Ultimatum, sanctions, armements… Guerre en Ukraine: le bras de fer entre Trump et Poutine


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Espagne: dix personnes interpellées après les violences racistes dans le sud-est, la situation est « maîtrisée »

Dix personnes ont été interpellées depuis ce vendredi après les émeutes anti-immigrés dans le sud-est de l’Espagne.

Dix personnes ont été interpellées depuis ce vendredi après les émeutes anti-immigrés à Torre Pacheco, une ville du sud-est de l’Espagne, dont trois en lien avec l’agression d’un retraité qui a été à l’origine de cette flambée de violence, ont annoncé lundi les autorités.

« À l’heure actuelle, dix personnes ont été arrêtées », a indiqué sur X la déléguée du gouvernement central dans la région de Murcie, Mariola Guevara, faisant le point sur le bilan des violences qui ont secoué ces derniers jours cette ville de 40.000 habitants.

Près de 80 personnes été identifiées

Parmi les personnes interpellées, trois l’ont été dans le cadre de l’enquête ouverte après l’agression d’un retraité à Torre Pacheco mercredi dernier, a précisé Mme Guevara.

Elle avait déjà fait état de l’interpellation de deux « immigrés » n’habitant pas à Torre Pacheco. La troisième personne a été arrêtée au Pays basque, dans le nord du pays, alors qu’il se dirigeait vers la France, a-t-elle précisé lundi soir.

Les sept autres, un citoyen marocain et six Espagnols, ont été interpellés pour leur participation aux affrontements qui ont suivi. Ils sont poursuivis pour des délits de « troubles à l’ordre public », « haine » et « blessures volontaires », a-t-elle détaillé.

Selon la déléguée du gouvernement, près de 80 personnes ayant pris part à ces altercations ont par ailleurs été identifiées.

« Beaucoup d’entre elles ont des antécédents pour des faits de violence » et « la majorité ne sont pas de Torre Pacheco », a-t-elle insisté.

Ces violences ont été déclenchées par l’agression en pleine rue d’un habitant de 68 ans, prénommé Domingo. Ce dernier a raconté à des médias espagnols, le visage tuméfié, avoir été attaqué sans motif apparent par trois jeunes d’origine nord-africaine.

Cette agression, filmée et mise en ligne sur les réseaux sociaux, a poussé des groupes d’extrême droite à se rassembler dans les rues de la ville pour s’en prendre à des personnes d’origine nord-africaine, malgré le déploiement d’importantes forces de sécurité.

« Les menaces doivent cesser »

« Hier, nous avions déjà déployé 90 agents de la Garde civile », équivalent espagnol de la gendarmerie, et « leurs effectifs seront renforcés demain et dans les jours suivants », a précisé le ministre de l’Intérieur Fernando Grande-Marlaska.

Interrogé sur la chaîne de télévision publique TVE, le maire de Torre Pacheco, Pedro Ángel Roca, a assuré de son côté que la situation avait été « maîtrisée » dimanche soir grâce à la présence policière, et a de nouveau appelé au calme.

« Les menaces, les agressions et la peur dans les rues doivent cesser », a dénoncé de son côté l’Association marocaine pour l’intégration des immigrés, en exigeant dans un communiqué « une véritable protection pour les personnes concernées ».

Selon Pedro Ángel Roca, 30% des 40.000 habitants de Torre Pacheco sont des immigrés, principalement d’origine marocaine, et qui travaillent en majorité dans des exploitations agricoles. « Ce sont des gens qui vivent dans la ville depuis plus de 20 ans », a insisté l’édile.

Mais « il y a aussi de la délinquance, bien sûr », a ajouté ce membre du Parti populaire (PP, droite), en appelant à une présence policière renforcée tout au long de l’année et à l’interdiction pour les groupes d’extrême droite de se regrouper dans la ville.

Selon les autorités, plusieurs mouvements d’ultradroite extérieurs à la ville ont participé aux affrontements. Parmi eux figurent le groupe « Deport them now » (« Déportez-les maintenant »), qui a appelé sur Telegram à une « chasse » aux personnes d’origine nord-africaine.

Selon les dernières données de l’Institut national de statistique (INE), 920.000 Marocains vivaient en Espagne au 1er janvier 2024. Il s’agit de la principale diaspora dans ce pays, devant les Roumains (620.000 personnes).

