« Il a incarné la capacité d’innovation de la France »: le Concorde classé au titre des monuments historiques

« Cet avion a incarné la force industrielle et la capacité d’innovation de la France sur le plan aéronautique », souligne Rachida Dati, ministre de la Culture.

La ministre de la Culture, Rachida Dati, a annoncé lundi le classement au titre des monuments historiques du Concorde numéro 1, exemplaire de l’avion supersonique franco-britannique, et de l’ensemble de ses équipements. En 2024, l’appareil avait été protégé au titre des Monuments historiques, en tant qu’objet immobilier.

Ce classement renforce la protection existante au au titre des Monuments historiques, en tant qu’objet d’intérêt public reconnu sur le plan national et international.

« Cet avion a incarné la force industrielle et la capacité d’innovation de la France sur le plan aéronautique. Il a été aussi un symbole de notre capacité de coopération internationale », a écrit la ministre sur X.

« Cet avion, pionnier des vols supersoniques est resté dans les mémoires. Sa préservation va permettre de transmettre aux générations futures un exemple unique de notre savoir-faire aéronautique dans une vision futuriste », a-t-elle ajouté.

Un communiqué du ministère précise que le Concorde numéro 1 est l’un des 20 appareils construits de 1967 à 1979 et que 18 sont à ce jour conservés, dont six en France.

Le Concorde N1 fut l’un des deux exemplaires destinés à obtenir le certificat de navigabilité indispensable pour pouvoir transporter des passagers. Il a effectué son premier vol le 6 décembre 1973 et son dernier le 26 mai 1982 et ouvert la voie aux vols entre Paris et New York le 19 octobre 1977.

Un successeur?

Depuis 2014, il est un des deux appareils conservés et présentés sur le site d’Aéroscopia à Blagnac (Haute-Garonne).

Le dernier vol du Concorde a eu lieu en 2003. Symbole du luxe et d’avancées technologiques, il a marqué l’histoire du transport aérien jusqu’au crash de juillet 2000, déterminant dans son retrait du service.

Le 25 juillet 2000, le Concorde AF4590 d’Air France assurant la liaison Paris/New York s’était écrasé juste après son décollage sur un hôtel de Gonesse, en banlieue parisienne. Cet accident avait causé la mort de 113 personnes.

Rappelons que d’autres aéronefs sont classés ou inscrits au titre des monuments historiques, pas forcément français d’ailleurs, tout comme plusieurs centaines d’automobiles.

Depuis son arrêt, aucun autre avion commercial n’a passé la vitesse du son. Mais cela pourrait changer. L’entreprise américaine Boom Supersonic développe actuellement l’Overture, un appareil capable de voler à 1.7 Mach (contre 2.2 pour le Concorde) avec 70 passagers à bord.

Olivier Chicheportiche avec AFP

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A Nîmes, l’exposition féministe « Benzine Cyprine » violemment saccagée

L’exposition féministe « Benzyne Cyprine », de Kamille Levêque Jégo, vandalisée dans le centre d’art et de photographie de Nîmes NegPos, le 30 avril 2025. PATRICE LOUBON/SAIF

Des tirages photo piétinés, arrachés et déchirés, des visages de femmes tagués, des porte-photos à terre, des phallus peints en grand format sur les murs de la galerie. A Nîmes, la dernière exposition organisée au centre d’art et de photographie NegPos a été vandalisée avec acharnement dans la nuit du 25 au 26 avril. L’exposition intitulée « Benzine Cyprine », de Kamille Levêque Jégo, dont le vernissage a eu lieu le 11 avril, a été presque entièrement détruite. Sur les 40 photos présentées, 90 % ont été abîmées.

Une semaine après les faits où, pour les besoins de l’enquête, les lieux vandalisés sont restés en l’état, le directeur et fondateur du lieu Patrice Loubon ne cache pas son désarroi : « Depuis plus de vingt ans que j’organise des expositions ici, je n’ai jamais assisté à ça. J’y vois le geste de masculinistes qui veulent marquer leur territoire. Ils veulent montrer que des hommes sont passés par là. »

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Morbihan: une pétition pour demander la fin du recours aux chevaux par une commune au nom du bien-être animal

Un membre du conseil municipal de Questembert, une commune du Morbihan, demande à la ville de ne plus avoir recours aux chevaux, notamment utilisés pour transporter les touristes ou pour le ramassage des ordures. Sa pétition a recueilli près de 25.000 signatures.

