump estime être « assez proche d’un accord » et demande à « l’Ukraine de l’accepter »

Le président américain Donald Trump affirme sur Fox News être « assez proche d’un accord » après sa rencontre avec Vladimir Poutine et demande « maintenant à l’Ukraine de l’accepter ».

Le 16/08 à 03h17

Donald Trump affirme qu’un accord sur la guerre en Ukraine « dépend » désormais de Volodymyr Zelensky

Dans une interview accordée à Fox News, Donald Trump dit qu’un accord « dépend » désormais de Volodymyr Zelensky.

« Et je dirais également les pays européens, ils doivent s’impliquer un petit peu, mais ça dépend du président Zelensky », a précisé le président américain, juste après sa rencontre avec son homologue russe.

Le 16/08 à 02h25

Donald Trump a quitté l’Alaska, une heure et demie plus tôt que le programme initial

Le président américain Donald Trump a quitté l’Alaska, une heure et demie plus tôt que le programme initial communiqué par la Maison-Blanche.

Donald Trump quitte l’Alaska après sa rencontre avec Vladimir Poutine, ce vendredi 15 août. © BFMTV

Le 16/08 à 02h15

Vladimir Poutine a quitté l’Alaska après sa rencontre avec Donald Trump

L’avion présidentiel russe, avec Vladimir Poutine à son bord, a quitté l’Alaska.

L’avion présidentiel russe, avec Vladimir Poutine à son bord, quitte l’Alaska ce vendredi 15 août. © BFMTV

Le 16/08 à 02h12

Donald Trump quitte à son tour l’Alaska et rentre à la Maison-Blanche

Après avoir rencontré Vladimir Poutine, Donald Trump monte à bord d’Air Force One et quitte l’Alaska en direction de Washington.

Donald Trump monte à bord d’Air Force One, en Alaska ce vendredi 15 août. © BFMTV

Le 16/08 à 02h07

Vladimir Poutine est monté dans son avion et s’apprête à quitter l’Alaska

Le président russe Vladimir Poutine est monté dans son avion et s’apprête à quitter l’Alaska, après avoir rencontré son homologue américain.

L’avion présidentiel russe en Alaska, ce vendredi 15 août. © BFMTV

Le 16/08 à 01h32

Vladimir Poutine suggère à Donald Trump que leur prochaine rencontre ait lieu « à Moscou »

« Merci Vladimir, nous nous reverrons probablement bientôt », a lancé Donald Trump à la fin de la conférence de presse.

« La prochaine fois à Moscou? », a suggéré en souriant le président russe.

« Oh ! C’est intéressant », a répondu Donald Trump, estimant qu’une telle rencontre « pourrait arriver ».

Le 16/08 à 01h07

La conférence de presse est terminée

La conférence de presse est terminée. Vladimir Poutine et Donald Trump ont quitté la salle sans répondre aux questions des journalistes.

Le 16/08 à 01h04

Donald Trump salue « de grand progrès » dans les négociations

Le président américain Donald Trump a estimé que « beaucoup de progrès » ont été réalisés lors de ses entretiens avec son homologue russe Vladimir Poutine sur le conflit en Ukraine, et qu’il reste « très peu » de points à régler.

« Nous avons eu une réunion extrêmement productive, et nous nous sommes mis d’accord sur de nombreux points. Il n’en reste que très peu, certains ne sont pas très importants, mais l’un d’entre eux est probablement le plus important », a-t-il déclaré sans donner de détails. Il a cependant souligné que « nous n’y sommes pas encore arrivés, mais nous avons de très bonnes chances d’y parvenir ».

Le président américain a ajouté qu’il allait appeler le président ukrainien Volodymyr Zelensky et les dirigeants de l’Otan.

Plus d’informations ici.

Le 16/08 à 01h03

Poutine dit espérer que « l’entente » conclue avec Trump apportera « la paix en Ukraine »

Le président russe Vladimir Poutine a dit vendredi espérer que « l’entente » selon lui trouvée avec son homologue américain Donald Trump pourra conduire à « la paix en Ukraine ».

« Nous espérons que l’entente que nous avons conclue (…) ouvrira la voie à la paix en Ukraine », a-t-il déclaré, assurant que la Russie est « sincèrement intéressée à mettre fin » au conflit.

Le 16/08 à 01h02

Vladimir Poutine affirme que « la sécurité de l’Ukraine doit être garantie »

Vladimir Poutine affirme que « la sécurité de l’Ukraine doit être garantie ».

Le 16/08 à 00h54

La conférence de presse commence, Poutine salue des échanges « constructifs »

La conférence de presse commence par une prise de parole de Vladimir Poutine, qui salue des échanges « constructifs » et « respectueux ».

Le 16/08 à 00h53

Les proches de Donald Trump et Vladimir Poutine s’installent dans la salle

Les proches de Donald Trump et Vladimir Poutine s’installent dans la salle. La conférence de presse devrait bientôt débuter.

Le 16/08 à 00h31

La conférence de presse va commencer « rapidement », prévient Moscou

« La conférence de presse conjointe des présidents Vladimir Poutine et Donald Trump va commencer rapidement », indique le ministère russe des Affaires étrangères.