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Emmanuel Macron annonce 3,5 milliards d’euros de dépenses supplémentaires pour la défense en 2026 et 3 milliards d’euros en 2027

Emmanuel Macron a annoncé, dimanche 13 juillet, au cours de son traditionnel discours aux armées, à l’hôtel de Brienne, renforcer l’effort budgétaire prévu pour la défense, en ajoutant des dépenses de 3,5 milliards d’euros en 2026, puis 3 milliards de plus en 2027. « Une actualisation de la loi de programmation militaire » pour 2024-2030 « sera présentée à l’automne », a précisé le chef de l’Etat.

Lire aussi | En direct, discours d’Emmanuel Macron aux armées : le président de la République annonce des efforts budgétaires pour la défense de 3,5 milliards d’euros en 2026 et 3 milliards en 2027

Compte tenu de ces nouvelles hausses, qui s’ajoutent aux augmentations annuelles du budget déjà prévues dans la loi de programmation militaire (LPM), le budget de la défense aura quasi doublé en dix ans, passant de 32,2 milliards d’euros en 2017 à près de 64 milliards en 2027. Cette année-là, la France consacrera à la défense le budget qu’elle prévoyait auparavant d’atteindre en 2029. « Cet effort nouveau, historique et proportionné, il est crédible, il est indispensable, il est juste ce qu’il nous faut, mais vraiment ce qu’il nous faut », a justifié le chef de l’Etat.

« Jamais, depuis 1945, la liberté n’avait été si menacée », a ainsi déclaré M. Macron devant un parterre de hauts gradés. L’Europe a été « mise en danger au moment où la guerre a été portée sur notre sol avec l’invasion de l’Ukraine, alors que les Etats-Unis ont ajouté une forme d’incertitude » quant à la pérennité de leur soutien, a exposé M. Macron, et « notre Europe se trouve placée à la lisière d’un vaste arc de crises ».

« Pour être libre dans ce monde, il faut être craint »

« Face à un monde plus brutal, la nation doit être plus forte », car « pour être libre dans ce monde, il faut être craint ; pour être craint, il faut être puissant », a insisté le président. Or « nous avons une avance, mais demain, au même rythme, nous serions dépassés ». Le président français a évoqué « la permanence d’une menace russe, aux frontières de l’Europe (…), une menace préparée, organisée, durable, et à laquelle nous devrons être capables de faire face », mais aussi la désinformation, la lutte contre le terrorisme ou encore les ruptures technologiques qu’il faut pouvoir suivre, sur la base des conclusions publiées dans la Revue nationale stratégique lundi.

Alors que le gouvernement doit donner un net tour de vis pour tenter de redresser les comptes publics, Emmanuel Macron a affirmé qu’il n’était pas question que ce « réarmement passe par l’endettement ». « Notre indépendance militaire est indissociable de notre indépendance financière, il sera donc financé par plus d’activité et plus de production », a-t-il plaidé. Il a rappelé que les dépenses militaires étaient aussi « source de richesse pour notre PIB [produit intérieur brut] », les équipements étant essentiellement acquis auprès d’industriels français.

Emmanuel Macron lors de son traditionnel discours aux armées, à l’hôtel de Brienne, à Paris, le 13 juillet 2025. LUDOVIC MARIN / AP

Il a appelé les Français à « consentir à cet effort », « un effort ponctuel de tous pour préserver notre sécurité et notre indépendance ». « Le salut de la patrie suppose que nous dépensions plus pour notre défense et que chacun prenne sa part du fardeau », a-t-il jugé. Ces ressources supplémentaires doivent, selon lui, aider à « combler nos zones de fragilité » : stocks de munitions, « armes de saturation et armes de précision », drones, « capacités spatiales », ainsi que les « équipements nécessaires au quotidien pour que les opérations soient menées ». Ces fonds serviront également à renforcer les moyens de défense sol-air, de guerre électronique, dont la guerre en Ukraine a montré le rôle essentiel.

