Horoscope du 30-05-2025 : Taureau

**Amour**
Aujourd’hui, un vent de romance va souffler sur votre vie, Taureau. Vous ressentirez une attraction particulière pour quelqu’un de votre entourage. Si vous êtes en couple, partagez vos sentiments pour renforcer votre lien. Les Célibataires, profitez de ce jour pour exprimer ce que vous ressentez.

**Santé**
Prenez soin de vous et écoutez votre corps. La relaxation est la clé pour maintenir votre bien-être. Une promenade tranquillisée vous fera le plus grand bien. Évitez de trop vous surmener pour préserver votre énergie.

**Travail**
Sur le plan professionnel, une opportunité inattendue pourrait se présenter. Profitez-en pour montrer votre potentiel et prendre des initiatives. Vos efforts seront remarqués et récompensés. Soyez ouvert à de nouvelles idées et collaborations.

Horoscope du 30-05-2025 : Bélier

Amour

Aujourd’hui, les Béliers célibataires peuvent utiliser leur charisme et leur confiance en eux pour attirer de nouvelles rencontres. Les couples, quant à eux, doivent savoir que la communication est la clé. Partager vos sentiments et vos attentes peut renforcer votre relation. Utilisez votre énergie positive pour résoudre les petits problèmes qui pourraient surgir.

Santé

Sur le plan de la santé, les Béliers sont encouragés à prendre soin d’eux-mêmes aujourd’hui. Prenez le temps de vous détendre et de vous reposer. Une activité physique douce, comme la yoga ou la marche, peut être particulièrement bénéfique. Évitez les excès alimentaires et écoutez les besoins de votre corps.

Travail

Au travail, votre enthousiasme naturel et votre détermination seront vos meilleurs alliés. Vous avez la capacité de vous démarquer en prenant des initiatives et en exprimant vos idées avec confiance. Soyez prudent dans vos relations professionnelles et évitez les conflits inutiles. Votre dynamisme sera perceptible et pourrait attirer des opportunités intéressantes.

Friedrich Merz veut inciter les Allemands à travailler plus pour renouer avec la prospérité

Sur une ligne de production de l’usine Volkswagen de Dresde (Allemagne), le 14 mai 2025. MATTHIAS SCHRADER/AP

C’est l’un des leitmotivs préférés des milieux libéraux et conservateurs outre-Rhin : la cause du déclin économique du pays serait le désamour des Allemands pour le travail.

Friedrich Merz, le nouveau chancelier, a mis le sujet en tête de ses priorités pour la relance de l’économie, en stagnation depuis cinq ans. « Nous devons, dans ce pays, travailler de nouveau davantage et surtout plus efficacement. Ce n’est pas avec la semaine de quatre jours et le “work-life balance” [l’équilibre vie privée-vie professionnelle] que nous pourrons maintenir notre prospérité ! », a-t-il asséné lors de la journée de l’économie de son parti, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), à la mi-mai, suscitant les protestations des syndicats.

Depuis, le pays entier s’interroge sur sa supposée fainéantise, hanté par un graphique de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) qui tourne en boucle, classant les Allemands en queue des 34 pays membres de l’organisation, avec 1 343 heures de travail par an et par personne, contre 1 500 en France, 1 803 en Pologne et 1 897 en Grèce.

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Municipales: le maire de Gignac-la-Nerthe sera candidat en 2026 dans la ville de Marignane

Christian Amiraty, maire de Gignac-la-Nerthe, souhaite se présenter aux prochaines élections municipales à Marignane, en 2026. Un choix qu’il justifie par un appel à l’aide d’un collectif d’habitants de la commune.

Coup de théâtre dans les Bouches-du-Rhône. Le maire sortant de Gignac-la-Nerthe, Christian Amiraty, annonce qu’il ira briguer un nouveau mandat mais… dans une autre commune. L’élu sera candidat à la mairie de Marignane, ville voisine, pour les élections municipales de 2026.

Un choix, d’abord annoncé dans La Provence, que l’élu de l’union des centristes et des écologistes affirme, au micro de BFM Marseille Provence, avoir considéré après des appelsvenant d’un collectif d’habitants de la commune, qui déplore notamment « le scandale de l’amiante ».