Le 16/08 à 00h25

Les journalistes se rendent dans la salle de presse

Les journalistes ont été autorisés à rentrer dans la salle où aura lieu la conférence de presse.

Le 16/08 à 00h19

L’entretien entre Donald Trump, Vladimir Poutine et leurs conseillers est terminé

La première partie des négociations entre Vladimir Poutine et Donald Trump est terminée, indique le Kremlin.

« Les négociations en petit comité ont pris fin », a-t-il fait savoir sur Telegram, sans qu’il soit clair dans l’immédiat si ces négociations seront suivies par celles en comité élargi entre les deux délégations. Les deux dirigeants doivent tenir une conférence de presse commune.

Le 16/08 à 00h10

Le sommet dure « depuis deux heures et demie », confirme la Maison Blanche

La réunion entre Donald Trump, Vladimir Poutine et leurs conseillers dure désormais « depuis deux heures et demie », confirme la Maison Blanche.

Le 15/08 à 23h48

« Vous engagez-vous à ne plus tuer de civils? »: Poutine muet avant sa rencontre avec Trump

« Allez-vous arrêter de tuer des civils? », a lancé une journaliste à Vladimir Poutine sur le tarmac de l’aéroport, avant sa rencontre avec Donald Trump.

Le président russe a porté la main à son oreille, comme s’il n’avait pas entendu ou pas compris la question.

Une scène similaire s’est produite un peu plus tard, quand les deux présidents se sont assis pour entamer leurs discussions. Les deux hommes sont restés muets face aux nombreuses questions des journalistes, pressés de rapidement quitter les lieux.

Le 15/08 à 23h40

La réunion se poursuit, confirme la Maison Blanche

« Donald Trump, Marco Rubio et Steve Witkoff sont toujours en réunion à huis clos avec le président Poutine et la délégation russe », confirme le chef de cabinet adjoint de la Maison Blanche.

Le 15/08 à 22h39

« C’était gênant »: des manifestants critiquent l’accueil réservé par Trump à Poutine

« C’était gênant de voir notre président accueillir un criminel de guerre », déclarent des manifestants américains venus soutenir l’Ukraine à Anchorage, en Alaska, où se tient le sommet.

Le 15/08 à 21h30

La rencontre a débuté entre Donald Trump et Vladimir Poutine

Entourés chacun de trois conseillers, Donald Trump et Vladimir Poutine ont commencé à discuter après avoir rapidement poser pour une photo devant les journalistes.

Vladimir Poutine et Donald Trump en Alaska le 15 août 2025. © Photo par ANDREW CABALLERO-REYNOLDS

Le 15/08 à 21h22

Vladimir Poutine et Donald Trump dans la même voiture

Après une première poignée de main sur le tapis rouge, Donald Trump et Vladimir Poutine ont échangé une deuxième poignée de main devant un podium « Alaska 2025 » avant de monter tous les deux dans la même voiture.

Le média d’État russe RIA Novosti a précisé que c’est Donald Trump qui a invité Vladimir Poutine à le rejoindre dans son véhicule.

Donald Trump et Vladimir Poutine à bord de « The Beast », la voiture du président des États-Unis, en Alaska le 15 août 2025. © BFMTV

Le 15/08 à 21h20

Vladimir Poutine sera accompagné de son chef de la diplomatie et de son conseiller diplomatique

Le président russe Vladimir Poutine sera accompagné de son chef de la diplomatie et de son conseiller diplomatique pour sa rencontre avec Donald Trump, a déclaré le Kremlin à la chaîne CNN, cet entretien ayant été annoncé initialement comme un tête-à-tête.

Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, a indiqué à la chaîne de télévision américaine que le chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov, et le conseiller diplomatique, Iouri Ouchakov, seraient présents.

Donald Trump sera lui accompagné du secrétaire d’État Marco Rubio et de son envoyé spécial au Kremlin Steve Witkoff.

Le 15/08 à 21h10

Donald Trump et Vladimir Poutine échangent une poignée de main historique

Donald Trump et Vladimir Poutine, souriants, échangent une poignée de main historique sur le tarmac de l’aéroport.

Le président américain avait applaudi en voyant son homologue russe arriver sur le tapis rouge.

Les deux chefs d’État sont ensuite montés ensemble dans la voiture présidentielle américaine.

Le 15/08 à 21h08

Donald Trump et Vladimir Poutine débarquent en Alaska

Donald Trump et Vladimir Poutine descendent de leur avion.

Le 15/08 à 21h03

Les deux avions présidentiels face-à-face sur le tarmac

Les deux avions présidentiels sont posés sur le tarmac de la base Elmendorf-Richardson. Donald Trump et Vladimir Poutine sont encore à l’intérieur et sont attendus pour une poignée de main historique.

Les avions du président russe et du président américain à Anchorage en Alaska le 15 août 2025. © BFMTV

Le 15/08 à 20h53

Vladimir Poutine est arrivé à son tour en Alaska

Le président russe Vladimir Poutine est arrivé à son tour en Alaska, quelques minutes après Donald Trump.