Des orientations pour l’engagement des jeunes à l’automne

D’autres pays européens n’ont pas attendu l’objectif fixé par les pays membres de l’OTAN en juin de consacrer 5 % de leur PIB à leur sécurité (3,5 % pour les seules dépenses militaires) d’ici à 2035 pour rehausser leurs ambitions. Londres veut porter son budget de défense à 2,5 % d’ici à 2027, puis à 3 % après 2029. L’Allemagne compte atteindre un budget de défense de 162 milliards d’euros en 2029, soit 3,5 % de son PIB, et la Pologne y consacre déjà 4,7 % de sa richesse nationale.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les Européens en quête d’idées pour financer l’effort de défense

M. Macron a par ailleurs de nouveau évoqué la dimension européenne de la dissuasion nucléaire française, en expliquant avoir « mandaté le ministre des armées pour engager un dialogue stratégique avec [les] partenaires européens qui y sont prêts ». « Je reviendrai plus précisément, à la fin de cette année, sur les évolutions que cela emporte », a-t-il assuré.

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Enfin, le président de la République a abordé la question de la mobilisation de la jeunesse. « Je crois aussi que l’on doit donner à la jeunesse un nouveau cadre pour servir, selon d’autres modalités, au sein de nos armées », a-t-il affirmé en annonçant qu’il donnerait des orientations « à l’automne ». Un service militaire volontaire « rénové » pourrait être créé pour proposer aux jeunes Français de recevoir une formation militaire susceptible de déboucher sur leur engagement dans les armées, a confié une source proche du dossier à l’Agence France-Presse.

Le Monde avec AFP

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Budget : faut-il faire payer les retraités ?


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Paul Biya, président du Cameroun depuis quarante-deux ans, se déclare candidat à un huitième mandat

Le président camerounais, Paul Biya, participe au Forum de Paris sur la paix, le 12 novembre 2019. CHARLES PLATIAU / REUTERS

Paul Biya, âgé de 92 ans et au pouvoir depuis presque quarante-trois ans, s’est déclaré candidat à l’élection présidentielle camerounaise prévue le 12 octobre, a-t-il annoncé sur son compte X, dimanche 13 juillet. « Soyez assurés que ma détermination à vous servir est à la mesure de l’acuité des défis auxquels nous sommes confrontés », a-t-il écrit dans un communiqué, briguant ainsi un huitième mandat.

Lire aussi | Cameroun : face à une nouvelle candidature de Paul Biya, les doutes de la jeunesse du pays

Cette annonce survient alors que le camp Biya a récemment connu plusieurs défections : Issa Tchiroma Bakary, ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, a quitté le gouvernement à la fin de juin avant de se déclarer candidat à la présidentielle sous la bannière de son parti, le Front pour le salut national du Cameroun.

Un ministre d’Etat, Maïgari Bello Bouba, ancien premier ministre, a également déclaré sa candidature ; responsable de l’Union nationale pour la démocratie et le progrès, un parti allié à M. Biya, il faisait figure d’allié historique depuis près de trente ans.

Dépôt des candidatures jusqu’au 21 juillet

Le chef de l’Etat, qui dirige ce pays d’Afrique centrale d’une main de fer depuis 1982, est aussi le président du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (conservateur), l’ancien parti unique.

Au début de juillet, le secrétaire général de la présidence, Ferdinand Ngoh Ngoh, a convoqué à tour de rôle les élus et les ministres de chacune des dix régions pour mener des concertations avec les soutiens du pouvoir.

Maurice Kamto, plus farouche opposant à Paul Biya, arrivé deuxième lors de la présidentielle de 2018, et Cabral Libii, une figure importante de l’opposition, sont déjà en course pour le scrutin d’octobre. Les candidatures sont à déposer jusqu’au 21 juillet.

Lire aussi | Présidentielle camerounaise : l’après-Biya en préparation, des prétendants placent leurs pions

Le Monde avec AFP

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INFO BFMTV. Dijon: un faux pédiatre en garde à vue pour agression sexuelle sur mineure

Un homme, ayant usurpé l’identité d’un pédiatre à Dijon, a été placé ce mercredi 9 juillet en garde à vue. Il est accusé d’agression sexuelle sur une jeune femme de 17 ans.