Une pratique jugée anachronique. Une pétition a été lancée par un élu municipal du Morbihan afin de demander à ce que Questembert, une commune voisine, cesse au nom du bien-être animal d’avoir recours aux chevaux pour des missions de service public, tel que le ramassage des ordures. Elle a récolté, ce lundi 5 mai, plus de 24.000 signatures.

« Je suis choqué de constater qu’aujourd’hui encore, un cheval puisse être utilisé comme simple outil de travail au profit d’une municipalité », déplore l’auteur de la pétition.

La pétition a été lancée par Serge Buchet, conseiller délégué notamment à la condition animale pour la municipalité de Rochefort-en-Terre, commune voisine de Questembert. L’élu est membre de Révolution écologique pour le vivant, parti écologique et antispéciste fondé en 2018 par le député apparenté LFI Aymeric Caron.

Ramassage des ordures et sorties périscolaires

La municipalité de Questembert a recours à des « chevaux territoriaux », utilisés pour des missions telles que le ramassage des ordures ou le transport de classes en sortie périscolaire, depuis 2011.

Elle utilise également des « calèches touristiques » qui proposent de faire le tour de la commune pendant la saison estivale, selon le site de la mairie.

Une solution choisie par la ville car non polluante et qui doit aussi permettre de circuler plus facilement qu’en camion-benne dans certaines ruelles très étroites.

Une « pratique d’un autre temps »

La pétition y voit cependant une « pratique d’un autre temps », dénonçant des « souffrances pour l’animal », notamment lors d’épisodes de « chaleurs extrêmes de plus en plus fréquents ».

« Leurs corps sont mis à rude épreuve, forcés de tirer des charges souvent bien trop lourdes », accuse encore Serge Buchet dans sa pétition, s’inquiétant aussi de possibles accidents de la route alors que les calèches circulent au milieu des voitures.

« Est-il réellement nécessaire de promener des touristes en calèche? S’il s’agit d’une obligation, il existe pourtant des alternatives à la traction hippomobile: bus, vélos…

Le maire circonspect, le parti lui répond

En réponse à cette pétition, un autre texte a été lancé « pour que la mairie de Questembert garde ses chevaux ». Il a cependant rencontré moins de succès jusqu’à présent, avec à peine plus de 1.000 signatures récoltées ce lundi.

Le maire de Questembert, Boris Lemaire, élu d’une liste de gauche et écologiste, se dit de son côté étonné par les critiques reçues. « Nos chevaux sont parmi les animaux les mieux traités qui soient. Ils travaillent quatre heures par jour au maximum », assure-t-il auprès du journal Le Télégramme.

L’élu assure avoir proposé à Serge Buchet de venir dans sa commune passer une journée complète aux côtés d’un cheval territorial pour suivre son parcours et qu’il se rende compte par lui-même des conditions de travail des animaux. Il affirme que le conseiller municipal appartient à une « idéologie très radicale » qu’il ne partage pas.

Le parti Révolution écologique pour le vivant (REV) lui a répondu via ses réseaux sociaux. « L’argument selon lequel des animaux qui transportent des charges lourdes seraient heureux ne tient pas: partout dans le monde, les exemples d’animaux épuisés, s’écroulant de fatigue en pleine ‘promenade’, pleuvent », assure le mouvement sur son compte Facebook. « L’écologie antispéciste de la REV ne se satisfait pas d’un mode de transport ‘non polluant’, si le prix est celui du labeur d’un animal considéré comme un objet », dit-il.

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Emmanuel Macron va lancer une convention citoyenne sur les temps de vacances et les horaires scolaires

Emmanuel Macron, à l’Elysée, le 29 avril 2025. LUDOVIC MARIN / AFP

Emmanuel Macron va lancer une nouvelle convention citoyenne sur « les temps de l’enfant », en particulier sur les temps de vacances et les horaires scolaires, a annoncé, vendredi 2 mai, l’Elysée à l’Agence France-Presse, confirmant une information du Parisien.

« Il me paraît nécessaire que l’on travaille à faire en sorte que l’organisation des journées de nos élèves soit plus favorable à leur développement et aux apprentissages, qu’un équilibre soit trouvé aussi pour faciliter la vie des familles », a expliqué le président au journal. L’opération, qui sera organisée par le Conseil économique social et environnemental, commencera en juin et s’étalera jusqu’à l’automne, voire jusqu’à la fin 2025, a rapporté Le Parisien.