Le 15/08 à 20h27

Donald Trump et Vladimir Poutine se parleront finalement avec des conseillers et non plus en tête-à-tête

Contrairement à ce qui avait été annoncé, Donald Trump et Vladimir Poutine se parleront avec des conseillers, et non plus en tête-à-tête, a annoncé la Maison Blanche.

Donald Trump sera accompagné du secrétaire d’État Marco Rubio et de l’envoyé spécial Steve Witkoff lors des discussions avec Vladimir Poutine. Après la réunion, un déjeuner sera servi et les secrétaires au Trésor Scott Bessent, au Commerce Howard Lutnick, à la Défense Pete Hegseth, ainsi que la cheffe de cabinet de Donald Trump, Susie Wiles, seront conviés en plus de Marco Rubio et Steve Witkoff.

Le 15/08 à 20h20

Donald Trump est arrivé en Alaska

Donald Trump, à bord d’Air Force One, vient d’atterir sur la base militaire Elmendorf-Richardson en Alaska. Son homologue russe Vladimir Poutine doit arriver à 21 heures.

Le 15/08 à 19h03

Donald Trump ne sera « pas content » si un cessez-le-feu n’est pas négocié aujourd’hui

Interrogé par les journalistes à bord d’Air Force One sur ce qui pourrait faire de ce sommet un succès, Donald Trump a répondu: « Je ne peux pas vous le dire. Je ne sais pas. Rien n’est gravé dans le marbre. Je veux certaines choses. Je veux un cessez-le-feu. »

« Je souhaite un cessez-le-feu rapide (…) Je ne serai pas content si ce n’est pas aujourd’hui », a indiqué le président américain, ajoutant que l’Europe et le président ukrainien Volodymyr Zelensky seraient également impliqués.

« Je veux que les massacres cessent », a ajouté le président américain.

Le 15/08 à 18h49

« Le sommet Trump-Poutine »: suivez notre soirée spéciale consacrée à la rencontre entre les deux dirigeants

BFMTV consacre une soirée spéciale au sommet historique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, en Alaska. Suivez notre direct pour avoir les dernières informations.

Le 15/08 à 18h13

Volodymyr Zelensky accuse la Russie de continuer à « tuer » en Ukraine avant le sommet

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a affirmé que la Russie continuait à « tuer » en Ukraine avant le sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska, qui doivent évoquer la guerre déclenchée par l’invasion russe du pays en 2022.

Dans son adresse quotidienne à la nation, Volodymyr Zelensky a assuré qu’en dépit de cette rencontre, il n’y avait « aucun signal » montrant que Moscou comptait arrêter son invasion.

« Ils continuent aussi à tuer le jour des négociations », a-t-il souligné, jugeant que cela en disait long.

Le 15/08 à 17h34

Le Kremlin estime que le sommet Trump-Poutine pourrait durer « au moins 6 à 7 heures »

Le Kremlin a estimé que la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska, afin d’évoquer le conflit en Ukraine, pourrait durer au total « au moins 6 à 7 heures », en comptant leur réunion et une conférence de presse commune.

« Dans l’ensemble, on peut imaginer que cela prendra au moins 6 à 7 heures », a indiqué à la télévision d’État russe le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, expliquant que les dirigeants se rencontreraient en tête-à-tête, avant des négociations plus larges entre leurs délégations puis une conférence de presse commune. Une réunion ultérieure à trois, avec Volodymyr Zelensky, ne sera possible si les discussions entre Vladimir Poutine et Donald Trump sont fructueuses, a ajouté Dmitri Peskov.

Le 15/08 à 16h55

Vladimir Poutine à Magadan avant le sommet

Vladimir Poutine a fait une halte dans l’Extrême-Orient russe avant de se rendre en Alaska pour rencontrer le président américain Donald Trump.

Le chef de Kremlin s’est rendu dans la ville de Magadan, où il a présidé une réunion avec des responsables locaux, avant de visiter une usine.

Vladimir Poutine a également déposé des fleurs devant un mémorial à Magadan, commémorant la coopération américano-soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale, comme l’ont rapporté les médias d’État russes.

Le 15/08 à 16h10

Donald Trump accueillera Vladimir Poutine à sa sortie d’avion en Alaska

Vladimir Poutine devrait arriver à Anchorage à 11h00 heure locale (21 heures en France) et Donald Trump l’accueillera à sa descente d’avion, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à la télévision d’État russe.

Le 15/08 à 16h09

Donald Trump a parlé au président bélarusse Alexandre Loukachenko, allié de Vladimir Poutine, avant le sommet

Donald Trump a parlé aujourd’hui par téléphone au dirigeant bélarusse, Alexandre Loukachenko, fidèle allié de Vladimir Poutine, selon l’agence de presse officielle du Bélarus, avant un sommet très attendu entre les présidents américain et russe en Alaska.

« Loukachenko et Trump ont eu une conversation téléphonique », a indiqué l’agence Belta sur Telegram.

