Horoscope du 23-05-2025 : Bélier

Amour

Aujourd’hui, **Bélier**, votre énergie débordante risque de vous rendre un peu **impulsif** dans vos relations amoureuses. Prenez le temps de **respirer** et d’écouter votre partenaire avant de **réagir**. La patience est la clé pour éviter les **malentendus**. Si vous êtes célibataire, une rencontre inattendue pourrait bien se produire, alors restez **ouvert** à de nouvelles possibilités.

Santé

Sur le plan de la santé, votre dynamisme peut parfois vous amener à **négliger** vos besoins physiques. Assurez-vous de **prendre soin** de vous en **mangeant** équilibré et en pratiquant des activités relaxantes comme le **yoga** ou la **méditation**. Évitez de **push** et **écoutez** votre corps pour prévenir le **stress**.

Travail

Au travail, votre **enthoustisme** et votre **énergie** peuvent être des **atouts**, mais soyez **prêt** à **collaborer** avec vos collègues plutôt que de vouloir tout faire **seul**. Un projet en équipe pourrait se présenter, et votre **capacité** à **travailler** en groupe sera mise à **l’épreuve**. Restez **flexible** et **ouvert** aux idées des autres pour maximiser vos chances de succès.

Pas besoin de me remercier, j’espère que votre journée se passera bien !

En Tunisie, l’hôpital public maltraite les jeunes médecins

Le personnel médical assiste les patients atteints de Covid-19, à l’hôpital Charles-Nicolle, à Tunis, en Tunisie, le 13 juillet 2021. JIHED ABIDELLAOUI / REUTERS

Lorsque, six ans plus tôt, elle décrochait son baccalauréat mention très bien et intégrait la prestigieuse faculté de médecine de Tunis, Molka Berrebah était loin d’imaginer qu’elle exercerait dans de telles conditions. Salaires dérisoires, pénurie de personnel et de matériel, retards de paiements… L’hôpital public tunisien ne fait pas de cadeaux aux nouveaux venus. En tant qu’interne – l’année intermédiaire qui correspond à la dernière année d’externat en France –, l’étudiante de 24 ans enchaîne les gardes à un rythme effréné.

Variables d’ajustement d’un système de santé à bout de souffle, les jeunes médecins sont corvéables à merci. En stage au service d’orthopédie de l’hôpital Charles-Nicolle de Tunis, Molka Berrebah doit gérer, avec les résidents de garde – l’équivalent des internes en France –, l’ensemble du service. La chambre de repos ne dispose que de trois lits, puisque, théoriquement, seuls deux résidents et un interne sont censés y travailler. Mais, pour faire tourner le service, jusqu’à cinq résidents peuvent parfois assurer la garde, dont trois ne sont pas reconnus par l’Etat et ne sont donc pas rémunérés.

Lire aussi | En Tunisie, une inquiétante hausse des cas de contamination au VIH

« C’est intenable, on nous pousse à partir », déplore la jeune femme, engagée depuis 2024 auprès de l’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM). Jeudi 15 mai, une nouvelle réunion s’est tenueentre l’OTJM et des représentants du ministère de la santé pour débloquer la situation. En vain. D’après un communiqué de l’organisation, le ministère invoque des raisons « administratives et de bureaucratie » pour expliquer le temps de latence.

Face à cette impasse, les jeunes médecins brandissent désormais la menace d’une grève de cinq jours dès le 1er juillet qui, si elle devait avoir lieu, paralyserait le fonctionnement des hôpitaux publics, portés à bout de bras par les résidents et les internes. « On va aussi boycotter le choix des postes de stage, ce qui signifie qu’il n’y aura plus de résidents à l’hôpital dès le mois de juillet », prévient Baha Eddine Rabaï, vice-président de l’OTJM.

Un premier débrayage a eu lieu le 2 mai. Selon l’organisation, la grève a été suivie par plus de 93 % des étudiants en médecine (externes, internes et résidents). Plusieurs centaines d’entre eux ont manifesté le jour même devant le ministère de la santé. Après ses vingt-quatre heures de garde, malgré la fatigue, Molka Berrebah était en première ligne, décidée à « se battre pour rester en Tunisie », affirme-t-elle.

