Aujourd’hui, les Bélier doivent rester attentifs aux détails de leur vie sentimentale. Une communication ouverte et sincère avec votre partenaire peut résoudre des malentendus. Les célibataires pourraient rencontrer quelqu’un d’intéressant lors d’un événement social. Prenez le temps de réfléchir à votre relation actuelle et de voir si ce qui vous satisfait.
Santé
Sur le plan de la santé, les Bélier doivent prêter attention à leur vieillissement corporel et ne pas négliger l’exercice physique. Une routine d’activité régulière peut vous aider à garder votre énergie et votre vitalité. Évitez les repas trop lourds et restez hydraté.
Travail
Au travail, les Bélier peuvent rencontrer quelques défis mais restez optimistes et déterminés. Votre capacité à prendre des initiatives sera grandement appréciée par vos collègues et supérieurs. Prenez peut-être le temps de déléguer certaines tâches et de renforcer votre travail d’équipe pour une productivité accrue.
L’Ukraine promet d’intensifier ses frappes en profondeur en Russie
L’Ukraine va intensifier ses frappes contre des cibles militaires en profondeur dans le territoire russe, a déclaré le commandant en chef des armées ukrainiennes Oleksandr Syrsky.
« C’est sans doute l’un de nos principaux atouts, dont l’efficacité est quinze fois supérieure à leurs coûts », a affirmé samedi devant les journalistes, dont l’AFP, le général Syrsky. « Nous allons en augmenter l’ampleur et la profondeur », a-t-il ajouté.
« Nous ne nous contenterons pas de rester en défense. Parce que cela n’apporte rien et conduit finalement au fait que nous reculons, perdons des hommes et des territoires, » a déclaré M. Syrsky.
Le commandant en chef des armées ukrainiennes a par ailleurs reconnu que la Russie avait certains avantages dans la guerre par drones, notamment dans la fabrication de drones à fibre optique qui sont difficiles à brouiller. « Ici, malheureusement, ils ont un avantage à la fois en nombre et en portée dans leur utilisation, » a-t-il déclaré.
Trois semaines après le sacre du PSG en Ligue des champions, le club de la capitale a partagé un morceau du rappeur Booba intitulé « Ici c’est Paris ». Si les paroles mettent à l’honneur l’effectif victorieux à Munich, certaines semblent directement destinées à Kylian Mbappé.
Un hymne à la victoire et une pique déguisée. Dans son nouveau morceau « Ici c’est Paris » sorti ce mercredi et relayé par les réseaux sociaux officiels du Paris Saint-Germain, le rappeur Booba a célébré le sacre des Parisiens en Ligue des champions le 31 mai dernier à Munich… à sa façon.
Si les près de trois minutes sont rythmées par le simple refrain « Paris est magique » et un couplet du rappeur colombien Blessd en espagnol mettant à l’honneur la Tour-Eiffel et « la légende Désiré Doué », le couplet du natif des Hauts-de-Seine pourrait faire un peu plus parler.
Trahis « pour de la tortilla »
Car l’artiste de 48 ans ne s’est pas contenté d’une énième propagande en faveur d’Ousmane Dembélé au prochain Ballon d’or. Deux phrases semblent directement adressées, sans le nommer, à un ancien parisien, parti au Real Madrid, que Booba apprécie peu: Kylian Mbappé.
« Je roule vers la bijouterie dans la voiture bélier, j’suis avec Hakimi, Désiré, Dembélé. Ballon d’or c’est pour moi, j’veux pas la Coupe du Roi, il a trahi la onda (« la famille », ndlr) pour de la tortilla », peut-on y entendre. Avant que le rappeur n’ajoute: « Quelle erreur! Quelle erreur! »
On connaît l’inimitié de Booba pour le capitaine de l’équipe de France. En décembre dernier, il avait d’ailleurs été cash à son sujet: « Il ne représente rien du tout, il est inintéressant. Je n’aime pas sa personnalité, c’est mon avis en tant que mec du bar », avait notamment lancé « B2O ».
Dans le même temps, il avait dévoilé un court extrait de l’un ses prochains titres, commençant par une autre pique à destination de Mbappé: « T’as pas le permis comme Kyky de Bondy ». Et après ce nouveau morceau, pas sûr que les relations entre les deux hommes ne s’apaisent de sitôt.