Sur Truth Social, Donald Trump a confirmé l’entretien, évoquant « une conversation très agréable avec le très respecté président de la Biélorussie, Alexandre Loukachenko ». « Nous avons abordé de nombreux sujets, notamment la visite du président Poutine en Alaska. Je me réjouis de rencontrer le président Loukachenko à l’avenir », a-t-il écrit.

Le 15/08 à 15h59

« Si nous faisons des progrès, j’en discuterai »: Donald Trump ouvert à des discussions économiques avec la Russie

Donald Trump a évoqué la possibilité de discussions commerciales avec la Russie, mais seulement si des progrès étaient réalisés en faveur de la paix.

« J’ai remarqué qu’il amenait beaucoup d’hommes d’affaires russes, et c’est une bonne chose. J’apprécie cela, car ils veulent faire des affaires, mais ils ne feront pas d’affaires tant que nous n’aurons pas résolu le conflit », a déclaré le président américain à bord d’Air Force One.

« Si nous faisons des progrès, j’en discuterai, car c’est l’une des choses qu’ils souhaitent, ils aimeraient profiter de ce que j’ai construit en termes d’économie », a-t-il ajouté.

Le 15/08 à 15h40

Donald Trump affirme que s’il n’était pas président, Vladimir Poutine « aurait déjà pris toute l’Ukraine »

« Vladimir Poutine voulait s’emparer de toute l’Ukraine », a déclaré Donald Trump, à bord d’Air Force One.

« Si je n’étais pas président, il aurait déjà pris toute l’Ukraine, mais il ne le fera pas », a-t-il assuré.

Le 15/08 à 15h11

« Ne pas permettre la capitulation devant Poutine »: Hillary Clinton dit qu’elle pourrait nominer Donald Trump pour le prix Nobel de la paix, mais sous conditions

Dans un podcast publié mercredi, l’ancienne secrétaire d’État américaine et candidate à la présidentielle Hillary Clinton a déclaré qu’elle pourrait nominer le président Donald Trump pour le prix Nobel de la paix s’il parvenait à faire plier Vladimir Poutine.

À condition qu' »il doit y avoir un cessez-le-feu, qu’il n’y aura pas d’échange de territoires (entre la Russie et l’Ukraine) et que, dans un certain délai, M. Poutine devrait se retirer du territoire qu’il a conquis afin de démontrer ses efforts de bonne foi, disons, pour ne pas menacer la sécurité européenne ».

« Si le président Trump en était l’architecte, je le nommerais pour le prix Nobel de la paix, car mon objectif ici est de ne pas permettre la capitulation devant Poutine, aidé et soutenu par les États-Unis », a-t-elle expliqué.

Le 15/08 à 15h03

Volodymyr Zelensky déclare que l’Ukraine « compte » sur Donald Trump pour convaincre la Russie de mettre fin à la guerre

L’Ukraine « compte » sur Donald Trump pour convaincre la Russie de mettre fin à la guerre, a écrit Volodymyr Zelensky dans un post sur X, alors que le président américain est à bord d’Air Force One en direction de l’Alaska, où il va rencontrer son homologue russe.

« Il est temps de mettre fin à la guerre, et la Russie doit prendre les mesures nécessaires. Nous comptons sur l’Amérique. Nous sommes prêts, comme toujours, à travailler de la manière la plus productive possible », a-t-il écrit.

Le 15/08 à 15h00

Donald Trump met en avant le « respect » mutuel entre lui et Vladimir Poutine

Donald Trump a vanté le « respect » mutuel existant entre lui et Vladimir Poutine, en route vers l’Alaska où il va rencontrer son homologue russe lors d’un sommet centré sur la guerre en Ukraine.

« C’est un homme intelligent. Il fait cela depuis longtemps, mais moi aussi (…) Nous sommes présidents. Nous nous entendons bien », a déclaré le président américain aux journalistes à bord d’Air Force One.

Le 15/08 à 14h51

Donald Trump met en garde la Russie de conséquences « très graves » si Vladimir Poutine refusait de mettre fin à la guerre

« Je ne fais pas ça pour ma santé. OK, je n’en ai pas besoin », a déclaré Donald Trump à bord d’Air Force One. « J’aimerais me concentrer sur notre pays, mais je fais cela pour sauver beaucoup de vies », a ajouté le président américain, qui se rend en Alaska pour rencontrer Vladimir Poutine.

Le locataire de la Maison Blanche a à nouveau mis en garde la Russie de conséquences « très graves » si Vladimir Poutine refusait de mettre fin à la guerre. « Oui, ce sera très grave », a-t-il assuré.

Le 15/08 à 14h48

« Je ne suis pas ici pour négocier pour l’Ukraine », déclare Donald Trump

À Bord d’Air Force One, le président américain Donald Trump s’est adressé aux journalistes présents, déclarant qu’il ne se rendait pas en Alaska pour négocier un accord au nom de l’Ukraine, mais que son objectif était plutôt de convaincre le président russe Vladimir Poutine de se joindre aux négociations. « Je ne suis pas ici pour négocier pour l’Ukraine », a-t-il expliqué.