Un homme a été placé en garde à vue ce mercredi 9 juillet à Dijon (Côte d’Or), selon les informations de BFMTV. Plus tôt dans la journée, une jeune fille de 17 ans avait porté plainte pour une agression sexuelle commise plusieurs semaines auparavant.

Cet homme est âgé de 26 ans et lui aurait proposé un stage en pédiatrie, mais aussi du cannabis, selon un communiqué du procureur de la République de Dijon.

L’identité d’un médecin usurpée

Selon elle, un homme aurait usurpé l’identité d’un médecin en se faisant passer pour un pédiatre et était parvenu à convenir d’un rendez-vous avec elle. Rendez-vous, au cours duquel la jeune fille aurait été agressée sexuellement.

Une information, confirmée par le procureur, qui affirme que l’intéressé usurpait l’identité d’un véritable praticien et ne disposait d’aucune qualité lui permettant d’exercer une activité médicale.

En perquisition, des éléments édifiants ont été retrouvés au domicile du suspect, comme plusieurs CV de jeunes filles, des cartes bancaires, un pistolet automatique d’alarme, une  cagoule, des gants, ainsi que des objets en provenance d’un hôpital.

La garde à vue, notamment pour agression sexuelle sur mineure de plus de 15 ans, est toujours en cours ce jeudi.

Contacté par BFMTV, l’hôpital indique que « depuis le début de cette affaire, le CHU Dijon Bourgogne apporte tout son concours aux enquêteurs dans la résolution de celle-ci dans les plus brefs délais. Compte-tenu du fait que l’enquête judiciaire est toujours en cours, aucune autre communication ne sera réalisée à ce stade. »

Mélanie Bertrand avec Alixan Lavorel

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En Syrie, 37 morts lors d’affrontements dans une ville à majorité druze

Le 7 mai 2025, près de Souweïda, en Syrie. ABDULMONAM EASSA POUR « LE MONDE »

Des affrontements entre tribus bédouines et combattants locaux à Souweïda, ville à majorité druze située dans le sud-ouest de la Syrie, ont causé la mort d’au moins 37 personnes, a rapporté l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), dimanche 13 juillet. Selon cette ONG établie au Royaume-Uni, mais qui dispose d’un large réseau de sources en Syrie, on compte parmi les victimes 27 Druzes, dont deux enfants, et dix Bédouins, auxquels s’ajoutent une cinquantaine de blessés.

Le ministère de l’intérieur a exprimé dans un communiqué sa « profonde inquiétude » après les heurts, qui ont fait selon lui « plus de 30 morts et près de 100 blessés » dans le quartier d’Al-Makous, dans l’est de Souweïda. Le ministère a annoncé l’intervention d’unités de police, « en coordination avec le ministère de la défense, pour résoudre le conflit, arrêter les affrontements, imposer la sécurité, poursuivre les responsables de ces incidents et les déférer devant la justice compétente ». Ces affrontements sont survenus « sur fond de tensions accumulées lors de périodes précédentes », a-t-il précisé.

Plus tôt, le gouverneur de Souweïda, Moustapha Al-Bakur, a demandé aux habitants de « faire preuve de retenue ». Plusieurs notables druzes ont également appelé au calme, réclamant une intervention des autorités.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés En Syrie, des affrontements dans des villes druzes autour de Damas font craindre de nouvelles violences communautaires

Il s’agit de nouveaux affrontements meurtriers entre les deux communautés depuis les violences d’avril et de mai, qui avaient opposé les forces de sécurité syriennes à des combattants druzes, faisant plusieurs dizaines de morts.

Citant des sources médicales, le site d’information Suweida 24 avait fait état « d’affrontements armés et d’échanges de tirs d’obus ». L’autoroute reliant Damas à Souweïda a été fermée en raison des violences, selon ce média.

Tensions anciennes

Avec quelque 700 000 habitants, la province de Souweïda abrite la plus importante communauté druze du pays, une minorité religieuse issue de la branche ismaélienne du chiisme. Les tensions entre factions druzes et bédouines y sont anciennes, et des violences éclatent sporadiquement entre les deux groupes, notamment quand les Bédouins font paître leurs troupeaux sur des terrains agricoles appartenant aux Druzes.