« Un sujet qui ébranle ma conscience »

« Ils m’ont dit: ‘la ville est en danger, nous voulons quelqu’un d’expérience pour la sauver' », rapporte l’édile. Ce dernier affirme avoir pu consulter un « certain nombre de preuves » liées au problème de l’amiante.

« Effectivement, il y a un sujet qui ébranle ma conscience, c’est à partir de là que je fais cheminer ma pensée ».

Si l’élu reconnaît une « idée presque exotique » ayant suscité de nombreuses interrogations, il assure être déterminé à traiter les sujets de tension pour la commune.

« C’est eux (le collectif de citoyens de Marignane) qui vont conceptualiser le projet, j’ai été choisi simplement pour le porter », poursuit-il.

Une opposition farouche au maire actuel

En plus de l’amiante, Christian Amiraty a fait part de son étonnement d’avoir vu le nombre de policiers municipaux être largement réduit par le maire (divers droite) Éric Le Dissès. « C’est pour le moins étrange », tacle-t-il.

Il pointe du doigt un élu qui « se fait le chantre de la sécurité au niveau national » et qui doit, selon lui, « montrer l’exemple » dans sa commune.

En 2026, le duel pour les municipales dans la commune va, notamment, le voir affronter le maire sortant. Face à Éric Le Dissès, Christian Amiraty souligne être « dans une position où [il] peut rassembler », vantant « l’union sacrée pour Marignane » appuyée par « sa candidature centrale ».

Le maire de Gignac-le-Nerthe dénonce également « l’instrumentalisation » du maire de Marignane, qui « transforme l’action en communication, et la communication en esbroufe ». Il dénonce « un écran de fumée pour cacher les vraies difficultés de Marignane et notamment le scandale qu’est le scandale de l’amiante. »

De son côté, Éric Le Dissès a répondu à sa candidature en ironisant auprès de La Provence: « Apparemment, Christian Amiraty a découvert notre ville à l’approche des élections comme un touriste tombé par hasard sur une carte électorale. »

L’actuel maire de Gignac-le-Nerthe n’a pas souhaité donner de consigne de vote aux habitants de sa commune pour les prochaines élections municipales, refusant notamment de désigner un successeur.

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« Les soutiens de Donald Trump en Europe centrale et dans les Balkans restent sur leur faim »

Depuis quatre mois, le spectre de Trump 2.0 plane sur l’Europe. De nombreux dirigeants, échaudés par le premier mandat de Donald Trump, étaient pessimistes quant à son retour à la Maison Blanche et aux conséquences que cela aurait pour les institutions multilatérales, telles que l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), et pour le sort de l’Ukraine.

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Un certain nombre d’entre eux, en particulier en Europe centrale et dans les Balkans, se sont toutefois montrés plus optimistes. Viktor Orban (Hongrie), Aleksandar Vucic (Serbie) et Milorad Dodik (République serbe de Bosnie) semblaient avantagés par leurs relations et leurs affinités idéologiques avec le nouveau président. Ils ont prédit un âge d’or des relations bilatérales et ont ouvertement abordé la façon dont une Maison Blanche dirigée par Trump contribuerait à rendre sa grandeur à leurs pays.

La question des obstacles potentiels a été peu évoquée. Orban, Vucic, Dodik et d’autres ont supposé, malgré les promesses de campagne répétées de Trump concernant les droits de douane et le commerce, que leurs pays seraient exemptés ou bénéficieraient d’un traitement de faveur en raison de leur soutien. Ils se retrouvent pourtant victimes d’une nouvelle approche commerciale et impériale de la part de Washington, dans laquelle les grands pays influents sont pris au sérieux, tandis que les autres sont quantité négligeable.

Aucune clémence

Le 2 avril, le « jour de la libération » n’a témoigné d’aucune clémence pour les alliés de Trump. La Serbie s’est vu imposer des droits de douane de 37 % sur ses exportations, le plus élevé de la région ; la Bosnie-Herzégovine a été sanctionnée par une taxe douanière de 35 % ; et la Hongrie, dont le dirigeant est largement considéré comme un proche du nouveau président, risque de se voir imposer une taxe de 20 % sur ses exportations en raison de son appartenance à l’Union européenne et de ses relations économiques avec la Chine et la Russie.

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