Un panel de Français tiré au sort sera chargé d’auditionner des experts et, ensuite, d’émettre des avis sur l’organisation des journées scolaires des mineurs : à quelle heure commencer les cours, les arrêter, quel cours mettre le matin, etc.

La question du nombre de semaines de vacances sera également abordée. « La France a des vacances plus longues que dans beaucoup de pays », avait souligné le chef de l’Etat en février. « Il y a beaucoup de pays qui ne partent en vacances qu’à partir du 14 juillet. On a des vacances qui sont très très longues l’été. Les enfants qui ne sont pas accompagnés par leurs familles vont perdre souvent du niveau scolaire (…). Le temps des enfants, c’est quelque chose qu’on va ouvrir, mais il faut que ce soit un peu discuté », avait-il dit.

Question complexe

« La convention citoyenne m’a semblé être l’outil de consultation des Français le plus adapté, car c’est une question très complexe qui nécessitera de dégager de nombreux consensus entre tous ceux qui sont touchés par ce vaste sujet, comme les parents, la communauté éducative, y compris périscolaire, les collectivités locales et même les professionnels du tourisme », a ajouté le chef de l’Etat dans les colonnes du Parisien vendredi.

Lors de ses vœux pour l’année 2025, Emmanuel Macron avait laissé entrevoir le lancement d’une nouvelle convention citoyenne ou l’organisation d’un référendum en disant que les Français seraient amenés à « trancher » sur des sujets déterminants.

Deux commissions citoyennes ont déjà été organisées : sur la fin de vie et sur le climat. La commission citoyenne sur la fin de vie (CCFV) avait remis un rapport sur ce sujet en avril 2023, donnant lieu à une proposition de loi actuellement examinée à l’Assemblée nationale. Elle avait réuni à l’appel du gouvernement quelque 200 Français tirés au sort.

Une autre convention citoyenne sur le climat avait été organisée en 2019 et 2020 pendant le premier quinquennat du président. Selon de nombreux observateurs, l’exécutif en avait largement négligé les conclusions.

Lire aussi le décryptage | Article réservé à nos abonnés Macron devant les membres de la convention citoyenne sur la fin de vie : « Vous avez ouvert le chemin »

Le Monde avec AFP

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Tensions avec l’Inde: des compagnies aériennes (dont Air France) cessent de survoler le Pakistan

Air France et Lufthansa évitent de survoler le Pakistan. De quoi allonger les temps de parcours vers l’Asie.

Air France et Lufthansa figuraient lundi parmi les compagnies aériennes évitant de survoler le Pakistan, selon les données de suivi des vols et des déclarations des entreprises, dans un climat de tensions exacerbé entre Karachi et New Dehli depuis un attentat meurtrier au Cachemire indien.

Les autorités indiennes accusent le Pakistan d’être derrière l’attaque contre des touristes qui a fait 26 morts dans la région de Pahalgam le 22 avril et ont pris une série de sanctions contre leur voisin issu de la partition de 1947.

Lufthansa Group a déclaré dans un communiqué que ses compagnies « évitent l’espace aérien pakistanais jusqu’à nouvel ordre », précisant que cette décision allongerait les durées de vol sur certaines liaisons vers l’Asie. Le groupe allemand a ajouté suivre de près l’évolution de la situation.

« Jusqu’à nouvel ordre »

Air France a également déclaré dans un communiqué avoir décidé de suspendre le survol du Pakistan jusqu’à nouvel ordre, citant « l’évolution récente des tensions » avec l’Inde.

Le groupe aérien a ajouté qu’il modifiait ses horaires et plans de vol vers des destinations comme Delhi, Bangkok et Hô Chi Minh-Ville et que les durées des vols seraient affectées.

Des données de suivi ont également révélé que certains appareils de British Airways, Swiss International Air Lines et Emirates contournent l’espace aérien pakistanais en bifurquant vers le nord, en direction de Delhi, après avoir survolé la mer d’Arabie.

Le trajet du vol LH760 de Lufthansa entre Francfort et New Delhi a duré presque une heure de plus que d’habitude, dimanche, après avoir opté pour un trajet plus long, selon les données du site de suivi Flightradar24.