Après la chute du président Bachar Al-Assad en décembre, qui a mis fin à quatorze ans de guerre civile, les violences qui ont eu lieu au début de mars contre la communauté alaouite – plus de 1 700 morts – puis contre les Druzes ont ébranlé la confiance dans la capacité des nouvelles autorités, dirigées par le nouvel homme fort Ahmed Al-Charaa, à protéger les minorités en Syrie.

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Les affrontements d’avril et de mai entre les nouvelles forces de sécurité et des combattants druzes avaient fait plusieurs dizaines de morts, avant que des chefs locaux et religieux ne concluent des accords destinés à contenir l’escalade et à mieux intégrer les combattants druzes dans les nouvelles structures de pouvoir.

A la suite de ces heurts, Israël, qui occupe depuis 1967 la partie du Golan syrien (annexée depuis 1981), a invoqué la protection des Druzes pour justifier plusieurs frappes, dont une, au début de mai, près du palais présidentiel, à Damas.

Les Druzes sont présents surtout en Syrie, au Liban et en Israël, où quelque 152 000 d’entre eux sont recensés, selon les dernières données disponibles. Ce chiffre inclut les 24 000 Druzes habitant la partie annexée du Golan, dont moins de 5 % ont la nationalité israélienne.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés A Souweïda, les Druzes de Syrie face aux sirènes d’Israël

Le Monde avec AFP

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600 nouveaux trains: Alstom revient dans la course pour le contrat ferroviaire du siècle en Belgique

Sous la pression de l’industriel français, le Conseil d’État belge avait suspendu le choix de la SNCB pour ce contrat majeur à plus de 3 milliards d’euros qui avait été remporté par l’espagnol CAF. Une nouvelle décision sera rendue fin juillet.

C’est reparti pour un tour. Selon la RTBF, le ministre fédéral belge de la Mobilité a indiqué que le conseil d’administration de la SNCB (la SNCF belge) se réunira le 23 juillet pour attribuer une nouvelle fois l’appel d’offres pour la production de 600 nouveaux trains conventionnels, soit la moitié de la flotte de l’opérateur. Un contrat majeur évalué à 3,4 milliards d’euros au maximum.

De quoi offrir une nouvelle chance à Alstom de remporter la mise. Rappelons qu’initialement, la SNCB avait choisi de négocier exclusivement avec l’espagnol CAF pour cette commande. Un choix durement contesté par le Français. Alstom était en effet convaincu d’être le favori, notamment grâce à la carte de la production locale et une offre tarifaire mieux-disante de plus de 100 millions d’euros. Le patron d’Alstom Belgique, Bernard Belvaux, dénonçait alors « la décision choquante » de la compagnie ferroviaire publique.

« Comment peut-on promouvoir une offre plus chère sans différencier la note globale et avec un impact défavorable sur notre site de production à Bruges et sur l’ensemble de l’industrie ferroviaire belge? », s’est-il interrogé.

Recours

L’industriel français avait alors actionné tous les leviers politiques pour remettre en cause cette décision et avait saisi le Conseil d’État belge en déposant un recours. Un recours accepté puisque l’appel d’offres a été suspendu en avril. La plus haute autorité administrative du pays a estimé que le critère de transparence rendu obligatoire par la législation sur les marchés publics n’a pas été respecté et que la méthode utilisée par l’évaluation des offres n’est pas compréhensible.

Dans cette affaire, Alstom a bénéficié du soutien du gouvernement belge. Jean-Luc Crucke, le ministre de la Mobilité a déclaré qu’il ne reprochait pas à la SNCB d’avoir choisi CAF, mais estime que si l’appel d’offres avait inclus dans le cahier des charges une disposition tenant compte de l’empreinte carbone de la construction des trains, la décision aurait été différente.

Rappelons que CAF a également remporté contre Alstom un contrat pour 150 trains classiques pour les chemins de fer marocains (près de 3 milliards d’euros). Alstom a néanmoins remporté celui pour 18 TGV. En France, c’est également CAF qui a été choisi pour fournir de nouvelles rames Intercités (appelées Oxygène) pour les lignes Bordeaux-Marseille, Paris-Toulouse et Paris-Clermont Ferrand.