L’homme qui communique plus vite que son ombre ne pouvait pas rater ça. Ce samedi 31 mai, il est un peu plus de 23 heures, à Munich. Alors que le joueur parisien Senny Mayulu vient d’inscrire le dernier but du Paris Saint-Germain (PSG) en finale de la Ligue des champions face à l’Inter Milan, scellant un succès historique (5-0), le président de la Ligue de football professionnel (LFP), Vincent Labrune, dégaine déjà un communiqué d’autocongratulation. « La victoire du PSG est le résultat de la stratégie globale mise en place depuis plusieurs années et qui porte ses fruits. » Dans un pas de deux parfaitement orchestré, le président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi, lui renvoie l’ascenseur quelques minutes plus tard, en conférence de presse : « On a le meilleur président de la Ligue, Vincent Labrune, qui fait du bon travail. »
Soyons clairs : en dehors du président parisien, Labrune ne trouverait pas grand monde pour le célébrer depuis son arrivée, en septembre 2020, à la tête de la LFP, la structure chargée de gérer les 36 clubs professionnels français (18 en Ligue 1, 18 en Ligue 2), sous le contrôle – supposé – de la Fédération française de football (FFF), par ailleurs chargée du football amateur (2,5 millions de licenciés), mais aussi de l’organisation de la Coupe de France et, bien sûr, de l’équipe de France.
Si le patron de la Ligue concentre à ce point les critiques, c’est que le foot professionnel dont il a la charge est au plus mal : 1,3 milliard d’euros de pertes d’exploitation pour l’ensemble des clubs sur la saison 2024-2025 (hors cessions de joueurs), des menaces de faillite, un modèle obsolète, des conflits entre présidents, des tribunes gangrenées par la violence et l’homophobie, une image déplorable, un championnat dépourvu de tout suspense en raison de l’écrasante domination du PSG… Aux yeux de nombre de décideurs, Labrune incarne ce marasme. Cruel retournement de situation pour celui qui, à l’orée de son premier mandat (2020-2024), fit pourtant figure d’homme providentiel.
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Pour Laura (le prénom a été modifié), 24 ans, emménager en colocation à Paris avec une amie est d’abord la promesse d’« une pyjama party chaque soir ». Sur le papier, les copines, qui se sont rencontréesen école d’ingénieur, ont tout pour que cela se passe bien : des postes dans la capitale, des vies de célibataires, un appartement de 70 mètres carrés, avec un grand salon et deux chambres séparées. Rapidement, elles accordent même leurs violons sur leur vie sentimentale : chacune d’elles commence à fréquenter un garçon.
« On a 24 ans, donc au départ ce n’était pas sérieux, et on trouvait ça drôle de ramener nos deux “plans culs” à l’appart en même temps », se souvient l’ingénieure, habituée des colocations depuis le début de ses études. Chacune invite plusieurs fois par semaine son compagnon à dormir. Mais le copain de son amie est présent presque sept jours sur sept, et leur couple prend de plus en plus de place.Le malaise de Laura grandit.
Il y a ces disputes quotidiennes des amoureux dans les parties communes, et puis la «problématique des ébats ». De sa chambre mal isolée, Laura est souvent réveillée par les échos de la vie sexuelle manifestement « épanouie » de sa colocataire. Un matelas grinçant, des douches nocturnes, des déplacements dénudés dans l’appartement la poussent à conclure qu’elles n’ont « pas la même notion de l’intimité ». « On en a parlé, mais on ne se comprend pas », dit Laura dans un soupir. Difficile pour les jeunes actives de trouver le bon équilibre entre leur amitié cohabitante et leurs relations de couple respectives.
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La première ministre thaïlandaise, Paetongtarn Shinawatra, à Bangkok, le 10 juin 2025. ATHIT PERAWONGMETHA/REUTERS
La première ministre thaïlandaise, Paetongtarn Shinawatra, menacée par le délitement de sa coalition, a présenté jeudi 19 juin ses excuses, en appelant de nouveau à l’unité entre le gouvernement et l’armée. « J’aimerais présenter mes excuses (…). Nous devons rester unis et éviter le conflit entre nous », a déclaré la dirigeante, debout devant des responsables militaires, dans une rare image de cohésion.