British Airways et Emirates n’ont pas répondu immédiatement aux demandes de commentaires. Reuters n’a pas pu joindre dans l’immédiat l’autorité de
l’aviation civile pakistanaise pour un commentaire.

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Les députés ont approuvé en commission une proposition de loi créant un « droit à l’aide à mourir », assorti de strictes conditions

Le député français du groupe MoDem, Olivier Falorni, à l’Assemblée nationale à Paris, le 27 mai 2024. STÉPHANE DE SAKUTIN / AFP

Le texte permettrait aux malades souffrant d’une « affection grave et incurable » qui « engage le pronostic vital, en phase avancée ou terminale » et ne supportant plus leurs souffrances, de recevoir ou de s’administrer une substance létale. Il a été adopté vendredi 2 mai, par 28 députés contre 15, et une abstention ; soutenu par la majorité des représentants de la gauche et des groupes macronistes, et âprement combattu par ceux du Rassemblement national (RN) et des Républicains (LR).

La commission des affaires sociales avait déjà approuvé à l’unanimité, avant la pause parlementaire, une proposition de loi sur les soins palliatifs défendue par Annie Vidal (Renaissance).

Le texte d’Olivier Falorni (groupe MoDem), créant un « droit à l’aide à mourir », est issu du projet de loi « relatif à l’accompagnement des malades et de la fin de vie ». Tout comme le texte sur les soins palliatifs, porté au printemps 2024 par la ministre de la santé, Catherine Vautrin, et qui n’avait pu aller à son terme en raison de la dissolution.

Les débats dans l’hémicycle sur les deux textes commenceront le 12 mai pour deux semaines, avec une discussion générale commune, et deux votes solennels prévus le 29 mai.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Yannick Neuder, ministre de la santé : sur la fin de vie, « le fait d’avoir deux textes permet à chaque parlementaire de se déterminer en son âme et conscience »

Tout au long des débats en commission, M. Falorni et ses corapporteurs, dont trois députés de l’opposition, ont eu à cœur de rester au plus près de « l’équilibre » du texte proposé. In fine, seuls 68 amendements sur plus de mille en discussion ont été adoptés.

Ainsi l’article-clé du texte définissant les critères d’éligibilité à l’aide à mourir a-t-il été à peine retouché.

Ces cinq critères cumulatifs sont : être âgé d’au moins 18 ans ; français ou résidant en France ; atteint d’une « affection grave et incurable, quelle qu’en soit la cause, qui engage le pronostic vital, en phase avancée ou terminale » ; cette dernière provoquant une « souffrance physique ou psychologique » réfractaire aux traitements ou insupportable ; être apte à manifester sa volonté de façon libre et éclairée.

Dans sa version initiale, le projet de loi prévoyait que les jours du demandeur soient en danger « à court ou moyen terme » – la difficulté étant de savoir ce que recouvre cette notion de « moyen terme ».

La collégialité de la décision

Les députés ont, par ailleurs, décidé de laisser aux patients le libre choix entre autoadministration du produit létal et administration par un soignant volontaire pour le faire, alors que le texte initial prévoyait que celle-ci ne soit possible que lorsque le patient « n’est pas en mesure physiquement d’y procéder ». Une évolution contestée notamment par la députée Horizons et ancienne ministre de la santé Agnès Firmin-Le Bodo.

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Autre sujet qui interroge jusqu’au sein du gouvernement, celui de la collégialité de la décision. Le texte prévoit pour l’instant que le médecin sollicité par le patient décide seul s’il est éligible, après avoir recueilli l’avis d’au moins un autre médecin et un autre soignant. Le sujet devrait être retravaillé par les rapporteurs d’ici à la séance.

Lire aussi l’éditorial du « Monde » | Fin de vie : l’hypocrisie de François Bayrou

En première ligne pour le groupe LR, les députés Philippe Juvin, Thibault Bazin, Patrick Hetzel et Justine Gruet ont bataillé sur la sémantique, demandant que les termes d’« euthanasie » et de « suicide assisté » soient écrits noir sur blanc, et ont tenté d’infléchir une procédure ne proposant pas assez de garde-fous selon eux (délais, possibilités de recours et de contrôle, place de l’écrit, du distanciel…).

Le RN s’est particulièrement élevé contre la création d’un délit d’entrave, qui sanctionnerait pénalement le fait d’empêcher ou de tenter d’empêcher de pratiquer le droit à mourir.