Olivier Chicheportiche Journaliste BFM Business

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Ukraine: un agent des services secrets assassiné à Kiev, « une enquête criminelle » ouverte

Les services de sécurité ukrainiens ont annoncé ce jeudi la mort d’un agent, tué à Kiev. Une enquête criminelle a été ouverte pour meurtre.

Les services de sécurité ukrainiens (SBU) ont annoncé ce jeudi 10 juillet qu’un de leurs agents avait été tué à Kiev, la capitale de l’Ukraine, une affaire relativement rare dans le pays.

« Une enquête criminelle a été ouverte pour le meurtre d’un employé du SBU dans le district de Golosiïvsky à Kiev », a indiqué le SBU dans un communiqué à l’AFP.

Les services de sécurité et la police ukrainienne « prennent toutes les mesures nécessaires pour établir les circonstances du crime et traduire les responsables en justice », a poursuivi cette source.

Une attaque rare en plein jour

Une vidéo, non identifiée par l’AFP, tirée d’une caméra de surveillance et relayée par des chaînes Telegram ukrainiennes, montre un homme cagoulé abattre un individu près d’un parking, avant de prendre la fuite.

« Arrivés sur les lieux, les forces de l’ordre ont découvert le corps d’un homme présentant une blessure par balle », a précisé pour sa part la police, assurant vouloir « établir toutes les circonstances de l’incident ».

D’après le média ukrainien indépendant Ukrainska Pravda, la victime serait le colonel Ivan Voronytch. Le suspect a tiré cinq fois sur la victime avec un pistolet muni d’un silencieux, a également affirmé le média, citant des sources au sein du SBU.

Une telle attaque en plein jour est rare à Kiev, y compris depuis le début de l’invasion russe en février 2022.

En plus de trois ans, Ukrainiens et Russes se sont accusés régulièrement d’assassinats organisés notamment contre des responsables politiques et militaires, ainsi que de sabotage ou encore d’espionnage

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En direct, guerre en Ukraine : l’envoyé spécial des Etats-Unis, Keith Kellogg, en visite à Kiev

Le ministre de la défense allemand appelle l’industrie de son pays à « augmenter ses capacités » de production

Le ministre de la défense allemand, Boris Pistorius, a appelé dimanche, dans un entretien au Financial Times, à l’augmentation de la production d’armes de son pays pour répondre aux plans de dépenses en plein essor, notamment pour aider le gouvernement ukrainien face à la Russie.

M. Pistorius doit rencontrer le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth, lundi à Washington, pour discuter d’une « feuille de route » pour le soutien américain à la sécurité en Europe. Une réduction de l’aide américaine ne doit pas devenir « une invitation pour [Vladimir] Poutine », a-t-il averti.

Berlin entend augmenter ses dépenses de défense annuelles, jusqu’à 162 milliards d’euros en 2029, ce qui représente une augmentation de 70 % par rapport à 2025. « Il n’y a plus de raison de se plaindre maintenant, a déclaré le ministre à l’attention des armateurs allemands. L’industrie sait très bien qu’elle doit désormais apporter des résultats. »

« L’industrie doit augmenter ses capacités. Cela s’applique aux munitions, aux drones, aux tanks – à presque tous les secteurs, en somme », a-t-il déclaré. Néanmoins, il a réaffirmé que l’Allemagne n’enverrait pas de missiles à longue portée Taurus, réclamés de longue date par Volodymyr Zelensky.

Quant aux systèmes antiaériens Patriot, promis par les Etats-Unis à l’Ukraine pour contrer les frappes russes, M. Pistorius a déclaré que l’Allemagne n’en avait « plus que six » et ne pouvait « définitivement pas en fournir davantage » à Kiev. Le ministre a toutefois dit qu’il discuterait d’une proposition qu’il avait faite à M. Hegseth pour que l’Allemagne achète deux systèmes Patriot aux Etats-Unis pour le compte de l’Ukraine.

« J’ai toujours été convaincu que si l’on veut parler de paix et de détente sur un pied d’égalité, on ne peut le faire qu’en position de force, à hauteur d’yeux, a-t-il résumé. Le but n’est pas d’intimider, mais de montrer que l’on sait ce dont on est capable. Nous voulons vivre en paix avec vous, mais ne pensez pas que nous sommes faibles ou que nous ne nous défendrons pas. C’est encore vrai aujourd’hui. »

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