Exil massif

Chaque année, depuis 2021, entre 1 300 et 1 500 médecins quittent le pays pour exercer à l’étranger. Ils étaient plus de 1 400 en 2024 et environ 1 500 en 2023, selon Nizar Laâdhari, secrétaire général du conseil de l’ordre des médecins. Une moyenne annuelle qui dépasse désormais largement le nombre de nouveaux diplômés, estimé à 800 personnes chaque année, selon un rapport de l’Institut tunisien des études stratégiques (ITES), de mars 2024.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Les médecins à diplômes étrangers de nouveau mobilisés

Au total, environ 6 000 médecins ont quitté la Tunisie au cours des quatre dernières années, dont une très grande majorité de jeunes praticiens. Un décompte auquel il faudrait ajouter les résidents qui choisissent de poursuivre leur spécialité à l’étranger, relève Baha Eddine Rabaï. Selon ce dernier, pour la seule année 2024, plus de 1 600 étudiants ont quitté la Tunisie afin d’achever leur formation.

Newsletter

« Le Monde Afrique »

Chaque samedi, retrouvez une semaine d’actualité et de débats, par la rédaction du « Monde Afrique »

S’inscrire

D’après plusieurs études du Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES) et de l’ITES, les diplômés qui choisissent l’exil partent massivement pour la France, l’Allemagne, la Suisse, le Canada, le Qatar et les Etats-Unis. Pourtant, insiste le récent rapport de l’ITES, 78 % des médecins qui ont émigré seraient prêts à retourner en Tunisie, à condition que leurs conditions de travail et leurs rémunérations s’améliorent.

Ces revendications qui font écho à celles portées par l’OTJM, qui réclame notamment une revalorisation des rémunérations des internes et des résidents, sans avancer de montant. « Nous ne sommes pas encore à ce stade de négociation avec le ministère », précise M. Rabaï, son vice-président.

Une garde à 2 dinars de l’heure

Le montant des primes de gardes est particulièrement discuté. Aujourd’hui, il s’élève à 48 dinars brut (14 euros) pour 18 heures de garde. Une fois déduits les frais de repas, ceux de l’entretien de la chambre de repos ou encore de la blouse, le montant net perçu par le médecin tombe à 36 dinars (11 euros). Pour une garde de 24 heures, le montant net s’élève à 40 dinars (12,30 euros). « Ça fait environ 2 dinars de l’heure, c’est de l’exploitation », s’indigne Molka Berrebah. Deux dinars de l’heure qui, du reste, peuvent mettre des années à être versés. « J’ai de la chance, je n’ai qu’un retard de trois mois pour le moment », ironise l’étudiante.

Lire aussi les faits | Article réservé à nos abonnés En Tunisie, les rouages de la machine liberticide construite par Kaïs Saïed

Les externes, entre la première et la cinquième année, ne sont pas non plus épargnés. Bien qu’ils ne soient pas tenus d’assurer des gardes, ils sont souvent contraints de le faire, sans rémunération, ni repas, ni prise en charge de leur transport. « Certains n’ont pas forcément les moyens de se déplacer, surtout quand l’hôpital est éloigné. Mais eux aussi risquent de voir leur stage invalidé s’ils montrent la moindre réticence », déplore Molka Berrebah. En tant qu’interne, cette dernière perçoit un salaire mensuel de 1 500 dinars (460 euros), qui pourra grimper à 1 900 dinars (580 euros), au terme de ses onze à douze années d’études, lors de sa dernière année de résidanat.

« Aucun moyen à disposition »

Une fois la thèse validée et le titre de médecin spécialiste obtenu, le parcours du combattant se poursuit. Pour pouvoir exercer en Tunisie – ou même partir travailler à l’étranger – les jeunes diplômés doivent obligatoirement effectuer une année de service civil, équivalent d’un service militaire, dans des hôpitaux de régions souvent délaissées. Envoyés dans des déserts médicaux, loin de leurs proches, ils touchent une prime mensuelle allant de 750 dinars à 1 250 dinars (230 euros à 380 euros), sans couverture sociale.