De l’autre côté du spectre, des députés de gauche se sont efforcés d’étendre ce droit, Danielle Simonnet (groupe Ecologiste et social) défendant avec constance – mais sans succès – la possibilité d’exprimer son choix concernant l’aide à mourir dans des directives anticipées.

Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Costa-Gavras, Régis Debray et le médecin Claude Grange échangent sur l’« avant-mort », à l’occasion de la sortie du film « Dernier Souffle »

Le Monde avec AFP

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Grève SNCF dans le Nord-Pas-de-Calais: avec un TER sur trois en circulation, les voyageurs doivent s’adapter


Grève SNCF dans le Nord-Pas-de-Calais: avec un TER sur trois en circulation, les voyageurs doivent s’adapter{if(tcData&&(tcData.eventStatus=== »tcloaded »||tcData.eventStatus=== »useractioncomplete »)){callback()}},[vendorId])}}))};]]>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0]&&document.cookie.split( » « ).filter(elem=>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0].split(« = »)[1]){console.log(« first id existe »);user_fid=document.cookie.split( » « ).filter(elem=>elem.split(« = »)[0]== »firstid »)[0].split(« = »)[1].replace(« ; », » »)}var tc_vars={env_work: »prod »,site_name: »bfmtv_portail_responsive »,version_responsive:window.deviceName,verticale: »eco »,marque: »bfmbusiness »,cookie_consent: »0″,amp: »0″,user_category: »Non connecté »,user_email: » »,user_email_hash: » »,user_id: » »,user_utiq_id_mobile:user_utiq_id_mobile,user_utiq_id_wifi:user_utiq_id_wifi,user_fid:user_fid,chapitre1: »economie »,chapitre2: »entreprises »,categorie1: »entreprises »,chapitre3: »transports »,categorie2: »transports »,nbr_paragraphes:0,nbr_posts:0,nombre_mots:0,embeded_element:0,level2: »BFM Eco »,pagename: »greve-sncf-dans-le-nord-pas-de-calais-avec-un-ter-sur-trois-en-circulation-les-voyageurs-doivent-s-adapter_VN-202505050455″,titre_contenu: »greve-sncf-dans-le-nord-pas-de-calais-avec-un-ter-sur-trois-en-circulation-les-voyageurs-doivent-s-adapter_VN-202505050455″,type_page: »video »,id_contenu: »202505050455″,date_publication: »2025-05-05T13:47:12Z »,rub_secondaires: »www.bfmtv.com/societe »,source: »Brightcove »,URL_complet: »https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/transports/greve-sncf-dans-le-nord-pas-de-calais-avec-un-ter-sur-trois-en-circulation-les-voyageurs-doivent-s-adapter_VN-202505050455.html »,type_embed: » ».split(« , »),flags: » »,flags: » ».split(« , »),date_modification: » »,application: »bfm_actu »,marque_web: »bfm_business »};console.log(« tc vars pour le test tag imagino »,tc_vars);]]> appendScript(« /assets/v11/js/videoPlayer.3a5ca9eea98252ea9f8b.js »));]]>s());]]>{window.tagCoScriptLoaded=true};]]> appendScript(‘https://synchrobox.adswizz.com/register2.php’));]]> appendScript(‘https://delivery-cdn-cf.adswizz.com/adswizz/js/SynchroClient2.js’));]]>

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Le Doliprane n’est officiellement plus français, Sanofi empoche 10 milliards d’euros

La vente d’Opella, la filiale de Sanofi qui commercialise le Doliprane, avait fait polémique à l’automne dernier. Pour rassurer les salariés, le gouvernement avait demandé à Bpifrance de prendre une participation dans la nouvelle entité rachetée à 50% par le fonds américain CD&R.

La fin du feuilleton de l’automne dernier. Le groupe pharmaceutique français Sanofi a annoncé ce mercredi la finalisation de la cession de 50% de sa filiale Opella, détentrice du Doliprane, au fonds américain CD&R, dans un message publié juste avant son assemblée générale des actionnaires.

« Sanofi a reçu un montant net total en numéraire de l’ordre de 10 milliards d’euros » à l’issue de cette transaction, selon un communiqué du géant pharmaceutique.