« Peut-être », a répondu Donald Trump, interrogé sur la mise en place d’éventuelles garanties de sécurité américaines. « Pas sous la forme de l’OTAN (…) Il y a certaines choses qui ne vont pas se produire », a-t-il ajouté.

Le 15/08 à 14h05

Donald Trump a décollé en direction de l’Alaska

Le président américain a décollé de la base aérienne militaire américaine d’Andrews, dans le Maryland, à bord d’Air Force One, en direction de l’Alaska, et du sommet avec son homologue russe Vladimir Poutine.

Le 15/08 à 13h39

La Maison Blanche détaille la délégation américaine

Qui accompagnera Donald Trump en Alaska? 16 officiels seront du voyage, dont le secrétaire d’État américain Marc Rubio, le directeur de la CIA John Ratcliffe et le secrétaire au Trésor Scott Bessent, a fait savoir la Maison Blanche.

Le 15/08 à 13h15

« Enjeux élevés!!!: » le message de Donald Trump avant le sommet

Le président américain, qui doit quitter Washington incessamment pour se rendre en Alaska et rencontrer Vladimir Poutine, a écrit sur son réseau social Truth Social, à propos de ce sommet: « Enjeux élevés!!! »

L’expression « High stakes » en anglais peut également faire référence à la terminologie du poker, quand les mises sont élevées.

Le 15/08 à 12h46

Emmanuel Macron a échangé avec Volodmyr Zelensky, les présidents « ont convenu de se voir après l’Alaska »

Avant la rencontre Trump-Poutine de ce soir, le président Emmanuel Macron a eu de nouveaux échanges avec Volodymyr Zelensky jusqu’à ces dernières heures, a appris BFMTV de la part de l’Élysée. Le « dialogue (est) étroit et constant entre eux », précise l’entourage du président.

« Le président Macron et le président Zelensky ont convenu de se voir à un moment utile, après l’Alaska », précise le palais présidentiel, sans qu’une date ou un lieu précis n’aient été évoqués à ce stade.

Volomymyr Zelensky est allé voir ses alliés en Allemagne mercredi puis en Angleterre hier, mais n’avait pas fait de halte en France.

Le 15/08 à 12h10

Poutine, ministres, conseillers… Comment se compose la délégation russe en Alaska?

Autour de Vladimir Poutine, la délégation russe attendue dans les prochaines heures en Alaska comprend plusieurs membres du régime selon le Kyiv Independant, dont le ministre de la Défense Andrei Belousov ou encore son collège en charge des Affaires étrangères Sergeï Lavrov, déjà arrivé il y a quelques minutes.

Le conseiller en politique étrangère Yuri Ushakov ou encore le négociateur économique Kirill Dmitriev font aussi partie du groupe.

Le 15/08 à 12h01

La veuve d’Alexeï Navalny appelle Vladimir Poutine à libérer les opposants à la guerre en Ukraine emprisonnés

La veuve d’Alexeï Navalny, ancien opposant russe au régime de Vladimir Poutine mort le 16 février 2024 à l’âge de 47 ans dans une colonie pénitentiaire reculée de l’Arctique, appelle le chef du Kremlin à libérer les opposants à la guerre en Ukraine emprisonnés.

Le 15/08 à 11h26

Pour Sergueï Lavrov, la Russie ne fait « aucune prédiction » sur l’issue du sommet Trump-Poutine

Le chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, s’est refusé depuis l’Alaska à la moindre prédiction quant à l’issue du sommet prévu dans la soirée entre les présidents américain et russe.

« Nous ne faisons aucune prédiction », a-t-il déclaré à son arrivée à Anchorage. « Nous savons que nous avons nos arguments et notre position est claire et sans ambiguïté. Nous la présenterons », a-t-il ajouté.

Le 15/08 à 11h16

Des drones ukrainiens frappent une raffinerie de pétrole en Russie

Des drones ukrainiens ont touché cette nuit une raffinerie de pétrole russe dans la région méridionale de Samara, ainsi que la ville de Koursk proche de la frontière, tuant une personne, à quelques heures du sommet entre Vladimir Poutine et Donald Trump en Alaska.

La raffinerie, qui se trouve à plus de 800 kilomètres de la frontière ukrainienne, est présentée par Kiev comme la « plus importante du système Rosneft », une des principales entreprises russes d’extraction, de transformation et de distribution de pétrole.

« Elle produit une large gamme de carburants, y compris pour l’aviation », et « participe à l’approvisionnement des forces armées russes », a assuré l’état-major.

Une autre frappe de drone ukrainien a tué une femme aujourd’hui, tandis que 10 personnes ont été blessées, dans la ville russe de Koursk, selon le gouverneur de cette région frontalière de l’Ukraine.

L’armée russe a affirmé que l’Ukraine avait lancé 53 drones dans la nuit, tandis que l’armée de l’air ukrainienne a déclaré que Moscou en avait lancé 97.

Le 15/08 à 10h48

Sergueï Lavrov assure que la Russie présentera une « position claire et compréhensible »

Sergueï Lavrov s’est brièvement exprimé auprès des journalistes lors de son arrivée en Alaska, en assurant qu’une « position claire et compréhensible » serait exposée au président américain Donald Trump ce soir.