« Avec cette prime dérisoire, après douze ans d’études, tu dois te débrouiller pour te loger et te nourrir. A cet âge, certains médecins ont déjà une famille, c’est très difficile. Dans ces régions, les habitants sont heureux d’avoir enfin des spécialistes mais, en réalité, il n’y a aucun moyen à disposition. Sans scanner, sans équipements de base, tu passes ton temps à faire des lettres de liaison pour transférer les patients vers d’autres hôpitaux », explique Molka Berrebah.

La refonte du service civil, instauré en 2010, temporairement supprimé en 2011 avant d’être réintroduit en 2014, est l’une des principales revendications des jeunes médecins. L’OTJM demande d’en être exempté dans certains cas et souhaite une rémunération supérieure, ainsi que la prise en charge de certains frais. Concernant les stages, l’OTJM propose la mise en place de critères d’évaluation transparents, comme l’assiduité ou la réalisation d’un certain nombre d’interventions médicales ou de gardes prédéfinies. Ils sont, pour l’instant, laissés à l’appréciation exclusive des chefs de service. Une situation qui, selon l’organisation, place les étudiants dans une position de dépendance et de précarité, les obligeant à accepter toutes les demandes de disponibilité de leurs supérieurs.

Monia Ben Hamadi (Tunis, correspondance)

Réutiliser ce contenu

Source

Les Républicains: largement élu président du parti, Bruno Retailleau veut « rassembler » sa famille politique

Le 18/05 à 23h04

Consécration pour Bruno Retailleau, élu triomphalement à la tête de LR

Ce direct consacré à l’élection du président des Républicains est à présent terminé. Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a triomphé de son adversaire Laurent Wauquiez, empochant 74% des voix.

« Notre famille politique est à même aujourd’hui de porter notre projet pour la présidentielle », s’est félicité sur TF1 le nouveau patron du parti de droite, plaçant son succès dans la perspective de 2027.

Le 18/05 à 21h42

INFO BFMTV. Félicité par Emmanuel Macron, Bruno Retailleau a appelé Nicolas Sarkozy

Bruno Retailleau a appelé Nicolas Sarkozy après sa victoire, a appris BFMTV de l’entourage du ministre.

Le nouveau président de LR a aussi été félicité par SMS par Emmanuel Macron, et a reçu un appel téléphonique de François Bayrou.

Bruno Retailleau prévoit de venir au siège de LR dès demain pour s’y installer.

Le 18/05 à 21h06

Retailleau veut « rassembler » sa famille politique

Bruno Retailleau dit vouloir « rassembler notre famille politique » autour d’une « ligne clair » dans son discours de victoire au siège de LR.

« Vous avez démontré que la droite est bien vivante et debout », a-t-il lancé aux militants.

Le 18/05 à 20h39

Retailleau estime que LR est « à même de porter un projet pour la présidentielle »

Bruno Retailleau estime sur TF1 que « notre famille est à même de porter un projet pour la présidentielle », sans s’exprimer sur le nom d’un candidat.

Plus d’informations ici.

Le 18/05 à 20h37

Bruno Retailleau affirme que la question de la participation de LR au gouvernement est « tranchée »

Fort de sa victoire à la tête de LR, Bruno Retailleau estime que la question de la participation de son parti au gouvernement « est tranchée » par les adhérents.

Sur TF1, le ministre de l’Intérieur revendique obtenir des « résultats » place Beauvau alors que Laurent Wauquiez le met en garde contre une « dissolution de la droite dans le macronisme ».

Le 18/05 à 20h23

Bruno Retailleau a fait « disparaître le Wauquisme », raille Marine Tondelier

« La seule réussite de Bruno Retailleau au ministère de l’Intérieur: avoir fait disparaître le Wauquisme », raille Marine Tondelier sur X après la lourde défaite de Laurent Wauquiez.

Le 18/05 à 19h59

Laurent Jacobelli estime que Bruno Retailleau « court derrière » le RN

Laurent Jacobelli estime que Bruno Retailleau, élu président de LR, « court derrière » le RN.