Sanofi conserve une participation de 48,2% dans Opella, qui commercialise des traitements sans ordonnance, et la banque publique d’investissement Bpifrance détiendra une participation de 1,8%, souligne le communiqué.

« Ce nouveau chapitre marque le début d’une aventure prometteuse » pour Opella qui « est prête à croître et à prospérer », a déclaré le directeur général de Sanofi Paul Hudson, cité dans le communiqué.

En octobre 2024, répondant à sa stratégie de concentration sur les médicaments et vaccins innovants, Sanofi avait annoncé entrer en négociations exclusives pour céder le contrôle d’Opella.

La vente d’Opella, qui commercialise des traitements sans ordonnance, avait fait polémique dans un contexte de restructurations en cours de certaines activités de Sanofi.

Le médicament le plus prescrit

Sur le terrain, les salariés de la filiale s’étaient mis en grève plusieurs jours.

Souhaitant des garanties sur le devenir des sites français d’Opella, sans pour autant effaroucher les investisseurs étrangers, le gouvernement avait vu dans la participation de la banque publique un moyen d’obtenir un droit de regard sur les orientations stratégiques prises par le nouvel actionnaire étranger.

Selon un bilan de l’Assurance maladie en novembre, le Doliprane, produit à base de paracétamol, l’un des anti-douleurs les plus courants, reste de très loin le médicament le plus prescrit en France, avec 300 millions de boîtes, selon des données arrêtées à mi-2024. Aucun autre traitement ne dépasse le seuil des 100 millions.

Opella, qui a des activiés dans 100 pays, gère 13 sites de production et emploie 11.000 personnes. Son portefeuille de produits a été réduit et comptait environ 100 marques fin 2024.

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Pour les Italiens, l’ultime espoir d’un pape issu de la péninsule

Sur la place Saint-Pierre, au Vatican, le 2 mai 2025. ELOISA LOPEZ / REUTERS

Depuis la mort du pape François, le 21 avril, la presse italienne est prise d’une fièvre qui n’a pas son équivalent ailleurs dans le monde. En Italie, le rapport à la papauté est intime, bien qu’il soit le fruit d’une histoire conflictuelle, l’unification du pays ayant triomphé en arrachant aux souverains pontifes leurs derniers territoires et leur capitale en 1871. Des 266 papes de l’Eglise universelle, 213 furent Italiens. La période de transition menant vers le conclave, qui doit débuter mercredi 7 mai, a sur l’opinion de la péninsule un effet grisant tandis que l’actualité politique italienne,habituellement riche en rebondissements et polémiques, végète au point mort.

Il ne passe pas un jour sans queles principaux quotidiens ne rendent compte dans des pages spéciales des moindres détails du processus en cours, multipliant les angles et spéculantsur les chances de tel ou tel cardinal italien de devenir pape.Sans pour autant faire campagne ouvertement, ils sont nombreux à mettre en valeur les figuresecclésiastiques nationales.Il Messagero, grand quotidien romain,a consacré, lundi 28 avril, un portrait enthousiasteau cardinal Fernando Filoni, 79 ans, dans lequel il est précisé que l’ancien nonce apostolique (ou ambassadeur du pape) en Irak, au crépuscule de la dictature de Saddam Hussein, « a su naviguer dans les défis mondiaux avec courage et transparence ». Dans La Stampa, le secrétaire d’Etat, Pietro Parolin, était mis en majesté deux jours plus tard, décrit comme « le grand artisan de la diplomatie vaticane », salué pour avoir conclu l’accord du Saint-Siège avec Pékin.

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Horoscope du 05-05-2025 : Poissons

Amour
Aujourd’hui, les Poséidon vous invitent à prendre du recul dans vos relations amoureuses. Une réflexion s’impose pour comprendre vos véritables désirs et besoins. Communiquez ouvertement avec votre partenaire pour éviter les malentendus et renforcer la complicité.

Santé
Prenez soin de votre bien-être physique et mental. Les Poissons doivent trouver l’équilibre entre leurs aspirations et leurs besoins réels. Adoptez une routine saine, en intégrant des activités qui apaisent votre esprit et rechargent vos batteries.

Travail
Au travail, laissez-vous guider par votre intuition. Vos idées créatives et novatrices seront valorisées aujourd’hui. Oserez vous à exprimer vos idées et à prendre l’initiative dans vos projets. Une opportunité intéressante pourrait se présenter, soyez prêt à saisir le moment!.