« Nous ne faisons jamais de plans à l’avance. Nous savons que nous avons des arguments, une position claire et compréhensible. Nous la présenterons », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères.

Il poursuit: « Beaucoup a déjà été accompli lors des visites de l’envoyé spécial du président américain Witkoff… J’espère que demain (avec dix heures de moins, il est encore jeudi en Alaska, NDLR), nous poursuivrons cette conversation utile ».

Le 15/08 à 10h44

Le ministre russe des Affaires étrangères arrive en Alaska avec un pull floqué « URSS »

Sergueï Lavrov est arrivé à Anchorage, en Alaska, quelques heures avant le début du sommet. Ce dernier est vêtu d’un pull portant l’inscription « CCCP », l’acronyme en lettres cyrilliques pour « URSS ».

Le 15/08 à 10h15

« Il faudrait l’arrêter »: des manifestations d’Alaskiens opposés à la venue du président russe

En Alaska, la venue du président russe n’est pas au goût de tous. Hier, plusieurs dizaines de manifestants s’opposaient à sa venue, notamment avec des pancartes « Putin War Criminal » (Poutine criminel de guerre, NDLR).

« Que notre président l’invite, c’est une honte (…). Notre pays devrait défendre la paix », témoigne l’un d’eux sur notre antenne.

« Il faudrait l’arrêter, mais là il est accueilli et sur une base militaire en plus! C’est choquant », avance une autre Américaine.

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Le 15/08 à 09h51

Trois fois la taille de Paris: la base aérienne d’Elmendorf, un bunker géant et sécurisé

Le site militaire américain est immense, grand comme trois fois la ville de Paris, et ultra protégé. Grillages, barbelés, checkpoints aux points d’entrées… En plus des installations permanentes liées à la base militaire, les moyens de sécurisation sont drastiques afin de protéger deux des personnalités les plus puissantes -et menacées- de la planète.

La base aérienne d’Elmendorf, en Alaska aux États-Unis, où Donald Trump et Vladimir Poutine se rencontrent pour un sommet « historique » sur l’Ukraine, le 15 août 2025. © DREW ANGERER / AFP

La Joint Base d’Elmendorf est la plus grande base militaire d’Alaska et abrite plus de 32.000 personnes, soit environ 10% de la population d’Anchorage selon SkyNews. Parmi eux, « plus de 6.000 militaires issus de toutes les branches des forces armées américaines et canadiennes », comme l’indique le site des forces aériennes du Pacifique de l’US Army.

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Le 15/08 à 09h33

« Peu raisonnable » que le conflit s’arrête après le sommet selon un spécialiste des relations internationales

Bruno Tertrais, politologue spécialiste des relations internationales, a montré son pssimisme à l’antenne de Franceinfo ce matin. Pour lui, « non » la question du conflit ne sera pas résolue après ce sommet bilatéral.

« Il est assez peu raisonnable de s’attendre à ce que ce sommet mette un terme à la guerre en Ukraine », estime ce dernier.

Le 15/08 à 09h01

Trump évoque une conférence de presse « commune » ou seul « si la réunion ne se passe pas bien »

Si elle n’est plus évoquée ce matin dans l’agenda officiel de la journée fourni par la Maison Blanche, Donald Trump évoquait encore hier soir auprès de Fox Radio la tenue d’une conférence de presse après la rencontre avec Vladimir Poutine.

« Nous n’en avons même pas discuté. Je pense que ce serait bien d’avoir une conférence conjointe, puis séparée. Ou si la réunion ne se termine pas bien, je tiendrai simplement une conférence de presse et je partirai », a détaillé le locataire de la Maison Blanche.

Le 15/08 à 08h48

Cessez-le-feu, échange de territoires… 5 questions pour comprendre les enjeux du sommet

Plusieurs questions restent en suspens à quelques heures du sommet organisé en Alaska: cessez-le-feu conclu? « Échange de territoires »? Quelles « garanties de sécurité » pour l’Ukraine?

Les deux présidents vont tenter de trouver une issue au conflit en Ukraine, plus de trois ans et demi après le début de l’invasion russe. Mais l’inquiétude d’être lâchés par Donald Trump est grande aussi bien du côté des Ukrainiens que du côté des autres puissances européennes.

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Le 15/08 à 07h23

G20 en Allemagne, sommet à Helsinki… Les précédentes rencontres entre Donald Trump et Vladimir Poutine

Depuis leur première rencontre à Hambourg le 7 juillet 2017, les présidents américain et russe se sont rencontrés à plusieurs reprises, notamment à Helsinki en 2018 où la question des ingérences russes en pleine campagne des élections américaines de 2016 avait été évoquée.

« Mes services pensent que c’est la Russie, le président Poutine me dit que ce n’est pas la Russie. Je ne vois pas pourquoi ça pourrait l’être », avait alors lâché le locataire de la Maison Blanche, un désaveu total de sa propre administration.