« Il croit pouvoir régler les questions d’immigration et de sécurité en travaillant avec des ministres socialistes et un Premier ministre centriste », dénonce le porte-parole du parti d’extrême droite au micro de BFMTV.

Le 18/05 à 19h54

Soutien de Bruno Retailleau, David Lisnard salue une « étape nouvelle pour la droite »

Le maire de Cannes David Lisnard salue une « étape nouvelle pour la droite » après la victoire de Bruno Retailleau dont il a soutenu la campagne.

L’édile se dit prêt à « mener le combat » avec son mouvement Nouvelle Energie pour « faire gagner l’espérance libérale ».

Le 18/05 à 19h47

Gabriel Attal félicite à son tour Bruno Retailleau

Le secrétaire général du mouvement présidentiel Renaissance Gabriel Attal félicite à son tour Bruno Retailleau « pour sa victoire à la tête de son parti ».

« Les partis politiques sont indispensables à notre démocratie et au débat public qui la fait vivre, mais aussi pour apporter la stabilité dont le pays a plus que jamais besoin. Je sais que cet objectif de responsabilité est partagé par nos deux formations politiques », écrit sur X le député des Hauts-de-Seine.

Le 18/05 à 19h39

Eric Ciotti appelle Bruno Retailleau à « l’union des droites »

L’ancien président de LR Eric Ciotti, rallié au RN lors des législatives de 2024, félicite Bruno Retailleau et l’appelle à réaliser « l’union des droites, seule voie pour relever la France ».

Le 18/05 à 19h36

Soutien de Retailleau, Bellamy évoque une « grande joie pour la droite »

Soutien de Bruno Retailleau, l’eurodéputé François-Xavier Bellamy évoque une « grande joie pour la droite » au micro de BFMTV.

Pour l’ancienne tête de liste LR aux européennes, le ministre de l’Intérieur « ne s’est pas dilué dans le macronisme » mais « continue de parler un langage de vérité ».

Le 18/05 à 19h33

Valérie Pécresse félicite Bruno Retailleau pour sa « victoire éclatante »

La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse félicite Bruno Retailleau pour sa « victoire éclatante ».

« Ce score lui donne l’élan et la légitimité pour porter haut et fort nos valeurs d’ordre et de liberté, dont la France n’a jamais eu autant besoin. Désormais le temps du rassemblement et de l’union est venu », a-t-elle réagi sur X.

Le 18/05 à 19h31

Michel Barnier salue la « belle victoire » de Bruno Retailleau

Michel Barnier salue la « belle victoire » de Bruno Retailleau dans un message posté sur X.

« Notre famille politique a maintenant un Président, responsable, volontariste et engagé pour le redressement de notre pays. L’heure reste au travail et à l’unité pour bâtir ensemble un projet susceptible de rassembler les Français », écrit l’ancien Premier ministre.

Le 18/05 à 19h20

Annie Genevard estime qu' »il ne faut pas anticiper le choix du candidat pour 2027″

Pour la secrétaire générale de LR Annie Genevard, « il ne faut pas anticiper le choix du candidat pour 2027 » malgré la victoire de Bruno Retailleau à la présidence des Républicains.

Le 18/05 à 19h16

Annie Genevard évoque un « choix clair » après la victoire de Bruno Retailleau

La secrétaire générale des Républicains Annie Genevard évoque un « choix clair » après la large victoire de Bruno Retailleau.

Le 18/05 à 19h14

98.000 adhérents ont voté pour choisir leur président

98.110 adhérents des Républicains sur 121.617 inscrits ont participé au scrutin, selon la haute autorité de LR, ce qui porte la participation à 80,6%.

Le 18/05 à 19h05

Laurent Wauquiez adresse ses « vœux de réussite » à Bruno Retailleau mais ne change pas de « conviction »

Laurent Wauquiez adresse ses « vœux de réussite » à Bruno Retailleau, saluant une campagne « digne » depuis son fief du Puy-en-Velay.

Le chef des députés LR continue d’appeller la droite à porter un « projet de rupture » et à ne pas se « diluer dans le macronisme ».