Depuis mercredi, Mme Shinawatra est fortement critiquée pour son ton jugé inapproprié vis-à-vis des militaires, lors d’une conversation téléphonique avec l’ancien premier ministre cambodgien Hun Sen qui a fuité.
Dans l’enregistrement téléphonique qui a fuité, la cheffe du gouvernement, 38 ans, appelle Hun Sen, 72 ans, considéré comme un proche des Shinawatra, « oncle », une formule de politesse courante en Asie mais interprétée comme un signe trop familier ou révérencieux dans ce contexte par ses adversaires. Elle a aussi assimilé à un « opposant » un général chargé de surveiller une partie de la frontière avec le Cambodge. Son objectif était d’apaiser les tensions à la frontière, ravivée fin mai par la mort d’un soldat khmer lors d’un échange de coups de feu, s’est-elle défendue.
Quelques heures après la mise en ligne de l’enregistrement, par Hun Sen lui-même, les conservateurs du Bhumjaithai, principaux soutiens du parti au pouvoir, Pheu Thai, ont claqué la porte de la coalition, ouvrant une nouvelle période d’instabilité dans un royaume agité de crises récurrentes.
« Crise au plus niveau »
Le Parti du peuple, la principale formation d’opposition – qui a repris l’étendard de Move Forward, le mouvement prodémocratie victorieux des législatives de 2023 avant sa dissolution –, a appelé à la démission de la première ministre. « Ce qui s’est passé hier [mercredi 18 juin] est une crise au plus haut niveau qui a détruit la confiance du peuple », a déclaré le chef de file de la formation réformiste, Natthaphong Ruengpanyawut. « Le peuple exige un gouvernement qui puisse résoudre les problèmes, et la seule manière d’y parvenir, c’est d’avoir un gouvernement légitime », a-t-il insisté.
Une autre branche de l’opposition, proche de l’armée, a pourfendu l’attitude de la dirigeante, jugée irresponsable vis-à-vis des militaires. Des centaines de manifestants, parmi lesquels des anciens Chemises jaunes, ces partisans du roi et de l’ordre traditionnel, rivaux des Chemises rouges, pro-Shinawatra à la fin des années 2000, ont battu le pavé jeudi matin devant le palais du gouvernement, à Bangkok, pour réclamer le départ de sa locataire.
« Je suis très déçue par le dirigeant cambodgien, du fait qu’il a mis en ligne l’enregistrement. Je ne pense pas qu’un autre dirigeant dans le monde aurait agi de cette manière », a insisté jeudi Mme Shinawatra. Le ministère des affaires étrangères thaïlandais a remis jeudi à l’ambassadeur cambodgien une lettre de protestation.
Rumeurs d’une intervention militaire
La Thaïlande a déjà changé de premier ministre l’an dernier, mais ce pic de tensions s’inscrit dans une nouvelle donne mondiale marquée par l’offensive protectionniste américaine, qui menace de gripper une économie thaïlandaise déjà fragile. Parmi les scénarios évoqués, la dissolution de l’Hémicycle pour organiser des élections anticipées sous 60 jours, ou la nomination d’un nouveau chef du gouvernement sur les bases d’une majorité similaire.
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En présentant ses excuses, Mme Shinawatra, qui portait jeudi un haut jaune, la couleur du roi, espère conserver le soutien des militaires, bien que ces derniers soient considérés comme des rivaux de sa famille, cette opposition polarisant le débat politique depuis plus de vingt ans. L’armée, à l’origine d’une douzaine de coups d’Etat réussis depuis la fin de la monarchie absolue en 1932, a réaffirmé plutôt son adhésion aux « principes démocratiques » et aux mécanismes légaux existants, tout en se tenant prête pour défendre la « souveraineté nationale ».
Par le passé, les militaires ont organisé un putsch pour déloger du pouvoir le père de Paetongtarn Shinawatra, Thaksin, ainsi que sa tante Yingluck, ce qui a irrémédiablement alimenté les rumeurs d’une nouvelle intervention au cours des dernières heures. Des dirigeants du Parti de la nation thaï unie, proche des militaires, et du Parti démocrate doivent se rencontrer jeudi pour évoquer le sort de la coalition dont ils sont membres.