La rencontre de ce soir sera la première en six ans depuis leur dernière rencontre en marge du G20 à Osaka en 2019.

Le 15/08 à 07h04

La conférence de presse commune Trump-Poutine pour l’heure absente de l’agenda officiel

Annoncée dès hier par les représentants russes, la conférence de presse commune Trump-Poutine qui devait se tenir après leur rencontre bilatérale n’est pour l’heure pas annoncée dans la programmation officielle fournie par la Maison Blanche aux journalistes.

Le 15/08 à 07h02

Trump assure que Poutine « ne fera pas le malin » avec lui

Lors d’un point presse organisé hier, avant son départ pour l’Alaska, Donald Trump a assuré que le chef du Kremlin « aimerait avoir un accord » et que s’il n’avait pas été président « il (Poutine, NDLR) aurait pris toute l’Ukraine ».

« Mais je suis président et il ne fera pas le malin avec moi », a lancé Donald Trump.

Le 15/08 à 06h43

Vladimir Poutine a « aujourd’hui l’occasion d’accepter un cessez-le-feu » selon le chancelier allemand

Vladimir Poutine « a aujourd’hui l’occasion d’accepter un cessez-le-feu » en Ukraine, a souligné en fin de nuit le chancelier allemand Friedrich Merz, qui attend du président russe « qu’il engage des négociations sans conditions » après sa rencontre avec Donald Trump vendredi en Alaska.

« L’objectif doit être (l’organisation d’)un sommet auquel participe également le président (ukrainien) Zelensky », lors duquel « un cessez-le-feu doit être convenu », a déclaré dans un communiqué Friedrich Merz, pour qui « le président Trump peut maintenant accomplir un pas significatif vers la paix ».

Le 15/08 à 06h25

Fermeture de l’espace aérien, base militaire ultrasécurisée… Les enjeux sécuritaires de la rencontre

Isolée, confinée et sécurisée… La base aérienne d’Elmendorf, qui accueillera en Alaska la rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump à 21h30 (heure française), n’a pas été choisie au hasard.

Plusieurs milliers de militaires américains sont en permanence sur place et assureront, en plus des moyens drastiques supplémentaires des services de sécurités des deux présidents, la sécurité des environs.

L’espace aérien sera aussi fermé au-dessus et aux alentours des lieux. Autant de conditions qui ont satisfait le Kremlin et permis la venue de Vladimir Poutine sur les lieux, lui qui ne se déplace que très peu à l’étranger depuis le début de la guerre en Ukraine.

Le 15/08 à 06h25

L’idée d’une réunion tripartite avec Volodymyr Zelensky, Vladimir Poutine et Donald Trump déjà évoquée

Avant même d’avoir rencontré le maître du Kremlin, Donald Trump a déjà avancé l’idée d’une réunion tripartite avec ses homologues russe et ukrainien, qui interviendrait « rapidement » après sa rencontre avec Vladimir Poutine. Une seconde rencontre qui serait « très très importante, car ce sera une rencontre où ils passeront un accord ».

« Et je ne veux pas utiliser le terme ‘se partager les choses’, mais d’une certaine manière, ce n’est pas un mauvais terme. Il y aura du donnant donnant en ce qui concerne les frontières, les territoires« , a poursuivi Donald Trump.

Le 15/08 à 06h20

Donald Trump croit que Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky « sont prêts à la paix »

Environ 24 heures avant sa rencontre avec son homologue russe, Donald Trump a estimé que ses homologues russe et ukrainien « sont prêts à la paix ».

« Nous allons sauver énormément des vies. Si nous arrivons à résoudre cette guerre, nous serons très heureux », s’est avancé le dirigeant américain.

Le 15/08 à 06h15

Selon le président américain, le risque d’échec de sa rencontre avec Vladimir Poutine est de « 25% »

Interrogé par Fox News Radio hier, Donald Trump estime que « cette rencontre va ouvrir la voie à une autre ». « Mais il y a 25% de chances que cette rencontre ne soit pas un succès », s’avance-t-il.

Ce déplacement de Vladimir Poutine est le premier aux États-Unis depuis 2015.

Le 15/08 à 06h10

Donald Trump et Vladimir Poutine se rencontrent ce soir en Alaska, un sommet « très important »

Bonjour à tous et bienvenue sur ce direct consacré à la rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump ce soir en Alaska. Une rencontre « très importante » selon le président américain, qui tournera largement autour de la guerre en Ukraine.

Le locataire de la Maison Blanche croit que les présidents russe et ukrainien « sont prêts à la paix », avançant même déjà l’idée d’une réunion tripartite avec Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, qui interviendrait « rapidement ».