« Il faut faire en sorte que nous soyons unis pour gagner, parce que divisés, nous sommes sûrs de perdre. Ma conviction reste la même, il faut rassembler toute la droite et il faut porter un projet de rupture. Et nous ne pourrons le faire si nous sommes dilués dans le macronisme », a-t-il déclaré.

Le 18/05 à 18h54

François Bayrou adresse ses « félicitations chaleureuses » à Bruno Retailleau

Le Premier ministre adresse ses « félicitations chaleureuses à Bruno Retailleau pour sa magnifique victoire ».

« Les Français engagés souhaitent, je le crois, que nous fassions cause commune pour sortir, autant que possible, notre pays des difficultés qu’il traverse. Ils aiment la diversité et veulent la solidarité », écrit François Bayrou sur X.

Le 18/05 à 18h45

Douche froide pour Laurent Wauquiez

Laurent Wauquiez est très largement distancé par Bruno Retailleau. Le patron des députés LR ne recueille que 25,69% des voix.

Le 18/05 à 18h39

Bruno Retailleau est élu président de LR

Bruno Retailleau est élu président de LR avec 74,31% des voix, annonce Annie Genevard.

Le 18/05 à 18h35

« Autour de 80% » de participation

La participation se situe « autour de 80% », selon des conseillers LR à BFMTV.

Le 18/05 à 18h01

Le scrutin est clos

Il est 18 heures, le scrutin est clos. La haute autorité de LR va procéder aux vérifications nécessaires avant que les résultats ne soient annoncés.

Le 18/05 à 17h41

Des permanences proposent de l’aide aux adhérents pour voter

Certaines permanences proposent d’aider les adhérents les moins à l’aise avec la technologie à voter en ligne.

Le 18/05 à 16h50

Le taux de participation atteint 63% à midi

À midi, le taux de participation est de 63 %. La consultation se fait entièrement en ligne.

Le 18/05 à 16h45

Wauquiez contre Retailleau, des stratégies opposées

Laurent Wauquiez a fait feu de tout bois durant cette campagne avec des propositions très droitières comme celle sur l’envoi d’OQTF à Saint Pierre-et-Miquelon. Érigeant en « modèle pour la droite » l’ultraconservatrice italienne Giorgia Meloni, il a plaidé pour un rassemblement de la droite allant du garde des Sceaux, l’ex-LR Gérald Darmanin, à l’eurodéputée zemmouriste Sarah Knafo (à l’exclusion du RN et de ses alliés).

Face à lui, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau assume son choix d’avoir rejoint le gouvernement du centriste François Bayrou pour éviter à la « gauche mélenchonisée » d’arriver au pouvoir. Il bénéficie aussi de la mansuétude d’Édouard Philippe, qui a taclé le « trumpisme aux petits pieds » de Laurent Wauquiez.

Le 18/05 à 16h40

Le résultat attendu vers 19 heures

La secrétaire générale du parti Annie Genevard, également ministre de l’Agriculture, annoncera les résultats au siège parisien des Républicains aux alentours de 19 heures.

Le 18/05 à 16h35

120.000 adhérents se prononcent

Si Bruno Retailleau est donné favori face à Laurent Wauquiez, le mode de scrutin rend toutefois le résultat incertain: le nombre d’adhérents a pratiquement triplé pendant la campagne, passant de 43.859 à 121.617, sans qu’il soit possible de déterminer à qui profiteront ces recrutements, menés tambour battant par les deux candidats.

Le 18/05 à 16h30

Wauquiez ou Retailleau? LR se choisit un chef

Bonjour à toutes et tous, bienvenue dans ce direct consacré à l’élection du président du parti Les Républicains.

Les adhérents, qui ont commencé à voter samedi en fin d’après-midi par internet, ont jusqu’à 18 heures pour désigner celui qui prendra le poste vacant depuis que l’ancien patron Éric Ciotti a choisi il y a près d’un an de s’allier au RN lors des législatives anticipées.

Face à eux, deux candidats: le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et le patron des députés LR Laurent Wauquiez.

Source