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Des ouvriers utilisent des lames de rasoir pour gratter les étiquettes de différentes bouteilles en plastique de boissons gazeuses à la Street Waste Company, à Lagos, au Nigeria, le lundi 11 août 2025. SUNDAY ALAMBA / AP

Chaos et consternation. Ce qui devait être l’ultime session de négociations pour parvenir à un traité mondial juridiquement contraignant pour lutter contre la pollution plastique et ses effets délétères sur l’environnement et la santé humaine s’est finalement soldé par un échec cuisant. Aucun terrain d’entente n’a pu être trouvé entre d’un côté la centaine de pays dits « de haute ambition », dont ceux de l’Union européenne, partisans d’un traité limitant la production de plastique et s’attaquant à l’ensemble de son cycle de vie et de l’autre, un petit groupe de pays dits « obstructeurs », dont les pays du Golfe, l’Iran et la Russie, producteurs de pétrole et de gaz, qui veulent limiter la portée de ce texte à la seule question de la gestion des déchets et du recyclage.

Le Comité intergouvernemental de négociation, présidé par l’Equatorien Luis Vayas Valdivieso, avait pourtant prévu une session exceptionnellement longue – dix jours – pour ce nouveau round de discussions organisé au palais des Nations unies, à Genève, après l’échec de celle qui devait déjà être la dernière et qui s’était tenue fin 2024 à Pusan, en Corée du Sud.

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Apte à jouer, Neal Maupay ne figure pourtant pas dans le groupe de l’Olympique de Marseille pour le match inaugural de la saison 2025-2026 de Ligue 1 contre Rennes. Roberto De Zerbi a choisi de se passer de l’attaquant dont l’avenir apparait de plus en plus incertain chez les Phocéens.

Un premier choix fort de Roberto De Zerbi pour le début de la Ligue 1. En déplacement ce vendredi à Rennes pour le match d’ouverture de la saison, l’entraîneur de l’OM a décidé de laisser Neal Maupay à la maison selon les informations de RMC Sport.

En pleine possession de ses moyens et pourtant bien pourtant bien présent à l’entraînement de veille de match lors des oppositions, l’attaquant ne figure pas dans le groupe pour le voyage en Bretagne.

>> Toutes les infos sur la première journée de L1

L’avenir de Maupay de plus en plus incertain à l’OM

Dans un secteur offensif très fourni avec notamment Amine Gouiri, Mason Greenwood ou encore le revenant Pierre-Emerick Aubameyang, Neal Maupay ne constitue plus l’un des premiers choix de Roberto De Zerbi.

Au point que pour le duel disputé ce vendredi au Roazhon Park, affiche qui marquera aussi la première de la plateforme Ligue1+, le technicien italien a préféré convoquer le jeune Robinio Vaz (18 ans) dans un groupe déjà élargi de 21 joueurs.

La concurrence sera rude dans le secteur offensif marseillais et l’avenir de Neal Maupay à Marseille s’inscrit en pointillés. Un départ lors du mercato reste possible et son avenir demeure très incertain. Encore plus avec ce choix du staff olympien pour le premier match de la saison.

Une incertitude en défense contre Rennes

Pas trop de surprise pour le reste du groupe phocéen qui s’est envolé dans la matinée vers Rennes. Suspendu pour la reprise de la Ligue 1, Facundo Medina n’est pas là. Idem pour la recrue Igor Paixao en raison d’une blessure. Fraîchement arrivé à l’OM lors du mercato estival, Timothy Weah est bien là avec les autres recrues même si l’ancien joueur de la Juventus et du PSG semble parti pour débuter sur le banc.

Roberto De Zerbi pourrait s’appuyer sur un dispositif en 4-3-3 avec Murillo dans le couloir droit et une charnière Balerdi-Egan Riley. A moins que le coach italien ne décide de titulariser Geoffrey Kondogbia dans l’axe avec le jeune CJ Egan-Riley sur le côté gauche de la défense.

La compo probable de l’OM contre Rennes: Rulli- Murillo, Balerdi Egan-Riley (ou Kondogbia) Garcia (ou Egan-Riley) – Hojbjerg, Gomes, Rabiot – Greenwood, Gouiri, Rowe.

Jean-Guy Lebreton avec Florent Germain

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ART ET ARTISANAT

« Le Double belvédère », au Cap de Carteret, jusqu’au 31 août

La cabane de Matali Crasset, Cap de Carteret. GANDY GALLERY

Nadine Gandy (fondatrice de la plus grande galerie d’Europe de l’Est, Gandy Gallery) a invité Matali Crasset à plancher sur le promontoire rocheux du cap de Carteret. La designer a imaginé une cabane composée de palettes en bois pour « habiter la vue », face aux îles anglo-normandes. Ouverte à tous, l’installation attend la visite des rêveurs et des enfants… Dès septembre, elle sera installée dans le parc de la mairie de Carteret.

Cap de Carteret (Manche). commonshelters.com

Collection Heliada, Picasta, Hôtel Lou Pinet, à Saint-Tropez, jusqu’au 31 août

Dans une atmosphère d’antre de collectionneur, l’hôtel 5 étoiles tropézien de la collection Maisons Pariente (Le Coucou à Méribel, Le Grand Mazarin à Paris…) accueille en son jardin le mobilier en plâtre façonné à la main par l’artiste Picasta. Entre architecture et sculpture, ses œuvres immaculées ou réveillées de couleurs vives s’inscrivent dans le parcours hors les murs de l’exposition « Une maison à Saint-Tropez » imaginée par Isabelle Castanier.

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